Le Mauvais Chemin 05

BÊTA PUBLIQUE

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Une des racailles, toujours très actif, était sorti, il était revenu avec un manche de pioche. Sans hésiter, il le lui avait planté dans le vagin dégoulinant.

Elle était prise en sandwich non pas par des hommes, mais par ses outils.

Ça les fait beaucoup rire, beaucoup se moquer.

Elle avait eu des soubresauts, elle avait vomit du sperme.

Il en coulait dans son nez, dans ses yeux, en paquets grumeleux, abondants, puis une fois passé le front, tout cela se mélangeait doucement aux cheveux.

Les manches s’agitaient, bougeaient en elle. Très vicieusement des mecs les faisaient coulisser, les faisaient rentrer, ressortir pour les renfoncer encore plus profondément.

Ils les faisaient pénétrer, alternativement, successivement, tour à tour dans son vagin, dans son cul, ensemble et simultanément.

Les gars étaient comme fous, ivres d’alcool mais surtout de drogue.

Cela dura un long moment. Puis cela ne les avaient plus amusé, ils les avaient retirés.

Ensuite tout les mecs présents, chacun leur tour, lui avait administré une fessée, des claques violentes, répétées sur les cuisses, la chatte ou les seins.

Comme dans un baroud d’honneur, une ultime bataille, ils étaient tous repassé sur elle, vidant leurs couilles dans le vagin, dans l’anus, sur le visage, dans le dos.

Elle avait été enfin détachée, balancée, jetée sans ménagement sur un matelas posé à même le sol.

Ce n’était plus une femme, mais une épave, rougie de partout, souillée dans les plus petits recoins de son anatomie, épuisée, abattue par les heures d’outrages, de violences qu’elle venait de subir. Nathalie n’en pouvait plus. Elle était anéantie, elle était détruite, ruinée. Elle avait perdu, depuis très longtemps, le compte du nombre de ses viols. La femme savait juste qu’il y en avait eu trop, beaucoup trop. Elle ne savait plus combien de bites avaient pris sa chatte, sa bouche ou son cul, son pauvre cul, encore pratiquement vierge il y a si peu de temps.

Combien de bites s’étaient vidées en elle et l’avaient remplie.

Physiquement elle était dans un état lamentable, abominable. Elle était exténuée, épuisée. Le moindre des mouvement qu’elle pouvait faire, lui déclenchait des douleurs, des souffrance atroces, insupportables.

Ils l’avaient tellement manipulée, tournée et retournée dans tous les sens. Ils lui avaient tellement fait prendre des positions incroyables. Ses articulations lui faisaient atrocement mal. Ses jambes avaient été tellement écartelées à l’extrême que tous ses muscles étaient terriblement douloureux.

Tout son corps, pas le moindre morceau de son pauvre corps, n’avait été épargné. La femelle humaine, portait sur toute sa chair, des marques de griffures, des bleus, des ecchymoses.

Sa magnifique poitrine, dont elle était si fière, était dans un état pitoyable, lamentable. Ses gros seins, portés des marques de morsures, de suçons, tellement ils avaient été malaxés, triturés. Mais aussi ses cuisses, ses fesses, ses hanches, son ventre, tout avait morflé. Elle était couverte de traces de sperme séché... ou pas.

Moralement elle était détruite, anéantie par tout ce qu’elle avait subie.

Comme elle avait souvent été dans un état semi-conscient, elle ne se souvenait pas de tout.

Seul lui revenait comme des flash des scènes d’extrême violence, de déchaînements brutaux, vicieux, pervers.

Elle se faisait horreur d’avoir été contrainte de faire cela, d’engloutir des énormes, des monstrueuses quantités de sperme. Tout cela sans aucuns protection.

Elle était couchée sur le dos, inerte, paralysée, comme inanimée, le regard vide et inexpressif , les yeux fixant le plafond. On aurait dit une ivrogne, une droguée inerte, endormie.

Elle gisait immobile, les bras le long du corps, les jambes grandes ouvertes, largement écartées. Ne pouvant pas les refermer à cause de la douleur.

On voyait des flots de sperme s’échapper de son vagin grand ouvert, de son trou du cul béant.

Igor, toujours assis dans le canapé, aux cotés de Stéphanie, cria à Moussa, ainsi qu’un autre homme qui les avaient rejoints.

- Moussa, je me demandes un truc, on est en hiver, en décembre?

- Non, on est en été.

- Merde, on a de l’avance alors.

Moussa ne comprends pas où le caïd veut en venir.

- De l’avance pourquoi?

- Pour la nouvelle recette du réveillon. La nouvelle dinde de Noël. Je vais la faire enregistrer sous le nom de « La belle bourge de Noël, farcie au bon jus de beurs ». Je pense que ma recette sera cuisinée dans beaucoup d’endroits.

Le géant parti dans un fou rire, bientôt imité par la plupart des racailles.

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Anonymous
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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans
JULIE

magnifique séance de soumission, j'envie cette bourgeoise, j'ai 45 ans j'ai déjà étais soumise, par plusieurs blacks, superbe domination dommage il faudrait des photos de son cul merci

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Bof

Cinq parties pour la meme chose : un viol brutal et repetitif, c'est trop.

Il n'y a plus d'histoire, plus de recits. C'est lassant.

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