Le Cameraman 02

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3
Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 4 pièces

Actualisé 05/19/2024
Créé 05/04/2024
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A deux cents mètres du pavillon, dans le bar des amis, Bob montre son film à ses amis et il demande leur avis.

- C'est un très bon film porno et c'est ta femme qui fait la star? - Oui! C'est ma Marie, elle a aimé ça. - Si tu veux faire un gang-bang? Nous, on peut te donner un coup de main? Heu! De bite! Ah ah! - Ouais! Si le voulez le faire, je ne suis pas contre. - Tu peux compter sûr nous! C'est fait pour ça les amis! - Je ne peux pas vous payer. C'est moi qui fournis ma femme.

Benoît et ses cinq amis se dirigent vers la maison du couple. Arrivé devant la porte de la maison, Pierrot demande. - Eh, elle est d'accord pour un gang-bang? - Je ne lui ai encore rein dit! Mais? A tourné la première vidéo lui a bien plu. Dans la maison, Marie s'interroge? Il m'a téléphoné pour que je mette une robe sexy? Il doit vouloir encore faire un film X? Par bravade, Marie n'a pas mis de sous-vêtement.

Dring, dring.

Marie ouvre la porte? Elle voit Bob avec cinq hommes.

- Chérie! J'ai une proposition à te faire? Tourner un autre petit film avec mes copains cette fois? - Tu veux dire? Un autre film porno? - Oui? C'est ça, oui. - Mais tu as perdu la tête? Demander ça moi ta femme! Quelle honte! - NON! NON et NON! Un point c'est tout!

Bob connaît le refrain. Dans un murmure, son mari lui rappelle le plaisir qu'elle a pris lors de la première séance. Il lui en promet de plus fort et plus nombreux.

, Il la pousse à l'intérieur et rentre dans la maison avec ses cinq copains. Elle croit, qu'elle va mourir de honte, néanmoins elle ne réagit pas. La raison voudrait qu'elle s'enfuit, mais l'émoi qui envahit son bas ventre lui commande le contraire. - Bon, qu'est-ce que je vous disais, les amis. Aller, tous à poil! Bob va chercher la caméra avec le trépied. Les cinq amis entourent Marie et la tripotent partout, ils la pelotent. Deux ont l'audace de lui passer sa robe par-dessus la tête. Ils sifflent d'admiration devant son absence de sous-vêtement.

Elle s'abandonne dans un mélange d'abjection et d'excitation à sa grande honte, les tripotages des gars l'ont quelque peu allumée et la vue de leurs sexes n'a fait qu'exacerber le désir obscène qui l'envahit. Elle se sent aussi humiliée qu'excitée et de la mouille coule le long de ses cuisses. Bob installe le trépied et vient vers sa femme. Il la pousse irrésistiblement vers le canapé, ses jambes toutes molles ne résistent pas. Elle est trop excitée pour réagir. Il l'allonge sur le dos, le cou sur l'accoudoir avec la tête en arrière dans le vide. La position s'arrange si bien, qu'elle offre sa bouche à la première bite venue.

Un homme s'agenouille à l'autre accoudoir du canapé. Il lui écarte les jambes et colle sa bouche sur la moule baveuse de Marie. Elle est très excitée, quand ils se rendent compte de son état, elle croit mourir de honte. Un autre lui présente sa queue sur ses lèvres. Elle ouvre la bouche et aspire la queue dans sa gorge.

Elle mouille déjà et la langue du gars fait fondre sa moule et ses dernières réticences. Sa langue a mis le feu à son ventre, il lui tarde maintenant qu'une queue vienne éteindre l'incendie. Celui qui lui baise la bouche, comme il l'aurait fait dans sa moule, ses râles annoncent son plaisir qui déferle au fond de sa gorge.

Elle n'a pas d'autre choix que d'avaler sa jouissance. Elle l'essore le plus possible, son jus a un bon goût. Elle s'étonne même de son comportement.

D'un coup d'œil en coin, elle voit qu'avec sa caméra, Bob n'en a pas perdu une miette. - Bien! Voilà, tu vas commencer à goûter leur queue. A moins que tu désires à présent abandonner? Quémande le mari. - OH! Non! Je désire goûter à toutes leurs queues? Je continue par la plus longue et j'aime aussi les grosses. Rassurez-vous les amis.

Elle les a prises les unes après les autres. Même son mari y a droit. Un ami a filmé pendant qu'elle boit la jouissance de son homme.

Marie mouille comme une salope en pensant à ce qu'il l'attend après. Une fois qu'elle a bien essorée son mari. Il lui demande de laisser la place sur le canapé. Dès qu'elle se lève, un gars vient s'allonger dessus, la queue tendue vers le ciel. - Vient t'empaler sur son dard, proclame Bob. - OH! Avec le plus grand plaisir, mon chéri! Elle vient enjamber le gisant qui tient bien sa queue en l'air.

Une fois sa queue bien rentrée dans le puits d'amour de la Marie. Il lui attrape la tête et colle sa bouche à la sienne. Ils se roulent une pelle mémorable. En les filmant, Bob a un pincement au cœur. Un autre vient poser à l'entrée de son boyau, sa queue lubrifiée avec de l'huile d'olive de la cuisine.

Il force son petit trou de balle.

Elle est tellement excitée, qu'elle n'a même pas ressenti la douleur de son premier sandwich avec deux vraies queues. C'est la première fois qu'elle prend une bite réelle dans le cul. C'est moins désagréable qu'elle le pensait, bien au contraire.

L'œil rivé sur l'œilleton de la caméra, qu'il bande de nouveau. Un autre, plonge ses doigts dans la chevelure de la Marie. Il la dessoude de la bouche du gisant. - Tu vas t'occuper de la mienne avec ta jolie bouche.

Bob est aux anges. Il filme sa Marie prise dans ses trois orifices. Ils sont bien remplis. Elle branle aussi les deux autres qui attendent leur tour, pour la prendre.

Marie est follement excitée, elle est au paradis. D'autant plus qu'elle voit les deux autres qui se branlent en attendant leur tour.

Quand elle sent les deux grosses bites aller et venir dans son ventre, elle hurle de plaisir. Elle a un deuxième orgasme quand ils éjaculent dans ses deux paradis. C'est de se sentir remplir, de sperme chaud, qui l'a fait jouir.

Elle éprouve une joie sordide à être ainsi offerte à des inconnus par son mari. Ils la prennent par tous ses trous, ils permutent pour les essayer. Sa chatte et son anus sont irrités, mais ça ne l'empêche pas de jouir tout de même.

Lorsque le dernier s'est libéré pour la seconde fois dans son ventre. Elle est complètement épuisée par ce qu'elle vient de subir et de jouir. Quand, ils sont tous partis, Bob pose sa caméra et présente sa queue à la bouche de sa femme. Elle la prend en bouche amoureusement. Il souhaite qu'elle lui taille une pipe et avale sa jouissance. Car ses deux paradis débordent de sperme et sont rougis et enflammés.

Quelle soirée ! En quelques heures, Marie s'est fait emmancher par des bites de beaux calibres et a avalé de belles quantités de sperme. Elle a découvert son penchant pour la sodomie. Elle s'est fait défoncer les trois trous par le plus beau spécimen de queue, qu'elle ait vu à ce jour.

En quelques mois, Marie a changé, elle a pris goût à être partagée à plusieurs hommes. Marie s'est rendu compte qu'elle a besoin d'être soumise à plusieurs hommes en même temps, pour ressentir beaucoup plus de plaisir.

Sous le jet relaxant de la douche bien chaude, Marie a bien du mal à oublier la défonce qu'elle vient de subir. Bien que sa mâchoire soit un peu endolorie, elle se ferait bien encore trois ou quatre queues supplémentaires. Elle commence à se toucher la chatte, rien qu'à repenser aux belles queues de qui l'ont fait jouir. Elle mouille déjà,

- Mais quelle traînée, tu fais ma fille? Se dit-elle, le sourire aux lèvres.

De sa main libre, elle se caresse les lèvres charnues en repensant à tout le sperme, qu'elle a pu avaler depuis que son mari a une caméra. Mais, elle va lui faire payer d'une façon ou d'une autre.

Ses grandes lèvres s'ouvrent de nouveau sous ses propres caresses, elle s'enfile un doigt dans la moule, se cambre un peu et descend sa deuxième main vers sa petite rondelle pour se mettre un doigt dans le cul. OUH! OUU? Elle pourrait se faire jouir de nouveau si elle continue.

Le sourire aux lèvres, elle extrait ses deux doigts de ses orifices, se savonne bien partout pour bien nettoyer tout ce sperme, tout en luttant pour ne pas se masturber à nouveau.

( Je vais devenir accro à la baise à plusieurs si ça continu !) Pense-t-elle. Elle sort de la douche, s'essuie bien partout et s'assure tout de même de l'état de sa chatte et de son trou du cul. ( Ils m'ont bien labourée, j'espère qu'ils ne m'ont pas trop déchirée? ) Elle est surprise de constater que son vagin et son petit trou ont tous deux retrouvé leur taille normale. Ils ne sont ni distendus, ni douloureux, même après avoir subi les assauts de ces bonhommes. ( C'est peut-être parce que je mouille beaucoup de la chatte )

Suite à ce gang-bang débridé, Marie reste plus d'une semaine en abstinence pour se remettre. Mais le goût du sexe est le plus fort et revient à grands pas.

Bob pense que sa femme a aimé servir d'objet sexuel à plusieurs hommes et qu'elle recommencera s'il s'est la convaincre.

Mais, pour qu'elle le refasse, il y a deux problèmes à résoudre. Il ne veut pas le refaire avec les amis du bar. Car ils la prendraient pour une vulgaire pute. Il faut qu'il trouve plusieurs mecs disponibles en même temps et qu'ils acceptent d'être filmés. Il faut trouver un autre lieu que leur pavillon, pour accueillir les ébats de sa femme et de ses hommes. Soudain, il pense au chantier de construction d'une résidence situe dans le quartier. Il doit y avoir assez d'ouvriers pour la satisfaire et le bungalow de chantier peut servir de lieu pour la séance de baise. Le lendemain, Bob se rend sur le lieu de la construction et demande à parler au chef de chantier.

Le chef lui demande le motif de sa venue. Bob montre un extrait de sa dernière vidéo et lui explique qu'il souhaite en faire une autre plus harde. Le projet l'intéresse et cela permettra à ses ouvriers de se vider les couilles. La plupart sont de nationalité étrangère et ils n'ont pas souvent l'occasion de se dégorger le poireau. Par contre, Bob exige de voir les documents prouvant que les ouvriers sont sains. Et, surtout, il faut qu'ils acceptent qu'il puisse filmer le gang-bang pour sa soi-disant vidéothèque. Il lui répond par l'affirmative et lui dit de revenir le surlendemain le temps de réunir les documents prouvant que les ouvriers seront sains.

Deux jours plus tard, Bob retourne au chantier. Le chef lui prouve l'absence de SIDA et autres MST sur les ouvriers. Dans un comment accord, la chef l'autorise à venir avec sa femme vendredi en fin d'après-midi. Cependant, ils doivent passer par l'arrière du chantier afin que les ouvriers ne les voient pas arriver. Le bungalow le plus propre du chantier servira de baisodrome. En rentrant à la maison, en mari avisé, il regarde avec Marie, la vidéo du Gang-bang. Il glisse sa main dans le string de sa femme et constate qu'elle mouille en regardant ses exploits. Après avoir fait l'amour sur le canapé, Bob proclame à sa femme. - Tu as encore envie de te faire baiser par plusieurs gars? - Mouais? Mais, pas avec tes amis de bar.

- Pourtant, tu as bien joui avec eux?

- Oh! Oui! Mais, avec eux! C'est NON et NON!

Bob lui a promis de trouver d'autre partenaire pour une nouvelle vidéo. Après avoir regardé une nouvelle fois la vidéo, elle accepte d'en faire une autre. Le vendredi Bob demande à sa femme de se raser soigneusement la chatte et l'anus et de vêtir que seulement d'une robe. Elle enfila un long imperméable pour cacher sa robe tops courte et ils se dirigent vers le chantier.

Arrivés dans le bungalow, il y a là, un clic clac déplié et une table. Bob suggère à sa femme de se mettre en levrette le cul tourné vers la porte afin que les ouvriers aient une vue imprenable sur sa chatte et son anus lorsqu'ils rentreront. Elle accroche son imper à la poignée d'une fenêtre. Elle monte sur le canapé se met à quatre pattes, en prenant bien soin d'ouvrir largement les jambes pour exhiber son sexe et son anus. Bob vient passer deux doigts entre les de sa moule. Rassuré, il les retire tout couvert de ses secrétions intimes.

Marie est bien excitée par l'idée de se faire baiser dans ses puits d'amour par des bites inconnues. Bob lui propose de mettre un loup sur ses yeux? C'est pour conserver son anonymat, pour qu'elle ne soit pas harcelée dans la rue par les ouvriers. Pour ses conditions là, elle accepte. Ensuite, il regarde discrètement par une fenêtre et entend le chef de chantier annoncer à ses ouvriers, que la femme qu'il leur offre à la condition, qu'ils acceptent d'être filmé. Qu'elle les attend dans le bungalow. Ils rentrent donc dans le local et marquent un temps d'arrêt devant la vision de Marie offerte pour leurs queues. Bob met alors en route la caméra. Ils se déshabillent rapidement en poussant des cris de joie et sa femme se retrouve entourée d'une dizaine de bites en érections.

Le corps de Marie est parcouru par des dizaines de mains et ses orifices fouillés par de nombreux doigts. Sa bouche est vite envahie par une queue et son paradis se retrouve rempli par une autre. Les deux hommes en manque jouissent rapidement. Elle a dû mal à avaler la jouissance de la queue qui inondent sa gorge. Marie est ensuite soulevée par des bras puissants et un homme se glisse sous elle. Elle est reposée sur la queue raide, qui lui remplit la moule. Un autre homme se met derrière elle et l'encule sans ménagement. Deux autres sexes envahissent sa bouche. L'homme en dessous, elle lui tète les seins en aspirant ses tétons. Il a une si grande bouche qu'il aspire la moitié de chaque sein dans sa grande gueule. Devant l'objectif, elle est en train de satisfaire quatre hommes à la fois. Celui qui la sodomise énergiquement jouit et aussitôt laisse sa place. Sous l'œil de l'objectif rapproché, l'allongé sous elle, lui remplit la moule de son plaisir. Bob zoome sur l'anus de Marie qui palpite de spasmes, ainsi que sa moule qui déborde du jus de baise sur les couilles de l'allongé.

Marie les suce à tour de rôle pendant que Bob filme la scène. Son mari en Maître de cérémonie anime et gère le gang-bang. Marie a la tête qui tourne, elle ne sait depuis combien de temps, elle se fait prendre par les uns ou les autres. Elle ne sait plus lequel est dessus ou dessous. Non seulement ses baiseurs sont bien montés, mais en plus, ils sont endurants. Ils lui font aussi une double vaginale, ce qui lui procure la sensation d'être remplie de façon fabuleuse. Si bien qu'après plusieurs orgasmes, totalement épuisée, elle demande une pause. Marie est dans un autre espace temps et incapable d'avoir la moindre notion de temps passé à jouir dans ce bungalow.

Après avoir pris une pause pour boire. Deux bronzés très bien montés s'approchent du canapé. L'un d'eux s'allonge sur le canapé la queue déjà dressée. Il fait signe à Marie de venir le chevaucher. Il veut aussi baiser avec la femme, quand il agite sa bite devant Marie, elle l'attrape et lui fait une fellation d'enfer, sa langue tourne sur le gland, elle suce ses couilles et pompe le gland, Bob est épaté, putain Marie qui lui a appris à sucer comme ça?

Pendant qu'elle suce le bronzé, et qu'elle a le fessier en l'air. Un autre lui met sa grosse queue bien dur dans son vagin. Il lui saisit les hanches et s'en sert pour faire aller sa queue au fond du paradis de Marie. Il la bourre rapidement, il veut lâcher la purée dans sa chatte, voilà, il jouit en éjaculant dans sa grotte d'amour. Il ressort, une grosse traînée de sperme coule hors de sa moule encore bien ouverte. Un autre prend sa bite et la fourre dans sa moule baveuse, il lui prend aussi les hanches et la tire pour baiser la femme bien profond. Il est encore plus brut que l'autre, un animal en rut. Marie reçoit ses coups de boutoir dans sa grotte, qui est bien rouge à présent, dans un grognement, il jouit et son sperme coule du puits d'amour de la femme.

Un autre fait tremper sa queue dans le sperme de ses collègues. Ensuite, il met son gland devant son anus et s'enfonce dans le boyau de la femme. Elle râle, mais celui qui vient de la baiser, lui met sa bite gluante dans la bouche. - Tient et suce ça, bouffe mon sperme! Après tu resuces mon pote. Marie gobe ce membre dégoulinant de foutre, sa langue passe dans tous les recoins pour avaler le sperme. Celui qui l'encule s'excite comme un malade dans son cul. Il y a une mousse brunâtre, certainement du sperme mélangé à du caca, à l'entrée de son anus. Il la tire à lui et d'un grand coup de rein, il s'enfonce au maximum, ses couilles se crispent et il râle à chaque giclée, qu'il envoie dans le boyau de la femme.

Le bronzé abandonné se glisse à son tour sous Marie. D'un coup de rein, il enfonce son braquemart dans sa moule baveuse. Sous l'effet de la surprise un peu douloureuse, elle recrache la bite de sa gorge avec le sperme, qu'elle n'a pas avalé. Le bronzé du dessous donne trois coups de reins et se retire du paradis de la Marie. Il se recule légèrement, attrape le fessier de Marie à deux mains.

Elle le laisse descendre son fessier sur son braquemart qui s'enfonce dans son trou de balle. Elle râle de douleur à cause de la grosseur de l'engin. Mais, le sperme déjà présent dans son boyau facilite l'intromission de la queue. Après quelques va-et-vient dans son boyau, elle a l'air d'apprécier la sodomie par cette imposante queue.

Le deuxième bronzé monte sur la banquette lit. Il tient sa queue qui est aussi imposante que celle qu'elle a dans le cul. Son collègue du dessous écarte bien les fesses de Marie. Le nouveau venu pose sa queue sur le braquemart de son collègue et la pousse contre l'entrée du fondement de Marie déjà occupé.

- NON! Pas par là à deux!

Il commence à pousser sa matraque enduit de salive. - NON! AIE! BOB? NON PAS DEUX!

Les deux bronzés tiennent bien le fessier de Marie. La petite porte de son ventre résiste. Dès que le gland s'est introduit, il enfonce sa matraque lentement sous vociférations de douleur de la femme.

Il s'arrête sa progression, lorsque son pubis s'écrase sur les fesses de Marie.

Les autres, qui se sont rapprochés pour regarder cette intromission anale démesurée. Ils applaudissent cette colossale sodomie. Ma femme qui voulait se faire défoncer les orifices était servie avec ses grosses queues dans son cul et une autre de taille respectable dans son vagin. Après un moment d'inaction, on entend que Marie souffle sans bouger, en attendant la suite. Alors, de concert les deux bronzés commencent à bouger en cadence. Ils enculent Marie en cadence et bientôt contre toute attente, elle hurle sa jouissance de se faire si bien enculer.

Au bout d'une dizaine de minutes les deux bronzés qui l'enculent jouissent dans ses entrailles et laissent la place aux autres. Voyant son goût pour la sodomie et le cul offert, les trois arabes aussi enculent la femme tour à tour, ils déchargent leurs spermes. Elle a le cul rempli de sperme, qui lui coule le long des cuisses. Deux métisses la redressent et viennent prendre la femme. L'un la baise et l'autre l'encule, les deux métisses s'en donnent à cœur joie dans les trous de la femme mariée. Bob filme les arabes qui viennent de l'enculer et de lui remplir le ventre. Ils aident les deux métisses, un devant sa queue dans sa grotte. L'autre derrière la bite dans son cul. Ils baisent Marie, une vingtaine de minutes, leurs grosses queues crachent leurs spermes dans les puits de la Marie. Les quatre slaves qui n'ont fait que se faire sucer, reviennent sur Marie. Ils la baisent brutalement dans son vagin et son cul. Ils ont des bites énormes et ils vont à deux dans son paradis ou dans sa turbine à chocolat. Ils la font jouir et encore jouir tellement, que Bob en est jaloux.

Ils l'ont tous bien baisée pendant plus d'une heure. Quand les derniers ont déchargés. Bob filme en gros plan, la moue et l'anus de sa femme qui sont béants et laisse échapper des flots de sperme.

Le chef de chantier qui a assisté, sans consommer, demande à bob s'il peut la fister vaginalement et analement avec ses mains comme des battoirs. Elle est remise en position levrette et le se place derrière Marie.

Il commence par introduire une main dans le cul de Marie, cependant la rondelle résiste. Le chef pousse plus fort et le muscle cède ouvrant le passage à la main inquisitrice. Marie pousse un cri de douleur. Regardant l'objectif de la caméra, il continue sa progression jusqu'à avoir la moitie de son avant-bras dans les entrailles de la Marie. Il passe les doigts de son autre main entre les lèvres distendue de la moule de Marie. Il avance sa main qui disparaît facilement dans le puits d'amour de la mère de famille. Il arrête sa progression, lorsque qu'il touche le col de son utérus. Ensuite, il commence à la fouiller sans ménagement entrant et sortant de ses deux puits d'amour. La lubrification par le sperme facilite le coulissement des deux mains dans le corps de la femme.

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