Le 14 juillet du Bicentenaire à Paris

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lors d'un feu d'artifice, une femme se prendre sans la foule.
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Ceci est le récit de Marc, le mari.

" Pendant le feu d'artifice du 14 juillet à Paris, Myriam, ma femme, s'est faite baisée debout à côté de moi, par un type derrière elle... Je n'avais pas compris tout de suite ce qui se passait exactement, je la sentis d'abord me serrer le bras, son regard un peu lointain puis elle se mit à respirer de façon plus rapide, ses yeux chaviraient et elle poussait de très faibles gémissement de plaisir...

J'ai su ce qui s'était réellement passe, car elle m'a tout raconté en détails par la suite... C'est lors d'un moment de fatigue, me dit-elle, nous étions debout sans bouger depuis environ 2h 30, pour avoir les meilleures places. Elle s'est laisser aller légèrement en arrière et ses fesses se sont appuyées sur le type derrière. Un type plutôt jeune environ 30 ans, un beau brun qui bandait énormément... Elle se remit debout mais fut très troublée de ce qui venait de se passer... Le gars profitant sans doute d'un peu de bousculade, et de l'obscurité qui nous enveloppait désormais, la serra par derrière et lui fit sentir son gigantesque engin sur le haut des fesses et sur le bas du dos, car il était un peu plus grand qu'elle...

La puissance du gars la troublait, elle ne dégagea pas, au contraire, et se laissa aller contre lui... Elle sentait les couilles très grosses lui rouler sur les fesses et le gars se frottait de plus en plus... Excitée, troublée, sans pouvoir rien maîtriser, elle sentit qu'elle avait une brève décharge dans son slip et elle sentait sa fente devenir chaude et se mouiller... Ce manège très discret du jeune homme dura ainsi quelques minutes, en tout cas un certain temps car elle sentait de plus en plus de précision la virilité du type... Elle déchargea encore à 2 ou 3 reprises ce qui eut pour conséquence de mouiller sa petite culotte de plus en plus...

Un moment elle n'y tint plus : elle glissa sa main droite derrière son dos pour aller tâter et sentir la bite du type... Le gars devait être très sûr de lui, car il n'avait rien tenté d'autres que de se coller aux fesses de Myriam. Il était sans doute sûr de son fait et savait que cela allait arriver ; qu'elle allait tendre la main pour prendre la mesure de la virilité du "presseur"... Elle ne fut pas déçue, le mec était monté comme un baudet...

Sans hâte, mais avec une habileté que je lui connaissais bien, elle avait descendu la fermeture éclair et empoignait le vit énorme du type à travers le slip... Puis de sa menotte, elle parcourut toute la hauteur de l'organe, des couilles profondes et grosses, jusqu'au bout de la bite... Ensuite ses doigts s'insinuèrent à l'intérieur du slip, sa main s'empara du braquemart, tâta le gland fort et large et descendit sur la hampe, et elle commença à le branler doucement, très doucement...

Profitant de l'obscurité, le jeune type avait passé sa main par derrière et sur le côté de la légère robe d'été de Myriam, bien sûr à l'opposé du côté où j'étais ... Moi, j'étais à la gauche de ma femme, donc le gars de sa main droite pouvait lui peloter les fesses, passer entre ses jambes, contourner le bord du léger slip de dentelles blanches et s'insinuer dans la chatte brûlante, même sans doute aller jusqu'au trou du con et lustrer le clitoris...

Cet échange de bons procédés entre eux dura de belles minutes durant lesquelles la jolie Myriam coulait abondamment du minou. Puis le mec avait dû, toujours d'une main, faire descendre le slip de quelques centimètres en le tirant par le fond... Ce qui ménageait un espace par lequel il introduisit sa bite, la robe relevée de Myriam retombant juste sur la racine de son sexe... La petite cochonne prit donc en main l'énorme mandrin (elle me l'a dit aussi ensuite, qui devait faire entre 22 et 25cm et pas moins de 6 de diamètre...) et le passa sur toute la longueur de son entrejambe, depuis la raie des fesses et la rosette qui se frottaient à la base de la hampe jusqu'au clito, en passant par le trou de son vagin et les petites lèvres... Le gars était tellement monté que lorsque le repli du gland frottait à sa base le clito, tout le gland était en avant de la vulve et venait déformer le devant du slip...

J'avais bien remarqué qu'à un moment Myriam portait la main à son pubis et le pressait un peu, mais je ne voyais rien de précis pensant qu'elle devait avoir envie de faire pipi et c'était une façon de faire taire un moment son envie... En réalité pas du tout, de sa main droite qu'elle avait ramené devant, elle tournait en le frottant le bout du gland qui dépassait en avant de son clito et déformait son slip...

Un moment, le mec retira un peu son engin de l'entrejambes en se décollant des fesses de la jeune femme. Cela lui permis d'amener le bout du gland à hauteur du trou à bites de la jolie salope, et là dans un mouvement de fléchissement des jambes et d'un petit coup de reins, il enconna la belle...

Le feu d'artifice venait de commencer et les fusées partaient en l'air avec des sifflements et des éclatements... C'est à cet instant qu'elle me serra le bras... Sur le moment, j'ai pensé qu'à ce moment elle avait perdu l'équilibre et qu'elle se rattrapait à moi... En fait elle avait plutôt gagné quelque chose que perdu : un bel engin dans sa chatte... Habilement le type lui avait passé sa main droite sous la cuisse droite et il lui soulevait ainsi la jambe, ce qui facilitait évidemment la pénétration de son braquemart dans l'antre de ma femme...Le gars la pistonnait avec ferveur, mais très lentement et sans à coups ce qui fit durer les choses...

Elle m'avoua par la suite que ce va et vient lui était, à elle-même, à peine perceptible tant le jeune homme y allait avec précaution. Avec la base de son vit énorme et épais, il lui branlait le trou du cul ce qu'elle adore et ce qui l'avait fait mouiller et décharger... Elle sentait qu'elle déversait des torrents de cyprine sur le pieu du type et qu'elle déchargeait en continu... Elle se faisait baiser comme jamais au milieu d'une foule de milliers de personnes, cela l'excitait énormément, en plus du reste... Je remarquais bien son air bizarre, mais le feu d'artifice battait son plein et j'étais comme tout le monde, fasciné par les couleurs et les bruits et puis surtout, j'étais à cent lieux de me douter que...

Bientôt tout fut consumé avant que j'ai pu m'en apercevoir. Le type déconnant sa bite du trou de Myriam déchargeait avec une abondance extrême dans la culotte de dentelle au niveau de l'avant et du fond du slip de la belle cochonne. Myriam me dit avoir eu à cet instant, un orgasme violent et avoir jouit elle aussi. Pa son trou de femme, elle aussi déchargeant et elle dégoulinait en même temps, mêlant sa cyprine au foutre du type. C'est à ce moment que ses yeux chavirèrent et qu'elle s'agrippa à moi avec des gémissements...

Après un bref instant durant lequel je crû qu'elle avait un malaise du à la fatigue et qu'elle se trouvait mal, brusquement je compris : un gars lui branlait le con et elle aimait cela, la salope!... J'étais encore à cent lieues de la vérité. Prestement, je remontais la robe d'été de Myriam et je fourrais ma main sous le tissu. Ma main rencontra le bout d'un pieu énorme, mouillé, gluant et chaud, à travers le tissu de la culotte de Myriam... Je pensais immédiatement à un god qu'un salaud lui aurait mis... Je retirais ma main et me retournais pour voir derrière Myriam, mais trop tard! Le gars avait avec la rapidité de l'éclair disparut dans la foule qui se pressait vers les premiers rangs et dans la nuit, rengainant sans doute son matériel sans demander son reste... Le suivre? C'était ne plus pouvoir revenir vers Myriam dans cette cohue... Et puis qu'aurais-je fais de plus? Je pris Myriam par les épaules et la regardais bien en face... Elle était magnifique de plaisir, les pommettes rosies par la jouissance. Je n'eus pas le courage de la gronder et je lui dis simplement :

- "T'es quand même une belle salope!!" et je l'attirais dans mes bras et la serrais avec amour, incapable de lui faire la moindre remontrance, j'ajoutais :

- " T'as été heureuse au moins?! " Elle acquiesça en silence en hochant la tête comme une petite fille coupable et me fit son beau sourire auquel je ne résiste pas et que je lui connais bien. Je la repris dans les bras et l'embrassa sur la bouche. Puis, par devant, je plongeais de nouveau la main sous sa robe et là je vis l'ampleur du déluge : sa culotte pendait largement entre ses jambes, mouillée, imbibée et gluante de foutre et de cyprine. Les poils de sa chatte et du pubis étaient collés et gras de foutre. Le long de chacune de ses cuisses, à l'intérieur, la cyprine qu'elle avait déchargée, avait coulé formant plusieurs filets tant elle était abondante, mêlée sans doute au foutre du mec, et que le slip non appliqué à l'entrejambes n'avait pu contenir... Comme prise en faute, elle ne broncha pas pendant mon investigation. Celle-ci devait même l'exciter car elle frissonna et eut une velléité d'orgasme, puis elle me rendit mon baiser avec ferveur...

Le feu d'artifice s'achevait dans un déluge de feu et de pétards. Nous avons regagné l'hôtel sans un mot. Arrivé à la chambre, je lui ai fait une toilette intime, très minutieuse et coquine, lui demandant de me conter par le menu les détails de l'histoire que je viens de rapporter. Puis sentant que de faire ce récit l'excitait de plus en plus, je la fis allonger sur le lit et je lui suçais et léchais la fente avec une dextérité et une ferveur rares. Ensuite nous avons fait l'amour comme jamais... Elle en a joui sans tricher, énormément et longuement... J'ai déchargé bien au fond d'elle pour la calmer de la frustration de l'autre éjaculation qui lui avait souillé toute la fente et le pubis sans venir lui combler le trou à bites... Elle a jouit encore de mon sperme en elle... Puis nous nous sommes endormis dans les bras l'un de l'autre...

Je sais qu'elle a passé, et moi aussi indirectement, un merveilleux 14 juillet et qu'elle aura un souvenir tout particulier de ce bicentenaire, en terme de bi... centenaire!!...

Et heureusement encore, c'était avant les années sida!"

Paris, 14 juillet 1989.

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