Le Mauvais Génie... Ch. 04

Informations sur Récit
Capucine décide qu'il est temps de s'occuper de Laura.
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Partie 4 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 02/04/2021
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RoxyJJ80
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Capucine devint riche et profita de cette vidéo extrêmement stimulante, pendant de longs mois!

Et le fait qu'il y ait des scènes alternatives aléatoires (la « magie du cinéma! ») permettait de redécouvrir le film d'une façon plus romantique (Ah, Jérôme devenant tantôt l'époux servile de la guerrière, tantôt la « femme soumise » d'un nain, et le plus souvent « la chose du groupe »!), ou bien plus extrême, notamment au grand plaisir de Gollum...

Et tout cela l'avait mise en appétit... pourquoi ne pas utiliser le génie avec sa belle amie Laura?

Capucine savait que Laura était une petite coquine bien que d'apparence sage : elle savait profiter des joies de la vie, dans une certaine mesure! Elle avait montré des dispositions à explorer sa sexualité, et il suffisait d'un rien pour qu'elle bascule complètement dans un monde de luxure. Avec un peu d'insistance, elle osait : porter une petite robe légère sans dessous, traverser le campus la nuit vêtue d'un simple masque, flasher ses seins dans le métro aux voyageurs du métro d'en face, sucer son copain au cinéma, ou dans un train vide, se faire baiser dans un jardin public, voire de jouer la pute au bois qui se ferait prendre par son « mac » (son copain), s'exhiber en webcam sur un site porno, en cachant soigneusement son visage, se balader nue en soirée libertine, pour simplement être touchée, palpée...

Au final, Laura avait osé faire bien plus que la moyenne de ses camarades, mais sans dépasser une limite. Alors que son imagination fertile l'emmenait au-delà de toutes ces limites, ces tabous, baisée et violentée par des inconnus, des êtres assoiffés de sexe, devant une foule ravie de voir ce petit bout de femme, au sourire si séducteur, aux formes si parfaites, aux seins jeunes et fermes, et à la croupe divine, ravagée!

Ses fantasmes l'emportaient dans un imaginaire où les bites se démultipliaient pour la pénétrer de mille et une façons, repoussant les limites de ce que son corps pouvait endurer, se donnant à n'importe quel créature ou animal qui la désirait : elle n'était qu'un jouet sexuel pour ses ravisseurs, et elle voulait être utilisée sans que la moindre limite leur soit imposée, quoi qu'il lui en coute, pourvu que l'ivresse de l'orgasme final la libère!

Capucine adorait écouter son amie raconter ses fantasmes, car, outre toute l'utilité d'avoir ce gros dossier sur Laura, elle y trouvait aussi son plaisir à l'inciter à les réaliser... et parfois, elle y arrivait, notamment quand elle avait réussi à la faire baiser par un joli petit couple BCBG de camarades d'études qui avaient envie de réaliser un plan à 3 avec elle!

Elle avait cédé à la tentation, sous l'invitation de Capucine, qui avait fini par la convaincre « qu'on ne vit qu'une fois » et que cela resterait discret.

Laura avait ainsi vécu son 1er plan à 3, et avait tellement aimé qu'elle avait raconté tous les détails à Capucine, ignorant que son amie perverse savait déjà tout cela, forte du film enregistré en secret par ce couple, comme récompense de leur avoir permis de baiser Laura!

Laura fut fidèle, n'omettant pas la double pénétration bucco-vaginale, mais aussi vagino-annale!

- Un autre pas vers la luxure, se dit Capucine, avec satisfaction.

Mais sa grand œuvre fut de l'emmener dans un glory hole : Laura était une voyeuse dans l'âme, elle aimait voir d'autres soumises, et si le club libertin était sympa, l'ambiance était particulière, comme cadrée par des règles informelles où la volupté prenait le pas sur la liberté.

Laura avait envie de voir du sexe cru, sale, et se projeter, s'imaginer...

Capucine avait alors saisi l'opportunité pour l'aider à réaliser son fantasme de voyeuse de l'extrême, mais pas que... Et surtout, de s'amuser elle aussi!

Capucine avait alors pris les devants : pour qu'elle déstresse de ses partielles, elle lui avait offert d'aller avec elle sans un sex shop, pour lui offrir le dernier gadget à la mode, avant de visiter le glory hole et de profiter du spectacle...

L'endroit était assez grand, même s'il n'y avait a priori qu'une demi-douzaine de clients potentiels, une majorité d'hommes, et pas de plus sexy, et une caissière à peine plus âgée que Laura, au look « gothique », crâne à moitié rasé, plutôt bien faite, malgré ses airs de jeune femme blasée qui mâchouille nonchalamment son chewing-gum en pianotant sur son portable.

Laura aimait cette ambiance où elle était la « petite salope » aux yeux de ces hommes, ce qui commençait à l'exciter au point qu'elle croisait volontairement leur regard et leur souriait, pour les allumer juste un peu...

Après que Laura lui eut remis son nouveau jouet, Capucine se dirigea vers la caissière pour régler le prix et lui demander où trouvait l'arrière-boutique, avec ses salles individuelles de vidéo.

Elle lui sourit et lui donna les détails, tandis que Laura flânait dans le rayon des vidéos, avant de s'arrêter, focalisant sur « gang bang d'étudiantes salopes ». Elle commençait à tremper sa culotte en s'imaginant à leur place.

Capucine la rejoignit :

- Toute ces vidéos sont dans les salles, si tu veux te faire plaisir, choisis celle-là!

- Ouais, je vais la prendre! Je dois aller où pour regarder?

- La... 5, là-bas! D'après la caissière, tu seras dans une salle vitrée donnant sur une petite salope!

- Cool, c'est exactement ce que je voulais voir, j'espère qu'elle va prendre chère! s'excita Laura.

- Pars avant moi, je vais faire un tour dans la boutique avant, j'ai aussi des trucs à faire ma puce!

Capucine la vit partir alors que la caissière fronçait les sourcils, interloquée.

Capucine lui parla de nouveaux quelques instants, avant que celle-ci n'explose d'un rire sans finesse.

Laura ne connaissait rien aux glory hole, autre que les vidéos vus sur internet, et s'etonna d'avancer dans un étroit couloir qui menait à la salle 5 : il s'agissait d'une drôle de salle, ronde, pas très grande (tout juste pour tenir avec Capucine), et limite cosy : Une seule vitre circulaire autour, teintée, la lumière était tamisée afin de donner un semblant d'intimité, le petit écran plat surplombait l'espace dans lequel se trouvait simplement un petit pouf marron qui lui fit dire « un pouf pour la pouffe voyeuse! ».

A sa surprise, il y avait un vibro noir de belle taille, au moins 20 cm, emballé dans un plastique neuf. « chouette, ils ont pensé à tout : le matériel est mis à disposition, neuf, et ... bien épais! ».

Elle se mit à l'aise et lança la vidéo des étudiantes salopes...

Au bout de quelques minutes de films, et sans venue de sa copine, Laura, échaudée par cette soirée, se détendit au point de s'aventurer à retirer ses vêtements, et se retrouva en lingerie qu'une pute n'aurait pas refusé dans ce quartier : porte jarretelles noir, string et soutien-gorge en dentelles... « et tant pis si Capu vient, elle n'aura qu'à profiter de la vue! », s'amusa-t-elle.

A l'écran, une jeune « étudiante » suçait un gros « black des quartiers », ce qui lui donna envie de déballer le gode dont la texture ultra réaliste lui plut immédiatement.

Oubliant totalement la venue potentielle de son amie, Laura glissa sa main vers son entre-jambes : elle retira son string, et se sentit en danger dans ce lieu séparé d'à peine quelques mètres de clients qui l'avaient vue, vulnérable en exposant son petit minou tout rasé... « on dirait un sexe de pucelle! » se félicita-t-elle.

Elle se saisit du gode et le suça, comme pour participer à la scène.

Alors que l'excitation et le plaisir commençaient à se ressentir, elle entendit une petite voix étranglée, mais ce n'était pas la TV : elle s'approcha à 4 pattes de l'un des trous sombres dont semblait venir des petits cris étouffés... elle distingua une petit nana, quasiment son âge, en train de sucer un homme bien plus vieux, qui aurait pu être son père! Elle était ravie : elle adorait voir les vidéos de jeunes soumises se faire tringler par des plus vieux.

Entre le son du film et le spectacle, elle ne pouvait s'empêcher de se caresser à 4 pattes de plus en plus vivement... l'homme repoussa la fille au sol, avec autorité, et lui donna l'ordre de se mettre à 4 pattes, visage tourné vers le trou voyeuriste de Laura...

Le type lui claqua le cul avant de se mettre à genoux et la baiser salement sous ses yeux!

La fille prenait les coups de boutoir avec tout le plaisir de la soumission, tandis que son « maître » la prit par les cheveux, l'obligeant à se redresser et se cambrer encore plus!

La fille croisa le regard de Laura : elle se faisait baiser pendant que Laura se masturbait!

Les 2 filles n'étaient séparées que de quelques dizaines de centimètres, elles sentaient presque leur souffle chaud respectif...

Avec toute cette excitation, Laura avait envie de l'embrasser goulument, de partager cette bite dominatrice...

Et ce qui devait arriver arriva : l'homme finit par jouir dans le vagin de sa soumise, qui, électrisée, eut un orgasme d'une rare intensité, ne détachant pas son regard de la direction de Laura, alors que l'homme la traitait de sale pute, de chienne à bites.

Laura enfonça 3 doigts au plus profond d'elle, gémissant de plaisir partagé, jouissant à son tour, acceptant les insultes comme si elles lui étaient destinées, ce qui décupla son orgasme!

Elle réalisa aussi que quelque chose d'humide lui tombait dessus, par à coup, sur les fesses et son sexe, et passa sa main dessus : c'était du sperme, chaud et épais! Il coulait le long de sa raie, vers son minou encore béant de la pénétration... son regard chercha et elle vit une belle bite blanche sorti de l'un des trous, qui débandait lentement et dont les spasmes trahissaient le forfait : ce mec s'était branlé et fini sur elle!

Elle entendit le vieux mec claquer une nouvelle fois le cul de la fille, la remercia d'un « merci salope », et il sembla quitter la salle sans elle, encore à 4 pattes, le sperme coulant le long de ses cuisses.

Comme par écho, un « merci salope » sortit de la direction de la bite qui l'avait « honorée ».

Surprise par la tournure des évènements, Laura répondit par un timide et post orgasmique « de rien ».

- Avant que je parte, ne gâche pas ce bon sperme, lèche le, salope!

Laura, qui s'était assise sur le pouf, lui sourit par défi... et lapa le sperme de sa main!

- Bonne salope! Mais une salope reste au pied de son maître, alors allonge toi sur le dos sur ta mouille et mon sperme, et écarte les jambes...

Laura, prise d'une envie folle d'obéir à ce « maître » anonyme, s'exécuta... elle ressemblait à l'étudiante salope sur l'écran, en porte jarretelles, sur le dos, baisée par un homme... quelle vue elle devait offrir à ce type derrière ce trou!

- Bien, tu es obéissante... alors écarte tes cuisses et saisis-toi du gode.

Laura le prit, et voulu se nettoyer la chatte de tout se sperme encore glissant avant de l'enfoncer, mais l'homme l'arrêta : « tu es une pute, tu es ma pute, et tu ne vas rien gâcher... alors utilise le sperme comme lubrifiant et plonge le en toi, salope! »

Laura, qui n'aurait jamais pris le moindre risque sanitaire, était dans un état second : elle enduit le gode du sperme, et se l'enfila lentement...

- Et assure-toi de ramener le sperme de ton cul vers ta chatte, ne gâche rien, je veux que tu me sentes en toi!

Et Laura obéit une nouvelle fois : elle se masturbait avec ce gros gode en ramenant à chaque fois le sperme vers sa chatte... un tas de semence s'était formé à l'entrée de son vagin, et elle se figea quelques instants, comme si elle réalisait toute la folie de la chose...

- Allez, salope, fais-le!

Et elle le fit : elle approcha consciencieusement le sperme de sa chatte ouverte, le poussa au fond de son vagin, jusqu'à atteindre le col de l'uterus... et l'enfonça à fond!

- Aaaaaah, gémit-elle.

- Merci ma salope, si jamais tu portes mon gosse, appelle-le Ahmed, comme mon père!

A ces mots, Laura se masturba frénétiquement, avant de connaître un nouvel orgasme, convulsant de tout son plaisir intense... avant de reprendre progressivement son souffle. Elle remarqua que la jeune fille l'avait regardé par le trou... « elle a surement imaginé que j'étais une pire trainée qu'elle! ».

Mais Laura vit également plusieurs bites sortir des trous : une bonne demi-douzaine!

Elle réalisa alors où elle était : ce n'était pas juste une salle parmi d'autre, c'était une salle au milieu des autres, centrale, ce qui expliquait sa circularité! Et elle comprit que Capucine l'avait « piégée »... ou plutôt, lui avait offert un cadeau : d'être la « salope » du glory hole!

- Bon, de toute façon, vu comme c'est parti, autant finir le boulot et vivre l'expérience à fond!

Laura se précipita sur l'une des bites pour la sucer : elle passa délicatement la langue sur le gland qui réagit aussi vite, par ses soubresauts, ce qui la fit sourire.

Mais elle ne voulait pas frustrer les autres sexes, et elle en prit également 2 autres en mains, tout en suçant le 1er, qui ne tarda pas à jouir sans prévenir dans sa bouche, manquant de l'étouffer : elle avala malgré elle la moitié du sperme, l'autre finissant par couler via la commissure d ses lèvres le long de ses joues!

- Faut que je fasse plus attention moi, c'est pas comme si tous ces gars allaient se préoccuper de mon bien être et me demander mon avis!

Ce qui était en effet le cas, quelques hommes impatients l'appelaient par le seul nom qu'ils avaient entendu : « viens par ici salope! », « allez, viens sucer ma grosse queue, salope! », « j'ai besoin de ta langue de pute! Tu bosses dans le coin que je me paye une soirée complète? », « caresse un peu ta chatte de chienne, j'ai envie de te baiser! » , « tu as un sacré cul, j'espère qu'il est ramoné car je vais te le remplir, petite pute! »...

Toutes ces queues l'emportaient dans un autre univers, si loin de la sage étudiante qui passait ses partielles! Elle divaguait presque, se disant qu'au fond, si elle ne trouvait pas de travail après ses études, elle en avait un de tout prêt, ses talents parlaient pour elle!

Queue après queue, sa bouche et ses mains provoquaient le même résultat, des flots de sperme giclant sur elle, ou dans sa bouche.

Soudainement, elle sentit une main lui retirer son soutien-gorge, lui claquer les seins, puis le cul, 2, 3 fois, avant de le caresser, de retourner aux tétons pour les étirer, les pincer... c'était une main de femme, qui avait pu se glisser dans l'un des trous et profiter de sa position à genoux, jambes écartées... Laura n'avait pas l'habitude de cela, surtout avec une femme, mais il y avait comme une expérience plaisante dans ses gestes, aussi agressifs qu'experts.

La fille lui claqua de nouveau le cul, lui tapota l'intérieur des cuisses, lui signifiant d'écarter les jambes. Laura fit de son mieux pour sucer une queue, en branlant 2, et en offrant sa croupe à cette main : elle se cambrait comme jamais, et se soumettait comme elle n'avait pas cru le faire un jour!

La main commença à la branler, avec douceur, méticuleusement... et alors qu'un autre orgasme se dessinait, la main se retira en la claquant, la laissant dans un état de frustration terrible!

Mais la main suivait ses idées : elle désigna une bite et fit un signe que Laura comprit immédiatement... elle voulait qu'elle se fasse baiser par une de ces bites anonymes! Et elle obéit, en plaquant son cul contre un trou : une queue de belle envergure la pénétra d'un seul coup et s'agita en elle sans la moindre préliminaire, futile tant le petit trou s'ouvrait, trempé!

Au bout de quelques courtes minutes, l'homme grogna et jouit dans son vagin, ajoutant un sperme copieux à celui qu'elle avait mis seule... mais Laura n'en avait cure : elle était là pour satisfaire des hommes, des mâles, des maîtres.... et elle se plaqua contre un autre trou au hasard, et sentit aussi vite une bite encore plus épaisse la baiser! Elle fut surprise qu'elle dépasse la taille du gode, mais son plaisir était tel que cette journée lui permettrait de se faire baiser par toutes les tailles du monde, même par Rocco Siffredi!

Cette bite était endurante, elle la défonçait, l'empêchant presque de se concentrer sur les autres sexes, devenant un brin frustrés... un pénis déchargea quand même sur son visage et ses cheveux, tandis qu'un autre se vidait sur ses seins nus... bien que souillée, elle excitait tous ces hommes, et elle aimait ça!

Elle sentit la bite dans son vagin durcir, annonçant l'inexorable suite : il gicla d'épais jets de foutre chaud, bien plus encore que tout ce qu'elle avait vécu jusqu'ici. Puis l'homme se dégagea en disant :

- Et si je suis le père d'un fils, appelle-le Boubakar!

Elle remarqua le serpent noir quittant son terrier humide pour mieux rentrer dans son antre de verre... « ah ouais, les blacks sont hyper bien montés, la légende dit vrai! »

Elle avait perdu le compte des bites qu'elle avait satisfaites, et la main de la femme lui fit de nouveau signe en lui claquant le cul : elle montra son pouce levé, pour la féliciter, puis la caressa gentiment, s'enduisant le doigt de sperme, afin de le lubrifier et le plonger directement dans son cul.

Laura émit un cri, mais plus de surprise que de douleur, ayant l'habitude d'être sodomisée par ses copains!

La fille se retira et lui fit comprendre la suite... offrir son cul! Sauf que les bites restants étaient quand même particulièrement grosses : « le pire ou le meilleur pour la fin, quoi! ».

Expérimentée mais pas « experte », Laura se plaça vers celle qui semblait la moins « dangereuse »... elle faisait bien 18 cm... elle s'empala lentement, profitant de ce mélange de sperme et de mouille, et la bite entra... l'homme ne lui voulait pas de mal : c'était surement une pute à ses yeux, mais il la respectait... il s'y prit lentement, et l'enfila petit à petit, jusqu'à accélérer le mouvement... Laura gémissait : elle aimait, elle était si sensible de cette zone si érogène... et l'homme continua, avec un entrain plus marqué, avant de jouir dans son cul...

- Au moins, je ne risque pas de tomber enceinte là!

Une claque au cul de la main anonyme lui intima d'aller se faire enculer par un autre homme, ce qu'elle fit plus facilement, et ainsi de suite, 5 fois... jusqu'à la 6e, et au « monstre »!

Cette queue faisait bien 25 cm de long sur 7 ou 8 de large, si ce n'est plus, et clairement, c'était le mont Everest à gravir lors de cette soirée! Craintive mais trop en chaleur pour se refuser à cette énième défi, elle commença de façon soft, en l'insérant dans son vagin.... rien que là, ce n'était pas une sinécure, et elle dut prendre son temps... puis la nature reprenant le dessus, l'homme pu s'agiter en elle, et durcir encore plus!

- Mais c'est pas possible d'avoir une queue aussi énorme!

Après quelques minutes de baise intense, la main, qui en avait profité pour lui torturer les seins ballant, la claqua de nouveau au visage, lui rappelant son ordre initial : en cul!

- Oui, oui, j'ai bien compris : je dois servir ces hommes, peu importe mon plaisir... mais je compte bien en prendre!

Elle se retira, et approcha son cul... et la chose semblait quasiment impossible, malgré de petites avancées centimètres par centimètres: elle essayait, lentement, puis en forçant, mais ses muscles n'étaient pas « encore » aussi souples... « encore? Non mais je veux quoi moi, avoir le cul dilaté qui ne se referme jamais ou quoi? je suis folle! ».

Elle n'eut guère le temps de réfléchir que la main avait décidé pour elle : elle poussa sur son buste d'un coup sec afin qu'elle s'empale entièrement sur cette bite géante!

Laura hurla de surprise et de douleur, et des larmes commencèrent à couler sur ses joues, mais la main experte de la femme vint lui caresser le clitoris et la détendre aussi vite que la douleur était venue! Et la magie opéra : les pleures laissaient place aux gémissements de plaisir, l'homme commençait à baiser la pute soumise, son cul dilaté autant que sa chatte, et accélérait ses coups de reins, tandis que le main enfonça 2 doigts, puis 3, ne sentant guère de résistance après avoir servi autant d'homme.

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