Le Bronzage

Elles étaient trois amies et avaient décidé de passer deux semaines de vacances dans une petite station balnéaire de la Côte d'azur. Elles étaient étudiantes et avaient brillamment réussi leur première année de Fac de lettre. Elles avaient durement bossé et ne rêvaient que de repos, mais aussi d'amusement, en tout cas pour deux d'entre elles.

Elles s'appelaient Nathalie, Salima et Charlotte. Les parents de Nathalie leur prêtaient une résidence secondaire près du port. La maison était spacieuse avec un grand et vaste jardin. Nathalie était une bourgeoise, mais dont l'esprit était des plus ouverts. Elle profitait des avantages d'un milieu social confortable, mais rêvait aussi d'une vie moins sage. Elle avait pour amie d'enfance, Charlotte. Elles s'étaient connues au collège et partageaient beaucoup de choses. Charlotte était intelligente et sensible, idéaliste également. Salima était arrivée plus tard. D'origine marocaine et la plus délurée des trois. Salima venait d'un milieu social beaucoup moins favorisé, ce qui attirait aussi Nathalie. Elles avaient toutes les trois des tempéraments très différents, mais s'entendaient très bien ou presque, car Charlotte sentait moyennement Salima a qui elle reprochait de profiter un peu du statut de Nathalie. Du reste, elle aussi, puisque cette maison sur la côte, elle allait en profiter aussi.

Nathalie était une jolie blonde, grande, à la taille mince. Il y avait une certaine candeur sur son visage. Salima, quant à elle, était une brune de taille moyenne, avec un beau visage oriental et le regard coquin. Les deux amies avaient un corps bien proportionné de toutes jeunes femmes, à la fois adultes, mais par certains cotés juvéniles.

Quant à Charlotte, elle était une authentique rousse, des pieds à la tête. La plus petite des trois mais avec des formes de femme. Un fessier rebondi et une grosse poitrine, qui faisait souvent l'admiration de ses deux amies.

La première semaine fut consacrée à la plage et la boite de nuit le soir situé sur le port. Les filles buvaient et rêvaient de se trouver un mec. Sauf pour Charlotte, qui ne cherchait pas une relation de vacances. Des trois amies, c'était Salima la plus chaude. Elle aimait parler de sexe et raconter ses coups comme elle disait. Nathalie l'admirait pour cela, elle qui voulait l'imiter un peu, ce qui déplaisait à Charlotte.

À la fin de leur première semaine, Nathalie et Salima ramenèrent deux hommes à la maison. Elles avaient bu, plus que de coutume et fumer un joint dans le grand salon avec les deux compagnons. Charlotte était montée dans sa chambre, devinant ce qui allait se passer.

Après avoir pris sa douche et s'être allongée sur son lit, elle ne tarda pas à entendre des rires, puis des gémissements. Elle était à la fois gênée et un peu excitée. Elle reconnut les voix de Salima et Nathalie, bien différentes l'une de l'autre. Salima était exubérante et Charlotte se dit qu'elle aurait pu tourner dans un film x. Quand à Nathalie, son amie d'enfance, elle poussait des petits cris étouffés et discrets. Charlotte descendit sa main vers sa chatte et se caressa doucement. Une autre main pinçait tendrement un de ses tétons..... Si les deux mecs que ses amies avaient ramenés étaient plutôt mignons, Charlotte rêvait d'un garçon qui s'appelait Franck et dont elle était amoureuse. Salima et Nathalie la taquinaient souvent à ce sujet, la trouvant trop romantique. Salima, toujours aussi direct, lui disait : « Ta chatte va trop se resserrer si tu ne baises pas... » Mais Charlotte attendait le prince charmant. Elle ne voulait pas baiser, mais faire l'amour, avec tendresse...

Le lendemain, Nathalie et Salima étaient toutes épanouies et fières de raconter leur nuit. Elles confièrent aussi à Charlotte qu'elles avaient échangés de mecs pendant la nuit.

Charlotte : « C'est dégueu! »

Salima : « Bah non, ce que tu es prude. On a grave pris notre pied. »

Nathalie : « Oui, c'était super, je t'assure! »

Dans l'après-midi, les trois amies étaient allongées sur un transat et bronzaient. Salima et Nathalie avaient opté dès le départ pour laisser leur poitrine découverte. Elles voulaient un bronzage le plus intégral possible et portaient un mini string également. Elles avaient une poitrine de taille modeste, mais bien dressés. Charlotte, au contraire, comme toutes les personnes rousses, avaient très peur des coups de soleil. Elle avait réussi à prendre des couleurs, mais refusait d'enlever son soutien et portait une culotte large.

Salima : ' Franchement Charlotte, tu exagères, tu t'es vue avec cet horrible maillot. Tu es trop blanche. »

Nathalie : « C'est vrai, tu pourrais au mois enlever le soutif »

Charlotte : « Ma peau est sensible au soleil...et je ne veux pas montrer mes seins, et mes fesses.... »

Salima : « C'est dommage, tu as une superbe poitrine. Tes seins sont plus gros que les nôtres »

Nathalie : « Oui, mais t'as vu comment ils sont beaux les nôtres, bien bronzés! »

Charlotte : « C'est vrai, je dois reconnaitre... »

Salima (rigole) : « Hier soir, ils ont apprécié ces deux salauds »

Nathalie (complice) : « Clair!' »

Charlotte : « Je vous trouve bien épanouies toutes les deux. »

Nathalie : « C'est trop bon de faire l'amour! »

Charlotte : « Vous savez ce que je veux... »! »

Nathalie : « Tu es trop romantique... Moi, j'ai compris qu'il fallait en profiter, grâce à Salima »

Salima : « Avec tes seins et tes fesses blanches, tu crois qu'il aura envie de toi ton Franck »

Charlotte : « t'es nulle! »

Nathalie : « T'es super jolie. Si tu écoutais nos conseils, tu prendrais ton pied comme nous hier soir. »

Charlotte finit par s'agacer.

Charlotte : « Fichez-moi la paix avec ça! »

Nathalie : « Okay! »

Le soleil tapait fort, et Charlotte avait enduit son corps de crème solaire. Salima et Nathalie étaient parties préparer des cocktails. Elles revinrent et posèrent les boissons sur la table. Charlotte les entendit rire derrière elle alors qu'elle s'allongeait sur le transat, après s'être enduit de crème.

Soudain, Nathalie et Salima saisirent les mains de Charlotte pour les ramener sous le transat et les attacher avec une corde.

Charlotte (surprise) : « Qu'est-ce que vous faites? »

Salima : « On va te rendre service, tu nous remercieras! »

Charlotte : « Mais... Détachez-moi! »

Salima pris un ciseau et coupa la bretelle du soutien de charlotte. Elle le tira rapidement. Charlotte se retrouvait les seins à l'air. Ils étaient blancs et volumineux.

Charlotte : « Mais ça va pas!!! »

Salima « Tes nichons vont bronzer 30 minutes! »

Charlotte : « Putain, je ne veux pas... Détachez-moi, ce n'est pas drôle! »

Charlotte ne pouvait pas ramener ses mains.

Nathalie : « Est-ce que tu veux boire un cocktail avec la paille? »

Charlotte protesta encore quelques minutes, mais Nathalie et Salima la laissèrent 30 minutes avant de revenir. Charlotte était très en colère.

Les deux filles revinrent passablement éméchées. Nathalie : « Regardes, ils ont rougi!, c'est bon signe »

Charlotte : : « Bon, ca suffit maintenant...détachez moi »

Nathalie et Salima détachèrent Charlotte, mais profitèrent du relâchement de celle-ci pour la basculer sur le ventre et l'attacher à nouveau. Salima et Nathalie étaient plus fortes à deux et même si cela ressemblait à un jeu, elles étaient décidées à immobiliser leur amie. Puis ce fut Nathalie qui, cette fois-ci, découpa une bretelle, mais celle de la culotte.

Nathalie : « Tes maillots sont affreux. On t'en achètera d'autres ».

Salima : « Et maintenant, ton beau fessier va prendre des couleurs. »

Charlotte : « Ca suffit maintenant, vous êtes connes!!! »

Charlotte avait un très beau fessier rebondi, mais blanc lui aussi, ce qui contrastait avec ses cuisses et son dos rougi.

Salima : « Bon là aussi, une bonne demi-heure! »

Nathalie : « On va aller boire un coup... Je suis un peu pompette avec ce rhum »

Visiblement, Nathalie et Salima avaient bu et n'étaient pas dans leur état normal.

Charlotte était allongée sur le ventre. Nathalie et Salima avaient pris aussi la précaution d'attacher les chevilles de Charlotte aux pieds du bas. Elle avait donc les cuisses légèrement écartées et sa raie était visible ainsi qu'un tout petit bout de sa chatte.

Chalotte ruminait, était en colère, mais savait qu'après le bronzage forcé de ses fesses, elles allaient la libérer et cesser ce jeu stupide. Elle sentait le soleil lui brûler le postérieur.

Mais, elle fut bientôt prise de panique quand elle entendit des voix d'hommes. Elle les reconnus. C'était Marc et Abdel, les deux mecs qui avaient sauté ses amies la nuit dernière.

Elle vit arriver les quatre. Ils rigolaient et entourèrent Charlotte sur son transat.

Abdel : « Waouh!, quel cul!

Marc : « Il a besoin de bronzer en tout cas! »

Salima : « Comme ses nichons! »

Charlotte : « Non, qu'ils en aillent... Arrettez les filles! »

Nathalie : « Calme-toi!. Abdel et Marc n'ont pas cessé de nous faire des compliments sur toi »

Abdel : « On aimerait bien voir le devant contre.... »

Marc: « Clair!! »

Salima (coquine) : « Ca vous ferait plaisir?; vous voulez voir une vraie rousse? »

Charlotte : « Non!!!! »

Salima : « Ok... Par contre, va falloir nous aider, car elle va se débattre! »

Charlotte fut encore une fois retournée. Nathalie, néanmoins, s'était mis en retrait. Elle était saoule, mais commençait à se demander si le jeu n'allait pas trop loin.

Charlotte était sur le dos, les seins livrés à tous les regards, mais aussi et surtout sa chatte. Elle possédait une petite toison rousse et bien taillée entourant des lèvres visibles. Salima tenait une cheville et Abdel une autre. Elle lui fit un signe et tous les deux lui écartèrent les cuisses.

Marc : « Putain les nibards! »

Abdel : « Et cette chatte... J'en ai jamais vu des rousses. T'as vu ces lèvres? »

Charlotte se mit soudainement à pleurer.

Nathalie : « Peut-être qu'on peut la laisser maintenant? »

Marc : « Va me chercher deux bières, tu veux bien Nathalie? »

Charlotte : « Salima... S'il te plait »

Celle-ci n'avait plus de considération pour son amie, simplement une excitation.

Salima : « Tu vois, malgré ta peau blanche autour de ta chatte, tu les fais bander. Regarde leurs bosses! »

Nathalie revint avec deux bières. Marc les pris et versa leur contenu sur les seins et la chatte de la rousse. Abdel vint s'agenouiller entre les cuisses de Charlotte.

Salima : « Nath.., viens m'aider, prends l'autre jambe. Il faut qu'elle soit bien écartée! »

Pendent ce temps, Marc s'était agenouillé à son tour et se mit à lécher les nichons luisants de bière.

Marc, : « Putain, quels nibards! »

Quand à Abdel, il écarta les lèvres mouillées d'alcool et lécha la chatte.

Salima : « Tu prends ton pied Charlotte? »

Charlotte tournait la tête nerveusement. Ce qu'elle ressentait n'était pas désagréable, mais profondément humiliant.

Le tableau était saisissant : les deux amies de Charlotte lui écartaient les cuisses, et un homme lui léchait la chatte tandis qu'un autre lui pelotait et léchait les seins comme un sauvage. Charlotte avait les mains attachées, ce qui rendait la situation encore plus excitante.

Puis Abdel se releva et fait fit signe à Marc,

Abdel : « C'est le moment... Je suis trop dur là... »

Marc : « Moi aussi! »

Abdel ( A Salima) : « On ne peut pas la baiser sur le transat, ce n'est pas pratique. On la met sur le gazon. Je veux la défoncer!! »

Salima : « Super!! »

Charlotte : « Non pas ça!!!!...je ne veux pas!!!, Non!!! »

Charlotte ne pu se défendre. Nathalie s'était assise sur le transat, hésitante.

Charlotte était allongée sur le dos sur le tendre gazon. Elle avait été attachée a nouveau, les mains derrière le dos. Abdel avait baissé son short et son slip. Une verge dure et longue apparut.

Charlotte : « Non.... Les filles, il va me violer!!!! »

Charlotte allait crier quand Salima s'approcha et lui bâillonna la bouche avec sa main.

Salima : « Profite ma chérie, c'est du vrai là! »

Nathalie : « Je crois qu'elle ne veut pas, c'est pas bien! »

Marc vint s'asseoir à coté de Nathalie. Il l'embrassa sur le cou, les lèvres et lui caressa la chatte. Nathalie y était très sensible, surtout qu'elle avait fumé un joint avant. Il prit la main de Nathalie.

Marc : « Branle-moi, tu veux bien et profites du spectacle!"

Abdel pointa son gland à l'entrée du con de Charlotte puis s'y enfonça lentement, mais surement.

Abdel : « Ah putain! »

Charlotte se raidit. Salima lui bâillonnait toujours la bouche. Charlotte ne pouvait que remuer ses cuisses, mais Abdel les avait levés et plaqué contre le ventre.La salope était bien souple.

Pendant ce temps, Nathalie branlait la bite de Marc, et se faisait branler aussi, fascinée.

Nathalie : « Elle se fait violée '

Marc : « Oui, ca t'excite aussi... »

Nathalie : « Je sais pas... »

Marc : « Tu mouilles »

Abdel limait Charlotte avec rythme désormais. Il donnait de temps en temps des baffes aux grosses loches de Charlotte. Salima retira sa main. Charlotte pleurait et gémissait parfois avec des cris. Salima avait trouvé sa chatte sous son string et se branlait.

Abdel accéléra puis se retira pour jouir sur le ventre blanc de la petite rousse.

Abdel : « Prends ça, belle salope! »

Il se leva, satisfait, en prenant un verre que lui tendit Marc. C'était désormais à son tour. Charlotte avait refermé les cuisses et se contorsionnait comme un ver de terre.

Marc : « Ah mon tour joli rousse... Mais je veux voir ton cul tout blanc... »

Sans égard pour Charlotte, il la retourna et la mit à genoux puis poussa son torse contre le gazon. Elle allait avoir droit à une levrette des plus sévères.

Le spectacle était des plus bestiales. Marc perforait par-derrière la chatte de Charlotte avec brutalité et n'hésitait pas à lui frapper les fesses ou tirer ses mamelles. Salima continuait de se branler, la bouche ouverte. Abdel buvait tranquillement, tandis que Nathalie regardait fascinée son amie d'enfance être baisée comme une chienne. Les mais attachés derrière le dos, ajoutaient une véritable perversité. Charlotte gémissait et pleurait sans éveiller la moindre pitié, bien au contraire.

Salima : « Va plus fort! »

Abdel : « Casse lui la chatte!!! »

Marc finit par se retirer en lâchant son foutre sur le cul blanc de la rousse, avec un râle plaisir.

Nathalie vint détacher son amie.

Nathalie : « Je suis désolée, mais bon... »

Salima : « T'inquiètes, je suis sûre qu'au fond d'elle, elle a aimé ça!... Rejoins nous à l'intérieur Charlotte... On va boire et fumer »

Nathalie : « Oui, viens!, ça va te faire du bien, on va parler »

Les quatre tourmenteurs de Charlotte rentrèrent dans la maison. Charlotte finit par se relever. Elle avait du sperme sur son ventre et ses fesses, ou se collait aussi du gazon. La tête baissée et ravalant ses pleurs, elle alla monter dans sa chambre, puis se précipita sous la douche. Elle laissa la tiédeur de l'eau la réconforter. Curieusement, elle ne sentait pas d'irritation dans sa chatte. Elle du reconnaitre qu'elle avait du mouiller un peu. Cela la révolta et puis l'attrista, mais se dit que cela avait été une protection de son corps pour ne pas souffrir. Ces hommes l'avaient violé avec la complicité de ses deux amies. Elle avait compris que Salima avait une influence négative sur Nathalie. Elle avait vu son sourire quand elle était baisée avec violence, qu'elle lui bâillonnait la bouche et qu'elle lui susurrait à l'oreille des horreurs comme « Accueille la dans ta chatte. Elle sera bien ouverte après si ton Franck veut te baiser, une belle salope comme toi! » Mais, elle n'arrivait pas à pardonner à Nathalie même si elle était sous influence . Elle lui avait tenu les cuisses bien écartés lorsque Abdel la violait et avait semblé fasciné par ce viol.

Charlotte fait rapidement sa valise. Elle n'avait qu'une envie. Partir loin d'ici, prendre le premier train. Elle savait qu'elle n'aurait jamais le courage de porter plainte. Elle voulait se réparer toute seule et croire encore à l'amour.

Lorsqu'elle descendit, elle devait passer par le salon pour sortir. Il y avait de la musique, de l'alcool sur la table. Tous les quatre étaient nues. Salima embrassait Abdel. Nathalie dansait saoule devant Marc. Elle vint vers Charlotte.

Nathalie : « Il faut qu'on parle ma chérie! »

Charlotte : « On n'a plus rien à se dire...c'est horrible ce que vous m'avez fait subir... »

Pendant ce temps, Salima discutait avec Abdel et Marc qui opinaient de la tête avec un grand sourire.

Salima vint vers Charlotte

Salima : « Tu veux partir? »

Charlotte : « Oui, je fous le camp, espèce de salope! »

Salima : « Okay, mais avant, Abdel et Marc ont besoin d'un dernier service... »

Nathalie : « Ah oui, quoi? »

Salima : « Si tu allais sur le canapé ma chérie, va y avoir un beau spectacle... »

Charlotte tourna la poignée de la porte pour sortir, mais elle était fermée.

Salima : « J'ai les clefs.... Juste une petite chose et après tu peux t'en aller... »

Charlotte : « Quoi??? »

Marc et Abdel assis l'un à côté de l'autre se masturbaient tranquillement.

Marc : « Tu vas nous piper... Si ta bouche est aussi bonne que ta chatte... »

Charlotte : « Il n'en est pas question.... Jamais... »

Salima : « Tu as le choix... Sois tu les suce, soit on te monte dans la chambre, on t'attache à nouveau, et ils vont te violer toute la nuit... Mais rassure-toi, on a besoin de bites, surtout Nath, n'es ce pas?. Alors si tu les suces pour les faire bien bander, tu pourras te barrer »

Charlotte se sentait coincée au propre comme au figuré. Elle voulait sortir de cet enfer. Sucer ces hommes, ces violeurs, était une humiliation de plus. Pour elle, la fellation, était un acte d'amour.

Salima : « Dépêche-toi de te décider. »

Charlotte posa sa valise et se dirigea tête baissée vers les deux hommes.

Nathalie rigola en prenant un joint.

Abdel : « A genoux... Baisse le haut de ta robe. On veut voir tes nibards... »

Charlotte hésita puis enleva les manches de sa robe d'été.

Abdel regarda Marc.

Abdel : « Commences par mon pote, et sans les mains »

Charlotte approcha sa bouche et pris la bite a demi bandé de Marc dans sa bouche. Elle ferma les yeux. La bite ne tarda pas à grossir. Puis ce fut au tour d'Abdel. Ils lui demandèrent d'alterner, lui disait ce qu'il fallait faire. Son manque d'expérience était manifeste et les deux hommes se moquaient d'elle, mais reconnaissaient combien sa bouche était agréable. Ils furent encore plus excités quand Salima vint derrière Charlotte et lui pinçait doucement les tétons, ou la pelotait.

Nathalie : « Oh Salima, t'es une gouine? »

Salima souriait a Nathalie.

Salima : « Allez suce bien connasse! »

Les queues étaient bien bandées.

Abdel : « C'est bon maintenant! »

Marc : « Oui, on est prêts »

Abdel : « Tu peux te casser! »

Charlotte se releva bien vite et remit sa robe. Elle craignait plus que tout que les deux hommes ne respectent pas leur parole, mais manifestement, ils avaient un autre plan, et se dirigèrent vers Nathalie.

Nathalie : « Avec lequel, je vais faire l'amour? »

Marc : « Les deux chérie... »

Abdel : « Laisse-toi guider! »

Charlotte avait rejoint la porte. Salima avait tourné la clef pour qu'elle puisse sortir.

Marc s'allongea sur le dos et demanda à Nathalie de s'empaler sur lui.

Nathalie : « Okay! »

Puis Abdel arriva et visa l'anus de Nathalie.

Nathalie : « Ah non, pas là... »

Trop tard, Abdel et Marc, profitant de la bonne pipe de Charlotte, commencèrent à pistonner la blonde Nathalie, qui même en état second suite à la drogue, n'acceptait pas d'être sodomisée. Ils la maintenaient prisonnière. Nathalie criait!

Charlotte à Salima : « Salauds!, vous lui faites mal! »

Salima : « Nathalie découvre la sodomie. Ce n'est qu'un début! »