Le Gendre Idéal Pt. 02

Informations sur Récit
Yes, he is.
1.7k mots
4.17
50.4k
00
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/19/2022
Créé 10/20/2004
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"Je crois qu'il est temps de te laisser ton amoureux," nous dit Marie-Cécile, la nuit venue, au moment de regagner sa chambre. "Je ne vais pas te l'accaparer pendant toutes les vacances."

"Oh, je crois qu'il est capable de nous satisfaire toutes les deux en même temps! N'est-ce pas, Gégé?"

Et, sans attendre ma réponse, Angélique nous prend tous les deux par la main et nous entraîne vers sa chambre. Marie-Cécile, rougissante, essaie de protester.

"Allez, maman, on sait toutes les deux ce que l'autre fait avec Gérald! Je te laisse prendre ta part, je prends la mienne juste après."

Marie-Cécile pourrait répondre qu'on peut le savoir sans pour autant le regarder faire, mais Angélique ne lui en laisse pas l'occasion. Elle aide sa mère à se débarrasser de sa robe et ses chaussures, puis envoie promener ses propres vêtements et se laisse tomber dans un fauteuil proche du lit. Après un dernier coup d'oeil hésitant à sa fille, Marie-Cécile, me voyant moi aussi nu sur le lit, n'a pas de meilleur choix que de m'y rejoindre. Il est inutile de dire dans quel état cette situation m'a mis; trouvant Marie-Cécile elle aussi toute prête, je la renverse sur les draps et rentre en elle presque aussitôt. Angélique, assise nue dans le fauteuil, ne perd pas une miette du spectacle et glisse une main vers sa propre fente. Bientôt, un de ses doigts s'active tandis qu'elle se caresse les seins de sa main libre, tout en gardant les yeux fixés sur le sexe de son fiancé ramonant à grands coups la chatte qui l'a mise au monde. Marie-Cécile gémit, tourne la tête vers sa fille, son regard finit par attirer celui d'Angélique, les deux femmes se sourient et continuent à se regarder jusqu'à ce que j'éjacule dans Marie-Cécile et qu'elle jouisse bruyamment sous les yeux de sa fille.

Nous restons étendus côte à côte, reprenant notre souffle, jusqu'à ce que ma fiancée, avec un sourire de complicité à l'adresse de sa mère, monte à son tour sur le lit. Je me retrouve couché entre Marie-Cécile, encore haletante, et une Angélique très active qui débarrasse mon sexe de son préservatif et entreprend de lui rendre de la vigueur en se l'introduisant dans la bouche. Ma future belle-maman paraît fascinée par la vision de sa fille suçant goulûment le membre tout juste sorti de sa chatte. Lorsque, après l'avoir nettoyé de son sperme et en avoir fait une colonne bien raide, Angélique le retire de sa bouche et lève les yeux vers sa mère: "viens essayer, maman, c'est vraiment délicieux", Marie-Cécile n'hésite pas une seconde et, après un regard décidé à mon adresse, se penche à son tour sur mon sexe.

Sa fellation est moins ardente et moins habile que celle de sa fille - sans doute a-t-elle moins de pratique? - mais Angélique m'a suffisamment préparé pour Marie-Cécile n'ait plus grand-chose à faire. Voyant qu'alors que je suis au bord de l'orgasme, sa mère est près d'abandonner mon sexe, Angélique appuie doucement sur sa nuque:

"Avale tout, maman, tu verras comme c'est bon."

Et, docile, ma future belle-mère laisse le sperme de son gendre gicler dans sa gorge et n'en rejette pas une goutte.

Je n'en ai visiblement pas encore assez fait du point de vue d'Angélique: elle ne me laisse que quelques secondes de répit avant de prendre mon sexe fatigué en main et de le masser pour le faire se redresser. A son invitation, Marie-Cécile vient l'aider, sa main recouvrant celle de sa fille sur ma tige, les doigts des deux femmes se mêlant. Dans sa position agenouillée, les fesses magnifiques de ma future belle-mère sont à portée de ma main. Je caresse les deux globes, Marie-Cécile pouffe de rire lorsque je les écarte pour introduire ma main dans sa raie intime, lorsqu'un de mes doigts agace le bord de son anus. Elle a un petit cri quand une phalange s'enfonce sans prévenir dans l'orifice. "Arrête, c'est sale." Pas assez pour me dissuader d'introduire une deuxième phalange, puis le doigt tout entier. En voyant sa mère se cambrer, Angélique comprend quelle caresse je lui prodigue et m'encourage d'un clin d'oeil à continuer. Je prends Marie-Cécile par les hanches pour la faire doucement pivoter dos à moi, mais en sentant mon gland se poser sur sa raie elle devine mes intentions et tente de se dégager:

"Arrête, je ne l'ai jamais fait comme ça, tu vas me faire mal."

Angélique ouvre de grands yeux.

"Tu veux dire qu'on ne t'a jamais prise par le petit trou? Avec Gérald, on l'a fait presque dès la première fois!" (tu parles! Elle me l'a longtemps refusé, et ce n'est qu'après avoir entendu le témoignage de ma copine précédente, laquelle avait adoré être sodomisée par moi, qu'elle s'est décidée à m'abandonner son anus). "Tu sais, ça fait un peu mal, mais quand on est bien préparée ça se passe très bien."

Marie-Cécile se tait, ce qu'Angélique et moi interprétons comme un consentement. Je prends et débouche une bouteille d'huile solaire qui se trouvait sur la table de nuit. Ma fiancée me fait signe de la lui passer, se verse une partie du contenu sur les doigts, et c'est cette fois son index qui pénètre dans l'anus maternel pour bien enduire d'huile sa fragile paroi. Quand elle a fini, elle guide elle-même mon sexe encapoté vers le petit trou. A nouveau, mon gland en touche l'entrée, je sens que la petite rondelle commence à se distendre, et doucement aidé par Angélique je pénètre le dernier orifice encore vierge de ma future belle-mère. J'entends le râle de Marie-Cécile, la sens se raidir un peu. Angélique prend une main de sa mère, approche son visage du sien:

"Ça va, maman? Tu n'as pas trop mal?"

"Un peu."

"Ce n'est pas si gros, j'en ai déjà pris qui faisaient deux fois cette taille. Tu vas voir, il va te la rentrer toute entière."

Et en effet, en tenant Marie-Cécile par les hanches, je parviens à m'enfoncer progressivement jusqu'à la limite du possible, sous les yeux attentifs d'Angélique.

"Ça y est, maman, tu as la bite de Gérald toute entière dans ton cul. Tu te sens mieux?"

"Ça va..."

"Il va commencer à bouger maintenant, tout doucement d'abord."

Obéissant, je commence à faire aller mon bassin d'arrière en avant. Marie-Cécile ondule à mon rythme, une de ses mains étreignant toujours celle de sa fille. Elle se glisse l'autre entre les cuisses et je sens qu'elle commence à se manipuler la chatte en même temps que je la besogne par derrière. Le regard d'Angélique va du visage de sa mère à ma bite qui ramone son cul de plus en plus vite, spectacle qui semble la fasciner. Il est vrai que ce n'est pas tous les jours qu'une fille assiste au dépucelage de sa mère! Marie-Cécile me crie maintenant de continuer, que c'est bon, qu'elle va jouir, et c'est à nouveau les yeux plantés dans ceux de sa fille qu'elle explose en hurlant pendant que je gicle dans son rectum.

Nous avons dû nous endormir juste après, parce que je me réveille un peu avant l'aube, un bras passé autour du corps de Marie-Cécile qui me tourne le dos et fait face à sa fille étendue à côté de nous. Je me redresse pour contempler un moment les corps nus de mes deux amantes, les seins ronds et pesants de Marie-Cécile, ceux en obus d'Angélique, les hanches et les fesses légèrement plus lourdes chez la mère que chez la fille, leur pilosité intime blonde chez l'une et brune chez l'autre. Je prends une des mains d'Angélique et la pose sur le sein de sa mère. Marie-Cécile sourit et gémit légèrement dans son sommeil, mais aucune des deux femmes ne se réveille. Je fais passer la main sur l'autre sein, la guide le long du ventre, sur la touffe de Marie-Cécile puis entre ses cuisses qu'elle écarte instinctivement. C'est en tenant les doigts de ma fiancée posés sur le sexe qui l'a vue naître que je me rendors à leurs côtés.

A mon réveil, je vois sur moi les regards souriants des deux femmes.

"On se demandait si tu serais encore en état de satisfaire l'une de nous," dit d'un ton à moitié sérieux Angélique, agenouillée auprès de moi sur le lit. En ce qui me concerne, je prends la chose très sérieusement, me redressant pour enlacer et embrasser fougueusement ma fiancée sous le regard attendri de sa mère, étendue sur le dos à nos côtés. Tenant Angélique par les hanches, je la fais se retourner sur le lit et tomber sur les genoux et les coudes au-dessus du corps de Marie-Cécile. Sa position m'offre ses fesses que j'écarte aussitôt pour agacer de mes doigts son petit trou. Angélique comprend que je veux lui infliger la même épreuve qu'à sa mère la veille au soir, mais elle y est depuis longtemps habituée: depuis que je l'ai initiée, elle s'est souvent prêtée à cette pratique, et, ainsi qu'elle me l'a rappelé, avec des bites autrement grosses que la mienne. Aussi ne résiste-t-elle nullement lorsque je pénètre l'orifice. Et je me mets à la besogner tout en passant une main entre ses cuisses pour lui branler la chatte, tout son corps bougeant d'avant en arrière, ses seins ballottant sous elle, leurs pointes allant parfois frôler ceux de sa mère. Elle finit par perdre l'équilibre et tomber dans les bras de Marie-Cécile qui l'enlace pour la retenir pendant que je continue mon pilonnage. Leurs seins sont maintenant serrés les uns contre les autres, de la main je peux toucher leurs deux sexes en même temps et sentir leurs touffes qui se mêlent et leurs clitos qui entrent en contact, je parviens à mettre un doigt dans la fente d'Angélique et un dans celle de Marie-Cécile et à presser leurs petits boutons l'un contre l'autre juste avant d'éjaculer dans le cul de ma fiancée et de me laisser tomber sur les deux femmes pantelantes.

La suite, jusqu'à aujourd'hui, serait un peu longue à raconter, sachez seulement qu'Angélique et moi nous sommes mariés, et que sa mère en est très heureuse. Elle a de quoi. Sans fausse modestie : ne suis-je pas le gendre idéal?


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