Le chantage de Summer 10

BÊTA PUBLIQUE

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Le sergent déplace ses mains des épaules aux aisselles de Summer tout en exerçant une légère pression sur le corps féminin. Ensuite il déplace ses mains sous les aisselles de l'enseignante et les met sous chaque sein. Ensuite il serre chaque nichon en s'assurant d'appuyer sa bite, maintenant semi-érigée dans son pantalon, contre le cul de la femme.

Summer sent que son corps la trahit et que sa chatte commence à s'humidifier. Pourtant son cerveau s'oppose à cette fouille humiliante. Elle sent bien que la queue du policier raidit contre son cul. Soudain les mains se déplacent sur le dessus de son soutien-gorge, son chemisier étant ouvert sur les ordres de son jeune maître. Elle est mal à l'aise et des petites gouttes de sueur se forment sur son front et son nez.

Les mains du Sgt OWENS trouvent les tétons qui pointent sous le tissu du soutien-gorge. Ses doigts titillent chaque mamelon lorsqu'il sent quelque chose de dur. Soudainement, il saisit chaque téton entre son pouce et son index et les tire par les piercings dorés. Summer tremble de douleur et se plie en balançant son cul contre l'entrejambe de son bourreau. Elle lâche un léger mais audible grognement de plaisir.

Tout en tirant un peu plus fort sur chaque mamelon, le policier demande :

- Qu'avez-vous ici Mme WAYNE?

Quand elle entend la question, Summer sait qu'elle ne peut pas continuer à se mordre la lèvre supérieure et essayer de cacher la douleur atroce et le plaisir qui lui est imposé par cette torture de ses seins. En essayant de garder toute sa maîtrise elle explique à son tourmenteur :

- J'ai fait percer mes mamelons pour faire une surprise à mon mari.

Soudain, le sergent relâche la poitrine, saisit l'enseignante par les épaules et la retourne rapidement. Puis il l'oblige à s'allonger sur le coffre. Il lui demande de montrer à son collègue et lui les piercings. En tenant son poignet il dit :

- Retirez lentement votre soutien-gorge et montrez-moi ce que vous avez fait à vos seins.

Puis il ajoute à son collègue :

- Surveille la, qu'elle ne fasse pas de gestes brusques.

Summer essaie de relever son buste mais elle est repoussée sur le coffre. Dans cette position inconfortable, avec des larmes de peur et de soumission, elle dégrafe dans son dos le soutien-gorge et elle le retire. Les deux policiers sifflent d'admiration. Les piercings de Marco ont été faits de telle manière que les tétons restent toujours debout.

Summer reste couchée sur le coffre pendant que les deux hommes l'examinent. Elle peut voir son reflet dans les lunettes du Sergent. Mais de ne pouvoir voir ses yeux la mette mal à l'aise. L'homme continue son examen puis demande :

- Madame WAYNE, ces piercings sont très érotiques et ils font vraiment bien ressortir votre poitrine. Avez-vous d'autres piercings que nous découvrirons si non continuons la fouille au corps?

Summer hésite car elle ne veut pas dire à ces deux étrangers, des policiers, qu'elle a des piercings sur les lèvres de sa chatte. Elle ne sait pas comment le dire et elle se demande ce qu'il va se passer si elle ne leur dit pas. Alors, reprenant courage, elle déclare aux officiers de police qu'elle est également percée dans son intimité mais qu'elle ne veut pas le montrer.

Les deux hommes se regardent et sourient malicieusement en regardant la femme étendue. Le caporal STEVENS est le premier à parler :

- Madame, je crois qu'à ce stade vous n'avez plus aucun droit. Vous avez déjà admis ne pas avoir respecté la limitation de vitesse. Ensuite, votre corps est couvert d'une substance que nous pensions être illégale.

Le Sgt OWENS ordonne à sa victime :

- Mme WAYNE, tirez votre culotte sur le côté et montrez-nous vos piercings. Nous devons voir si vous ne cachez pas autre chose.

Summer commence à pleurer de manière incontrôlable quand elle voit que la situation s'aggrave. Elle a l'impression que quoiqu'elle fasse, chaque nouvelle journée lui apporte humiliations sur humiliations.

Alors qu'elle continue à sangloter, elle sent une pression sur sa chatte couverte par sa culotte. Elle baisse les yeux et voit que le caporal STEVENS presse le fond de sa lampe-torche contre son sexe. Les deux hommes ont remarqué que le tissu de la culotte est mouillé. Ils savent que même si elle proteste contre ce traitement, elle mouille d'être humiliée. Le Sgt OWENS lui dit :

- Madame WAYNE, soit vous écartez votre culotte, soit le caporal STEVENS le fait et force la lampe-torche dans votre chatte humide. Ne me faites pas répéter!

Craignant que la lampe ne déchire son sexe et que cette expérience avec la police devienne pire, Summer arrête de pleurer et tend les mains lentement vers son entrejambe. Avec sa main gauche, elle attrape le tissu de sa culotte et le pousse sur le côté, exposant ainsi sa chatte et les piercings ornant ses petites lèvres.

Elle se retrouve allongée sur le coffre de sa voiture, les seins à l'air, les tétons pointant vers le ciel, la jupe retroussée à la taille, les jambes écartés par les pieds d'un policier, la chatte exposée aux deux hommes. Ceux-ci baissent la tête pour admirer les petits anneaux sur sa chatte. Le caporal a éloigné sa lampe. Mais le sergent dit :

- Caporal, pourquoi ne pas insérer votre matraque dans le vagin de Mme WAYNE pour voir si elle n'y cache pas de la drogue.

Le caporal obéit. Il sort sa matraque et présente le bout à l'entrée du sexe de l'enseignante. Au même moment, la radio du véhicule de police indique qu'il y a eu un accident pas très loin et que OWENS et STEVENS doivent s'y rendre immédiatement.

Summer regarde les policiers et détecte le désir qu'ils ont pour elle. Elle peut sentir la matraque, tenue par le caporal, commencée à être poussée plus loin dans sa chatte. Chacun des hommes prend un des tétons de la femme et commence à le tordre en utilisant la petite barre dorée qui le traverse. Le caporal STEVENS a mis au moins 20 centimètres de sa matraque dans le vagin de Summer. Il commence à la baiser en rythme. A chaque poussée de la matraque, l'enseignante se rapproche de l'orgasme. Elle ne peut contrôler son corps qui est dévoré de plaisir et de douleur sur le coffre de sa voiture.

- Plus fort STEVENS, nous devons y aller et je veux voir cette chienne jouir avant. Dit le Sgt OWENS.

Chaque homme tire encore plus fort les tétons de Summer. Celle-ci commence à gémir et accompagne avec des coups de hanches la matraque forcée dans sa chatte inondée. Alors qu'elle approche de l'orgasme, elle pose ses pieds, toujours chaussés de talons, sur le pare-chocs de son auto. Elle saisit le poignet du caporal STEVENS et l'aide à fourrer la matraque au plus profond de son sexe. Excitée et humiliée par les deux policiers, le corps de Summer explose dans l'orgasme. Pour la première fois de sa vie, sa chatte gicle et éjecte ses liquides corporels sur la matraque et le coffre de la voiture. Son jus coule sur le sol à côté des pieds des policiers qui l'humilient au bord de la route.

Summer s'affaisse sur le coffre. Le caporal STEVENS enlève lentement sa matraque de la chatte martyrisée et il dit :

- Suce ça sale pute, je ne peux pas la remettre à ma ceinture alors qu'elle sent la chatte de salope.

Il appuie la matraque sur les lèvres de l'enseignante qui rapidement obéit et lèche toute la longueur de l'objet. Une fois qu'il est convaincu qu'elle est propre, le caporal la remet à sa ceinture, puis il se penche et aspire les piercings de la chatte humide. Avec sa bouche il tire dessus pour tirer les petites lèvres dans sa bouche.

Enfin, les deux policiers la laissent couchée sur sa voiture, la jupe retroussée à la taille, le chemisier ouvert, sans soutien-gorge. Elle ne se souvient pas de leur départ mais seulement du coup de sirène pour la remercier de sa coopération.

Une voiture qui approche surprend Summer. Elle glisse du coffre sur le côté de sa voiture. Elle remet sa culotte et agrafe son soutien-gorge. Elle met son chemisier dans sa jupe sans le reboutonner. Mais elle ne baisse pas sa jupe pour obéir à son Maître. Elle regarde sa montre. Quand elle voit qu'il est 18 heures 30 elle crie en pensée « Oh mon Dieu ». Il lui reste plus qu'une heure pour aller au salon de bronzage et retourner à la maison avant 19 heures 30, heure à laquelle elle a rendez-vous avec son maître.

Summer démarre sa voiture et, heureusement, ne met que 5 minutes avant de voir le panneau qui indique le salon de bronzage Aloha. Elle se gare puis se précipite à l'entrée du salon. Une adolescente souriante est à la réception. Elle voit une femme âgée passer la porte avec le chemisier déboutonné et le soutien-gorge jaune bien visible.

- Puis-je vous aider Madame? Demande la jeune fille.

Summer répond :

- Oui, je suis là pour un rendez-vous prévu à 18 heures mais j'ai été arrêtée par la police et j'arrive juste. Est-il trop tard?

La réceptionniste regarde son cahier de rendez-vous et dit :

-Vous avez de la chance. Nous n'avons plus de rendez-vous après 18 heures aujourd'hui. Nous allons pouvoir faire votre séance.

La jeune fille donne à l'enseignante une paire de lunettes de protection et lui dit d'aller dans la cabine numéro 7. Elle lui demande également de retirer tous ses vêtements. Elle ajoute qu'elle va s'occuper d'elle dans quelques minutes.

L'adolescente est une amie soumise de Todd qui lui a parlé de sa nouvelle conquête. Il a demandé à sa jeune esclave d'être agressive avec sa nouvelle soumise mais elle doit aussi s'assurer qu'elle puisse bien bronzer. Sandy sait que Summer est la nouvelle salope de Todd, sa favorite du moment.

Sandy est l'esclave du garçon depuis presque trois ans. Il l'a vu sucer un joueur de l'équipe d football dans les vestiaires de l'équipe. Comme Todd connaissait ses parents et que Sandy ne pouvait se permettre qu'ils soient informés de ses frasques sexuelles, elle avait accepté de servir et plaire au jeune garçon. Donc elle faisait ce qu'il voulait quand il voulait. Aujourd'hui elle devait donner une séance de bronzage à la nouvelle proie de Todd et elle pouvait faire ce qu'elle voulait avec cette salope tant que celle-ci puisse repartir à 19 heures.

Comme Summer est en retard, Sandy sait qu'elle ne pourra pas faire toutes les choses prévues. Mais elle réserve quelques surprises à l'enseignante, qu'elle soit d'accord ou non. Sandy se rappelle la situation embarrassante dans laquelle elle l'a mise lors de sa dernière année. Aujourd'hui elle va pouvoir se venger.

Summer entre dans la salle numéro 7 et voit les crochets sur la porte. Alors qu'elle se déshabille, un frisson monte dans sa colonne vertébrale. Connait-elle cette jeune femme à la réception? Pourquoi ce malaise? Est-ce quelque chose qu'elle a dit ou la façon dont elle la regardait?

Summer fait glisser le chemisier de ses épaules et l'accroche sur le cintre fourni. Ensuite elle enlève sa jupe et la plie sur un autre cintre pendu aux crochets sur la porte. Elle s'assoie sur la chaise et détache ses talons hauts. Elle peut enfin masser ses pieds qui sont douloureux d'être restés en talons toute la journée.

On frappe à la porte. Summer entend Sandy qui lui demande si elle est prête. Elle répond qu'elle est encore en train d'enlever ses vêtements. Sandy ne fait pas attention à la réponse et entre dans la pièce. Elle voit l'enseignante assise avec son soutien-gorge et sa culotte jaune ainsi que ses bas et son porte-jarretelle.

La jeune fille fixe ses yeux sur les seins de Summer et lui dit :

- Dépêchez-vous Mme WAYNE, nous n'avons plus que 25 minutes pour votre séance de bronzage. Dépêchez-vous si vous ne voulez pas être en retard pour Maître T.

Summer comprend. Elle sait pourquoi son jeune maître a pris rendez-vous dans ce salon. Sandy est une des ses amis et elle connait sa situation. L'enseignante est maintenant certaine qu'elle va traverser un moment difficile avec la jeune fille. Heureusement, celle-ci n'a que jusqu'à 19 heures pour lui infliger douleur ou humiliation, ou quoi qu'elle ait à l'esprit.

Sandy regarde Summer, attend quelques secondes en la détaillant et lui dit :

- Salope, enlève ces maudits vêtements, j'ai du travail à faire.

- S'il vous plaît, ne m'appelez pas comme ça. Répond Summer.

- Si, tu es une salope, tu es la salope de Maître T. Alors fais ce que je te dis ou je l'appelle pour lui dire que tu ne veux pas obéir. Rétorque Sandy rapidement.

Summer, résignée à être encore humiliée, se lève, détache les fermoirs du porte-jarretelle sur la jambe droite puis la jambe gauche. Elle roule soigneusement chaque bas le long de sa jambe puis les pose près de la jupe. Enfin elle détache le porte-jarretelle qui rejoint les bas.

L'enseignante commence à se tourner pour enlever son soutien-gorge mais Sandy lui demande fermement de le faire face à elle. Quand Summer dégrafe le soutien-gorge, la jeune fille prend une inspiration, en prévision de voir ses beaux seins ainsi que les piercings que Marcos a installés sur la pauvre professeure.

Lorsque les bonnets tombent, la jeune fille peut enfin profiter de la beauté de cette poitrine. Et elle peut voir les deux petits bâtons dorés qui percent les mamelons, les forçant ainsi à rester dressés.

- Maintenant salope, enlève ta culotte et nous pourrons commencer. Dit Sandy énervée.

Summer fait glisser sa culotte sur ses hanches et la laisse tomber à ses pieds. Maintenant Sandy peut voir dans sa totalité la beauté de cette professeure d'anglais sexy. Elle lui demande :

- Est-ce que ton Maître t'a donné un string de bronzage?

Summer attrape son sac à main et sort le minuscule string noir qui ne peut être utilisé que dans ce genre de salon et non en public.

- Allez, mets-le que nous puissions commencer. Ordonne Sandy.

L'enseignante enfile le sous-vêtement. Elle doit se pencher et ça la met mal à l'aise car ses seins se balancent presque sur le visage de la jeune fille. Une fois que le string est mis, elle comprend pourquoi Todd a choisi ce minuscule string. Il n'est pas assez large pour couvrir les lèvres de sa chatte. Le tissu a glissé entre et ses petites lèvres sont complétement exposées ainsi que les anneaux les transperçant.

Sandy dit alors :

- Oh je vois que vous avez été chez Marco. Est-ce qu'il vous a aussi percé l'oreille?

Summer ne dit rien mais tire ses cheveux pour dégager son oreille et montrer à son nouveau bourreau le piercing à son oreille.

Summer doit ensuite mettre les lunettes et s'allonger sur le ventre sur la table qui est contre le mur adjacent. Comme elle n'a jamais été dans un salon de bronzage, elle ne connait pas la procédure. Et elle ne sait pas que Sandy veut s'amuser un peu avec son cul.

Quand elle s'allonge, la jeune fille peut voir les marques sur ses fesses alors elle demande :

- D'où viennent ces marques salope?

Summer se mord les lèvres et murmure :

- Maître T. m'a punie aujourd'hui.

Sandy, remarquant que le temps passe vite commence le travail. Elle demande à Summer de se mettre à plat sur la table et d'écarter ses jambes. La lotion de bronzage pulvérisée est à la fois fraîche et piquante. Summer doit écarter les fesses pour que le spray forme un joli bronzage autour de la petite bande de tissu qui coure du cul à la chatte.

Après que Sandy ait terminé l'application de la lotion sur le dos de l'enseignante, elle commence à la frotter sur son corps. Ce n'est pas vraiment nécessaire car la lotion sèche rapidement, mais elle veut caresser le corps de la nouvelle soumise de Todd.

Alors que les mains de Sandy s'attardent sur ses fesses, Summer est mal à l'aise et dit :

- Ne devrions-nous pas terminer? Il est tard et je dois partir à 19 heures.

- Tais-toi salope, nous terminerons quand je le dirais. Répond rapidement et en colère Sandy.

Elle regarde l'horloge. Il est 18 heures 50. Sandy sait que si elle ne finit pas à 19 heures, Todd lui fera payer. Alors elle demande à Summer de s'allonger sur le dos. Elle applique la solution de bronzage sur le devant du corps en s'appliquant sur les seins et sur la chatte. Malheureusement, comme Summer est arrivée en retard, Sandy ne pourra pas jouer avec l'enseignante comme promis. Elle décide donc d'avoir un peu de plaisir avec elle après avoir terminé la pulvérisation.

- Ok salope. Maintenant nous devons faire en sorte que la lotion sèche convenablement. Dit Sandy.

Elle ouvre la porte de la pièce puis dit à Summer :

- je veux que tu marches tout le long du couloir afin que ça sèche uniformément.

- Mais si quelqu'un me voit? Répond Summer.

- J'ai fermé toutes les portes donc il n'y a plus personne ici. Alors, enlève ce string, mets tes chaussures de pute et vas-y, je n'ai pas toute la nuit. Crie la jeune fille.

L'enseignante est choquée par ce traitement. Mais pour être à l'heure chez elle, elle doit obéir. Elle ôte le petit string, glisse ses pieds dans ses talons hauts et se dirige vers la porte. Dans le couloir, il y a 8 portes. Les lumières sont encore allumées dans les pièces. Summer avance pour faire sécher sa peau. Elle peut entendre ses talons claquer sur le sol en linoléum.

Quand elle atteint la porte d'entrée, Summer est soulagée de voir que personne ne passe dans la rue. Avec la double porte vitrée du salon, elle est bien visible de l'extérieur.

Quand elle se retourne, un éclair soudain l'aveugle, puis un second. Elle entend une voix qui dit :

- Bouge pas salope, je veux faire une autre photo.

Summer reste figée. Les flashs l'ont aveuglée et elle ne sait pas qui prend les photos. Elle entend :

- Ok salope. Marche jusqu'au bout du couloir, je veux voir tes seins rebondir.

Elle a tellement été surprise par les flashs qu'elle reste immobile. Elle essaie de voir au bout du couloir mais elle n'arrive pas à savoir qui est la personne debout au fond.

- Bouge ton cul salope! Crie le photographe inconnu.

Ramenée à la réalité par la voix inconnue, Summer commence à avancer dans le couloir, vêtue seulement de ses talons hauts. Sa poitrine rebondit en rythme avec ses pas. Elle sent que ses tétons durcissent de plus en plus et cette nouvelle humiliation commence à l'exciter.

Le photographe lui ordonne alors de s'arrêter où elle est et lui dit :

- Salope, place tes mains derrière ta tête en croisant tes doigts.

Immédiatement, Summer obéit, des frissons la traversent et de la chair de poule se forme sur son cou et ses bras. Ses mamelons durcissent encore plus. Les mains derrière la tête, les doigts entrecroisés, les seins de Summer sont mis en avant et les piercings sont clairement visibles. Une série de flashs annonce de nombreuses photos. Mais Summer n'ose pas bouger. Elle a peur des conséquences si elle n'obéit pas et que le photographe est un ami de Sandy, ou encore pire, un ami de Todd. Dans les deux cas, elle a peur de refuser d'obéir car il est presque 19 heures et elle doit quitter le salon sinon elle sera en retard pour le rendez-vous avec son maître.

- Très bien salope. Maintenant fais demi-tour et plie toi en deux. Tu enlèves tes mains de derrière ta tête et tu t'en sers pour bien écarter tes fesses. Je vais faire de super photos.

Summer ne reconnait pas la voix mais il s'agit d'une femme surement. Elle se tourne lentement, et pendant qu'elle se penche elle amène ses mains sur son cul. C'est la première fois qu'elle touche les marques laissées par sa punition cet après-midi.

Après avoir écarté ses fesses, elle voit plusieurs éclairs indiquant que d'autres photos sont prises. Avec cette humiliation supplémentaire, elle commence à sentir sa chatte s'humidifier. « Quel est mon problème? » Pense-t-elle.

- Bien salope. Nous avons assez de photos pour notre nouvelle campagne publicitaire sur internet pour le bronzage par pulvérisation. Ton corps sera notre logo. Je te promets de flouter ton visage. Mais je garde toutes les photos car j'en aurai peut-être besoin plus tard. Dit Sandy.

Puis elle continue :

- Les marques sur ton cul sont trop importantes mais le bronzage sur ta chatte avec la mince ligne du string est magnifique. J'ai beaucoup de clientes qui vont vouloir être comme toi.

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