Le Gynécologue

Informations sur Récit
Un examen gynécologique très brulant...
4.9k mots
4.18
3.1k
1

Partie 6 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/22/2024
Créé 05/29/2024
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Gérald, mon amant couleur ébène, vient de déverser en moi un flot de sperme, me faisant encore une fois hurler de bonheur.

— Tu sais, lui dis-je en me rhabillant, il y a longtemps que je ne suis pas allée chez le gynécologiste, il faut que je prenne un rendez-vous. Mais le mien vient de cesser ses consultations, et pour avoir un rendez-vous chez un autre, c'est la galère, les délais sont interminables.

— Hé, j'en connais un, c'est mon vieil oncle, Bisimwa. Il vient juste de prendre sa retraite, il était très renommé, c'est lui qui m'a initié à la sexualité, il a gardé son cabinet, si tu veux, je peux lui demander de t'examiner...!!

Je me doute bien que cela cache quelque chose, mais cet examen est urgent.

— Ok, dis-je va pour le vieil oncle.

— Connaissant tes goûts, tu vas voir, il va te plaire...

Me dit-il avec un clin d'œil! Le lendemain, il me fait part de ses démarches.

— Ça y est, j'ai téléphoné, il peut nous recevoir samedi prochain, il est très content, de pouvoir te rendre service...

— J'espère qu'il est sérieux!

— Bien sûr, c'est un très bon médecin.

Samedi matin, il passe me prendre chez moi. Il a l'air tout excité, il sourit en me regardant m'habiller.

— Tu sais que j'aime te voir faire bander les hommes, alors tu ne mets pas de soutien-gorge. Oui ton chemisier transparent en soie noire. Le porte-jarretelles, les bas, très bien, ça! Je me demande si je te fais mettre un string... oui...

— Dis donc Gérald, tu veux que ton oncle soit ébloui par ta petite blonde!! Car vois-tu dans ce genre d'examen, on se déshabille entièrement!

— Eh oui je sais, mais lorsqu'on a un diamant, on l'exhibe dans un écrin!! Et comme je te l'ai déjà dit, mon oncle devrait te plaire, en plus, c'est un très bon médecin. Les parties génitales féminines n'ont aucun secret pour lui.

Le cabinet du docteur est en ville dans un immeuble cossu, c'est sûrement pour cela qu'il l'a gardé, car il jouxte son appartement. Sur la porte, une plaque indique Bisimwa Traoré Gynécologue. Un domestique nous fait entrer et nous conduit dans une salle d'attente luxueuse. Presque aussitôt, la porte de la salle d'examen s'ouvre, un petit homme noir, bedonnant, les cheveux blancs crépus, vêtu d'une blouse verte qui s'arrête à mi-cuisse sur ses jambes nues vient vers nous, il est en tongs. Je me demande s'il a vraiment un lien de parenté avec Gérald, car morphologiquement, il en est l'opposé, petit est gros, lors que Gérald est grand et mince.

— Encore un excentrique, me dis-je, il reçoit ses clients en short!! Ah c'est vrai, il est à la retraite et on a dû le déranger!

Un large sourire illumine sa face. Gérald dut voir que je faisais une drôle de tête. En effet, son oncle est noir, et mon copain sait que j'adore me faire baiser par un noir bien membré. Mais celui-là ne me branche pas tout. Et puis, je ne suis pas là pour me faire baiser! Alors?

— Attends un peu avant de juger, me chuchota-t-il.

Le Docteur donne une accolade à Gérald, apparemment heureux de le revoir. Ils prennent respectivement des nouvelles de l'un et de l'autre, mais tout en parlant, les yeux du médecin m'étudient. Ils se fixent sur les petites excroissances que font mes tétons et qu'on peut deviner grâce à la transparence du chemisier. Il s'approche, me tend la main, je fais presque une tête de plus que lui. Lorsqu'il s'avance, il me semble percevoir un mouvement de balancier sur le devant de ses cuisses sous sa blouse. En secouant ma main, le vêtement remonte légèrement, un morceau de peau noire qui ressemble au bout d'un prépuce, dépasse furtivement. J'écarquille les yeux, pensant avoir rêvé.

— Alors vous êtes Trixie, la petite amie de Gérald. Dis donc, il en a de la chance de baiser, pardonnez-moi l'expression, une aussi jolie blonde aux yeux verts, aux courbes et aux jambes parfaites. Vous êtes délicieusement exquise.

Ses yeux ne quittent pas les bosses que font les attaches de mon porte-jarretelles sous ma jupe collante.

— Mais passons dans mon cabinet, si vous voulez bien. Et toi Gérald, petit galopin, je suis sûr que tu veux assister à l'examen, comme dans le passé, dit-il en riant. Ce petit garnement se cachait pour assister à mes auscultations, et il se masturbait, le coquin.

Il se tourne pour se diriger vers la porte, je n'ai pas rêvé... sa blouse se ferme derrière par deux rubans, il est nu dessous, elle bâille sur ses fesses noires et dodues.

Un frisson me parcourt, d'après la vision du bout de son prépuce sa bite au repos doit lui arriver à mi-cuisses, Gérald a-t-il raison, allait-il me plaire? Ce Docteur attise de plus en plus ma curiosité.

Il positionne Gérald face à la table d'examen, et me fait asseoir dessus, les jambes pendantes.

— Nous allons procéder à une auscultation plus que complète. Je vais commencer par examiner vos seins, qui ont l'air parfaits d'ailleurs.

Il déboutonne un à un, sans se presser les boutons de mon chemisier, puis il l'écarte lentement, mes seins jaillissent sous la lumière blafarde de la puissante lampe.

— Magnifique... très érotique...! Ils sont vraiment splendides!

Il se rapproche, son phallus frotte contre ma jambe. Délicatement, il ôte entièrement mon chemisier. Pour sa petite taille, il a des mains assez conséquentes et de longs doigts. Il passe derrière moi et englobe mes seins, il commence à les malaxer doucement, les palpe lentement, puis avec ses pouces et ses index, il fait rouler mes mamelons entre ses doigts. Mes nichons se raffermissent malgré moi et enflent sous la caresse.

— Très bien, très bien. Ils réagissent parfaitement au stimulus, aucune anomalie. ils sont parfaits.

Ses ongles griffent, la chair tendre de mes tétons qui se gonflent de sang, et durcissent, s'érigent en deux cônes bruns. Ses attouchements me tirent un gémissement. Mes seins sont une zone très érogène.

— Oh la la, oui parfait, les mamelons répondent parfaitement, dit-il en se replaçant sur le côté, tu suis bien le déroulement Gérald? Trixie a des mamelons très érectiles, nous allons voir si nous pouvons les allonger encore. Regarde Gérald lorsque les tétons sont stimulés comme ici par une excitation sexuelle, la piloérection déclenchée par l'ocytocine les fait pointer et fait grossir les tubercules de Morgagni. Sous l'influence de l'hormone, les aréoles et les tubercules des seins deviennent plus foncés, les petites boules deviennent plus grosses et se teintent. Mais permettez-moi, jeune fille, de me mettre à l'aise...! Je me mets tout nu, car cela permet de libérer la libido de mes patientes et me facilite l'examen! Vous allez comprendre!

Joignant le geste à la parole, il dénoue dans son dos les deux attaches de sa blouse et la fait tomber au sol. Mes yeux se portent et s'écarquillent aussitôt sur le plus gros sexe qu'il m'a été donné de voir. Il est encore plus volumineux que celui de Gérald. Pour l'instant, il ne bande pas et pend mollement entre ses cuisses. L'acteur porno noir américain Mandingo qui avec sa bite de 29 centimètres me fait fantasmer, est battu, pas de beaucoup, mais battu. Surtout au niveau du diamètre, celle qui est devant moi doit lorsqu'elle est en érection avoisiner les huit centimètres de diamètre. Elle est entourée d'une toison blanche et crépue, deux testicules énormes semblent faire contrepoids. Le prépuce est légèrement rétracté sur un gland brun foncé.

— Oui, n'est-ce pas, elle est impressionnante. C'est congénital... n'est-ce pas Gérald, tous les mâles de chez nous ont un appareil reproducteur démesuré! Mais je suis plus à l'aise ainsi pour travailler et cela permet à mes patientes de fantasmer pendant l'auscultation...

Me dit-il en voyant mon regard ébahi. En effet, Gérald ne s'est pas trompé, cet examen gynécologique commence à me plaire au plus haut point, et le physique du médecin aussi!

Une fois nu, sa bouche se plaque sur l'un de mes tétons et aspire le petit cône de chair. Ses dents entrent dans la danse, me mordillant de l'aréole au bout du mamelon, sa langue en fait le tour, les lèvres lippues prennent la relève pour l'aspirer. Je tends les seins en avant, espérant que cette caresse ne s'arrête pas. Il alterne avec l'autre sein... ma respiration s'accélère. Il rapproche la grosse lampe.

— Regarde Gérald, la petite salope, si je peux me permettre, aime ça, regarde ses tétons comme ils sont longs, et durs, en général on peut les étirer de un centimètre, les siens en ont atteint au moins deux centimètres. Regarde ses aréoles, elles sont violettes et couvertes de chair de poule. Je n'ai jamais vu une patiente avec des seins aussi parfaits... qui réagissent autant à l'excitation.

Il continua à me les masser doucement.

— Oui, oui, encore, encore, encore... gémis-je.

— Mais bien sûr jeune fille, tu aimes ça! Ce n'est qu'un avant-goût, quand nous en aurons fini avec tes glandes mammaires, et que nous serons sûrs qu'elles répondent parfaitement au stimulus érotique, nous poursuivrons l'examen et tu vas sûrement aimer la suite.

Sa bite colossale se presse sur ma cuisse, il me semble qu'elle prend de la consistance. Il continue à me caresser les seins avec lenteur, me tire des soupirs de contentement. Au bout de ce qui me parait une éternité, il dut penser que ma poitrine s'est assez raffermie, que mes tétons sont arrivés au terme de leur étirement, donc que ce côté-là, tout va bien. Et surtout que mes seins répondent au-delà de ses espérances en tant que zones érogènes. N'est-ce pas le boulot d'un gynéco que de le vérifier? Et ce n'était pas pour me déplaire.

— Bon, c'est parfait de ce côté-là, nous allons continuer, si tu veux bien...

Il me fait asseoir sur le fauteuil gynécologique, et avant de me faire mettre les jambes sur les reposes cuisses et les pieds dans les étriers, il défait la fermeture éclair de ma jupe, et me demande de soulever mes fesses, il la fait glisser doucement le long de mes jambes et me l'ôte. Sa queue est sans atteindre son apogée, d'une bonne longueur et d'une grosseur conséquente maintenant. Sa peau noire luit sous la lumière crue de la grosse lampe.

— Ah, tu as un string! Nous gardons le porte-jarretelles et les bas, j'adore les filles avec cette lingerie. Ça va mon Gérald? Tu peux te mettre à l'aise toi aussi...

Son regard plonge dans le mien, avec un étrange sourire, il arrache d'un coup sec mon string. Je hoquette surprise. Il le porte à ses narines et le hume longuement. Il fait basculer le dossier du fauteuil vers l'arrière, me fait poser les jambes sur les reposes cuisses et mettre le pied dans les étriers. Puis il écarte avec lenteur mes cuisses.

— Écarte bien les jambes, s'il te plaît... Oh, mais petite coquine... on dirait que ta chatte est humide, des perles de rosée suintent de tes lèvres... on va s'en assurer...

Il insinue son majeur et le promène le long de la fente de ma chatte.

— Mais oui Gérald, Trixie a vraiment aimé les caresses buccales du vieux noir sur ses seins... Elle mouille ; elle est parfaite, elle doit raffoler de faire l'amour!

Son long doigt s'enfonce un peu plus, puis il le ressort trempé de foutre. Il le porte à sa bouche et le susse longuement, sa queue continue à enfler.

— Délicieux... Tu veux voir Gérald? Écarte un peu plus les jambes Trixie...

Ses deux pouces ouvrent mon orifice vaginal en grand. Cela m'excite devoir mon copain se pencher vers moi..

— Parfait ce conduit vaginal. Mais c'est qu'elle mouille beaucoup, la petite salope. C'est dommage de laisser se perdre ce délicieux nectar.

Il se met à genoux, sa langue se faufile entre mes lèvres, force l'entrée de ma vulve, je cambre les fesses. Son appendice buccal s'active à l'intérieur de ma chatte, puis les lèvres du vieux médecin se mettent à aspirer mon clitoris, je crie d'extase. Ses attouchements sensuels perdurent, son majeur et son index se joignent au tréfonds de ma chatte. Il suce et aspire sans discontinuer mon petit bouton rose. Je crus jouir. Je mouille comme une folle... Il me semble que les deux longs doigts explorent chaque recoin de mon conduit vaginal, me faisant hoqueter de plaisir. Il lubrifie mon anus.

— Au niveau vagin, rien à signaler... c'est parfait, je vais vérifier l'anus... regarde Gérald, la petite garce est prête a jouir, elle est vraiment super cette fille. Attends ma petite, ce n'est que le début de l'examen, il ne faut pas jouir maintenant!

Doucement, son index noir entre dans mon orifice anal, puis il commence une lente série de va-et-vient, avec deux doigts, l'un dans ma chatte, l'autre dans mon anus, c'est merveilleux... je gémis sans discontinuer, ma tête dodeline de droite à gauche, ms hanches suivent le mouvement des doigts.

— Putain ce qu'elle mouille Gérald, je n'en reviens pas! Tout va vraiment bien chez elle, au fait, ça te plaît cet examen? Moi elle commence à me donner des idées. Approche, je crois qu'elle aimerait que tu malaxes ses seins.

Il accéléré ses va-et-vient, du majeur de sa main libre, il se met à me titiller le clitoris, je ne peux résister à cette nouvelle caresse, surtout que Gérald a commencé à me masser les seins. Mon corps se raidit, un spasme de jouissance me traverse, et je me laisse, avec un grand cri, aller à un orgasme violent, mes pieds appuient avec force sur les étriers, mon corps se tend en arc de cercle, mes mains enserre les mains de Gérald qui me pincent les tétons.

— Très, bien, très bien, de mieux en mieux, tout est parfait... tout fonctionne à merveille, elle vient de jouir. C'était un bel orgasme. Nous allons passer à un examen plus poussé. Tu veux bien continuer avec le vieux docteur Mademoiselle?

— Oui, oui répondis-je, dans un hoquet... continuez, continuez!

En reprenant mon souffle, j'admire la queue noire qui maintenant se dresse fièrement, elle est vraiment énorme. Je suis toujours allongée, jambes grandes ouvertes, sa bite noire oscille devant mes yeux. Je tends la main pour la saisir. Il se rapproche, son gland est à hauteur de mon visage.

— Bon, bon, tu vois, je t'ai bien dit que ta libido allait être exacerbée! Profitons de ce que ton vagin soit bien lubrifié, pour voir ce qu'il peut recevoir comme attribut mâle. Nous allons essayer tout d'abord ce Godemiché blanc à prépuce. C'est la réplique fidèle d'un sexe, comme tu vois, ce gode offre une souplesse et un contact remarquables. La finesse du prépuce est telle qu'on a l'impression qu'il s'agit d'une vraie peau. Les veines ajoutent du piquant. Tu peux le toucher. Il fait vingt trois centimètres de long et cinq centimètres de diamètre. Puis ensuite, si c'est concluant, nous passerons à la taille supérieure, si tu es d'accord! Regarde, ce gode noir est ultra-souple, il me semble que vu ton regard, il te fait fantasmer. Il est long, fort comme un bras, arqué et saillant au possible, il te promet la jouissance comme si c'était ma grosse bite noire. Sa longueur totale est de trente cinq centimètres, son diamètre huit centimètres cinq. Es-tu prête?

— Oui, oui...

Tandis qu'il parle, j' enfourne son gland décalotté dans ma bouche. Ma langue fait le tour de sa bande striée noire, j'en titille les terminaisons nerveuses qui sont des récepteurs sensoriels extrêmement sensibles. Puis j'aspire doucement le gland. Il se raidit.

— Très bien, oui, oui, j'apprécie... ta succion, mais nous avons encore du travail!

Ses mains remontent doucement le long des lanières de mon porte-jarretelles, passent à l'intérieur de mes cuisses et arrivent sur ma chatte. Il enfourne trois doigts dans mon vagin pour s'assurer que la lubrification naturelle est encore là. Puis tenant les lèvres écartées, il approche le gland du plus petit des godemichés, il est vrai qu il ressemble à une vraie bite. Il l'enfonce régulièrement, s'arrête puis la ressortit, pour mieux la faire glisser, les vingt cinq centimètres et les cinq centimètres de diamètre entrent sans coup férir. Satisfait, il ne fait qu' une dizaine d'aller et retour, me fait grogner de plaisir. Je n'ai pas lâché sa bite et le branle doucement. Calottant et décalottant son énorme gland.

— Parfait, parfait, j'en étais sûr... Tu as des mains expertes... mais passons à l'autre gode, le gros!

Cette délicate pénétration m'a encore un peu plus excitée, mon foutre ruisselle. Il ouvre de nouveau mes lèvres, approche la tête de l'énorme bite noire factice, le gland s'insinue, le vieux docteur appuie, le godemiché glisse, écartant mon orifice vaginal bien lubrifié, le gynéco procède par petites pressions successives. Ressort un petit peu du cylindre démesuré, pour mieux l'enfoncer à nouveau.

Je me trémousse pour faciliter la pénétration, écarte puis resserre mes muscles vaginaux pour absorber le monstrueux rouleau, qui lentement disparaît dans mes entrailles. Il me besogne très délicatement, le plaisir monte... le gode s'enfonce, s'enfonce... j'adore, il me semble immensément long, il ne reste bientôt plus que cinq centimètres hors de ma chatte.

— Je savais que tu allais arriver à tout prendre... mais c'est mon boulot! Tu aimes? La grosseur et la longueur!

— Ouistiti, ouistiti... j'adore... c'est bon...

Le vieux noir se penche alors sur moi, sa bouche se plaque sur la mienne, sa langue force mes lèvres, je lui rends passionnément son baiser, serre fortement sa bite. Il commence alors à entrer et sortir l'impressionnant tube, doucement d'abord, puis de plus en plus vite, je crus que j'allai exploser de volupté. Mais il cessa avant que je puisse atteindre ma jouissance.

— Non, criais-je, continue, fais-moi jouir... encore, encore... je... je t'en supplie... ne t'arrête pas!

— C'est ce que je vais faire, petite salope, mais c'est moi qui vais te faire jouir, je voulais avec les godes savoir si tu étais capable d'accueillir ma queue, mais là aussi, tu es parfaite, je vais pouvoir te baiser... Nous ferons le test de hühner, aussi appelé test post-coïtal. Cet examen consiste à prélever de la glaire cervicale, après un rapport sexuel. Cela nous permettra de voir comment se comportent mes spermatozoïdes dans ta glaire cervicale. Tu es d'accord?

En disant cela, il se mit entre mes jambes, et d'une main ferme commence à entrer son volumineux gland marron dans ma chatte ruisselante. Ayant vu la grosseur que j'acceptais, il enfile son sexe à grands coups de reins... je hoquette de plaisir sous ses coups de boutoir, j'écarte au maximum les jambes pour faciliter cette monstrueuse pénétration. Chaque fois que son pénis pénètre dans mon vagin, le prépuce frotte avec délice contre mes parois vaginales puis il est repoussé lors de la rétractation et encapuchonne le gland à nouveau. Cette stimulation nous fit hoqueter de plaisir à l'unisson... le plaisir monte dans nos entrailles. Il m'attrape fermement aux hanches... Ses poils blancs et rêches frottent bientôt ma fente ruisselante. Je tremble littéralement d'extase, de longs frissons me parcourent... Il sait alterner ses pénétrations, faire monter mon plaisir doucement, attentif à mes cris de ravissement, il me malaxe doucement les seins.

— C'est bon, c'est bon...ça vient... Mais doucement, doucement, nous avons le temps!Tu as vu Gérald, je lui ai enfilé entièrement ma queue... et elle aime ça cette petite salope... je n'ai jamais eu une telle patiente... putain que c'est bon... Il y a longtemps que je n'avais pas fait un tel examen... Putain ouaaaahhh... que c'est bon... je jouis... je jouis, tiens, tiens, tiens ma semence... on fera un prélèvement pour voir comment se comportent mes spermatozoïdes ainsi l'examen sera complet.

— Oooooouuuiiii, éjacule... éjacule dans ma chatte... c'est bon, je veux sentir ton sperme emplir ma chatte... ouiiiiiii, je le sens, ouuuiiii tu vas me faire jouuuiiiiir!

Le sperme chaud du vieux Bisimwa gicla en jets puissants et coula au fond de mon vagin. Avec un dernier cri, il se cambra et enfonça entièrement sa monstrueuse bite, son dernier spasme fit éclater ma jouissance, je criai à mon tour mon plaisir, enserrai sa taille de mes deux jambes et mon vagin se resserra avec une force inouïe autour de l'énorme bite noire, tandis qu'une lumière éclatante passa derrière mes paupières closes pour envahir avec fulgurance mon cerveau. Il me sembla que je tombai du dixième étage à une vitesse vertigineuse, c 'était divin.

12