Le Mauvais Chemin 05

BÊTA PUBLIQUE

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Ils lui faisaient ce qu’ils appeler entre eux en riant et se moquant “l’ascenseur anal”.

Le corps de la femme était couvert de chair de poule, de tremblements. Devant tant de brutalité, la quinqua hurlait, suite au traitement qu’ils lui infligeait.

Elle haletait, elle criait sa douleur devant ce poteau qui lui ouvraient le cul de plus en plus profondément.

Sous les assauts des violeurs son anus débordait à chaque pénétration.

Mais Igor avait dit quelque chose aux voyous.

Il s’était en effet aperçu que, malgré son état inerte et sa torpeur, Nathalie avait plusieurs fois essayée, tentée, mais certainement par pur instinct de survie, de défense, de poser ses pieds sur le sol afin de ne pas s’empaler trop profondément sur ce pieu qui la transperçait à chaque fois.

Alors des racailles l’avaient saisie par les chevilles, ils lui maintenaient les jambes bien hautes pour lui interdire et pour l’empêcher de prendre appui sur le sol.

Elle avait les jambes à l’ horizontale qui formait un angle de quatre vingt dix degrés avec son corps.

Les autres la tenaient par les aisselles, ils la levait et ils la laissait retomber sur le piquet de chair dressé.

Nathalie hurlait sans discontinuer, sans arrêt.

Puis elle était retombée inerte, épuisée par tant de brutalité et tant de sexe, au bord d’un nouvel évanouissement.

Les montées et descentes avaient durées... et durées...

L’ayant inondée et remplie encore une fois, le black s’était enlevé.

Mais il avait été remplacé par un autre, un jeune rebeu très membré lui aussi.

Puis un autre... et encore un autre...

Tous voulaient faire le rôle du pourfendeur. Beaucoup l’avaient fait.

Puis ceux qui la soulevaient toutes les fois s’étaient sans doute lassés, les pourfendeurs étaient sans doute vidés, car on était passé à autre chose.

Ils étaient maintenant plus de trente autour d’elle.

La belle ordonnance du début commençait à laisser place à l’improvisation.

Plusieurs spectateurs étaient ivres d’alcool et de drogue.

La pile de matelas brutalement sollicitée menaçait de s’effondrer.

Il y avait plus de trois heures que les sodomies duraient.

L’agitation, le déchaînement était cependant à leur combles.

Les meneurs avaient maintenant tous pris “‘leur pied”.

Il était temps de laisser la place aux autres. Ils ne sauront de toute évidence plus rien tirer de bien de cette salope, déjà prise par tous, par tout les trous ...

Aussitôt les leaders partis, l’ambiance avait changée du tout au tout.

Nathalie avait été descendue sans ménagement de sa pile de matelas pour être tirée à l’écart .

Elle était littéralement écartelée par les prétendants surexcités, certains ivres ne bandaient plus, voulant lui introduire n’importe quoi dans la chatte et dans le cul.

Mais on n’en été pas encore là. Beaucoup n’avaient pas encore tiré leur coup dans son cul, ils s’étaient interposés.

Ce n’était pas encore le moment pour ce genre de gamineries.

Plus tard oui, mais pas encore, pas maintenant.

Bien vite une évidence c’était faite.

Ils avaient compris que si ils voulaient encore pouvoir tirer quelque chose de cette salope, il fallait cesser de se chamailler, de se disputer, de se battre. Il était temps d’organiser un tour de rôle.

Nathalie était à présent plaquée au sol sur un matelas ,les bras et les jambes écartelés.

Tant bien que mal, vu son état, elle branlait ,elle suçait, ou plutôt c’étaient les mecs qui profitaient de sa bouche.

Elle se faisait baiser. Elle se faisait enculer par l’un,par l’autre, par deux mecs à la fois. Des violeurs qui profitaient d’elle sans arrêts.

Depuis longtemps elle avait perdue conscience de ce qui se passe autour d’elle. Se contentant de subir, en hurlant, ces viols immonde, les uns à la suite des autres. Après une dizaine de pénétration, Nathalie, s’évanouit enfin.

Mais ils n’en avait pas fini.

Ils n’avaient pas eu tous leur compte.

On ne sait pas jouir assez avec un corps inerte, inanimé.

Ils avaient amené un seau d’eau glacée avec lequel ils avaient aspergé le visage maintenant inexpressif de Nathalie.

L’eau glacée, plus des méchants pincements à ses mamelons avaient fait qu’elle avait un peu repris connaissance,

Il lui avait semblé que des nouveaux étaient arrivés. Enfin elle ne savait plus trop, ils étaient si nombreux, la femme en avait subit tellement.

Depuis l’arrivée des nouveaux, les positions avaient changées.

La plupart du temps Nathalie était prise en sandwich. La sodomie s’était jointe au reste.

C’était trois par trois que les mecs y allaient toutes les fois.

Ils se vidaient dans tous ses orifices.

Certains, beaucoup même, pour éprouver encore plus de plaisir semblait-il, s’enfonçaient dans la bouche de Nathalie après l’avoir sodomisée.

Le gang bang, la tournante était à son top.

On pouvait se demander si Nathalie pourrait satisfaire tous les mecs présents.

A vue de nez, ils étaient maintenant une bonne centaine.

Il devait en rester 70 qui n’avaient pas encore touché Nathalie.

Elle avait encore de quoi faire. L’ambiance était quand même plus au viol qu’ au gang bang. Les mecs s’arrachaient sur Nathalie, sans aucune gène, sans réserve dans leurs commentaires.

L’un d’eux se mit en devoir, de découper les reste de ses vêtements qui traînaient parterre.....Allez savoir pourquoi??? Pure bêtise, pure stupidité.

Dans quel état allait elle ressortir de cet endroit????

Mais en ressortirait elle???????????????

Pendant ce temps, les mecs continuaient à se succéder. Nathalie paraissait enduite de crème de bronzage, tant elle était couverte de sperme.

Un mec l’avait faite se relever, il l’avait arc bouté devant une table. Il s’était enfoncé en elle par derrière, dans son cul. Dans cette position debout, appuyée à la table, beaucoup de sperme s’échappait de son ventre comme d’une bouteille, de grosses coulées entremêlant tous les spermes. Puis une coulée gélatineuse très épaisse, resta pendante entre ses jambes, elle balançait au rythme du mec qui l’enculait, puis se détacha et vint se coller sur sa cuisse.

Le mec avait jouit à son tour dans ses fesses. Puis il était ressorti, il l’avait aussitôt reprise, histoire de bien montrer aux autres qu’il l’avait possédé bien à fond. Certains, beaucoup même, l’avaient imité, ils avaient fait comme lui.

Ils avaient refait une pile avec les matelas, ils l’avaient amenée, positionnée à plat ventre sur dessus.

Elle avait encore ses orifices totalement offerts, bien à hauteur des bites.

Ces trous étaient béants, bien larges, bien ouverts, mais surtout bien remplis.

Ainsi positionnée, c’était comme si elle offrait, qu’elle proposait et donnait son postérieur. Bien à la vue des gars, des nouveaux qui étaient arrivés.

Ainsi offerte, dans cette position tellement excitante et provocante, ça avait été un véritable défilé, une véritable succession dans ses orifices, en particulier dans ses reins. Tous savaient ce qu’elle avait avoué à Igor : “Qu’elle détestait la sodomie...”

Les mecs se succédaient dans son cul. Mais sa chatte n’était pas pour autant oubliée, ni épargnée.

Pas du tout ménagée, bien au contraire, car beaucoup lui défonçaient aussi le vagin.

D’autres, extrêmement vicieux, s’enfonçaient dans son cul. Ils faisaient plusieurs mouvements de va et vient, bien profonds et puissants. Ils ressortaient, pour la prendre par le vagin. Quelques mouvements vigoureux, ils se retiraient de sa chatte, pour entrer de nouveau, dans son cul.

Et ainsi de suite. Ils jouissaient dans n’importe quel trou, dans celui qu’ils prenaient.

Beaucoup avaient voulu faire ainsi alterner anus et vagin.

Si Nathalie avait été plus lucide, elle aurait été horrifiée de cela, car elle savait les risques d’infections qu’il y avait de passer d’un cul à une chatte.

Mais que pouvait elle y faire.

Elle était restée un bon moment exhibée, offerte dans cette position sur la pile de matelas.

Ils l’avaient à nouveau changée de position. Ils l’avaient entraînée ver une table, ils l’avaient faite s’allonger à plat ventre dessus.

Ses chevilles avaient été attachées aux pieds de la table avec un corde. Elle avait ainsi les jambes écartelées au maximum.

Une couverture avait encore été glissée sous son ventre pour lui maintenir la croupe relevée, offerte.

Le défilé, la succession dans ses orifices avait repris de plus belle. Anus, vagin, vagin, anus. Rien ne lui était épargnée.

Là encore, elle était restée un grand moment sur le ventre, chevilles attachées à la table, son derrière relevé, offert.

Puis cette position avait commencé à lasser, à ennuyer les mecs.

Ils ne pouvaient pas lui tripoter et s’amuser avec ses gros nibards, bien blancs, bien laiteux, encore ferme malgré son âge.

Les positions avaient changées, une nouvelle fois.

Ils l’avaient faite mettre debout. Un des voyous lui avait passé du câble électrique autour d’un de ses poignets, comme s’il voulait faire un bracelet. Il lui avait fait lever les bras. Il avait attaché le câble à un anneau qui était en bout d’une chaîne, qui pendait au dessus d’une poutre métallique. Rapidement, il lui avait enserré l’autre poignet, il l’avait aussi accroché à l’anneau de la chaîne. Elle s’était mise à hurler.

Les mecs étaient comme fous. Certains étaient déjà nus comme des vers, exhibant leurs membres dressés. D’autres n’avaient que les pantalons baissés.

Mais tous écrasaient ses seins dans leurs mains puissantes. Ils pinçaient, ils tiraient les tétons violacés, meurtris pas les sévices déjà endurés. A nouveau des doigts fouillaient sa bouche. Ils étalaient, mélangeaient le peu qui resté du mascara et du rimmel de son maquillage avec le sperme récupéré sur son corps, dans ses trous, sur son visage.

Cela lui donnait un air de pouffiasse sous la pluie.

Sa chatte et son cul étaient pris d’assaut par des mains. On ne saurait dire combien de doigts la fouillait, l’explorait.

Elle se tortillait au bout de ses bracelets de câble. Elle essayait de s’écarter, d’échapper à chaque main qui la touchait.

Elle ressemblait à une carcasse de viande, suspendue à un crochet dans un abattoir ou dans une boucherie. Un tas de viande qui allait être dévoré, mangé par des sauvages.

Mais à force de se débattre, ses poignets commençaient à se violacer. Des types lui suçaient les seins, tiraient sur les tétons avec les dents. Elle avait des rictus, des grimaces, des contorsions de douleur, mais ça n’arrêtait en rien la façon de faire de ces hommes. Bien au contraire même. Tant lui faire mal, était aussi important pour eux, que profiter de son corps.

De fortes claques tombaient sur ses fesses, les faisant rebondir, rougir. Mais aussi sur son ventre, sur ses hanches, sur ses cuisses.

Un jeune black s’était mis à genoux. Il avait retiré violemment les doigts qui obstruaient son vagin, il avait essayé de la prendre debout...

Mais il s’était fait bousculer, il était tombé en arrière.

Déjà des index, des doigts tiraient son vagin de chaque coté, ouvrant grand son trou, le rendant béant, libre de toute occupation.

Un petit beur était arrivé avec une pelle à la main. Il avait placé le bout du manche devant l’orifice, il avait redressé la pelle.

Pour ne pas se faire pénétrer par l’outil, Nathalie s’était dressée sur la pointe de ses pieds. Il faut dire qu’elle n’avait plus ses escarpins depuis longtemps. Mais paradoxe et bizarreries, ils lui avaient encore laissé le reste de sa jupe tire-bouchonnée sur son ventre.

Une phrase avait été dite en arabe, tout les hommes s’étaient écartés.

Elle se mordait les lèvres pour ne pas crier. Le spectacle qu’elle offrait était pitoyable. Ses mains enserrées, étaient violettes, elle devait serrer si fort les poings que ses ongles avaient pénétré la chair tuméfiée.

Son doux visage était tordu par la douleur, la peur. La peur de laisser son corps retomber. La peur que ses jambes la lâchent. Ses jambes qui commençaient à trembler, de plus en plus. Ses pieds allaient rapidement être pris de crampes. Le manche la pénétrait peu à peu.

Dans cette position, comme elle était debout, des gros paquets de trop pleins de tous les spermes mélangés, coulait de ses orifices.

La semence qui sortait de son vagin coulait, dégoulinant sur le manche de la pelle.

Le sperme qui sortait de son anus, lui, coulait sur ses cuisses.

Cela faisait énormément rire l’assistance, ils se moquaient beaucoup d’elle.

Ses pieds avaient finis par retoucher le sol. Elle était à présent profondément fourrée avec un manche de pelle. Les hommes étaient revenus sur elle, ils ne cachaient pas leur joie de la voir ainsi pénétrée.

Un très jeune arabe, très laid, marqué par une acné mal soignée, était arrivé avec une bobine de fil électrique. Il lui avait entouré les seins avec, en faisant plusieurs tours.

Mais un autre plus âgé, certainement plus vicieux, avait trouvé le travail mal effectué, mal fait.

Il avait redéfait le fil pour le resserrer plus fort. Les gros seins laiteux avaient vite gonflés, ils avaient changés de couleur à vus d’œil.

Un autre les lui frappaient pour les faire rougir plus vite.

Les yeux de la femme roulaient, tournaient un peu... Beaucoup même.

Elle n’était pas loin de tomber encore dans les pommes, de perdre totalement conscience.

Certains s’en étaient vite aperçu, comme ils étaient vicieux et pervers, qu’ils ne voulaient pas la voir inconsciente, inanimée, ils étaient venu lui mouiller le visage avec un chiffon crasseux. Ils s’amusaient bien, n’avaient pas envie d’arrêter de jouer maintenant.

Les traces de maquillage et de sperme étaient parties avec l’eau. Sont visage était presque redevenu normal.

Un homme s’était calé dans son dos. Son sexe était dressé, long, fier, vigoureux.

Il l’avait glissé entre les fesses de la femme, il avait pénétré l’anus offert, exhibé en deux ou trois coups de reins. Elle avait poussé un long et puissant hurlement, déchirant, aigu. Le mec n’en avait pas tenu compte, bien au contraire. Cela semblait l’exciter, le stimuler encore plus. Il s’agrippait à sa taille pour la pénétrer bien à fond.

Le manche de la pelle, rigide, bien droit, tendu, lui déformait la chatte à chaque pénétration. Des doigts lui branlait, lui frappait le clito, gonflé, tuméfié par les coups répétés.

Deux bouches lui avaient aspiré les tétons prêt à explosés.

D’un coup son corps était devenu complètement flasque, avachi, il s’était affaissé, effondré.

Ce qui avait eu pour effet de l’empaler encore un peu plus sur le manche.

Ce qui n’avait pas empêché le mec de continué son pilonnage violent, brutal. Avant de se vider dans son cul.

Il avait été aussitôt remplacé par un autre, tout aussi excité... Puis encore un autre...

Beaucoup l’avait prise comme ça.

Elle était depuis longtemps sans défense, se laissant défoncer le cul par les sexes. La chatte empalée, embrochés sur le manche de la pelle.

Ils avaient décidés qu’il fallait varier un peu les spectacle. Ou alors qu’il était temps de la laisser souffler un peu.

Le dernier mec passé dans son cul, après les autres s’était retiré.

Ils lui avaient détachés les poignets, ils lui avaient retiré le manche brutalement, sans aucune délicatesse. Ils lui avait aussi enlevé le fil électrique de ses seins. Ils l’avait allongée sur une table.

Pour la faire totalement revenir à elle, car vicieux comme ils sont, ils la préfèrent complètement lucide, consciente. Un mec lui avait repassé le chiffon avec de l’eau sur le visage. Un autre lui faisait du vent avec un magasine, un dernier avait passé sa main sous sa tête pour lui faire boire de la bière.

Elle avait ouvert doucement les yeux, et d’un bond sans que rien ne le laisse prévoir, ni deviner, contre toute attente, malgré son état, elle avait essayée de se relever pour s’enfuir.

Bien entendu les hommes l’avaient retenue, solidement maintenue.

Surpris qu’elle soit encore aussi vive, ils se regardaient.

Ils étaient très en colère d’avoir été trompés par ce pseudo malaise.

Ils l’avait poussée vers une petite table carrée, l’avaient couchée sur le dos sur la table.

La table était si petite que ses jambes et sa tête étaient dans le vide, pendant.

Très vite, le fil électrique avait refait son apparition. Il avait été enroulé autour d’un de ses poignets, puis passé sous la table pour être également enroulé autour de son deuxième poignet.

Ainsi elle était à nouveau dans l’incapacité de s’enfuir.

Elle gigotait, elle tentait de donner des coups de pieds à ceux qui s’approchaient.

Nathalie avait vraiment beaucoup de résistance, de révolte après tout ce qu’elle avait déjà subie.

S’en en était même incroyable.

Igor regardait tout cela en souriant. Cette belle bourgeoise mature, avec beaucoup de caractère lui plaisait vraiment beaucoup, presque autant que la jeune fille, auprès de laquelle, il était de nouveau assis.

Les mecs aussi étaient tous terriblement excités par cette belle mature.

Une corde avait été passée au dessus de la poutrelle. Deux hommes lui avaient levé les jambes et d’autres avaient fixés la corde à ses chevilles.

Elle est maintenant encore totalement offerte, de nouveau à hauteur de bites.

Ses deux trous sont accessibles sans effort.

Un black doté d’un appareillage avantageux, c’était présenté, face aux orifices féminin, il choisit le vagin.

Il l’avait pénétrée à fond, d’un seul coup.

Elle avait poussé un cri de douleur, qui n’avait pas attendri l’africain, bien au contraire.

Il était agrippé, accroché à ses cuisses, il cognait au plus profond du ventre, à chaque coup de butoir.

Il la défonçait furieusement, bien profondément.

Elle avait la tête en arrière, penchée dans le vide. Ses cheveux blonds touchaient presque par terre. Encore lucide, consciente, elle refusait les queues qui se présentaient devant sa bouche, en tournant son visage dans tout les sens.

Alors, très énervé, mais aussi très excité, un des jeunes souhaitant se faire sucer, lui avait divisé la chevelure en deux, il avait attaché les couettes ainsi obtenues, aux pieds de la table avec de la ficelle.

La tête ainsi bloquée, il ne restait plus qu’à lui appuyer sur le menton pour lui faire ouvrir la bouche, pour y enfoncer son sexe, loin, très loin dans la gorge.

La bourge déglutissait, elle avalait, elle bavait beaucoup. Elle s’étouffait, elle suffoquait. Parfois, souvent même elle avait des hauts le cœur.

Mais rien n’arrêtait plus les mec, devenus fous d’envies, complètement hystériques.

Les couilles lui frappaient le nez, les yeux, le front.

Quatre individus se relayaient, se succédant dans sa bouche, faisant à chaque fois jaillir des flots de spermes chauds, abondants dans sa gorge, qui lui donnait la nausée, le dégoût.

Le noir, s’était libéré lui aussi, dans un dernier coup de rein, il avait envoyé son foutre au plus profond de sa victime, par longues saccades.

D’autres, beaucoup d’autres étaient venu ainsi la prendre, par devant, par derrière...

Des pinces à linges avaient été fixées à ses seins et sur ses tétons meurtris.

Puis brusquement, elles avaient été retirées, une à une, mais sans les ouvrir.

La peau pincée était tendue, la pince glissait jusqu’à la dernière fraction de seconde, elle provoquait une grande douleur tout autour du pincement.

Elle pleurait à gros bouillons, mais ça n’intéressait personne.

La pelle avait refait son apparition. Posée sur une autre table, face à ses trous, ils lui enfonçaient le manche dans l’anus, bien profond.

Un type était chargé de le faire naviguer d’avant en arrière, de le bouger dans tous les sens.

Le diamètre du manche était très largement supérieur à celui d’une queue, mais tout le sperme emmagasiné, accumulé en elle, était un excellent lubrifiant. Heureusement...

La tête toujours bloquée, elle demandait pitié, pardon, à chaque fois que sa bouche se libérait d’une queue. Mais rien n’y faisait.