Le Mauvais Chemin

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Tout se passait bien et les trois cents kilomètres c'était déroulé sans encombres.

Le seul problème avait été que malgré le GPS, Nathalie et sa fille qui parlaient, emballées par les idées politique prônait par le parti qu'elles adoraient, n'avaient pas fait attentions aux indications, elles avaient manquée la sortie.

Elles avaient donc pris la suivante, mais comme cela arrive souvent, le GPS avait recalculé l'itinéraire, cela avait pris un certain temps, les deux femmes s'étaient complètement perdues dans les cités des quartiers nord de cette grande ville du sud du pays... Elles roulaient au ralenti, cherchant leur chemin, mais l'appareil n'arrivait pas à se fixer sur un itinéraire. Ce qu'elles ignoraient, c'est que les divers trafiquant du coin, avaient installés un brouilleurs de GPS, afin que les divers services de polices, aient du mal a se retrouver dans le dédale de cette cité. Leurs laissant ainsi le temps de fuir ou de tout cacher en cas d'intervention. Nathalie et Stéphanie étaient dégoûtée, de partout on ne voyait que des étrangers. Leurs esprits racistes, faisaient dire aux deux femmes, les choses les plus horribles sur ces gens. Ce qu'elles ignoraient aussi c'est que leurs nombreux passages entre les bâtiments, avaient attiré l'attention des guetteurs installés aux points stratégiques du quartier et que ceux ci avaient prévenus leurs chef.

Sur les sièges arrières de la voiture, traînaient des tracts de leurs partis xénophobe. Elles comptaient les faire distribuer aux alentours de leur village, à leurs amies. Au bout d'une bonne heure à tourner, ne trouvant pas leurs chemin, le GPS ne marchant pas, Nathalie décida de s'arrêter, se garant le long du trottoir près d'une grande place.

- Tu fais quoi maman?

- On ne s'en sortira pas. Il va falloir se renseigner.

- Mais tu vois bien que ici il n'y a que des sauvages, des voyous, des hors-la-loi, des malfrats.

- Oui je vois, pour une fois ils seront utiles a des femmes de bonnes famille comme nous.

- Je n'avais pas pensée à ça. On fait comment?

- Ta vitre est baissée, dés que l'on voit quelqu'un de pas trop mal, on lui demande le chemin. Enfin tant soit peu que cela existe dans une quartier aussi mal famé.

La mère avait prit un air dégoûtée en disant ces mots.

Moussa qui déambulait sans but dans la cité avait vite remarqué la Mini bleu à toit blancs qui roulait à faible allure depuis un moment dans la cité...

Ce n'était pas le genre de caisse qu'on avait l'habitude de voir par ici.

Par téléphones les petits guetteurs installés aux points stratégiques avaient déjà dû la signaler à qui de droit

Ils l'avaient bien signalé puisque un des potes de Moussa avec qui il était en train de fumer dans une contre-allée avait reçu un coup de téléphone.

Moussa était parti voir.

Ça ne semblait pas être une voiture des keufs car elle était trop voyante et en plus ils connaissant les voitures banalisée des flics..... Après, avec la nouvelle loi qui permet aux kondés de saisir n'importe qu'elle voiture appartenant à un trafiquant, on ne sait jamais. Mais il se demande bien quel trafiquant utiliserait une mini. Non, décidément cette voiture ne peut appartenir qu'à des personnes lambda, enfin, surtout des utilisatrices.

Stéphanie et sa mère attendirent une bonne demi-heure avant qu'un jeune black qu'elles trouvèrent d'assez bon goût ne passe.

- C'est pas trop tôt, après cent personnes, il y en a enfin une qui présente bien!

- Maman, moins fort.

Stéphanie passa sa tête par la fenêtre du véhicule. La jeune fille héla le piéton :

- Excusez-moi, on est perdu, on cherche la route du village de ...

Le jeune homme s'approcha, Stéphanie eut un mouvement de recul qui surprit le gars, elle rentra rapidement sa tête dans l'habitacle. Le piéton, reconnu immédiatement le mouvement et la grimace d'une raciste ayant peur d'un homme de couleur. Pourtant il avait un bac + 4, il n'avait jamais contourner la loi de sa vie. Son seul tort, était d'être un ami porche du caïd de la cité. Un tort pas encore puni par la loi. Mais pour la énième fois on le regardait comme si il était le dernier des voyous. Moussa sentit la colère l'envahir. Surtout qu'en s'approchant il avait remarqué les tracts sur le siège arrière. Il fit néanmoins son plus beau sourire aux deux femmes.

La première chose que Moussa avait vu lorsqu'il s'était approché et penché à la hauteur de la glace coté passager pour les renseigner avait été deux magnifiques femmes.

Une petite jeune, celle qui lui demandait le renseignement et une plus âgée, genre bourgeoise des beaux quartier qui conduisait.

En tout cas ce n'était pas le genre de meufs qu'on avait l'habitude de voir traîner dans le quartier. Ce genre de nanas évitaient plutôt les cités comme celle-ci.

Mais celles la étaient perdues.

la plus jeune était habillée très légèrement, petite robe d'été ne cachant pas grand chose de sa superbe plastique. La plus âgée d'un manière plus élégante et plus classe, beau tailleur, comme une PDG ou chef d'entreprise....

Un peu comme la connasse de pole emploi qui lui avait laissé comprendre "que malgré ses diplômes il trouverait difficilement du travail..." sans lui préciser pourquoi. Mais il avait compris.

Il avait aussi vite remarqué les jambes de ces deux belles femmes. Celle qui conduisait avait la jupe de son tailleur retroussée et remontée à mi-cuisses.

L'autre la plus jeune qui lui demandait le renseignement avait elle aussi la robe relevée sur ses jambes.

Mais lorsqu'elle avait aperçue le regard du jeune sur son corps, la jeune femme s'était vite empressée de rabaisser un peu sa robe.

L'autre la plus âgée avait fusillée Moussa du regard et il avait détourné les yeux des jambes des femmes et c'est à cet instant qu'il avait vu les tracts déposés sur les sièges arrière de la petite Mini. Juste au moment, où il s'apprêtait à plaisanter mais aussi à leur donner le bon renseignement.

IL aurait juste essayé de draguer un peu, tenté de refiler son 06. Mais vu le regard de la vieille, il n'en avait rien fait...

Ou plutôt si, il avait donné le renseignement...

Le mauvais renseignement...

- C'est simple, vous allez tout droit, au quatrième croisement, vous tournez à gauche. Vous allez arrivez à une impasse, prenez là...

- Mais c'est une impasse réagit Nathalie.

- Laissez moi finir. Il y a un parking qui descend dans l'immeuble au bout de l'impasse, vous entrez dedans. Vous allez au deuxième sous-sol, vous le traversez, au bout, il y a une sortie. Vous remontez, vous sortez, là la direction de l'autoroute est indiquée.

- Vous êtes sur pour le chemin?

- Certain, après si vous voulez tourner encore pendant trois heures allez-y, mais ici c'est un labyrinthe, a minuit vous tournerez encore.

Nathalie repartie immédiatement, sans attendre une réponse de ce voyou. Sans même le remercier. La quinqua regarda sa fille.

- On fait quoi?

- Moi je serais pour l'écouter et toi?

- Moi aussi.

- Bon, c'est sûrement un voyou. Mais qu'elle intérêt aurait-il de nous mentir.

- Aucun ma fille. Par contre tu as vu son regard quand ils nous a parlé? On aurait dit qu'il allait nous sauter dessus.

- Je sais,j'ai vu, maman comment ce black nous regardaient. En plus il sentait fort, il n'a pas dut ce laver depuis longtemps. Quelle horreur. Heureusement que tu lui a jetée un regard méchant car je ne savais pas quoi faire.Quand je pense que j'ai des copines qui sortent avec des gens comme lui. Je ne comprends pas......"

- " Les noirs ça peut encore aller mais ce que je déteste et que je haït le plus ce sont les maghrébins..." avait rajouté Nathalie.

Pendant que Nathalie et Stéphanie échangeaient leurs commentaires sur le dégoût et leur répulsion sur les immigrés, Moussa lui téléphonait.

Si elles avaient été un peu logiques, un peu moins naïves, mais surtout moins paniquées ,elles se seraient certainement rendues comptes que les explications du jeune étaient un peu farfelues. Mais elles étaient trop terrorisée par tout ce que l'on raconte a la télé sur ces banlieues sordides, pour réfléchir objectivement.

Alors les deux filles suivirent les explications du jeune. Aucune des deux ne remarque que Moussa avait sortit son téléphone, les regardant s'éloigner d'un air mauvais.

Voila ce qu'on aurait pu entendre si on avait été à côté de lui :

- T'inquiète ce sont juste deux pétasses qui étaient perdues et qui cherchaient leur route. Oui deux meufs, une jeune 18/20 ans et une vieille 50 ans environ.... Oui la mère et la fille je crois....

Oui bonnes...bien bonnes même, surtout la jeune..... Tu sais pas mecs... des racistes....Oui j'ai vu plein d'affiches sur les sièges arrières....Oui elles voulaient aller à .........là ou a lieu le meeting des fachos .....

T'inquiète j'ai pas donné le bon renseignement..... Je les ai envoyé dans le parking de la vieille tour....Oui deuxième sous sol.....Oui je crois que ces deux putes m'ont cru comme elles étaient perdues. Tu auraient vu ces deux connasses, elles flippaient tellement qu'elles n'ont pas mis ma parole en doute .....Oui comme je les aient bien embrouillées elles vont encore se perdre, elles y seront dans un quart d'heure environ ... Oui merci chef..."

Au bout de vingt minutes, les deux femelles arrivèrent à la voie sans issue.

- Stéphanie, on fait quoi? Je la prends ou pas?

- Je ne sais pas, tu veux faire quoi?

- Ben d'habitude, je ne fais pas confiance aux gens comme lui, mais là on a guère le choix.

- Je pense comme toi, prend la.

- OK, partons à l'aventure.

Nathalie prit la voie. Elles se retrouvèrent devant une vieille tour abandonnée. Mais il y avait bien l'entrée du parking sous-terrain.

- Pas trop engageant son truc, je tente?

- Vas-y maman. On a pas le choix. Tu vois bien, il n'y a aucun panneau d'indication dans ce quartier, il ne reste que les poteaux.

- Oui, j'ai remarquée ma fille.

Nathalie accéléra, elle entra sous l'immeuble. Il faisait sombre. Elle alluma les phares, entreprenant de descendre jusque au deuxième sous-sol. De partout des carcasses de voitures abandonnées, des matelas, des trucs indéfinissable donnaient à ce parking une atmosphère de fin du monde qui les firent frissonner. Nathalie fila tout droit, se retrouvant contre un mur.

- Merde, il n'y a pas de sortie!

A peine Nathalie eut elle finit sa phrase, que trois véhicule arrivèrent à toute vitesse. Lui bloquant toute possibilité de marche arrière. Une vingtaine de jeunes en descendirent. Stéphanie et sa mère remontèrent à toutes vitesse les vitres. Certains jeunes avaient des battes de base-ball, d'autre des pieds de biche, il y avait même des chiens. Avec horreur elle reconnurent le jeune qui les avaient guidés. Il parla :

- Les deux salopes, descendaient de la voiture et tout se passera bien.

Stéphanie et sa mère se mirent à trembler. Nathalie avaient du mal à retenir ses sanglots, tandis que sa fille fondit en larmes. Les deux femmes ne répondirent pas, ne bougèrent pas.

- Comme vous voulaient, Momo, Issa, c'est à vous de jouer.

Alors deux jeunes s'avancèrent et brisèrent les vitres à coups de barre de fer. Ils saisirent les deux femmes par les cheveux, les faisant sortirent de la voiture par le trou béant, où se trouvaient quelques secondes auparavant les fenêtre du véhicule. Les deux femelles terrorisée faisaient face à la meute de voyous.

Stéphanie morte de trouille s'urina dessus. Tandis que sa mère, fondit, elle aussi en larmes. La vue du liquide dorée coulant entre les cuisses de la jeune fille fit rire l'ensemble du groupe de voyous.

Il est certain que le fait qu'elles aient été littéralement tirées sans ménagement, extirpées, arrachées de leur voiture par les fenêtres des portières, avaient mis un peu en désordre leurs vêtements. La petite jupe du tailleur de Nathalie était retroussée à mi-cuisses, une des fines bretelles de la robe de Stéphanie avait craquée. Laissant voir un sein laiteux, terminé par une large aréole à peine plus rose que sa peau, et un petit téton. A part les sanglots de Stéphanie, le silence se mit à régner. Les deux femmes étaient de chaque coté de la voiture, l'atmosphère était pesante. Les jeunes entouraient la voiture en cercle, ils se trouvaient à a peine trois mètres de leurs proies. Moussa s'avança un peu.

- La vieille, va te mettre à coté de la pisseuse.

Nathalie fit le tour de la voiture, elle se colla contre sa fille, la prenant dans ses bras. Pour la calmer, comme quand elle était enfant.

- C'est ta fille?

Nathalie acquiesça d'un signe de tête. Le silence régna de nouveau. Personne ne bougeait. Les voyous semblaient attendre quelque chose. Aucune des deux femmes ne voulaient parler. Surtout ne rien faire ou dire qui pouvaient énerver la meute. Puis au bout d'une dizaine de minutes, un autre véhicule arriva. Il se gara et cinq hommes en descendirent. Stéphanie et Nathalie virent descendre l'homme le plus imposant qu'elles n'aient jamais connus. C'était un véritable géant de plus de deux mètres, large comme elles deux réunit. Une montagne de muscles. C'était un albanais, il se nommait Igor. Une large cicatrice ornait sa joue droite. Mais ce qui fit peur au filles, ce fut son regard de fou. Un regard de prédateur extrême, un regard de tueur, un regard sadique. Il s'approcha avec les quatre autres hommes. Aussitôt le cercle s'écarta pour le laisser passer. On pouvait sentir le respect et la peur qu'il imposait.

Igor est le caïd du quartier, il avait trente-huit ans. Rien ne pouvait se faire sans son accord. Il avait imposé une loi de fer dans le coin, faisant cesser les règlements de comptes dans sa cité, imposant avec lui, une paix solide entre les divers gangs du coin. Contrairement aux autres quartiers, de par cette tranquillité, les voyous du coin c'étaient considérablement enrichit. Suivant désormais Igor comme un dieu. Voyous comme honnête gens, tous le craignaient, tous lui appartenaient. Ceux qui avaient osé lui résister, avaient disparus sans laisser de trace. Si une fille lui plaisait, il la prenait. Il pouvait venir chez vous, frapper à votre porte un soir, puis baiser votre femme ou votre fille. Toujours avec violence, toujours avec la plus extrême perversion. Il n'avait qu'une seule limite en matière de sexe, uniquement des filles majeures. Personne ne sait pourquoi, mais c'était sa règle. Même les filles qui tournaient dans les caves étaient toujours âgées d'au moins dix-huit ans. Après, même les violer à mort ne le gênaient pas, il adore quand ça hurle, quand ça pleure ou supplie.

Igor regarda les deux femelles dans les bras l'une de l'autre, un grand sourire carnassier se mit à orner ses lèvres. Il regarda Moussa.

- C'est elles?

- Oui. C'est les deux putains de facho.

- Elles sont jolies, elles me plaisent. Bon choix Moussa.

- Merci. On fait quoi?

Stéphanie et Nathalie se mirent à trembler en écoutant la conversation.

- On va un peu s'amuser avec elles. Après on verra dans quel état elles sont.

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Anonymous
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6 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans

Violent

karlamakarlamail y a plus de 7 ans
Le mauvais chemin

Super récit. Super fantasme. on s'y croirait, vite la suite

trouchardtrouchardil y a plus de 7 ans
Fiction

Bonne introduction à une histoire qui promet. Bravo pour l'avertissement qui place ce récit en tant que fiction dont les actes décrits sont illégaux.

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans

Très-bien superbe histoire c'est de l'ordre du fantasme on est tous d'accord sur ce point..Comme les films d'horreur ou les jeux vidéo.Vivement la suite de cette tragédie

au combien excitante. Merci!

CocuforeverCocuforeveril y a plus de 7 ans
Beau début

Belle intro, j'attends la suite avec intérêt.Nous sommes tous d'accord que nous sommes dans la fiction. ceci étant, je connais des best sellers en librairie qui vont au moins aussi loin sans pour autant présenter les avertissements que vous avez présentés. Je pense à Patterson et à Sire notamment

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