LAURA 064: je cède au chantage 03/13

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Dressée pour être mise sur le trottoir.
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Partie 64 de la série de 112 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 05/02/2022
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Le dimanche matin

---------------------------

Je suis réveillée depuis un moment, des idées noires tournent dans ma tête.

Mon maître entre dans le chalet où je suis séquestrée et maintenue prisonnière bâillonnée, les membres attachés par des sangles sur le plancher en bois qui me sert de lit.

Il me libère et remet autour de mon cou le gros collier clouté pour chien et y attache la laisse.

- allez viens prendre des forces tu vas en avoir besoin, aujourd'hui c'est ton jour de chance, ce ne sera que du plaisir pour toi -

Je ne cherche pas à comprendre et je le suis jusque chez lui pendant qu'il me tient en laisse.

Le petit déjeuner qu'il pose sur le sol est copieux ce qui m'étonne, je m'accroupis après qu'il m'ait enlevé la muselière/bâillon.

- Je vais bien te nourrir pour que tu ne ressembles pas à un sac d'os et fasse fuir les clients lorsque je vais te mettre sur le trottoir -

Je ne sais pas pourquoi, j'ose me rebeller.

- vous n'allez pas faire ça maître, j'accepte tout ce que vous voulez de moi mais pas ce que vous me demandez là, ça ce n'est pas possible -

la réaction de Mathieu est immédiate, je reçois une paire de gifles violentes et je me retrouve assise sur le cul les joues en feu.

- je ne te demande pas ton avis, les femmes de ton espèce c'est comme les chiens après un bon dressage ça obéit à son maître au doigt et à l'œil. Que tu le veuilles ou non c'est ce qui va se passer pour toi -

Ma situation semble désespérée, je n'ose pas lui répondre craignant qu'il me frappe encore.

Je ne vois pas comment m'en sortir devant la détermination de mon bourreau. Faisant profil bas je déjeune puis vais me laver.

De nouveau bâillonnée Mathieu m'emmène tenue en laisse dans la partie boisée de sa propriété, là où un palan est accroché à une grosse branche d'arbre.

- allonges toi sur le ventre -

J'obéis, il attache mes poignets et mes chevilles ensemble puis passe m'accroche au crochet du palan qu'il manœuvre. Je me retrouve les membres tirés vers le haut suspendue dans les airs.

Il prend entre ses doigts les tétons de mes seins, les triture et les étire sans douceur, c'est douloureux.

Il sort quelque chose d'une des poches de son pantalon, ce sont des pinces munies de chaînettes et de poids cylindriques.

Il accroche les pinces lestées sur mes tétons qui se trouvent distendus et ça tire aussi sur mes seins.

La douleur que je ressens est difficilement supportable et je me trémousse mais cela aggrave la souffrance car les poids accrochés aux pinces se balancent sollicitant encore plus mes tétons.

Mon bourreau conscient de la souffrance qu'il m'inflige rit et me lance:

- tu as de la chance c'est repos toute la matinée, je reviens te chercher à midi -

Cela me fait de longues heures à souffrir et patienter.

Quand mon maître viens me libérer du palan et enlève les pinces qui martyrisent mes tétons je n'ose pas regarder l'état de ceux-ci mais ils sont turgescents et douloureux.

De retour dans l'habitation je me mets à genoux et je mange ce qu'il m'a servi dans mon écuelle posée sur le sol.

Puis il me ramène dans le chalet qui me sert de geôle et m'attache sur le plancher/lit avant de me laisser seule.

Je suis allongée, bâillonnée et attachée par des sangles sur le plancher en bois qui me sert de lit quand Mathieu fait son apparition accompagné de six hommes.

Ils apportent du matériel avec eux.

Il y a des boitiers munis de câbles et prises électriques qu'ils posent sur le sol et relient aux prises qui se trouvent sur les cloisons du chalet.

Ils branchent une extrémité de fils électriques munies de fiches sur les boitiers, sur l'autre extrémité se trouvent des électrodes qu'ils placent sur mes seins, mon ventre, mes cuisses et mon sexe. Ils écartent mes fesses et introduisent une sonde dans mon anus puis une autre dans ma chatte.

Une fois que mon maître et les hommes qui sont présents dans le chalet qui est mon lieu de captivité et m'ont affublée de pinces ,sondes et électrodes reliées à des fils qu'ils ont branchés à des boîtiers de commande, ils mettent leurs engins de torture en marche.

D'abord je ne ressens rien, l'intensité doit être à son minimum ou bien leurs engins ne marchent pas et c'est ce que j'espère.

Mais en les entendant parler je sais que la torture va commencer, avec la peur mon corps se raidit. Je crains qu'emportés par leur désir de me voir souffrir et de se servir de moi comme d'un jouet ils n'aillent trop loin.

De voir la tête que je fais les amuse.

- Mathieu, ta putain n'a pas l'air d'apprécier -

Mathieu en rajoute.

- elle n'est jamais contente cette truie, on va lui donner du plaisir et elle se plaint encore -

Mon maître me demande de bouger la tête pour dire si je ressens quelque chose pendant qu'un homme s'affaire sur les molettes des boitiers et je commence à ressentir des picotements d'abord sur un sein puis aussi sur le deuxième.

Cela continue par des sensations sur le ventre puis sur le sexe. Le courant passe maintenant jusqu'aux sondes qui sont enfoncées dans ma chatte et mon cul.

Les hommes sont satisfaits de voir que je ressens les effets du courant électrique partout sur mon corps là où ils ont posé des électrodes ainsi que dans mon fondement et dans ma grotte.

L'homme manipule des interrupteurs rotatifs et progressivement les sensations augmentent.

- mets beaucoup plus fort le courant, ce n'est pas de caresses qu'elle a besoin -

Ce que je ressens partout sur mon corps passe d'agréable à désagréable, je suis agitée par des tremblements.

- ce n'est pas assez, augmente encore l'intensité -

Alors là progressivement et rapidement cela devient douloureux puis difficilement supportable et enfin c'est l'enfer pour moi.

Mon corps tremble, je gigote beaucoup. Je ferme les yeux, pleure et crie mais avec mon bâillon c'est étouffé.

- c'est parfait, vu comment elle se comporte le système de torture est au point -

- oui! c'est bien trouvé et la voir s'agiter ça vaut le coup d'œil -

Mon corps n'arrête pas de se soulever et je me tortille sur le plancher pendant que les hommes rient.

J'ai l'impression d'être démangée par de très importantes allergies et d'être brulée par le courant électrique qui traverse mon corps en différents endroits et surtout dans mes parties intimes.

Je me demande si mon cœur va tenir.

Au bout d'un bon moment à me regarder souffrir, à commenter et rire, ils me délaissent.

Installés à la table ils boivent des verres d'alcool sans se soucier de moi et en laissant leurs appareils en marche.

J'ai compris que leur but n'était pas de me procurer du plaisir mais uniquement de me voir beaucoup souffrir et c'est réussi.

Après ce qui m'a semblé une éternité leurs verres sont vides. Ils s'intéressent de nouveau à moi et baissent l'intensité des gadgets sans les arrêter de ce fait ce que je ressens redevient fort mais agréable.

Enfin ils coupent le courant de tous les gadgets, je respire.

Le calme est de courte durée car mon martyr reprend mais avec des instruments différents.

Un gode vibrant est introduit dans mon cul.

Sur ma poitrine ils mettent deux pompes aspirantes, lorsqu'ils manipulent cela étire et déforme salement les seins et les tétons.

Ils écartent les lèvres de ma chatte pour dégager mon clitoris qu'ils masturbent un peu pour le faire saillir puis ils appliquent dessus une pompe vibrante que l'un d'eux tient fermement, pendant qu'elle fonctionne mon ventre n'arrête pas de se soulever.

Un autre applique sur mon intimité un vibromasseur de massage externe qui fait vite monter le plaisir dans mon ventre.

Tout cela me fait énormément d'effet, mon corps se déplace sans que je puisse le maitriser.

Je ne tarde pas à être secouée par des spasmes et à atteindre l'orgasme ce qui les encourage dans leur entreprise.

Amusés par le résultat obtenu, surtout par la vue des jets de cyprine qui sortent de mon vagin ils continuent à torturer mon clitoris et mon intimité et me font jouir de nombreuses fois avec des intervalles de plus en plus courts car le plaisir ne redescend plus dans mon ventre.

Même si dans ma position je ne vois pas bien ce qu'ils utilisent je sais en les entendant parler qu'ils testent toutes sortes de godemichets et vibromasseurs.

Je râle et crie mais les sons sont très étouffés à cause du bâillon, mon corps bouge sans cesse sur le plancher ce qui les amuse.

Arrive le moment où je n'en peux plus de tous ces orgasmes avec la cyprine qui s'échappe à chaque fois en jets de mon vagin et qui semble inépuisable, je garde les yeux fermés et je suis dans le brouillard.

Le temps passe la torture et les jouissances continuent, je me sens de plus en plus fatiguée même si mon corps réagit sans que je puisse le contrôler.

Tout cela à bien excité les mâles et ils n'en peuvent plus, certains doivent être frustrés à force d'avoir leur engin raide et comprimé dans leur pantalon et certainement commencer à ressentir de la douleur entre les jambes à force d'attendre de pouvoir se soulager.

- vous ne pensez pas que la putain a assez joui, elle ne semble plus en état d'apprécier le plaisir que nous lui donnons -

- tu as raison, cela suffit, à notre tour de prendre du plaisir -

Tous les instruments de torture disparaissent. Je reste inerte bien trop fatiguée pour réagir.

Les hommes avec leurs envies décuplées doivent faire sans ma participation.

Une queue s'introduit dans ma bouche et c'est son propriétaire qui doit donner des coups de reins pour la faire aller et venir dans ma cavité buccale.

En même temps un pénis va-et-vient dans ma chatte.

Il ne se passe pas beaucoup de temps avant que la verge qui est dans ma bouche tressaute et envoie des jets de sperme dans ma gorge. Pendant que j'avale une partie du liquide mon vagin est lui aussi arrosé.

Ma bouche et ma grotte sont investies par d'autres verges et rapidement arrosées de sperme.

Ensuite c'est au tour des derniers qui attendaient leur tour de se soulager dans les mêmes orifices que leurs compères.

Des mains me libèrent des sangles qui retiennent mes poignets et mes chevilles prisonniers.

Mon corps est déplacé, un homme se met sous moi et pénètre ma chatte pendant qu'un autre à genoux derrière moi enfonce sa queue dans mon cul.

C'est la valse des pénis dans ma chatte, mon cul et ma bouche.

Quand des verges ne sont plus en forme ils me les mettent dans les mains mais je ne suis plus capable de les mettre en érection alors ils se masturbent eux même.

Quand le mâles sont bien vidés je ne suis pas en état de faire quoi que ce soit.

Ils me saisissent par les bras et les jambes, ils me transportent à l'extérieur du chalet jusqu'à l'endroit où se trouve un robinet.

Ils branchent un tuyau d'arrosage et dirigent le jet sur mon corps. L'eau froide me glace.

Me laver au jet amuse les hommes, le tuyau passe de main en main et ils tournent autour de moi dans le but de me laver partout.

Mais je sais que surtout ça les amusent.

- c'est bon ramenez la dans le chalet -

De nouveau des mains me prennent par les bras et les jambes et décollant du sol je suis transportée vers mon lieu de résidence.

- attachez la contre la cloison pour qu'elle sèche -

Me tenant à plusieurs en position verticale ils présentent mes poignets et mes chevilles aux endroits où des sangles sont fixées sur la cloison.

Mon maître referme les boucles puis je reste pendue les yeux fermés et la tête baissée.

Les hommes sortent à l'extérieur du chalet et discutent. Bien que pas très lucide j'entends ce qui se dit et certains propos me glacent.

- tu vas t'ennuyer quand ta putain va retourner chez elle -

- elle va rester ici très longtemps -

- elle a bien une famille et une vie, elle ne va pas quitter tout ça pour tes beaux yeux -

- elle n'a pas le choix, je la dresse pour qu'elle m'obéisse au doigt et à l'œil et qu'elle ne pense plus par elle même -

- dans quel but -

- faire le trottoir pour moi tant qu'elle pourra me rapporter de l'argent -

- tu crois pouvoir arriver à ça -

- reviens dans une semaine et tu verras le résultat -

Après un moment je n'entends plus rien et je reste seule maintenue par des sangles contre la cloison.

Le soir après avoir le dîner mon maître m'immobilise de nouveau à l'aide des sangles sur le plancher en bois dans le chalet.

Malgré la fatigue j'ai du mal à m'endormir. J

e ressasse les paroles que j'ai entendues et cherche vainement le moyen de me sortir de cette situation.

Les jours suivants pendant la journée c'est Amandine qui s'occupe de moi.

Avant de déjeuner je dois faire jouir Max son Labrador dans ma bouche et malgré mon dégoût avaler son sperme.

Ensuite elle a décrété que je devais faire de l'exercice physique.

Dans l'herbe je dois ramper ou marcher à quatre pattes sans plier les genoux, faire un maximum de pompes, m'allonger les jambes un peu surélevées tenir le plus longtemps possible.

Ensuite les mains accrochées à la barre du palan m'élever par la force des bras.

Elle me fait courir autour de l'habitation et surtout sauter des obstacles qu'elle réhausse quand j'arrive à les passer jusqu'à ce que je me prenne les pieds dedans et que je chute.

Moi qui ne suis pas sportive c'est dur et les coups de cravache pleuvent car ce n'est jamais assez bien pour elle.

Même s'il ne fait pas chaud je suis en sueur, j'ai souvent le souffle coupé et un point de côté.

Suivant ses lubies je passe du temps prisonnière du carcan ou pendue de différentes façons au palan. Finalement les moments les moins difficiles c'est quand un ou des hommes viennent me sauter.

Je m'aperçois que Mathieu me trouve des clients facilement et de plus en plus souvent.

Deux fois dans la semaine le vieux jardinier au corps décharné et aux vêtements à l'aspect douteux vient me dire qu'il travaille pour mon bien être en fabriquant des instruments de torture et je dois lui faire l'amour.

Je parviens toujours à le faire jouir une première fois sans problème.

Puis en y mettant beaucoup de bonne volonté j'arrive encore à le faire éjaculer une deuxième fois mais vu l'état dans lequel il est après avoir versé quelques gouttes de sperme je me demande toujours s'il ne va pas faire une crise cardiaque.

En fin de journée quand mon maître est de retour il s'arrange lui aussi pour me faire souffrir.

Il n'éteint plus la lumière dans la chalet et me fait dormir attachée dans des positions inconfortables afin que mes membres soient ankylosés et douloureux.

Je passe même des nuits avec dans mon cul et ma chatte des godes qui vibrent ou font des va-et-vient en permanence.

Mon cerveau est très perturbé.

Comme Mathieu l'avait prévu au bout d'une semaine je n'en peux plus.

Je le supplie d'arrêter de me faire souffrir et je lui dis que je suis prête à accepter tout ce qu'il me demandera.

Quand il entend ça un large sourire éclaire son visage.

- tu es prête à accepter de faire tout ce que je te demanderais et même de te prostituer -

- oui maître, tout ce que vous voudrez. Mon obéissance sera totale -

- dés demain on passe aux choses sérieuses et pour commencer je vais te confectionner un super book -

- dans quel but -

- pour te faire connaitre partout et même à l'étranger et ainsi attirer des clients qui me paieront bien pour utiliser ton cul -

- des connaissances risquent de me reconnaitre -

- ça je m'en fiche -

Il en rajoute jusqu'à me donner des frissons.

- j'espère que quelqu'un voudra t'acheter et me proposera un bon prix -

- vous n'allez pas faire ça maître -

- si, que tu finisse dans un bordel en France ou à l'étranger je n'en ai rien à foutre, tu n'es bonne qu'à te faire baiser jusqu'à ce que tu y laisse ta santé en chopant des maladies -

Décontenancée je ne cherche plus à discuter tout en espérant qu'il dit ça pour finir de casser ma volonté et me rendre totalement dépendante de lui.

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