Le camping du lac Part 01

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Viol de campeuses.
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Le camping au bord du lac Ch 1

The camping trip

Traduction en français par Coulybaca

avec l'aimable autorisation de Gagman

Tout l'été, Jane et sa voisine Mary avaient projeté de camper avec leurs filles et voilà que l'été se terminait, Jane appela donc une de ses amies qui possédait de vastes terres dans le Minnesota.

Elle lui parla de leur projet elle leur accorda l'accès libre à ses propriétés et leur indiqua un bon coin pour monter leurs tentes.

Jane passa alors un coup de fil à Mary et l'informa qu'elles pouvaient partir camper avec les filles la semaine suivante, qu'une de ses amies lui avait indiqué un endroit précis où monter leurs tentes et que l'arrière sai-son y était magnifique.

Les filles commencèrent alors à préparer leurs bagages, lorsque la fille de Jane rentra de ses courses elle était en compagnie de Sue sa copine d'enfance.

Jane leur révéla leurs projets de camping.

Les filles pensèrent que c'était formidable, bien qu'elles doivent bientôt intégrer l'université.

L'été était passé bien trop vite, passer du temps avec leurs mères, c'était juste ce qui leur fallait avant de partir en fac.

Le soir suivant, Mary invita Jane et sa petite famille à un barbecue, leurs maris parlèrent de sport tandis que les filles parlaient de leur sortie.

Jane et Mary étaient toutes excitées de casser la routine journalière, le ménage, les courses.....

Justement les filles voulaient passer du temps avec elles, elles voulaient discuter avec leurs mères sans avoir à se soucier des tâches quotidien-nes et de toutes ces petites choses qui remplissaient les vies de leurs mères.

Elles évoquaient ce qu'elles allaient emporter, Sharon venait de recevoir une caméra digitale comme cadeau d'anniversaire, elle mourait d'envie de l'essayer, et Marie l'informa qu'elles prendraient aussi leur caméra vidéo.

Sharon demanda à sa mère s'il y avait un endroit où nager, Jane lui ré-pondit que son amie avait mentionné que le terrain qui convenait était situé au bord d'un lac.

Le lendemain Jane Marie chargèrent la camionnette avec toutes les choses dont elles auraient besoin : les tentes, les sacs de couchage, un réchaud à gaz deux petits réfrigérateurs à gaz et des ghlacières pour stocker la nourriture qu'elles achéteraient de bon matin le lendemain.

Il était 6 heures lorsqu'elles placèrent les derniers sacs de glace dans les glacières le lendemain matin, Marie sait qu'elle croyait qu'ils n'avaient rien oublié, et elles s'entassèrent dans la camionnette.

Elles écoutaient de la musique en roulant, parlaient de choses et d'au-tres.

Le temps passa comme un éclair, elles furent bientôt à la frontière des deux états, Jane annonça alors qu'il valait mieux qu'elles fassent le plein de gas-oil.

Elle arrêtèrent dans une petite station essence où elles déjeunèrent.

Puis Marie alla acheter quelques friandises à l'épicerie tandis que Jane faisait le plein.

Sharon et Sue se rendirent de concert aux toilettes.

Jane qui venait de terminer de faire le plein était remontée dans le van, lorsqu'arriva un groupe de 6 motards.

Ils ma regardèrent comme on regarde une friandise, Jane espérait que Marie et les filles seraient bien vite de retour, lorsqu'un des motards s'approcha de la camionnette jeta un oeil sur le chargement et constata qu'elles allaient camper, Jane se contenta de répondre oui, elle ne vou-lait pas lier conversation avec lui, lorsqu'il ajouta :

- Et où allez-vous?

Elle lui répondit assez sèchement :

- Chez des amis!

Regardant par-dessus son épaule, elle vit arriver Marie chargée d'un sac plein de fournitures, ne manquaient plus à l'appel que les filles pour qu'elle reprenne leur route.

Sharon et Sue sortirent alors des toilettes, elles riaient et gloussaient joyeusement, jusqu'à l'instant ou démarrèrent les sifflets.

Un des motards hurla :

- Hey mes chéries, voulez faire un petit tour sur nos motos!

Sur ces mots ils se saisirent de leurs parties génitales et poursuivirent :

- A moins que vous ne préfériez un bon coup de bite!

une des poupées qui les accompagnait ajouta :

- Que je sois maudite, ne serai-je plus bonne à rien maintenant que tu me l'as mise dans le cul la nuit dernière?

Les filles s'arrêtèrent net en jetant des regards affolés sur ce ramassis de grossiers personnages.

Les "motardes" ne semblaient guère plus affables que les hommes, ac-cablées elles les écoutaient hurler :

- Je parierai qu'elles sont encore pucelles!

- C'est juste des petites filles à leur maman!

Jane les pria de foutre la paix aux filles qui se ruaient dans la camion-nette.

Lorsqu'elles démarrèrent, un des motards se gaussa :

- On se reverra mesdames dès qu'on en aura l'occasion et que vous pourrez nous consacrer plus de temps!

Le chef de la bande paya leur gas-oil et deux caisses de bière qu'ils emmenèrent.

Il commenta :

- Je sais où se rendent ces mignonnes!

Un de ses compagnons lui demanda alors où elles allaient à son avis.

- J'ai entendu les deux petites mignonnes parler, dans les toilettes, de l'endroit où elles se rendaient... Il s'agit du lac rouge, rappelez-vous les gars, on y a campé jusqu'à ce les flics nous éjectent, un mec s'était plaint d'avoir loué la totalité des lieux et ne supportait pas notre présence!

- Ouais... Je m'en rappelle très bien... Ceci dit, on pourrait peut être jeter un oeil sur elles à la nuit tombée!

Jane confia à ses amies :

- Je suis vraiment heureuse que nous en soyons tirée à si bon compte! ... Les filles regardez s'ils nous suivent!

Les filles jetèrent un oeil au travers du hayon et affirmèrent que per-sonne ne les suivait.

- Bien... Alors tâchons de les oublier et de ne plus penser qu'au plai-sir qu'on va prendre!

Jane trouva le raccourci que lui avait signalé son amie

Ils couvrirent encore 5 kilomètres, franchirent une colline, le lac se trou-vait au pied.

- Nous sommes arrivées! Constata Jane un sourire aux lèvres.

- Tout le monde dehors!

Jetant un coup d'œil circulaire Marie commenta :

- Cet endroit est magnifique Jane, je suis vraiment très heureuse que tu l'ais trouvé!

Les filles étaient déjà arrivées sur les rives du lac lorsque Jane les rappela à l'ordre :

- Revenez ici les filles on doit monter les tentes et nous installer, vous aurez bien le temps d'aller nager cet après-midi.

En un rien de temps la camionnette fut déchargé et les tentes dressées.

Sharon et Sue demandèrent :

- Peut-on aller nager maintenant?

- Bien sur les filles, changez-vous dans la tente.

Sharon enfila un petit bikini et Sue un adorable maillot une pièce, elles annoncèrent alors qu'elle rejoignait le lac.

Jane accepta leur rappelant cependant de rentrer à l'heure du souper.

Une fois que les filles se furent éloignées, Jane et Mary s'installèrent sur les transats qu'elles avaient pris la précaution d'emmener.

Elles discutaient de tout et de rien lorsque Mary l'informa soudain :

- On pourra construire un feu ce soir, j'ai acheté de quoi construire un âtre à la station essence.

Les motards roulaient sur l'autoroute lorsque le chef leva la main leur faisant signe de s'arrêter.

Il désigna du doigt les traces récentes laissées par la camionnette en quittant l'autoroute.

- Vous deux grimpez an haut de cette colline, cachez b vos motos et surveillait les lieux!

- Nous vous attendrons ici.

La bande se rassembla autour de son meneur qui leur annonça :

- Je veux donner une bonne leçon à cette pute de bourge coincée du trou du cul! ... Puisqu'elle a refusé de me parler, elle me dévoi-lera ses charmes!

Les deux motards revinrent annonçant qu'elles avaient installé leur camp au pied de la colline.

- Les deux vieilles se reposent assises dans des transats, les plus jeunes nagent dans le lac, y'en a une des deux qui portent un bikini qu'on ne trouve que dans les magazines hots!

- C'est bon, on n'a plus qu'à attendre la tombée de la nuit, planquez les motos dans ce champs et recouvrez les avec des branches qu'on ne les voient pas de la route!

- Installez quelques bûches en travers du chemin juste au cas où elles chercheraient à s'enfuir ainsi, de toute manière cela interdira à des gêneurs de venir nous ennuyer!

Il faisait presque nuit lorsqu'elles terminèrent leur souper assises autour du feu.

Mary demanda aux filles :

- Que pensez vous faire en sortie de fac? Sharon répondit qu'elle aimerait faire une carrière de modèle, alors que Sue espérait trou-ver du boulot dans une importante société.

Jane poursuivit :

- J'espère que vous réaliserez vos vœux, nous sommes si fières de vous!

Mary ajouta qu'elle portait toujours la médaille porte-bonheur qu'elle avait acheté lorsqu'elles étaient scoutes, elle les avait toujours protégées jusqu'ici!

Elles ignoraient totalement qu'on les épiait du haut de la colline.

- Allez les gars, je crois qu'il est temps qu'on leur fasse la petite vi-site qu'on a convenu ente-nous!

Ils attendaient tous cet ordre chuchoté!

- On va descendre silencieusement pour leur couper la retraite vers les bois, vous mes salopes vous allez suivre le chemin, je voudrai bien voir leur tête quand elles vous verront arriver!

Comme les bimbos des motards approchaient du camp l'une d'entre el-les leur hurla :

- Regardez qui vous arrivent, celles que vous avez taxées de chien-nes enragées à la station essence!

Jane et Mary leur jetèrent un regard effrayé, Jane hurla tout de suite aux filles de s'enfuir dans les bois!

Puis elles se ruèrent vers le van, elles l'avaient presque atteint lorsqu'un des filles chopa Jane par les cheveux la tirant violemment en arrière.

Mary sauta dans la camionnette et ferma les portes à clef, c'est alors qu'elle réalisa qu'elle n'avait pas les clefs du véhicule!

Sharon et Sue fuyaient à toutes jambes vers les bois, mais juste au mo-ment où elles y parvenaient, les motards leur sautèrent dessus et les at-trapèrent.

Elle se débattirent mais un motard à chaque bras, ils les ramenèrent manu-militari au camp encerclé par les bimbos des motards.

Le chef se rua sur vers la fille qui tenait Jane, il la saisit par les cheveux et la poussant contre le mur il pressa son visage contre la vitre du passager lui tordant douloureusement le visage.

Il sortit un couteau de sa poche qu'il approcha de son visage.

- Et maintenant ma p'tite dame ouvre ta porte si tu ne veux pas que je balafre le visage de cette chienne!

Les mains de Marie tremblaient follement alors qu'elle tendait la main sur le bouton débloquant les portières le chef attrapa Jane et la jeta dans les bras d'un de ses comparses.

Marie ouvrit lentement sa porte, avant qu'elle ne soit entièrement ou-verte, il l'empoigna et la tira violemment à l'extérieur du véhicule.

Elle tomba au sol, il utilisa alors ses pieds pour lui écarter en grand les cuisses, il regardait vicieusement le fond du petit short de Marie souli-gner sa foufoune.

Jane intervint le sommant de la laisser tranquille.

Le chef, qu'ils appelaient tous le Taureau jeta un oeil vindicatif sur Jane, il s'approcha lentement d'elle, un motard la tenait fermement bras rabat-tus dans le dos.

Il la reluqua de la tête aux pieds puis lui colla un violent uppercut dans l'estomac.

Les genoux de Jane plièrent, elle serait tombée au sol si le motard qui la tenait ne l'avait pas aidée à rester debout.

- Chienne t'as vraiment une grande bouche! .... Mais je déteste cette façon de t'en servir, on va l'utiliser tout autrement!

Puis il ordonna à son sbire :

- Lâche-la!

Jane tomba à genoux cherchant à retrouver son souffle.

Le Taureau descendit la fermeture éclair de sa braguette et sortit sa queue, il tendit ses deux mains agrippant la brassière de Jane qu'il fit passer au-dessus de sa tête, il lui arracha ensuite son soutien-gorge.

Jane secouait la tête en signe de protestation il intervint :

- Je suppose que tu voulais que ce soit moi qui te l'enlève!

Sharon à son tour hurla :

- Laissez tranquille ma mère!

- Ta gueule petite, ton tour va venir! .. Pour l'instant j'apprends cette chienne à se taire tant que personne ne lui demande de par-ler!

Il releva la tête de Jane en lui tirant les cheveux et poursuivit :

- Et maintenant ouvre ta bouche en grand!

Jane s'obstinait à tenir ses lèvres closes alors que le Taureau promenait son gland poisseux sur son visage.

Il adorait voir cette peur panique qui s'affichait sur son visage.

- Tu ne veux pas ouvrir la bouche ma p'tite dame... Peut-être bien que je parviendrai à te faire changer d'avis!

Il fit un signe à l'homme qui tenait fermement Sharon, ce dernier lui tordit violemment le bras, Sharon poussa un cri de douleur.

- Et maintenant ouvre ta bouche ou il lui pête le bras!

Jane n'avait pas le choix, elle ouvrit en grand sa bouche, immédiatement le Taureau fourra sa grosse bite dedans

- Et maintenant taille-moi une pipe! Lui intima-t-il avec autorité.

Jane allait et venait de la bouche sur sa bite tendue, lui taillant une plume selon ses ordres.

- Mets-y un peu plus d'enthousiasme! Grogna-t-il saisissant sa tête entre ses mains pour s'enfoncer au fin fond de sa gorge, Jane écarquillait ses yeux cherchant désespérément de l'air.

Mais il la maintenait le nez fourré dans sa toison.

Elle lançait inutilement ses jambes en tous sens, il la libéra enfin un peu qu'elle puisse reculer sa tête pour aspirer un bon bol d'air.

- C'est comme ça que tu suces les bites? ... Je veux que mainte-nant tu me suces de toi-même, en faisant des efforts pour me su-cer de ton mieux!

Jane s'escrima à lui faire plaisir, elle l'emboucha et chercha à l'enfoncer dans sa gorge, mais elle se mit tout de suite à étouffer.

Etouffant et crachotant, elle releva la tête.

- Recommence! Lui intima sèchement le Taureau.

Jane essaya de reprendre son souffle, de calmer les battements de son cœur et cette fois elle parvint à enfourner totalement son épieux.

Il la félicita :

- Je savais que tu pouvais y arriver!

Jane sentait sa mentule battre entre ses lèvres, pulser dans son arrière-gorge, puis elle sentit des jets de foutre chaud gicler directement dans sa gorge, elle n'avait pas d'autre choix que d'avaler sa semence!

La bite de Taureau projetait encore des gerbes de semence lorsqu'il se retira de sa bouche, les derniers geysers s'étalèrent sur son menton.

- Tu as déjà fait de gros progrès, mais quand tu en auras fini avec ces garçons, je suis sur sue tu suceras comme une pro!

Et comme il se reculait, Jane vit que six autres motards faisaient la queue dans son dos.

- Non, je vous en prie..... Je ne pourrai jamais sucer autant de bites à la suite!

- D'accord répliqua le Taureau, mais alors ce sera ta file qui va s'oc-cuper d'eux!

- Non, vous ne pouvez pas lui faire faire ça! Hurla Jane affolée.

- Je les sucerai tous, mais s'il vous plait je ne veux pas qu'elles me voient faire! .... Laissez partir nos filles et je ferai tout ce que vous voudrez!

- De toute façon tu feras ce que je t'ordonnerai de faire, et mainte-nant commence à les sucer et avale toute la fumée si tu ne veux pas entendre mes gars prendre leur plaisir avec ta fille! ... As-tu bien compris?

Jane hocha affirmativement la tête et se pencha sur la bite que le pre-mier motard offrait à sa convoitise.

Le Taureau dirigea ses pas vers Mary qui était toujours allongée au sol.

- Lève-toi! Lui intima-t-il sèchement.

Et Marie se releva lentement, il lui colla alors un solide coup de poing dans le plexus, elle retomba au sol souffle coupé et se recroquevilla en position fœtale.

- Lorsque je t'ordonne de faire quelque chose, tu obéis rapidement! ... Et maintenant lève-toi!

Mary se releva aussi vite que possible, elle ne voulait surtout pas qu'il la frappe à nouveau.

Elle se tenait penchée en avant la main massant son estomac, le Tau-reau éructa alors :

- C'est un peu mieux!

- Et maintenant je veux t'entendre dire que tu veux que te saute!

- Non, répliqua-t-elle, je ne veux pas vous me sautiez, et je ne veux pas dire que je le veux!

- J'aurai parié que c'était ce que tu allais me répondre! ... Brian tiens bien la mère! ..... Stomper traîne la fille jusqu'à la tente et fous la à poil... On verra bien si maman va changer d'avis en voyant voler les vêtements de sa fifille!

Stomper traîna la fille dans la tente comme le lui avait ordonné son chef, elle hurlait :

- Laissez-moi..... Vous n'avez pas le droit..... Je vous en prie!

Mary ne pouvait pas voir ce qu'il lui faisait dans la tente, mais elle l'en-tendait lui hurler d'arrêter.

Elle entendit claquer quelques gifles, des bruits de lutte, des bruits de déchirure et elle vit voler sa brassière hors de la tente.

De nouveau des bruits de bagarre, des refus étranglés et cette fois c'est son short qui atterrit sur sa brassière, puis ce fut son soutien-gorge.

Mary intervint alors suppliant le Taureau:

- Je vous en prie, dites-lui d'arrêter.

- Je ne le peux, il n'y a que toi qui puisse le faire arrêter!

La petite culotte de Sue vola dans les airs se posant sur le tas de vête-ments devant la tente, Sue hurlait maintenant :

- NON, NON, NONNNNNNNN! ..... Pas ça!

Mary cria alors :

- D'accord, d'accord, je veux que me baisiez!

Sue criait de plus belle dans la tente alors que le Taureau rétorquait :

- Je ne peux pas te baiser toute habillée!

Mary se dépouilla de ses vêtements aussi vite qu'elle le put.

- Dites-lui d'arrêter maintenant!

- Je ne t'ai pas encore baisé! ... Et je ne peux as te baiser tant que ma bite sera molle!

Mary se jeta à genoux, prit la bite du Taureau en main et l'emboucha prestement.

Elle le suça consciencieusement, vigoureusement, enfin elle sentit sa mentule se déployer entre ses lèvres.

Elle entendait toujours sa fille hurler:

- Pas ça! ...... Sortez votre pénis de mon sexe! .... NONNNNN!

Il l'allongea sur le dos à même le sol.

- Venez! ... Baisez-moi, mais dites-lui de cesser de faire souffrir ma petite fille!

Le Taureau se laissa tomber à genoux et releva les jambes de Mary à hauteur de ses épaules, d'une main il guida son épieux dans sa foufoune, il le promena de bas en haut dans sa fentine et constata illico que sa chatte était sèche.

Cela lui importait peu finalement.

D'un terrible coup de boutoir il plongea la totalité de son chibre dans sa chagatte rétive, il lui sembla qu'il la pourfendait en deux tant la douleur fut vive.

Il faisait coulisser âprement sa grosse bite dans son chenal élargi, Mary ne pouvait empêcher son corps de s'accommoder de son envahisseur, puis de répondre lentement à ses assauts, un flot de cyprine détrempa soudain sa cramouille, le Taureau la baisait maintenant en profondeur, enfonçant sa bite de toute sa longueur dans sa moule qui s'éveillait.

Mary tentait de cacher son émoi grandissant le suppliant d'en terminer rapidement.

Le Taureau tendit la main et empoigna ses nibards qu'il tordit jusqu'à la faire hurler de douleur.

- J'adore faire crier de douleur les filles, cela complète à ma jouis-sance!

Le Taureau la labourait à couilles rabattues depuis qu'il avait senti son émoi.

Mary se décontractait, elle était sous pilule et ne risquait donc pas de se faire engrosser!

C'est alors que les hurlements de sa fille reprirent elle supplia de nou-veau le Taureau :

- S'il vous plait, j'ai fait ce que vous vouliez, maintenant dites-lui de laisser ma petite fille tranquille!

Le Taureau hurla :

- Stomper en as-tu fini avec la petite chienne?

La réponse claqua, claire et nette :

- Pas encore!

- Dis-le-moi quand tu en auras terminé avec elle!

Mary criait :

- NON, NON, NONNNNNN vous aviez dit que vous lui ordonneriez d'arrêter si je baisais avec vous!

- C'est vrai, mais Stomper est comme un frère pour moi! .... Je ne serai pas un bon chef si je ne le laissais pas terminer ce qu'il a commencé!

Stomper était sur le point de jouir alors que Sue secouait la tête de droite à gauche marmonnant :

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