Le Cadeau Imprévisible

En cette soirée de 14 juillet, je me dirige vers la maison de mon fils Alexandre. Ils m'ont invités, sa femme et lui à venir souper et profiter de la terrasse pour contempler le feu d'artifice. En effet, ils habitent une jolie villa avec piscine sur les hauteurs de Cannes, et domine toute la baie.

Je m'appelle Charles, j'ai 47 ans, veuf depuis un peu plus d'un an, ma femme ayant été emportée par cancer foudroyant. Mon fils unique et sa femme Brigitte on été d'un très grand réconfort.

Ils sont mariés depuis 3 ans, ils sont tous les deux âgés de 25 ans avec 2 mois de différence, mon fils est le plus jeune.

Alex me ressemble beaucoup, la même voix, 1m78, 2cm de moins qu ile moi, 70kg, les yeux marrons, brun cheveux courts, très musclé, il pratique le tennis, la plongée en apnée, la course à pied, et passionné de moto.

Moi, je fais donc 1m80, pour 75kg, pour le reste on est identiques, même dans la pratique des sports que nous pratiquons ensemble.

Ma belle fille est une très belle jeune femme, 1m68, pour 47kg, blonde naturelle, de grands yeux verts, légèrement maquillés, un bouche aux lèvres légèrement pulpeuses, les dents très blanches et régulières, un beau sourire et un petit nez aquilin. Une poitrine magnifique, des seins fermes en forme de poires, de petits tétons comme deux perles posées avec délicatesse sur les aréoles brunes. J'ai eu le loisir de les admirer, quand nous sortons en mer avec mon voilier, ma femme étant toujours seins nus, Brigitte à adoptée le même style de vie. Après, sous le petit, très petit slip de bain, on devine un jolis petit cul, posé sur de longues cuisses musclées. Elle court avec nous, pratique la danse dans une troupe amateur et la natation au club de Cannes.

J'arrive devant la villa, le portail est ouvert, je me gare, mon fils m'attend devant la porte. Il m'embrasse, tout comme moi, il est en short, et chemisette.

Il me fait entrer, sa femme est sur la terrasse, fini de mettre le couvert. Je la salue comme d'habitude en lui faisant la bise et je la félicite, elle est particulièrement jolie, un cache coeur tenu par deux liens, un noué derrière le cou, l'autre sur les reins, découvrant un dos nu bronzé, absence de soutien gorge bien évidemment. Il faut dire qu'elle n'en a nullement besoin, et n'en porte pas souvent. La jupe, est réduite à une bande de tissu plissé d'une vingtaine de centimètres, la ceinture reposant sur les hanches, laissant le ventre et le nombril apparent. Le bas de la jupe s'arrête à la limite de la décence, le moindre mouvement peut faire apparaître la culotte.

Comme je la regarde, elle rougit un peu, et mon fils souris. Elle est toujours très sexy, mais je trouve que ce soir, elle l'est particulièrement. On prend un apéritif, un kyr royal, la discussion est vive, l'atmosphère est détendue. La bouteille de champagne est vide. Le repas est des plus simple, crudités et viandes froides, Alex a ouvert une autre bouteille de champagne, prétextant qu'avec la chaleur, c'était préférable au vin. Au fur et à mesure que le repas avance, je sens que Brigitte est de plus en plus tendue, Alex dirigeant la conversation vers le sexe et certaines pratiques. Il sait très bien qu'avec sa mère, nous étions libertin, nous étions discret, mais avec le temps, et l'âge avançant il avait découvert nos jeux, vu le nombre d'amis qui venaient à la maison passer le week-end. Quoiqu'il en soit, à la fin du repas, il me dit qu'il aimerait bien voir sa femme avec un autre homme, et qu'elle est très désireuse de connaître le plaisir ressenti.

Je regarde Brigitte, elle est très embarrassée, les pommettes un peu rouge. Je leurs conseils, de commencer par aller dans un sauna mixte, je leurs donne une adresse, où nous allions avec sa mère. Je leurs dit également qu'il y a au Luc,dans le var, une boîte de nuit avec sauna qui organise des soirées. Il me répond, qu'ils ont été dans différents saunas, mais ils ont été déçus et que les hommes étaient souvent en pays conquis. Brigitte, pour une fois prend la parole et me dit qu'elle ne veut pas être prise pour une putain, où une femme facile. Alex lui fait signe de venir a lui, elle se lève,le rejoint. Elle est debout à côté de lui, il lui caresse la jambe, elle frémit.

_Ne la trouve tu pas belle?

_Si, bien sûr, tu est magnifique, et beaucoup d'hommes serait heureux de pouvoir t'aimer!

_Et..... et toi? Tu ne........ tu ne me trouve pas a ton goût?

C'est Brigitte, ma belle fille qui vient de me dire cela. Je n'en reviens pas, je ne sais que répondre.

_Tu sais, me dit mon fils, on n'en a beaucoup parlé, on a peur que avec un autre, il se passe quelque que chose que l'on ne voudrais pas, elle a peur de s'attacher, ou que lui s'attache, parce que l'on aimerait une relation durable, pas un coup d'un soir.

_Je comprends, mais dans l'optique que j'accepte, vous ne me verrez plus de la même manière, c'est irréversible, et je ne voudrais pas perdre la complicité que l'on a tout les trois. De plus, pour toi Brigitte j'ai plus du double de ton âge.

Tout en discutant, Alex a défait le lien derrière le cou de sa femme, et le cache coeur est tombé retenu à la taille. Elle me regarde droit dans les yeux et enlève le lien du dos, le vêtement tombe au sol.

Je la regarde, elle a des seins magnifiques, elle est un peu excitée, les mamelons pointent fièrement.

_Quand dit tu? papa, avoue que sur le bateau tu mattais souvent son cul? Elle te l'offre, va tu nous dire non?

Je reste sans voix, il a raison, j'aime bien la regarder, mais jamais je n'ai songé à la toucher,

_Pourtant, à voir la bosse qui déforme ton short, il n'y a pas d'ambiguïtés.

Les pensées se bousculent dans ma tête, je vois comme dans un rêve, ma belle fille, torse nu, se mettre à genoux devant moi, tirer sur mon short, sortir ma bite du slip, je me surprends même à lui faciliter la tâche, elle embrasse mon gland qui est déjà bien vigoureux comme l'a fait remarquer mon fils, et entreprend une fellation. Je comprends que c'est trop tard, j'ai abdiqué, je vais être son amant.

Le soleil se couche, je suis assis sur ma chaise, la queue dans la bouche de Brigitte, mon fils s'est couché par terre,sur le dos, la tête entre ses jambes et lui lèche la chatte.

Elle enroule sa langue sur ma hampe, aspire et suce mon gland, fait monter et descendre sa douce main, je respire de plus en plus mal, maintenant elle lache mon sexe, et l'enfonce au plus profond de sa gorge. Je lui prends la tête entre mes mains et lui demande d'arrêter, je ne veux pas venir dans sa bouche. Elle se tortille dans tous les sens, gémit sous la langue de son mari, elle retire mes mains, je réalise qu'elle est nue, Alex lui a ôté sa jupe. Je réalise qu'elle ne portait pas de culotte. Devant un tel spectacle, je viens au fond de sa gorge, de longues décharge de sperme épais, dû à la longue abstinence que j'ai subit. Elle avale le tout, me nettoie la bite consciencieusement. Enfin elle pousse de petits cris, jouissant sous la langue de son mari.

Il lui faut quelques minutes pour se relever, elle pose ses lèvres sur les miennes en s'appuyant sur mes épaules, un petit baiser chaste, elle dit:

_Merci, je suis heureuse et ton fils aussi.

Nous allons prendre le dessert, et on continuera après, dans la chambre.

Elle se dirige vers la cuisine, elle est restée nue, pas une seule trace de bronzage, je pense qu'elle bronze nue au bord de la piscine. Elle revient, un plateau avec des coupes de glaces entre les mains. Elle est rayonnante, un large sourire aux lèvres, les seins nus et pour la première fois je découvre sa chatte lisse, bien épilée, les petites lèvres juste apparentes entre les grandes lèvres luisantes de bave et de mouille. Ma queue se redresse doucement dans mon slip, je désire cette jeune femme, plus rien ne compte. Je déplace ma chaise et me place a côté d'elle, elle est entre mon fils et moi. On mange en silence. Dans la baie, en bas les lumières se sont éteintes, un bang sonore indique le début du feu d'artifice. Je prends de la crème glacée au bout de mon doigt et la dépose sur le mamelons de Brigitte, elle sursaute:

_C'est froid!!!!!

Aussitôt je suce le téton enduit de glace, le contraste du froid et du chaud lui font pousser une plainte lancinante. Alex nous regarde et fait la même chose avec l'autre seins, puis il pousse les coupes en bout de table, soulève sa femme et la couche de dos sur la table, aussitôt je lui enduit les deux seins et la chatte de crème glacée et nous la nettoyons avec nos langues, je me jette sur sa chatte, lape la crème, enfonce le plus profond possible ma langue vrillée, le froid et la chaleur de sa vulve me procure une sensation inouïe, elle de même, les seins pétris et sucès, elle tremble de tout ses membres et est terrassée par un orgasme incroyable, elle vocalise des:

_Hum.....hum.... Oui-Oui, je..,,non.... Haàaa!!!!

Le ciel est zébré de feux de toutes les couleurs. Alex soulève Brigitte, je rassemble deux matelas au bord de la piscine, il la dépose délicatement. Elle tend les bras, m'attrape par le coup :

_Viens, j'ai envie!

Je jette un regard vers Alex qui fait oui de la tête et s'assoit sur un fauteuil. En un tour de main, mon fils et moi-même posons nos habits et nous nous retrouvons nus. Je m'allonge sur elle, elle me tend les lèvres, nos langues se trouvent, s'enroulent, sa salive est douce, la sensation de ses petits seins fermes contre ma poitrine est merveilleuse. Ma bite frotte contre son ventre, je baisse mon bassin, le gland écart doucement ses lèvres, elle soulève ses hanches et vient au contact, ma bite s'enfonce inexorablement dans sa vulve, elle m'embrasse toujours, je suis planté en elle, mes bourses contre son cul, le gland bute sur l'utérus, on ne bouge pas savourant l'instant. Sa chatte est serrée et je sens palpiter ma queue. Je me retire doucement, sort complètement, puis recommence deux ou trois fois, avec le plus de douceur possible.

Alex se branle lentement, ses yeux brillent.

J'ai le sexe hors de sa chatte, mais cette fois, j'entre brutalement, faisant claquer mes boules sur son cul, elle pousse un cri, et écart ses cuisses en grand, alors je la possède avec fougue, lui cognant l'utérus à chaque fois lui arrachant un cri. je m'acharne littéralement sur ma proie, je passe une main sur un sein, et lui tire et triture le délicat mamelon, mon autre main se glisse entre nos ventre, et je vais chercher le clitoris, le frotte du pouce en mouvements circulaires, elle se cambre, me désarçonne presque et jouit dans des cris et des tremblements inouïs. Je passe mes deux mains sous ses fesses, la soulève vers moi, seul ses épaules touchent le matelas, et je me répands dans sa chatte. Sa tête roule de droite à gauche, puis elle ne bouge plus, elle est inerte respire bruyamment.

Mon fils se lève, les doigts pleins de son sperme :

_Waouh! Qu'est-ce que tu lui a mis, on en avait souvent parlé, et fantasmé, tu ne nous a pas déçu!

Brigitte se relève péniblement, elle vient vers Alex, lui prend un long baiser, lui dit qu'elle l'aime et le remercie, puis se laisse glisser dans la piscine, aussitôt rejointe par Alex. Je ne tarde pas à y plonger, l'eau est chaude, le feu d'artifice prend fin et la baie de Cannes reprend ses lumières. Je fais quelques brasses, je suis bien et savoure le fait d'être nu. Alex sort le premier et part chercher des serviettes, Brigitte est appuyée les bras sur les margelles. je me colle derrière elle, passe mon bras gauche entre la paroie du bassin et sa poitrine et la paume de ma main se referme sur son sein droit. J'apprécie l'élasticité de sa peau et le mamelon du sein gauche frotte sur mon avant bras me confirme la douceur de l'épiderme. Ma bite en semi érection se loge entre ses fesses :

_Tu as envie de passer par la!

Elle a dit cela en me passant son bras derrière elle, elle m'attrape le cou et m'embrasse sur la bouche.

Alex arrive avec les serviettes, on sort de l'eau, il essuie Brigitte qui lui dit:

_Tu a entendu chéri, Charles veux passer par la petite porte!

_C'est a toi de décider, tout est permis tout est question de consentement.

_Alors, montons dans la chambre, tu viens avec nous Charles?

Elle me prend la main, et celle de son mari, elle nue entre nous deux nus, et nous nous dirigeons vers la chambre. Elle nous fait assoir au bord du lit, se met a genoux et entreprend de nous sucer a tour de rôle, sa bouche et sa main en alternance sur nos queues, comme on recommence bien à bander, elle nous rejoint sur le lit. Elle se couche sur le dos les bras le long du corp, les jambes légèrement écartées, elle est incroyable, les seins dressés, la chatte a peine ouverte luisante, le bain de la piscine n'ayant pas suffit pour la nettoyer. je me glisse vers elle, ma main part de sa chatte, remonte sur son ventre et arrive sous le sein, j'apprécie cette peau douce, je m'attarde un peu, Alex lui écarte les jambes et commence à jouer avec sa chatte, alors je tourne avec mon index autour d'un téton, juste en effleurant l'aréole, elle se tortille, lève son bassin a la rencontre des doigts de son mari, ses seins sont tendues au maximum, elle gémit :

_Cherie,...... maintenant j'ai envie, prenez moi........ ensemble. Je t'aime, s'il te plaît!!!

Je regarde Alex, il me fait oui de la tête.

Je passe mes deux bras sous elle, je la soulève et la retourne sur le ventre, je lui soulève le ventre, Elle se retrouve à genoux, je passe derrière elle,lui écarte les fesses, et je lui lèche la chatte qui ruisselle, je passe ma langue sur sa rosette, a ce moment, elle donne des petit coups de reins, d'avant en arrière, ma langue entre dans son petit cul, je la vrille pour pouvoir entrer plus profond, son goût,est exquis, mélange de mouille,de sueur légèrement salée. Je réalise que ces mouvements ne sont pas volontaire, Alex est tout simplement entrain de lui baiser la bouche, et il y va allègrement. je me recule, regarde son cul, il est a peine ouvert par le passage de ma langue, je prends ma pine dans la main droite, l'autre sur ses fesses et je présente mon gland, d'abord dans sa chatte, puis j'appuie sur la rosette,elle résiste, je m'écarte, mets une bonne couche de salive sur le gland et remonte de sa mouille sur le trou, deuxième essai, concluant, le gland est en place, elle pousse un petit cris, douleur ou plaisir???

Je marque un temps de pose, savourant le plaisir d'être dans ce fruit défendu, et pour lui permettre de s'adapter.

Mon fils la tient par les joues et la baise assez brutalement, je ne pensais pas qu'elle soit comme cela, je la voyais douce, effacée et là elle se faisait défoncer la bouche et la gorge.Il me dit :

_Va y "Pa" Encule la, défonce lui le cul.

J'en reviens pas, malgré tout, je m'enfonce lentement, elle est serrée, et ma bite la rempli bien, j'aime cette sensation, mais je sens qu'elle est impatiente, elle contracte ses muscles et agite ses fesses. Je commence à la besogner, d'abord doucement, puis de plus en plus vite et plus fort, mes bourses claques contre sa chatte, malgré la bouche pleine, elle râle, gémit, je m'enfonce au plus profond, j'attrape ses seins et la tire en arrière pour me planter plus fort. Je décharge mon sperme en longues giclées, je la maintient par les seins collée contre mon ventre, ma bite fait des soubresauts dans ses entrailles, mon fils pousse un grognement, il inonde sa gorge, elle avale tout, il retire sa bite, s'assoit.

_Ça t'a plus? Ma chérie, tu en a eu deux à la fois.

Je la lache, mon engins sort en demi érection de son cul, elle me regarde, les yeux brillants, elle est en sueur, elle respire difficilement, avec un sourire :

_C'est génial, mieux que lorsque l'on en parlait, mais j'espère que vous avez de la réserve, parce que j'aimerai un devant et l'autre..... derrière. Tu me l'avais promis.

Je souris, tout en me touchant le sexe, décidément, ce n'est pas la petite belle fille que je croyais connaître. Mon fils a bien de la chance, et me le faire partager, c'est un beau cadeau. Ils auraient pu le faire sans moi et je n'aurais jamais rien su. Elle se glisse entre nous deux et attrape nos sexes, les malaxe et astique, ils reprennent de la vigueur. Elle sait très bien ce qu'elle veut, elle me fait asseoir sur le bord du lit, me couche sur le dos les pieds dans le vide. Elle se met a califourchon sur moi, de dos, prend appui sur mes cuisses et se laisse descendre sur ma bite raide a la verticale, son cul vient m'avaler. Quand elle est bien assise, elle monte deux ou trois fois le long de ma tige, me retirant un soupir, puis en se laissant retomber elle se couche sur le dos contre ma poitrine, et invite Alex à la prendre ainsi offerte.

Il se glisse dans sa chatte, je ressens la progression de sa bite dans l'étui de sa chatte contre la fine paroi qui nous sépare. Sa respiration s'accélère, elle pousse de petits :

,_Oui! Oui, C'est bon!......,Hum!

Alex commence à s'exciter et va de plus en plus vite, chaques coups qui donne au font de sa chatte lui font serrer le cul, emprisonnant ma bite, même si mes mouvements sont réduits,sa peau qui glisse sur mon ventre, la sensation de son petit cul qui va et vient sur ma bite, plus les gémissements qu'elle pousse je suis aux anges, ma bite me fait presque mal tellement elle gonfle. Alex pousse très fort, il la baisse brutal. elle, elle perd pied

_C'est....bon! je........ vous...ai,..,me..Ho!!!¡

Non!!!!!non...... Je vie........,n

Elle se crispe, ses muscles se tétanisent, elle pousse une grande plainte incompréhensible, puis retombe en sueur respire très fort.

J'avais les deux mains sur ses seins, je les lui pétrissais et tirais, mais maintenant, je sens sous ma main gauche son cœur qui bat a un rythme inouï. Peu à peu, elle respire mieux, son rythme se calme, Alex recommence à la limer, je recommence a sentir les vas et viens. La contraction de ses fesses se propage sur ma queue, il ne lui faut pas plus de 2mn pour recommencer à gémir, même à geindre, à se plaindre, elle n'en peut plus, la jouissance l'absorbe inexorablement, elle se tord dans des convulsions incroyables, je sens mon fils qui l'agrippe, la tire vers lui, sa bite gonfle et je ressens les soubresauts des décharges qu'ils lui envoie au fond de la chatte, je pousse mon ventre, en soulevant les reins, ma queue gagne un peu de profondeur et je me vide dans ses entrailles. On reste inerte un bon moment, comprenant qu'il vient de se passer quelque-chose. La première a bouger, Brigitte, essaye de se dégager, Alex, monte se coucher sur le lit, je m'apprête à me lever pour prendre congé, quand elle me prends la main, me tire contre elle, m'embrasse,sa langue cherchant la mienne, elle s'allonge sur le dos contre son mari :

_Charles, ne part pas, reste avec nous, n'est ce pas Chéri.?

_Il est plus de 3 h, tu partiras demain, "Pap", reste ça lui fait plaisir!

Je ne sais qui s'endort le premier, mais ma montre me réveille, le petit bib me tire du sommeil, il est 7h. Je m'étire et realise que je suis dans le lit de mes enfants, nu comme un ver, ma belle fille dort sur le dos entre nous deux. Ils sont également nus, et je me remémore la soirée, surtout la fin. Je contemple cette belle jeune femme, sa poitrine est magnifique, je l'ai toujours admiré, ses seins sont flasques, mais très beaux, ils me font penser a deux gros oeufs au plat, surmontés de deux petites perles. Je ne résiste pas, mon doigt va flirter, avec cette perle.

Automatiquement, l'aréole se gonfle, la perle se transforme en un petit téton qui pointe. Elle gémit doucement, l'autre sein suivant la métamorphose du premier. Elle se réveille, me sourit, regarde Alex qui sort des limbes du sommeil. Il regarde le drap sous les fesses de sa femme, il y a une large auréole, et sa chatte est collée par le sperme sec.

Elle se lève, enjambe Alex.

_Vous savez que je vous aime, tous les deux, j'ai été comblée, j'espère que l'on recommencera.

Malheureusement, le 15 juillet n'est pas férié,après avoir pris une douche, Elle va préparer le petit déjeuner, ils travaillent également tout les deux. Une fois douché et rasé, je la rejoins à la cuisine, elle est très sexy, elle est nue juste protégée par un tablier de cuisine blanc, j'admire son petit cul qui m'a donné tant de plaisir, je lui en fait par, elle sourit et me dit de passer à table, comme je suis nu, je vais chercher mes affaires au bord de la piscine, mais l'humidité de la nuit m'empêche de me vêtir. Elle me dit de déjeuner, Alex me prêtera un short et un tee shirt. Il nous rejoint, ayant entendu la conversation il m'a apporté des vêtements, néanmoins je continue de déjeuner nu tout comme Brigitte qui a quittée son tablier.