Le Mauvais Chemin 07

Informations sur Récit
Igor fait visiter son lieu de captivité à Stéphanie.
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Partie 7 de la série de 9 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 11/16/2016
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Ce texte est écrit en collaboration avec Juis Karlos, j'espère qu'il vous plaira.

Attention, ce texte est violent, il décrit avec une certaine réalité, l'enfer du viol et des tournantes subit par certaine femmes, dans notre pays ou ailleurs. Si vous n'aimez pas ce genre de récit, ne le lisez pas, sinon ce sera à vos risques et périls. Il n'est nul question ici de faire l'apologie du viol. Nous condamnons, mon quo-auteur et moi même le viol, ainsi que toutes violences faites aux femmes. Nous condamnons également la misogynie, ainsi que toutes formes de racismes sur quelques formes que ce soit. Ce récit est purement imaginaire, et, aucunement, n'est une apologie ou glorification à quoique ce soit. Il vise plutôt à avertir les consciences, sur certaines violence atroce qui vise certaine femmes dans notre pays. Il n'accuse personne, ne fais pas preuve de xénophobie. Nous avons tenté de faire ressembler notre récit, à la réalité, tout en incluant des passages purement exagérer, afin de bien montrer qu'il n'est qu'imaginaire. Je le répète, si vous n'aimez pas les histoires violentes, basée sur le viol, ne lisez pas ce qui suit, sinon, bonne lecture. Et n'oubliez toutes formes de violences sexuelles est passible de lourdes peines de prisons, bien que à notre goût, ces peines soit trop légère. N'oubliez pas, non plus, qu'en France, un pays développé, 240 femmes sont violée chaque jours, ce qui est un chiffre abominable. Une seule serait déjà une de trop. De plus les propos xénophobes prônait par les deux héroïnes sont eux aussi condamnable. Il est écœurant, que de nos jours de telles pensées puisse encore exister. Cette fois encore, ces propos dégueulasse ne sont inclus que pour le bien de l'histoire. Nous ne faisons pas l'apologie de quoique ce soit. Nous la condamnons même avec la plus extrême fermeté. Bien entendu, tout ceci est imaginaire, et toute ressemblance avec des personnes ou des événement ayant existé, serait purement fortuite. Bonne lecture.

Igor regarde Stéphanie en souriant.

- Suis-moi, et je ne te cogne pas. Je te promets de ne pas te toucher. Quand on reviendra, c'est toi qui me demandera la permission de me sucer. Tu verras, tu me demanderas même beaucoup plus que ça. D'ailleurs, si tu ne le fais pas, tu seras durement punis, compris pouffiasse?

- Oui, maître.

- Parfait, viens, on y va.

Stéphanie se leva, elle suivit Igor. Il traversèrent l'immense salle. Se rendant dans le coin opposé de la pièce, un coin situé dans l'ombre, que Stéphanie n'avait pas vu. Il y avait une porte gardée par trois hommes tenant chacun une kalachnikov. Igor fit un signe de tête, et l'un d'eux ouvrit la porte. Ils passèrent dans un long couloir. Au fond, une autre porte, garder par deux hommes en armes. Igor fit un autre signe, un des gardes ouvrit cette nouvelle porte. La queue de cheval de la jeune fille battait à la mesure de ses pas. Elle tenait dans sa main indemne, son doigt cassé qui l'élançait horriblement. Ils entrèrent dans une immense pièce. Il y avait une cinquantaine de lits de camp. Une vingtaine était occupé par des hommes se reposant. Il y avait aussi plusieurs grandes tables. Deux étaient occupées, chacune par quatre hommes jouant aux cartes. Igor fit stopper Stéphanie. Il lui sourit encore une fois. Toujours ce même sourire pervers, méchant, sadique.

- Ce sont mes meilleurs hommes. Tu feras sûrement connaissance avec eux après.

Stéphanie ne répondit pas, se contentant de gémir de terreur. Cela fit rire le géant.

- Allez, on repart, on est presque arrivé.

La troisième salle ressemblait à la pièce de sécurité d'une prison. Des tas d'écrans recouvrait le mur de gauche ainsi que le mur de droite. Stéphanie put voir avec horreur que le viol de sa mère, avait repris, il était filmé sous plusieurs angles. Sur le troisième mur, il y avait cinq portes.En tout une dizaine d'hommes surveillaient les images des caméras. Igor regarda Stéphanie :

- On est dans un ancien laboratoire secret de l'armée française. Il à été fermé à la fin des années soixante. Ça revenait moins cher au gouvernement de l'époque d'en construire un plus moderne que de le remettre au normes. Il date des années vingt. Mais comme tu vois, un peu de rénovation et tout marche très bien. Un de mes meilleurs associé l'a racheté il y a quinze ans. Officiellement pour en faire un laboratoire de recherche médicale. En fait c'est moi qui suis chargé de le gérer.

Stéphanie ne répondit pas, se demandant pourquoi il lui raconté tout ça.

- Salim, ouvre moi la porte une.

- Bien patron.

Igor fit avancer la jeune femme vers la porte ouverte. La pénombre régnait, elle n'y voyait pas grand choses. L'Albanais appuya sur un interrupteur, les néons du plafond s'allumèrent. Stéphanie poussa un cri d'horreur en voyant ce qu'il ce qu'il se trouvait dans cette pièce.

C'était immense, il y avait au moins trente cellules. Certaine occupée, d'autres non. Igor rigola en voyant le visage décomposé de la fille.

- Viens, je vais te faire les présentations.

Dans la première cellule, une rousse, nue, elle devait avoir environ vingt-cinq ans. Elle leva vers Stéphanie et Igor, les yeux les plus dénués de vie que la jeune femme n'ai vue.

- Elle c'est Judith. C'est une policière municipale. Pendant les émeutes d'il y a quatre ans, elle a voulut poursuivre un des jeunes voyous. Dans la cité cette conne. Quand il est entré dans un hall d'immeuble, elle n'a pas hésité à le courser dans les caves. Pas de chance pour elle, on était une dizaine. On la prise par tout ses trous, pendant vingt jours non-stop. Ensuite je l'ai prêter a des caïds d'autre cité, pour la paix des gangs. Une fliquette, même municipale, je peux te dire qu'ils ont adorés, elle beaucoup moins. Maintenant elle tourne dans les squats d'immigrés, ses trous sont tellement élargis, que même sur les chantier ils n'en veulent pas. Dommage que cette pute ne puise pas se reproduire. Mais bon à deux euros la passe, elle me rapporte encore un peu.

La jeunette était terrifiée par les paroles d'Igor. Comme une zombie, elle avança à sa suite. Dans la deuxième cellule, une jeune black, d'environs vingt ans, très jolie, de gros seins, un gros cul ferme. Contrairement à la première, malgré la résignation de son regard, on pouvait encore y voir une lueur d'espoir, de résistance.

- Elle c'est Aïssata, elle a vingt ans. C'est une camerounaise. Vendu par ses parents pour une bouchée de pains. Elle est avec moi depuis un an et demi. Elle a de la chance, elle est encore serrée, pour l'instant elle ne tourne que dans mes bars, pas plus de vingt clients par jour, on peut dire que pour elle c'est cool!

Igor rigola de sa blague. Stéphanie se demanda comment vingt viols par jour pouvaient être cool. Dans la cellule suivante deux femmes d'une trentaine d'année. Une brune et une blonde vénitienne. Stéphanie découvrit avec terreur que le corps des deux femmes étaient recouverts de nombreuses traces de coups de fouets, ainsi que de brûlures de clopes. Certains anciens, d'autres très récents.

- Elles c'est mes deux stars. Aurélie et Corinne. C'est un couple de lesbienne. La brune, Corinne, était la secrétaire d'un de mes associés. Elle à porté plainte pour harcèlement sexuelle et tentative de viol, juste pour une main aux fesses. Alors j'ai fait enlevé sa copine pour lui faire retirer sa plainte. Depuis elles tournent dans des films de viols SM, je peux te dire qu'elles encaissent. Ça fait cinq ans qu'elles m'accompagnent.

Dans la cellule suivante, quatre maghrébine, très jolie.

- Alors ces chiennasses, elles ont vingt, vingt et un, vingt-trois et vingt-cinq ans. Leurs père est le roi des guignols, il m'emprunte de l'argent pour monter des entreprises qui se cassent la gueule. Comme il ne peut pas me rembourser, il me donne une de ses filles pour paiement de dettes. Ce con, ça le tue, mais à chaque fois il remonte un truc pour racheter ses filles. La plus vieille est avec moi depuis sept ans, la plus jeune depuis deux ans. Je les récupère a chaque fois à leurs dix-huitième anniversaire. Toutes sont arrivée vierges, je te garantis que les vierges ça rapporte gros quand tu vends leurs pucelage.

A ces mots, Stéphanie sursauta, elle aussi était vierge.

- Rassure-toi, tu es une opportunité, je n'ai rien prévu, même pas que tu sois là, donc j'ai pas vendu ton pucelage. Il sera gratuit.

Igor partit dans un grand rire.

- Revenons à ces putes. De vraies bombes sexuelles. D'ailleurs, la petite dernière va avoir dix-huit ans dans trois jours. Son père me doit encore beaucoup d'argent. J'ai déjà vendu ses pucelages à un groupe de banquiers. Crois-moi, ils sont beaucoup plus violent et pervers que les gars de la cité. Après elle tournera avec ses sœurs dans les caves, ici et ailleurs. A plus d'une centaine de pénétration par nuit, elle va vite s'élargir.

Dans les cellule suivante il y avait deux femmes d'une petite trentaine. D'ancienne policières qui voulaient balancer certain de leurs collègues corrompus. Les flics avaient payé Igor pour qu'ils les en débarrassent. Depuis elles passe leurs journée dans une maison d'abattage. Avec seulement quatre heures de repos par jour. Stéphanie hallucine, elle avait vu plus d'une quarantaine de prisonnières. Toutes des esclaves sexuelles, destinées aux plaisirs et aux profits des voyous de la cité. Il y avait quatre autre portes, ce qui donnait une chiffre hallucinant de filles. Mais ce qu'elle vit au fond de cette pièce faillit la faire s'évanouir. D'abord deux femmes d'environs quarante ans. Allongée chacune sur un lit. Le corps couvert de bleus, de traces de morsures, de brûlures. De leurs orifices éclatés, coulait un flot de sperme impressionnant, mélangé à du sang.

- Elles deux c'est mon coup de cœur. Lise et Éva. Mes deux premières gagneuse. A l'époque j'avais dix-huit ans comme elles. Ces deux putes m'ont mis un râteau. Avec mes potes on s'est bien vengé. Vingt ans qu'elles sont baisées tout les jours. Elles sont tellement larges de leurs trous de putes, que maintenant elle ne font plus que les animaux, les trucs extrême, bref tout ce qui est trop dangereux pour mes autres chéries. Hier soir, elles ont eut droit à un gang-bang avec des chevaux. Quinze chacune, puis une suite de fist et de viol, plus violent les uns que les autres. Elles ont morflées grave, ainsi elles ont gagnées le droit de se reposer aujourd'hui. Demain soir elles remettent ça. Avec des chiens et des cochons.

A coté des deux lits, il y avait deux machines. Sur chacune d'entre elle, une femme. Une brune et une blonde.Violée analement et vaginalement par une batte de base-ball. Dans la bouche un sexe de trente centimètres de long pour sept de diamètre, totalement enfoncée dans leurs gorge. Les machines faisaient aller et venir les objets dans leurs orifices sexuel.

- Elles, c'est Virginie et Sandrine. Elles ont trente et un an pour Virginie, la blonde, et trente-huit ans pour Sandrine, la brune. Virginie était cliente, Sandrine directrice d'une grande surface, que trois de mes potes ont braqués. Elles ont vu le tatouage de l'un d'entre eux, ces salopes l'ont balancé aux flics. Comme ils ont tirés sur les flics, tuant l'un d'entre eux, ils ont prit perpette. Pour les venger je les aient enlever, faites violer pendant un an, non stop. Après quoi je les aient condamnées à rester sur ces machines, violées H vingt-quatre, tout le temps que mes potes seront en prison. Quand ils sortiront, elles seront libre. Enfin, libre, j'exagère, elles partiront pour un bordel qui travaille avec des mineurs de fond en Afrique. Eux ils se moquent de l'état des putes, tant qu'ils se vident. Mais pour l'instant ça fait dix ans qu'elles sont là dessus. Non stop, pas une seconde sans rien dans la chatte, le cul ou la bouche.

Stéphanie était abasourdie par tant de violence, la tête lui tournait.

- J'ai pensé à tout. Tu vois les deux poches de liquide?

La jeune femme fit un oui de la tête.

- L'une sert à les nourrir, l'autre à faire tenir leurs cœurs, faudrait pas qu'elles clamses bêtement. Chacune à aussi une sonde urinaire, ainsi qu'une poche pour la merde. Comme ça elles ont même pas besoin d'aller au WC. Au début, elles se faisaient dessus, mais c'était dégueulasse, l'odeur immonde. Alors un des toubibs qui travaille pour moi, à installer ce petit dispositif bien pratique, tellement plus hygiénique.

Jamais la jeune femme n'aurait cru qu'un monstre tel que lui pouvait exister. Et encore, elle ne se doutait pas qu'il était loin d'être le pire qu'elle et sa mère connaîtront.

- Allez on continuent un peu, j'ai encore quelques putains qui me tiennent à cœur à te montrer. Tu sais pourquoi je fais ça?

- Non, maître.

- Pour te montrer ce qui vous attends, toi et ta putain de mère, si vous me cassez les couilles. Pour l'instant, je vous ramènerais chez vous une fois finis.

Stéphanie, pour la première fois depuis son enlèvement esquissa un petit sourire. Igor le vit, il lui cassa aussitôt le moral.

- Souris pas trop vite. J'ai quand même prévu de vous garder un peu de temps.

- Combien... De temps, maître?

- Je ne sais pas, le temps que l'on se soit tous vidé les couilles avec vous. Au moins deux semaines, c'est que l'on est nombreux.

- Mon dieu.

- Allez la pute, on avance.

La jeune pucelle était abasourdie autant par les mots d'Igor que par ce qu'elle voyait, une véritable industrie du sexe, de la traite des blanches, de l'esclavages des temps moderne. En France, dans son propre pays. Dans la suivante la femme était plus âgée. Mais néanmoins encore très belle, bien foutue, avec des cheveux mi-longs, blond foncé, des petits seins encore ferme pour son âge, tout comme son petit cul. Elle avait dut être une splendeur faisant tourner la tête de bien des hommes dans sa jeunesse.

- Elle c'est Claire, elle a cinquante ans. C'est une ancienne directrice du lycée du quartier. Une vraie peau de vache. Elle a viré des tas de gars de la cité. Ça aurait put passer, si elle n'appelait pas les flics chaque fois qu'il y avait un petit trafic devant le lycée. Ou même si elle trouvait un truc pas trop légal sur un de ses élèves. J'ai pas pus laisser faire. Dix ans qu'elle bosse pour moi. Tu l'aurais entendue hurler quand j'ai dépuceler son cul... D'ailleurs cette chienne m'a donné trois beau gamins. Enfin pas de moi, pour le père il y a plusieurs milliers de postulant.

- Des... Des enfants, maître?

- Oui, mais je te rassure, je ne suis pas un monstre. Quand les chiennes donnent des mômes, je les vends à une association. Ça bosse avec la DDASS, les gamins sont placé dans de bonnes familles. Riche bien sur, qui nous remercie en espèce sonnante et trébuchante. Tous sont heureux, ont une vie bien meilleure que celle qu'ils auraient eut sans moi.

- Maître, sans vous, ils ne seraient pas nés.

- Pas faux, tu vois ils me doivent beaucoup finalement ces mômes. Pour en revenir à ma chère Claire, c'est rare qu'elle soit ici. Normalement elle bosse dans son ancien lycée. Dans une salle au sous-sol. Je peux te dire qu'elle a des tas de clients, aussi bien parmi les élèves que parmi les profs. Tellement de clients, qu'ils passent à cinq par tour.

- Cinq, maître?

- Oui, un dans la chatte, un dans le cul, un dans la bouche et un dans chaque main. A cinq euros l'éjac, je peux te dire qu'elle rapporte. Parfois ils sont même huit les bons jours. Cette fois elle en a deux dans la bouche, deux dans la chatte et deux dans le cul. Je suis obligé de me servir de cordes pour trouver la bonne position, ce n'est pas facile, tu peux me croire.

- Mais, personne ne balance maître?

- Non, ils connaissent leurs intérêt. D'ailleurs sa remplaçante, qui à quarante ans, le sait. Si elle veut que je sois l'un des seuls à la baiser, elle à intérêt a faire régner le silence dans son lycée. Si tu vois Claire aujourd'hui, c'est que tu as de la chance, je viens de lui offrir une reconstruction vaginale et anal. Il faut qu'elle soit bien serrée pour les jeunes. Je peux te dire qu'elle a de nouveau un vagin et un trou du cul de pucelle. C'est une jeune prof qui menaçait de balancer qui la remplace pour la semaine. Je crois qu'elle a compris que c'est pas bien de parler au flic. Enfin j'espère pour elle, sinon Claire aura une copine. En tout cas grâce à elle, le lycée appartiens à mon gang, personne ne moufte. Il y a même une liste d'attente pour Claire, des tas d'anciens élèves, surtout ceux qu'elle a malmenée, adore venir la voir pour lui rappeler le bon vieux temps.

Igor partit dans un grand rire. Dans la cellule suivante, une rousse, très belle, à l'énorme poitrine lourde, avec un gros cul bien rond et ferme.

- Elle c'est Brigitte, cinquante-deux ans. C'est la deuxième à m'avoir rejoint, juste après les deux putains qui m'ont mis un râteau. Vingt ans de service. C'est la femme du boulanger où ma mère travaillait comme vendeuse. Il l'a harcelé sexuellement. La forçant à lui faire une fellation. T'imagine, à ma mère?

- J'imagine, maître.

Cette connasse à participé, elle a tenue ma maman. Le soir même son mari est partit en Afrique, il sert de vide couille gratuit à des mendiants et autres SDF du quartier le plus pauvre du Caire. Elle, je la fais tourner gratuitement dans les foyers de SDF de toute la région. Elle peut te dire, que des SDF, il y en a beaucoup par ici. D'ailleurs tu vois les marques sur ses poignets?

- Oui, maître.

- Ben elle a fait quatre tentatives de suicides. Mais rien a faire, elle clamsera de vieillesse, avec une bite dans le cul. On ne touche pas à ma mère.

Il avancèrent encore un peu. Une brune à la peau bronzé, très jolie également s'y trouve.

- Elle c'est Jacintha, cinquante et un an, onze ans de service. C'était une femme de ménage du bloc A. Elle faisait chier tout le monde, menaçait de balancer mes guetteurs, mes trafiquants. T'imagine ça? Depuis, elle fait toujours le ménage. Mais avec des balais spéciaux. Taillés et terminé chacun par un gode de cinquante centimètres. On les lui enfonce, un dans la chatte, un dans le cul et elle balaie debout. On les lui enlèvent seulement quand mes gars ont envie de se vider. Pour baiser ou pisser. Comme ça il gagne en temps de travail. Mais bon, elle commence à fatiguer. La semaine prochaine, elle change de taf. Elle servira de vide-couilles au gagnant, dans l'arène des combats de chiens. Quand tu sais que j'organise trente combats par jour... Elle ne perdra pas aux changes. Ses deux filles de vingt et un et vingt-trois ans la remplaceront. Mais chut, c'est un secret, elles ne le savent pas encore.

Encore une fois, Igor partit dans un grand rire. Ils avancèrent encore. La femme était un vrai canon, malgré son âge. Une petite blonde toute chétive, au corps d'adolescente. Avec un petit cul bombé, et de petits seins rond.

- Elle c'est Gisèle. Cinquante ans depuis dix jours. Dix-huit ans de service. C'est une ancienne assistante sociale. Elle balançait aux flics quand elle voyait des trucs pas claires, elle enlevait leurs allocs à ceux qui trichait un peu. La pute, t'imagine ça? Une vraie mère la morale, lesbienne en plus de ça. J'ai rien contre les lesbiennes, au contraire, j'en ai qui sont de super cliente. Comme les homos d'ailleurs, car j'ai quelques gars, hétéro qui bosse pour moi, mais ça c'est une autre histoire.

Stéphanie était blanche.

- Pour en revenir a cette chienne, c'est la plus vielle vierge que j'ai dépucelé. Trente-deux ans, t'imagine? Un record. Les mecs la dégoutté, rien n'était rentré en elle. Pas même un gode, que des coups de langue. Cette connasse n'a pas aimé mes viols. Elle a longtemps tournée dans les caves de ma cité. Maintenant elle fait les maisons de retraite, comme pute à vieux. Par contre elle est à moitié taré, la faute au huit enfants qu'elle a eus. Déjà qu'elle ne supportait pas les bites, alors porté des marmots issue de viols, je ne t'explique même pas.

La jeune femme devenait folle devant tant d'horreur.

- Allez, une dernière.

Dans cette cellule, une jeune femme dans la trentaine, enceinte jusque aux yeux. Un vrai canon, une des plus belle femme que Stéphanie n'ai jamais vue. Châtain claire, avec un visage d'ange. Deux espèce de container, relié à une machine, lui entoure les seins.

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