LATI 02

BÊTA PUBLIQUE

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_ Ouvre la bouche! Léche mes doigts, lubrifie les. C'est bien, salive partout. J'ai une question, es tu bien propre à l'intérieur?

_ Oui Madame LATI, j'ai pris une douche et j'ai fait un lavement.

_ Très très bien, tu dois savoir que je n'aime pas la saleté. Donc avant de me rencontrer tu te nettoies de partout, surtout l'intérieur de ton cul. Compris?

_ Oui Madame LATI.

Sans avertissement elle enfonce dans mon cul les deux doigts qui étaient dans ma bouche. Je ne peux retenir un feulement.

_ Tu es très sensible, je vois, c'est génial. Ne te retient pas, si tu as besoin de crier, hurle autant que tu veux, j'adore ça.

Elle me fouille le cul, ses doigts vont partout, elle me sonde en profondeur. Elle joue avec mes réactions, elle découvre mon corps, je suis son instrument de musique, elle joue sa partition.

_ Tu es réactif, très expressif Julien, je vais te faire découvrir des sensations fabuleuses. Tu as un potentiel immense, tu es un diamant brut, je vais te façonner. Tu vas briller de mille feux. Bon j'ai terminé pour aujourd'hui.

Une seconde plus tard, toutes ces caresses s'arrêtent. Je suis si proche d'un orgasme gigantesque. Je ne bouge pas, je suis si frustré.

_ Julien, j'ai un petit cadeau pour toi, ne bouge pas. Tu as un joli petit cul bien rouge, il te manque une petite décoration. Tu vas voir, il est un peu plus lourd que le tien. Ne bouge pas je reviens.

Elle fait quelques pas, j'entends qu'elle ouvre son sac, revient vers moi. Le bruit de ses talons est un puissant excitant, je bande. Un liquide froid coule sur mes fesses.

_ Cette pommade va te faire du bien, et ça c'est ma touche artistique personnelle.

_ Oh!!! C'est froid Madame LATI, c'est assez gros en effet.

_ Tu vas vite le réchauffer. Voilà tu magnifique.

_ Je ne sais pas Madame LATI, il est en effet un plus lourd que mon plug et un peu plus large.

_ Julien lève toi, tu vas t'y habituer, c'est un très beau rosebud, il te va très bien. Fait moi visiter ton appartement.

_ Euh! Mais...Oui! Bien sûr Madame LATI.

Je suis confus, je ne comprends pas, j'étais si proche d'un orgasme. Je me redresse avec difficulté, LATI est devant moi, elle tient une grande spatule en bois qu'elle tapote sur sa main. Je ne regarderai plus jamais pareil ma grande cuillère en bois que j'utilise pour mes confitures. Mon cul me chauffe, je sens très bien le plug à l'intérieur. Je touche mes fesses, elles sont brûlantes.

_ Alors! Julien! Réagit! Montre moi où tu vis. Tu habites cet appartement depuis longtemps?

_ Euh! Oui! Bien sur Madame LATI. J'ai acheté cet appartement il y a dix ans, je m'y suis installé il y a peu moins de huit ans. Suivez moi, je vous fais visiter. Donc le salon où nous sommes, la cuisine ouverte de ce côté, la porte à droite de l'entrée ce sont des toilettes, une salle de bain mais vous les connaissez déjà, la terrasse aussi, celle-ci est plein nord, elle est très agréable l'été, elle est toujours à l'ombre. Juste à côté cette porte donne sur mon espace home cinéma, avec la musique. J'aime beaucoup le cinéma, j'apprécie un bon son. Je me suis fait plaisir, il y a des enceintes connectées dans chaque pièce. Je vous montre.

_ J'entends bien, tu n'as pas lésiné sur la qualité, le son est très pur.

_ Madame LATI, vous êtes la seule en dehors de quelques amis à savoir que tout cela m'appartient. Je ne veux pas que l'on sache que je suis riche.

_ Julien, on a tous nos petits secrets, ne t'inquiète pas, avec moi tu ne risques rien.

_ Merci Madame LATI, de l'autre côté c'est ma chambre.

_ Très épurée et lumineux, je vois.

_ Oui Madame LATI, juste un grand lit, des placards intégrés dans les murs, comme les portes, elles sont presque invisibles ,là c'est ma salle de bain, ici le dressing.

_ Très discrètes les ouvertures, c'est vrai, on ne les voient pas. Tout est en bois?

_ Oui Madame LATI, la baie vitrée donne plein sud. La terrasse continue, elle fait le tour de l'appartement. Là, devant ma chambre la piscine couverte qui peut s'ouvrir entièrement, avec un jacuzzi et le sauna à côté.

_ c'est magnifique Julien, c'est toi qui a conçu tout ça?

_ Presque Madame LATI, j'ai un ami architecte qui m'a beaucoup aidé. Là c'est une chambre d'amis avec sa salle de bain, la buanderie et ma bibliothèque pour terminer. Presque toutes les pièces donnent sur la terrasse.

_ Mais quand je suis venue la première fois avec les collègues ça ne ressemblait pas à ça.

_ Oui Madame LATI, les cloisons étaient fermées et la pergola baissées, je ne souhaitais pas tout montrer.

_ Julien tu es un homme surprenant, je suis bluffée, et voilà ta bibliothèque, Ah! quand même!

_ Merci Madame LATI, j'aime beaucoup lire, il y a tous les styles.

_ Je vois, ton appartement est absolument magnifique, comme toi d'ailleurs, tu es beau nu j'aime vraiment ton corps. Tes fesses rouges sont délicieuses, ce bijoux te va très bien.

_ Merci Madame LATI, votre cadeau est très agréable à porter. Je dois vous dire, quand je suis chez moi je suis nu pratiquement tout le temps. Je suis naturiste depuis très longtemps. J'aime la nature et j'apprécie mon corps. De plus, je n'ai rien à vous cacher.

_ C'est vrai Julien, tu ne dois plus rien me cacher. C'est ce que tu désires, non?

_ Oui Madame LATI, c'est mon vœux le plus cher.

_ Alors tout est parfait. Je ne sais pas comment nous allons évoluer tous les deux. Il me tarde de me débarrasser de ta grosse bêtise avec MARTINE et passer à autre chose.

Julien, pourrais-tu me faire café?

_ Oui bien sur Madame LATI, avec plaisir.

La fin de l'après-midi est passé à une vitesse folle. Elle m'a beaucoup interrogé sur ma vie, j'ai précisé et expliqué des détails de mon parcours, de mes expériences, l'argent que j'ai gagné, ...

Je ne comprends pas ce qui m'arrive, je déambule nu, je parle simplement avec LATI, j'ai pourtant le cul rempli, les fesses un peu chaudes, je bande souvent, je suis chez moi nu devant elle toute habillée, cela semble si naturel. Je ne me suis jamais senti aussi bien avec quelqu'un.

Je suis sur un nuage, LATI n'a plus fait allusion à ma nudité et ma punition. Elle m'a juste permis d'embrasser ses pieds avant de partir. Je ne suis pas fétichiste des pieds mais le symbole est très fort. Je me prosterne devant une Déesse.

Je n'ai pas éjaculé, je suis toujours très excité. Je me refais le film, c'est très troublant quand même, je me demande si j'ai rêvé, tant cela me paraît inespéré. C'est la délicieuse sensation de chaleur sur mes fesses, qui me rappelle que c'est bien réel. LATI m'a touché, elle a passé sa main sur moi, elle m'a branlé, elle a joué avec mon cul. Je me suis offert sans retenue, c'est étrange, cela me paraît si naturel, si simple, si facile pour une première fois.

LATI est ma Maîtresse je suis son soumis. Je suis à la fois le plus heureux des hommes et en même temps, absolument terrifié. Je n'ai aucune idée de la suite.

La fin de journée se passe dans une sorte de brouillard libidineux. Je suis toujours très excité, LATI ne m'a toujours pas donné de directives sur mes masturbations, je sais que je dois lui avouer mes désirs, mes envies. Devant mon écran je détaille longuement mes pensées. C'est étrange de mettre par écrit mes sentiments, de détailler avec des mots très personnels mes émotions. Je n'ai jamais fait cela avant. J'écris un journal intime pour LATI, c'est très excitant de m'exhiber de la sorte. Être nu physiquement est facile pour moi, ce qu'elle me demande est encore plus profond. Mais d'un autre côté, c'est une aide précieuse pour mieux me connaître. Mettre des mots sur mes émotions, mes ressentis, mes doutes, mes craintes, mes interrogations sont des outils très utiles pour LATI et pour moi.

7 heures, je ne suis pas le premier, au boulot, le bureau de LATI est ouvert, mes clefs sur son bureau.

Salle du personnel, café, petits gâteaux, échanges entre collègues. Bonjour, respectueux ( comme d'habitude) à LATI, qui vient chercher un café, journée de travail ordinaire.

Rien d'exceptionnel, si ce n'est qu'elle a mon trousseau à la main et qu'elle joue avec, devant tout le monde.

Ça déclenche chez moi une érection terrible.

Je suis sur que LATI a vu mon trouble. Elle semble joyeuse, ce sont les collègues qui font la remarque.

12h00 je débauche, comme d'habitude, pas de remarque, de LATI.

J'arrive chez moi, je me dénude, un passage par la salle de bain, je suis tout propre de partout.

Je suis tout excité, le plug offert par ma Déesse, enfoncé dans mon fondement ne fait qu'augmenter mon excitation. Je n'ai pas osé le porter au travail. Je dois aller faire quelques courses, je le garde, c'est très excitant de sortir, le cul remplit. Je ne l'avais mis que pour aller téléphoner jusqu'à présent.

Le super marché est proche, je déambule dans les rayons, ma démarche est lente, chaque pas, m'envoie des décharges électriques dans tout le corps.

C'est très jouissif, je ne bande pas, pourtant, je sens ma queue couler, je touche discrètement mon entre jambe, je sens de l'humidité.

Une petite tache se dessine sur mon jeans, je n'ai pas de caleçon.

C'est la honte et en même temps, une source d'excitation puissante.

Je termine les courses la queue tendue.

Le retour est aussi un moment bien excitant.

Dès la porte fermée, les deux poches posées sur le plan de travail, je tombe mes deux seuls vêtements.

Je suis nu, garder le plug est un plaisir. Je range les courses rapidement.

_ Julien tu es surprenant, tu m'avais dit que tu es souvent à poil chez toi, mais tu t'es dénudé à peine ta porte franchie. J'adore. Donc à partir de maintenant, je te veux tout le temps ainsi.

J'hallucine, je ne rêve pas. LATI est chez moi, juste devant moi. Elle sort de ma chambre. Mais comment?

_ Euh oui, bien sur, mais,...

_ J'ai attendu que tu sortes de chez toi, j'en ai profité pour visiter ton appartement. Que fais tu? Viens me saluer.

Il me faut un petit instant pour reconnecter mon cerveau. Je cours m'agenouiller devant elle. Je me jette à ses pieds, dépose un baiser sur chaque chaussure. je prononce avec une grande émotion.

_ Bonjour Maîtresse LATI.

_ Quand même, avec tous ce que tu as lu, tu n'as pas compris la première chose à faire en présence de ta Maîtresse?

_ je vous prie de bien vouloir m'excuser Maîtresse LATI.

_ On verra, fait moi un café, porte moi un verre d'eau d'abord.

Mets toi à quatre pattes, pour te déplacer. Hummm, je vois que tu as le cul occupé, tu l'a porté ce matin au travail?

_ Non Maîtresse LATI, je l'ai mis en arrivant chez moi, je suis juste allé faire les courses avec. Je n'aurai pas dû?

_ Non c'est très bien. Je voulais juste savoir depuis quand tu l'as au fond de ton cul. Tu me donnes plein d'idées. C'est bien, ton appart est propre, bien rangé, j'apprécie. Tu as quelqu'un qui vient faire le ménage?

_ Oui Maîtresse LATI. Elle vient deux fois par semaine.

_ Très bien, tu as une sacrée collection de revues spécialisées et de livres érotique, tu les classeras par préférence. Je veux tout savoir de toi. Tu as gardé aussi quelques DVD, intéressants. J'ai vu qu'il y en plusieurs avec des Femmes maghrébines, tu as des films bi et homo qui semblent très hard aussi. Tu les classeras dans l'ordre de tes préférences. Entendu Julien?

_ Oui Maîtresse LATI.

_ Pour ton ordinateur, je veux tous tes codes, tes sites préférés, tes histoires, tes vidéos. Tu m'envoie les liens se sera plus simple.

_ Oui Maîtresse LATI.

_ Ton journal intime est très intéressant, c'est exactement ce que je voulais. Continue, c'est très bien. Tu détailleras toutes les pratiques que tu aimes.

Je t'avertis, je ne ferai que ce que je veux de tout ça. Tu dois tout me dire, je veux savoir tout ce qui t'excite.

Au fait, mes anciennes collègues sont sur le pied de guerre. Interdiction de les contacter ok.

_ Oui Maîtresse LATI.

_ Elles sont toutes très excitées, le lapin que tu leur as posé, les a beaucoup contrariées. Ton faux nom, ton travail fictif, c'est bien, par contre ta description est trop fidèle. Tu dois aller chez le coiffeur.

C'est une demande, non plutôt un ordre. As-tu compris?

_ Oui Maîtresse LATI. Dès demain j'aurai une nouvelle coupe de cheveux.

_ Très bien, Julien, sache que je ne veux pas te changer, je vais te permettre de te réaliser. Est-ce que tu me fais confiance?

_ Oui Maîtresse LATI, vous allez peut-être trouver ça étonnant mais j'ai totalement confiance en vous, et ça dès les premiers instants où je vous ai rencontré.

_ J'en suis ravie, tu dois comprendre que je ne te ferais jamais de torts. Tu ne seras jamais en danger, je protègerai toujours ton intégrité physique et morale. C'est très important pour moi, tu dois avoir une confiance absolue en moi.

_ Oui Maîtresse LATI. Merci.

_ J'ai une petite expérience dans le BDSM, je ne veux pas te faire peur mais il y a du travail avant que tu deviennes mon soumis.

J'ai encore soif, apporte moi à boire, j'aime beaucoup le thé glacé, tu auras toujours une boisson au frais pour moi. Pour l'instant, de l'eau fraîche ça ira très bien. Julien tu vas apprendre à me connaître, je ne suis pas difficile mais quand je veux quelque chose tu dois tout faire pour me satisfaire. Compris?

_ Oui Maîtresse LATI.

_ Donc c'est parfait, je vais te laisser, j'emporte ce DVD et ces trois revues.

Quand j'arrive, tu viens me saluer en embrassant mes pieds, je veux la même chose quand je pars. Compris!

_ Oui Maîtresse LATI, je vous souhaite une très bonne fin de journée.

J'ai dit tout ça, en déposant un baiser sur chaque chaussure. Elle a alors passé sa main sur mon corps, jusqu'à mon cul. Elle a poussé sur mon plug, elle l'a sorti, l'a rentré plusieurs fois avant de partir.

LATI, était chez-moi, elle a les clefs de mon appartement. Elle m'a fait des compliments, mais elle m'a aussi demandé de me couper les cheveux. Je sais ce qu'il me reste à faire, en quelques secondes, je suis habillé, le plug toujours bien au chaud dans mon cul. Je ne mets pas de caleçon.

Pas loin de chez moi, il y a un petit salon de coiffure. J'y suis déjà allé.

Il n'y a personne, je suis accueilli par deux charmantes coiffeuses.

_ Bonjour Mesdames, je souhaite me raser la tête.

_ Bien sur Monsieur, voulez vous un shampoing?

_ Pourquoi pas Mesdames.

_ Voulez vous garder vos cheveux?

_ Non merci.

Quand je m'assoie sur le fauteuil, le plug me procure de drôles de sensations, je sens un courant de plaisir me parcourir tout le corps. Mes fesses sont très sensibles, la fessée de tout à l'heure est encore douloureuse.

_ Quelque chose ne va pas?

_ Non, non tout va bien Mesdames, merci.

Elles se sont aperçues de mon trouble.

J'essaie de bouger le moins possible. Mais le plug est redoutable, par dessus le marché, je commence à bander.

Je suis sûr qu'elles vont voir mon érection. J'ai aperçu un petit sourire de connivence entre les deux femmes. Elles se mettent à deux pour m'installer, sur un fauteuil pour me faire le shampoing. Mon érection ne se calme pas, au contraire. Une des coiffeuse me lave les cheveux, ses caresses me troublent beaucoup. L'autre Femme est devant moi. Le massage de mon cuir chevelu est une pure sensation de bonheur. Je commence à me détendre, mes pensées vagabondent, elles m'emmènent inévitablement à la raison pour laquelle je suis assis sur ce fauteuil. Ma température vient de monter d'un cran, je sens monter une délicieuse excitation. Le fait de ne pas avoir de caleçon avec mon pantalon en toile n'est pas une bonne idée. Elles ont une vue directe sur mon sexe qui tend mon pantalon. Le tablier ne couvre que haut de mon corps, il s'arrête dessous mon nombril. Je réajuste ma chemise, elle couvre mon entre jambe. J'ai honte et en même temps, je suis très excité par cette situation. Elles me demandent de me lever, de changer de fauteuil. Je ne peux plus cacher la bosse de mon entre jambe, en même temps le gode m'oblige à serrer les Fesses, pour me déplacer d'un fauteuil à l'autre. Cela devient un délicieux supplice que j'ai toutes les peines du monde à essayer de cacher. Je dois avoir une drôle de démarche. S'assoir sur le fauteuil me demande une grande maîtrise, je m'installe doucement.

_ Callez vous bien au fond.

C'est le cas de le dire. Plus je me recule dans le fauteuil, moins mes pieds touchent par terre et plus le plug s'enfonce bien au fond de mon cul.

_ Vous êtes bien installé? On dirait que quelque chose ne va pas? Quelque chose vous gêne? C'est le fauteuil?

_ Si ,non, non, enfin, si si, tout va bien ,merci.

_ Vraiment? On dirait que vous êtes assis sur des punaises. Vous n'arrêtez pas de vous trémousser.

_ Si si tout va bien, je suis juste un peu stressé.

_ Détendez vous, on ne va pas beaucoup vous torturer.

_ Merci Mesdames, je suis calé, bien au fond, je ne bouge plus.

Elle s'approche avec une tondeuse. Mes cheveux sont tirés en arrière, peignés par l'autre fille. Elle commence par le devant de ma tête, elle est face à moi, je ne vois pas le miroir. J'ai l'impression qu'elle prend son temps, elle va tout lentement.

_ Fermez les yeux, la surprise, n'en sera que meilleure.

J'obéis, c'est vrai que d'un seul coup, je me sens moins gêné, je laisser mon imagination vagabonder. La tondeuse passe maintenant sur les côtés. Je suis détendu, calme, je suis arrivé à presque oublier le plug et mes fesses rouges. Quand brusquement le fauteuil descend de plusieurs crans et s'arrête d'un coup sec. J'ai poussé un gémissement.

_ Oups, j'ai appuyé sur la pédale. Je n'ai pas fait attention. Ça va?

_ Ouiii, j'ai été surpris, pardon, excusez moi d'avoir un crié un peu.

_ Un peu!! Tout le quartier à profité de tes gémissements.

_ Bon, à mon tour maintenant, j'ai toujours aimé passer le rasoir sur le crane d'un homme.

La coiffeuse qui tient la tondeuse d'une main, passe l'autre main sur ma tête, d'une caresse très sensuelle. Elle est toujours devant moi, elle me cache le miroir. Un frisson me traverse tout le corps, le plug joue son rôle à la perfection, je sens ma queue dure libérer mes fluides. C'est trop gênant, je vais tacher mon pantalon, elles vont le voir. La coiffeuse est sur mon côté, elle tient un long rasoir type coupe-chou.

_ Ferme les yeux, ce n'est pas encore fini.

_ Oui, bien sur, excusez moi Madame.

Pourquoi j'ai dis ça? Mais qu'est-ce que je fais? Qu'est ce qui se passe? Avant de fermer les yeux, j'ai vu le regard fugace qu'elle a lancé à l'autre fille vers mon entre jambe. En plus, elles me tutoient. Il se passe un truc trop bizarre. Elle me recouvre la tête de mousse à raser.

_ Ne bouge plus, je vais commencer.

_ Bien sur, excusez moi Madame je ne bouge plus.

_ En plus d'être obéissant, tu es poli.

_ Merci Madame .

_ T'es trop bas, je te remonte.

Le fauteuil remonte d'un cran. CLAC! C'est comme si on m'avait enfoncé profondément le plug brusquement, sans avertissement. Je n'ai pas pu m'empêcher d'ouvrir grande la bouche et pousser un râle de surprise et de plaisir. Ma queue coule encore plus, la tâche s'est encore agrandie, je sens l'humidité sur mon aine. Mes fesses sont douloureuses, je sens la chaleur des coups de la spatule.

CLAC! CLAC! Le fauteuil remonte encore.

Je ne veux plus ouvrir les yeux. J'ai trop honte.

CLAC!

Ma réaction est moins bruyante mais tout autant expressive.

CLAC! CLAC!

Une autre secousse, puis une autre. Je les entends glousser.

_ Bon j'ai trouvé la bonne hauteur, ça va toujours?

_ Oui oui très bien Madame, merci.

_ T'es sur? J'ai l'impression que tu as quelque chose qui te dérange?

_ Non, tout va bien, Madame, c'est, c'est que j'ai été surpris par le fauteuil.

_ Eh bien moi, j'aimerais beaucoup que ce fauteuil me fasse autant d'effets.

Au fait, tu ne nous a pas dit pourquoi tu voulais te raser la tête? Tu avais de beaux cheveux longs.

_ Ma Mait... ma copine n'aime plus mes cheveux long, et moi non plus, ça faisait longtemps que j'en avais envie. je veux lui faire la surprise.