Le Manoir Aux Fleurs Partie 09

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Une nouvelle créature fait son apparition.
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Partie 9 de la série de 14 pièces

Actualisé 06/12/2023
Créé 06/28/2018
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Keireen

Dans son fauteuil, le comte regardait le feu crépiter dans la cheminée. Il savait que sa jeune locataire n'allait pas tarder à tomber dans le piège qu'il refermait doucement sur elle. Que ce soit au lycée, ou avec son amie, elle était entourée d'amis qui devraient peu à peu la faire tomber dans la spirale infernale de la débauche.

Il se réjouissait aussi que sa vieille ennemie, la directrice du lycée fut retombée dans ses travers de jeunesse. Il savait par ses petits espions que la fleur de pandora qu'elle avait respirée, était parvenue à briser la barrière psychique qu'elle avait eu tant de mal à bâtir autour de ses pulsions. Dans quelques temps, elle ne serait plus capable de résister et elle serait obligée de nouveau de quitter la ville si elle ne voulait pas être sujette aux rumeurs qui allaient bientôt parcourir les cercles bien informés de la cité.

En sirotant le cognac que sa nouvelle domestique venait de lui apporter, il restait songeur. Le jeune homme qui était venu prendre Viviane au matin ne lui était pas inconnu, mais il n'arrivait pas à se souvenir de lui. Cela le contrariait car cela risquait de venir perturber ses plans. Il ne fallait pas que la jeune femme tomba amoureuse d'un homme. Il allait devoir en discuter avec Satiricon à son retour.

-Elsa! Pouvez-vous venir ici quelques minutes?

-Oui Monsieur!" Répondit-elle en s'approchant.

Dès qu'elle fut à portée de main, un sourire pervers aux lèvres, le comte passa sa main sous la jupe de son employée. Celle-ci frémit, elle savait ce qui allait lui arriver. Même si elle savait qu'elle ne pouvait pas s'y soustraire et qu'elle avait accepté cela en s'engageant à servir le professeur, elle avait du mal à accepter ses intrusions intempestives entre ses fesses nues. Elle s'immobilisa quand les doigts du vieil homme frôlèrent ses lèvres intimes et s'insinuèrent dans sa fente.

-Bien, je vois que vous faites des efforts pour être comme je le souhaite. Je pense que Satiricon va être content du cadeau que je vais lui faire.

Elle regarda horrifiée son employeur. Elle avait entendu des rumeurs sur la réalité du factotum du manoir.

-Vous êtes-vous assurée que tout est prêt pour la soirée de ce samedi?

-Oui Monsieur!" Dit-elle tremblante alors que les doigts se faisaient de plus en plus inquisiteurs. "Les invités commence à répondre. Monsieur le baron de Clifford sera bien présent avec une de ses amies qu'il souhaite vous présenter.

Le professeur Van Dyck sourit. Son ami lui réservait toujours des surprises agréables. Cette information accentua son désir et il lui demanda de s'occuper de lui comme il le lui avait appris. En baissant la tête, elle s'agenouilla entre les jambes de son maître et elle sortit son sexe du pantalon. Elle était effrayée mais elle s'exécutait de mauvaise grâce. Elle prit ce membre à pleine bouche comme il aimait qu'elle le fit et le faisait glisser en va et vient doucement d'abord pour s'habituer à sa taille. Devant son manque d'entrain, il lui demanda d'y mettre plus d'ardeur alors elle le branlait plus vite de sa bouche qu'elle ouvrait complètement sur ce sexe qui la lui remplissait désormais complètement.

Il savait qu'à force de respirer le pollen de la pandora, son sperme en avait acquis certaines propriétés et que plus elle en était imprégnée, plus elle devait satisfaire ses envies bestiales. Elle était malgré elle emportée par le plaisir d'être ainsi prise de toute sa bouche jusqu'au fond de sa gorge. Elle en oubliait que cette homme la répugnait avec ce sourire. Elle le branlait avec frénésie de sa bouche et sentais son ventre la chauffer, son corps frémir. Elle était prête à être prise comme il l'entendait. Elle gémissait, râlait sa chatte qui commençait à couler d'excitation. Elle se mit à le supplier de le prendre, de la baiser. Mais malgré les supplications de sa servante, le comte ne voulait pas se laisser dicter sa conduite. Quand il estima qu'elle avait bien rempli sa tâche, il lui maintint la tête sur son membre et gicla dans sa bouche. Il l'empêcha de se reculer avant d'être certain qu'elle avait tout avalé. En effet plus elle en boirait et plus elle serait réceptive aux effets de la pandora.

Il la libéra et elle sortit de la pièce dépitée. Il savait qu'elle allait se caresser pour se faire jouir dans un coin discret du manoir mais c'était ce qu'il recherchait. Il voulait la frustrer au maximum pour qu'elle fût dans de bonnes dispositions lors de la soirée.

Il regarda le dossier qu'elle lui avait apporté avec la liste des personnes présentes. Outre le baron de Clifford et lui-même, il savait que Marie qui avait été recontactée par Satiricon serait là et il était quasiment certain qu'elle saurait convaincre Viviane d'être présente. Il allait faire envoyer une invitation à Léonard dont les prouesses avec Madame de Longueville avaient ravi ses petits voyeurs. Il devait trouver un cinquième homme digne de confiance et ils fermeraient ainsi le pentacle pour commencer le cérémonial d'appel.

Il devait aussi être certains que les cinq femmes qu'il avait prévues seraient au rendez-vous. Il faisait le pari que la directrice ne pourrait pas résister à l'appel de la pandora, surtout si son nouvel amant était là, ses deux jeunes servantes ne pouvaient pas faire autrement. Il lui restait encore une quinzaine de jours avant les trois nuits de Samain.

Alors qu'il était toujours à se demander quel serait son dernier invité, son autre protégée entra dans le petit salon.

-Maître! Asterias est là!

-Dites-lui d'entrer Myriam et veuillez nous laisser, je vous prie.

La servante ne se le fit pas répéter deux fois et quitta la pièce pour aller retrouver Elsa qui lui avait promis de passer la soirée en sa compagnie. Elle n'entendit donc pas les éclats de voix qui s'élevèrent dans le salon et le triste sort qui attendait le démon qu'elle avait introduit.

Elle entra avec plaisir dans la pièce qu'elle partageait avec Elsa. Celle-ci l'attendait avec les yeux brillants, elle savait ce que sa compagne avait dû faire quelques minutes plus tôt et connaissait la torture du plaisir refusé elle aussi. D'un commun accord, même si elles préféraient les hommes, elles avaient décidé de se rendre service mutuellement. Elles se doutaient que le comte n'était pas dupe de ce qu'elles faisaient dans leur chambre mais jusqu'à présent ni le compte ni un de ses démons n'étaient venu les interrompre ou les réprimander.

Elsa l'attendait nue sur le lit. Rapidement, elle ôta sa robe se service et vint l'embrasser. Leur bouche se soudèrent et leurs mains s'explorèrent et se câlinèrent mutuellement. Myriam sentit la main d'Elsa entre ses cuisses qu'elle écarta avec délice, elle serait bientôt suivie par une bouche et une langue experte. Des gémissements de bien-être et de plaisir commençaient à emplir la pièce quand la sonnette appelant Myriam retentit.

De nouveau frustrée, Elsa s'écarta de son amie qui renfilait sa tenue rapidement. Il ne fallait pas faire attendre le maître. Elle la regarda quitter la chambre et de dépit sortit un jouet de sous le lit pour se donner du plaisir, seule.

Myriam découvrit une femme à la chevelure écarlate, nue debout face au comte.

-Conduisez-la à la chambre bleue pour qu'elle y trouve de quoi se vêtir et accomplir la mission que je lui aie confié... Et vous devrez satisfaire tous ses désirs. Compris?

-Oui Monsieur le comte!" Répondit Myriam en se tournant vers la femme. Elle pouvoir voir un pendentif bleu luire entre ses seins. Elle baissa les yeux sous le regard sévère. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait, mais elle ressentait des fourmillements dans son bas-ventre.

-Voulez-vous bien me suivre, Madame." Et elle salua son maître avant de se diriger dans l'escalier monumental qui montait aux étages.

Keireen regardait la jeune femme avec appétit. Exilée dans les limbes depuis des siècles, elle n'avait pas pu satisfaire ses pulsions de chasseresse. Celles-ci remontaient peu à peu à la surface et ses sens retrouvaient peu à peu leur acuité. Dans la chambre, Myriam ouvrit les armoires contenant des vêtements féminins de toute taille et de tous styles.

-Myriam, n'est-ce pas?

-Oui Madame.

-Comme je viens de loin, je ne connais pas vos us et coutumes en manière de vêtements, tu vas donc les choisir pour moi.

-Oui Madame! Comme Madame le souhaite!

-Et tu me prépareras aussi de quoi voyager pour deux semaines.

Keireen estimait que ce serait le temps dont elle aurait eu besoin pour remplir sa mission et revenir au manoir. Elle espérait que le compte serait satisfait et qu'il lui permettrait de rester dans ce monde. Elle se promenait nue dans la chambre, sachant l'effet que sa nudité provoquait chez la jeune femme. Elle connaissait bien son maître et elle savait que celui-ci ne choisissait pas ses protégées au hasard et que s'il lui avait demandé de lui obéir, c'est qu'il avait une bonne raison de le faire.

-Je vous ai préparé ces tenues Madame, je pense que cela devrait vous convenir.

Keireen observa le choix de Myriam. Effectivement celle-ci avait fait une bonne sélection, des vêtements pratique et confortables qui lui donnerait un air menaçant qui devrait limiter les avances des hommes mais sans la rendre rebutante. Elle pourrait avoir besoin de plus que sa simple maîtrise des combats pour arriver à ses fins.

-Merci! Regarde-moi!

Intimidée, Myriam releva la tête. La femme la dominait d'une bonne tête. Elle plongea son regard dans ses yeux et lui pris le menton entre les doigts. Elle approcha ses lèvres de la bouche de la jeune femme qui n'osa pas reculer.

-Hummmm! Tu sembles douce... Tu vas me donner du plaisir.

-Oui Madame..." Bafouilla-t-elle. "Tout ce que vous voudrez."

La guerrière appuya sur ses épaules et elle eut son visage devant le bas-ventre de sa maîtresse. Elle pouvait admirer la toison rousse qui lui couvrait le pubis. Elle sentit une main se poser sur sa tête et guider ses lèvres vers l'intimité sauvage. Comme elle le faisait avec sa partenaire, elle sortit sa langue et commença à fouiller entre ces lèvres humides. Elles avaient un goût âcre. Elle salivait beaucoup afin de le diluer mais l'autre l'écrasait. Les poils lui chatouillaient le nez, elle s'appliquait, ne voulant pas contrarier cette femme dont elle ignorait les possibles réactions.

Soudain, elle fut remise debout et elle vit de la colère sue le visage de Keireen.

-Le Maître ne ta donc rien appris, je vais devoir te montrer comment on fait jouir une femme...

-S'il vous plait! Madame! Je vous en supplie. Je fais de mon mieux.

-Déshabille-toi...

-De suite! Madame!" En tremblant, elle commença à se dévêtir. La guerrière la regardait faire allongée sur le lit. Elle venait de trouver une cravache dans un des armoires et elle la faisait claquer dans sa main.

Myriam la regardait affolée. Le comte même lorsqu'il n'était pas satisfait de leur prestation, ne les avait jamais punis en les frappant.

-Vas te mettre face au mur!

Obéissante, elle se mit face au mur et appuya ses mains comme on le lui commandait. Cambrée, elle attendait la suite avec anxiété.

Soudain le premier coup cingla ses fesses pâles. Myriam sursauta et laissa échapper un cri de douleur.

-Tu peux crier autant que tu veux, personne ici ne viendra à ton secours."

Keireen prit son pendentif entre deux doigts. Celui-ci se mit à briller et les enveloppa d'une lueur bleue intense tandis qu'elle continuait de punir la jeune servante qui pleurait et gémissait sous la douleur.

Après un nombre de coups qu'aucune des deux femmes n'avait compté, la punition cessa. Myriam tomba sur le sol à moitié inconsciente. Sa tortionnaire la pris dans ses bras et la déposa sur le lit. Sur le dos, la jeune femme avait les cuisses écartées ce qui permit à sa maîtresse de plonger sa tête entre elles. De sa langue, elle parcourait les replis secrets de cette chatte qui ne demandait que cela tandis que ses dents mordillaient le clitoris gonflé.

Les gémissements de douleur se muaient en ronronnement de plaisir. Myriam tendait son bassin vers cette bouche qui lui prodiguait une caresse bienfaisante. Elle ne protesta pas quand elle sentit un doigt se glisser entre ses fesses au contraire, elle plaqua le visage de son aimante contre son bas ventre.

Celle-ci comprenant qu'elle réagissait bien se recula et changea de position. Elle vint s'assoir sur son visage et les deux femmes se donnaient du plaisir tête-bêche. Chacune fouillant l'intimité de l'autre avec la langue ou les doigts.

La chambre se remplissait de cris de plaisir qui attisèrent la curiosité de Satiricon de retour de la villa où il avait laissé les amants en pleine action.

Comme leur maître s'était retiré dans sa chambre, il entra en silence dans la pièce où la jouissance atteignait son paroxysme.

Les deux femmes étaient allongées l'une en face de l'autre, Elles s'embrassaient avec fougue, leurs cuisses frottant l'intimité de l'autre. Elles ne cessaient de jouir depuis de longue minutes.

Délaissant, sa forme humaine, le démon les rejoignit sur le lit. Il savait qu'il n'aurait pas besoin de faire appel à son pouvoir de persuasion pour prendre du plaisir avec elles.

Quand elle le vit, Keireen sourit, elle se souvenait de certaines nuits passées avec cet amant fabuleux. Myriam eut peur en le voyant sous cette forme pour la première fois mais quand elle vit sa maîtresse emboucher le sexe du démon avec délice, elle se détendit. Celui-ci lui caressa les cheveux et l'invita à profiter avec la guerrière rousse de ce sexe qui grossissait à vue d'œil. Les deux femmes embrassaient le membre, elles le léchaient avec ardeur sous l'influence de la créature démoniaque, elles pendant que l'une suçait la hampe de chair, l'autre lui gobait les testicules. L'excitation montait dans le trio. Profitant de ses pouvoirs, Satiricon remonta sa queue entre les cuisses de Myriam, il en avait modifié l'extrémité. Il pénétra en douceur la chatte de la jeune femme qui le pompait. Elle poussa un gémissement de plaisir avant de rouler sur le dos. Elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait mais c'était si bon. Keireen qui connaissait les facultés de leur amant s'allongea sur la jeune femme et commença à l'embrasser. Elle présentait ainsi sa croupe au démon qui n'hésita pas et tandis que d'une queue il allait et venait dans le sexe d'une humaine, avec son sexe démoniaque, il força le cul de l'autre. Les deux femmes gémissaient de plaisir. Il adaptait ses mouvements en fonction des réactions des femmes. Ils voulaient que leurs jouissances fussent simultanées. Cela augmenterait ses pouvoirs. Soudain les deux femmes hurlèrent leur plaisir à pleins poumons alors qu'il se répandait dans le ventre de la guerrière qui s'effondra sur la servante en l'embrassant à pleine bouche. Les deux femmes étaient épuisées mais sous l'influence de leur amant, elles recommencèrent à se caresser. Keireen sur le dos, guida le visage de Myriam entre ses cuisses. Celle-ci gouta alors au mélange de la semence du diable qui sortait du sexe de sa compagne et du jus de celle-ci. Elle en devenait ivre et présenta sa croupe à Satiricon qui l'empala de ces deux membres. Elle n'en pouvait plus, les vagues de plaisir se succédaient dans son corps. Il était inépuisable.

Seule la présence d'esprit de Keireen les fit sortir de cette communion orgasmique. Elle ne devait pas s'épuiser sexuellement si elle voulait remplir sa mission.

Elle chassa Satiricon en lui promettant de s'offrir à lui à son retour mais garda la jeune servante dans son lit comme elle avait pris l'habitude de le faire lorsqu'elle écumait encore les champs de bataille terrestres.

Le jour les surpris enlacées et Myriam sauta du lit pour aller aider Elsa à la cuisine afin de préparer le petit-déjeuner du comte et de son invitée. Les démons se nourrissaient rarement des nourritures humaines, Satiricon étant l'un des rares à y succomber.

Le comte sourit en remarquant ses poches sous les yeux quand elle apportait les plateaux dans la salle à manger. Wilhelm Van Dyck et Keireen était chacun à une extrémité de la table et celui lui exposait les faits. Keireen ne se priva pas de caresser les fesses de la servante quand celle-ci passa à portée de main.

-Je vois que tu as fait connaissance avec Myriam.

-Oui et je vous en remercie, ce fut une nuit bien agréable qui donne envie de partir au combat.

-Myriam!" Interpella le comte.

-Oui Maître!

-Je désire que vous accompagnez Keireen à la gare. Son train part en fin de matinée.

-Oui Monsieur le comte, je le ferai.

Elle rougit en croisant le sourire carnassier de la femme qui mangeait et sortit de la pièce. Elle gardait le souvenir de cette nuit agitée entre ses cuisses. Elle se rendit au garage pour sortir la vieille Volvo du comte. Elle devait être prête quand Keireen et le comte en aurait fini. Pendant ce temps, Elsa s'occupait de ranger la maison.

Keireen arriva et monta dans la voiture conduite par démon à forme humaine. En quittant la propriété, elle vit la Facel Véga qui était venue chercher la locataire du comte la veille se ranger près du portillon arrière. Son regard croisa celui de Gérald qui lui sourit comme s'il voulait la rassurer. Elle aperçut furtivement les deux amants s'embrasser avant que Viviane ne sortit du véhicule. Elle ne comprenait pas le trouble qui l'avait envahi quand sa passagère l'interpella.

-Tu connais cet homme?

-Oh non! Je ne l'avais jamais vu, mais il est passé hier pour prendre la jeune prof qui est locataire du comte...

-Intrigant!" Pensa la guerrière, "il faudra que j'en parle au professeur à mon retour. Cela pourrait perturber le rituel."

Elle ne dit plus rien jusqu'à la gare et lorsque Myriam lui ouvrit la portière, elle lui dit "A bientôt" en lui donnant une claque sur les fesses.

-Ton cul m'appartient ma belle, ne l'oublie pas...

-Oui Madame!" Répondit la jeune femme en baissant le regard. Elle la regarda s'éloigner et entrer dans la gare, avant de regagner le manoir. Elle espérait la revoir bientôt.

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