LATI 01

Informations sur Récit
Mes pulsions me rattrape.
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2
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 2 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 03/22/2022
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Je m'appelle Julien, j'ai 35 ans, je travaille au service informatique, depuis un an, dans un lycée bordelais je ne fais que vingt heures par semaine. Il y a 15 ans j'ai gagné une très grosse somme à la loterie. Je n'ai plus besoin de travailler pour vivre. Le boulot est une excuse, un bon prétexte pour rencontrer du monde en utilisant mes compétences. Après des années d'errance, de fêtes, d'expériences en tous genres. J'ai ressenti le besoin d'échanger avec les gens autrement. M'ancrer dans une réalité professionnelle m'aide à trouver du sens à ma vie.

J'ai acheté un petit immeuble haussmannien, que j'ai fait entièrement rénover. J'habite le dernier étage. J'en ai fais un seul et grand appartement. Une large terrasse en fait tout le tour, je suis en plein centre ville de Bordeaux. La vue sur les toits est splendide.

Je suis célibataire, je n'ai pas d'enfant et je n'en veux pas. J'ai vécu un peu plus de trois ans en couple à la fin de mes vingt ans. Nous n'étions pas sur les mêmes longueurs d'ondes, l'on s'est quitté d'un accord commun.

Depuis, je vis seul, quelques rencontres sans lendemain, diverses expériences en tous genres. Je profite de l'instant présent, je suis hédoniste. J'aime me faire plaisir, j'ai beaucoup de temps libre et les moyens. Je suis passionné par l'Art sous toutes ses formes. Musique, cinéma, musées, théâtre, concerts, spectacles.... Je voyage aussi. En clair, je profite de la vie.

Je suis assez solitaire. J'ai quelques amis poches, mais ils habitent loin de Bordeaux. Nos rencontres annuelle, nos échanges via les réseaux sociaux me suffisent amplement

Physiquement, la nature à été généreuse avec moi. Je mesure 1m75 pour 80 kg de muscles. Je passe deux à trois heures par semaine dans une salle de sport pour rester en forme. Je suis plutôt beau gosse, j'ai de longs cheveux noirs, je n'ai jamais été très poilu, je m'épille les quelques poils qui restent. Je suis très à l'aise avec mon corps, je n'ai pas de tabous. J'aime le sexe dans toute sa diversité. Je suis assez bien pourvu, fier de mes vingt trois centimetres qui ne m'ont jamais fait faux bond.

Après quelques années d'excès et de débauches j'ai trouvé un équilibre entre un travail tranquille, une vie culturelle riche, des voyages, du sport, quelques rencontres féminines tarifiées, une consommation régulière de porno.

Je suis à un petit quart d'heure à pied du lycée. Travailler pour l'éducation nationale, me laisse beaucoup de temps libre, j'ai toutes les vacances scolaires. Personne au travail n'est au courant de ma situation personnelle, je fais mon taf, je ne me prend pas la tête, je suis agréable avec tout le monde, même si je suis assez réservé et solitaire.

Nous sommes cinq dans l'équipe technique au milieu d'une cinquantaine de profs. On est un peu à part, tant mieux. C'est un milieu particulier l'éducation nationale, je ne fais pas parti du sérail, il y a une certaine condescendance de certaines et certains mais je m'en fous. J'ai une très belle vie en dehors. Parmis mes collègues, il y a LATI, c'est ma responsable directe.

LATI est d'origine maghrébine. Elle mesure un peu plus d'un mètre soixante, une silhouette athlétique, une poitrine ronde, elle doit faire un petit bonnet B, de longue jambes, un visage fin, un nez aquilin, des yeux noirs profonds et envoûtants toujours mis en valeur par une ligne de khôl discrète, le teint hâlé. Elle est toujours entourée d'un parfum très particulier, très oriental, qui me trouble beaucoup.

C'est une très belle Femme, sure d'elle, consciente de sa beauté, qui assume pleinement son statut de directrice d'un poste à majorité masculine.

LATI s'habille souvent de tailleurs classique, avec une touche de couleur à chaque fois, elle porte toujours des chaussures à talons qui résonnent délicieusement sur les parquets du lycée.

Je la trouve très belle, très sensuelle, elle me fait penser à une Reine orientale, je dois reconnaître qu'elle me fait beaucoup d'effets. Il émane d'elle une autorité naturelle qui me fascine. Je suis sous son charme depuis la première fois ou je l'ai rencontré. C'est le rayon de soleil qui me motive pour me lever tous les matins.

LATI est ma Supérieure hiérarchique, mais aussi la Femme "dominante" qui hante mes nuits et mes journées.

Elle est très souvent la source de mes excitations, de mes activités masturbatoires.

Je ne lui ai jamais avoué à quel point, elle me fascinait, je lui voue une vraie vénération secrète. Elle me fascine et me terrifie en même temps. Je n'ai jamais osé lui exprimer clairement mes émotions, quand je suis proche d'elle je ne peux que reconnaître sa beauté, sa supériorité. Nos échanges ont toujours été professionnels, jusqu'à une soirée organisée pour le départ à la retraite d'une responsable très appréciée. Nous nous sommes retrouvé entre collègues dans un restaurant-bar du centre ville. L'alcool aidant, l'ambiance très festive, je me suis autorisé à lui parler. Curieusement, le courant est passé tout de suite entre nous deux. C'était la première fois que l'on se parlait pour autres choses que le travail. Même si l'ambiance était décontractée entre nous tous. Je me suis toujours montré très respectueux, j'ai continué à la vouvoyer alors que tout le monde se tutoyait.

Cette attitude, l'a surprise, mais j'ai senti qu'elle appréciait. Nous échangeons librement entre collègues, je parle avec tout le monde mais étrangement nous retrouvons souvent tous les deux.

La relation entre nous est simple et évidente, nous sommes originaires de la même région, de villages voisins éloignés d'une dizaine de kilomètres. Nous avons un parcours scolaire similaire dans les mêmes villes, les mêmes écoles. Tout naturellement nous évoquons le passé, nos souvenirs s'entrecroisent, les connaissances communes, ... et surprise nous découvrons que nous sommes nés le même jour, elle a juste 3 ans de plus. Avec une grande facilité, nous sommes passés de discussions légères, à des confidences plus personnelles.

Nos parcours, les établissements fréquentés, les professeurs, les amitiés, les expériences, les lieux, nous avons mêmes dû nous croiser lors de fêtes, ou de soirées... Je dois être honnête, j'ai de vague souvenirs d'un groupe de filles avec qui elle traînait, mais je ne me rappelle absolument pas d'elle. Par contre LATI se souvient très bien de moi. J'étais le jeune beau brun aux cheveux longs, très timide mais très rapide. Elle était présente lors d'un derbys entre nos deux villages. Nous avions perdu mais j'avais marqué deux essais dont un, de 80 mètres, je jouais arrière dans l'équipe de rugby locale. A cette époque je sortais avec une fille depuis le collège, je croyais être amoureux. Je ne regardais pas les autres femmes.

Elle m'apprend qu'elle ma reconnue dès le premier entretien, elle se rappelait très bien de moi, de mon nom. Elle a tout fait pour mon admission dans son service. Je suis plutôt étonné qu'elle se soit rappelé de moi.

Et puis, sans que je sache ni comment ni pourquoi, LATI me parle d'une ancienne pionne de nos années lycée. Elle travaille aujourd'hui dans un établissement de Bordeaux où LATI était en poste. Elle m'explique qu'elle est maintenant responsable d'un service administratif après avoir été une Dominatrice professionnelle quelques années auparavant.

Devant mon étonnement, ma curiosité, LATI me décrit avec moult détails, son parcours, son histoire et même certaines de ses pratiques avec des hommes soumis.

Je suis sur qu'elle a perçu mon trouble, cela semble l'amuser, elle en rajoute beaucoup. Je suis très gêné, j'ai du mal à cacher mon excitation, mon trouble. J'ai rougi plusieurs fois, et je bande comme un fou. Mon érection est surement visible sous mon pantalon en toile. Je suis excité que LATI me parle de domination féminine, je crains à mes réactions qu'elle devine mes désirs si inavouables.

Plusieurs fois, elle m'a demandé d'aller lui chercher à boire, m'obligeant à traverser tout le bar. Elle bois des cocktail à base de Gin et de jus de fruits frais servis au contoir. Son sourire est lumineux quand je lui ramène sa boisson, plusieurs fois j'ai surpris son regard, sur mon entrejambe. Elle me matte ouvertement, elle ne se cache pas, c'est moi qui suis gêné à chaque fois.

Et puis comme si c'était normal, elle me complimente sur mon comportement très avenant, ma politesse, ma gentillesse. Elle me dit même que cela lui plaît beaucoup de me voir dévoué, attentionné à ses besoins.

La soirée se déroule sur ce mode très curieux. Elle me chauffe par des gestes très sensuels. Sa main se pose souvent sur mes bras, mes épaules, qu'elles caresse nonchalamment quand elle me parle, la musique est très forte, elle me parle à l'oreille, elle en profite, elle se frotte à moi, elle m'a même mis la main aux fesses. Je l'ai laissé faire. Elle continue toute la soirée son petit jeu, alimenté de remarques ambiguës.

Puis, elle s'échappe au milieu d'une phrase pour discuter avec d'autres, me laissant dans un flou troublant.

Quand elle reviens vers moi, elle est enjouée, elle s'amuse beaucoup, son rire démonstratif égaye la soirée.

Elle joue avec moi, comme un félin avec sa proie. Je joue le jeu, cela m'amuse et m'excite beaucoup en fait. Je ne suis pas un dragueur, je suis plutôt timide. Naturellement, c'est elle qui s'impose. Je suis sous son charme, j'adore.

LATI aussi semble y prendre goût, elle va encore plus loin dans ses demandes.

Elle me questionne sur ma vie personnelle sans détours, elle est très directe. Je répond alors à toutes ses questions, même les plus intimes de ma vie privée.

Curieusement, je n'ai pas honte, face à LATI je n'ai plus de pudeur, ni retenue, je suis si agréablement surpris de son intérêt. Elle m'écoute. En toute liberté, je parle de mes expériences, de mes échecs, de mes réussites, de mes partenaires,... l'alcool y est sûrement pour quelque chose, j'ai beaucoup bu.

Je me sens en confiance, c'est Elle qui pose toutes les questions, moi, je ne lui en pose aucune. je ne fais que répondre avec honnêteté et franchise à ses demandes. Je sais juste qu'elle est d'origine Berbère, qu'elle est née dans la même clinique que moi, que sa famille est arrivée en France dans les années soixante.

Curieusement, elle veut tout savoir sur moi, je ne lui cache presque rien, je lui dévoile beaucoup de mon intimité.

La soirée bat son plein, on discute avec tout le monde, mais lorsque l'on se retrouve seul et ça arrive très souvent, Elle reprend son interogatoire. Elle est de plus en plus intrusive, indiscrète, demande des détails très intimes.

Elle veut tout savoir. Sans comprendre ni comment ni pourquoi, j'en arrive à lui parler de mon intimité très personnelle. Je pratique la natation depuis très jeune, j'ai arrêté le rugby à 18 ans après le bac, je vais dans une salle de sport au moins une fois par semaine, je n'ai pas de poils sur le corps, à part mes longs cheveux.

je lui parle aussi de mes expériences, de mes aventures avec les Femmes de mes expériences avec les hommes. Je suis bisexuel. Je décris même mes mensurations, mes positions préférées, elle me pousse à lui avouer des choses très personnelles. Je lui parle de la sensibilité de ma prostate, de ma fascination pour toutes les femmes de pouvoir.

je finis par lui avouer certains de mes phantasmes, ( les plus softs quand même). Je lui parle de mon attirance pour une forme de domination féminine.

Elle m'écoute avec beaucoup d'attention, me fait préciser, détailler, certains de mes aveux, sans jamais me critiquer ou me juger.

Elle ne donne jamais son avis personnel, elle m'écoute, me questionne, elle ne reprend jamais mes dires avec les autres, même quand on l'a questionne sur notre rapprochement, elle reste très évasive, expliquant que l'on vient de la même région, de villages voisins, que j'étais un très bon rugbymen dans ma jeunesse, ...

La soirée se déroule comme dans un rêve, nous nous sommes tous bien éméchés, mon érection ne m'a jamais quittée je crois. A la fermeture du " bar " Nous terminons la soirée chez moi, mon appart est tout proche, j'ai quelques bouteilles au frais.

Je suis drôlement, excité, c'est la première fois que j'invite des collègues chez moi. Je fais surtout ça pour inviter LATI, je ne sais pas pourquoi mais je suis très content de montrer mon espace personnel à LATI, les autres sont presque inexistants à mes yeux.

Nous sommes une petite dizaine.

Rien ne laisse supposer qu'il y a quelque chose entre nous deux. Juste un rapprochement entre collègues qui sont originaires du même coin.

J'esquive vite les questions sur mon appartement, je le sous-loue à un ami. La terrasse et surtout la vue fait l'unanimité, Le Ruhm aussi.

Sept heures du matin, tout le monde est parti, je suis enfin seul chez moi.

Je me demande si j'ai rêvé. La femme de mes rêves est venue chez moi.

J'ai passé le reste week-end excité comme un fou, j'ai du me branler plusieurs fois pour diminuer la tension sexuelle de cette soirée.

Lundi, je retrouve LATI et mes collègues, étrangement elle est très distante.

Elle ne fait aucune allusion à la soirée ni à tout ce que j'ai pu lui dire ou faire. Elle fait comme s'il ne s'était rien passé, comme si l'on ne se connaissait pas. Elle reste très professionnelle, très froide, très distante dans ses paroles et ses attitudes.

Bref, j'ai du pendre mes phantasmes pour la réalité encore une fois.

Un peu plus d'un mois se passe, la soirée semble n'avoir jamais existée. Nos rapports restent seulement professionnels. Trop d'indifférence de sa part, je me sens rejeté, j'ai l'impression d'être un pervers face à Elle. Je lui ai avoué tellement de choses personnelles.

Un après-midi, submergé par mes pulsions, excité de ne pas avoir éjaculé depuis plus de trois semaines.

En effet, je me branle tous les jours, mais je ne vais pas jusqu'à l'éjaculation, je m'arrête juste avant. Un petit jeu de déni découvert avec une amie quelques années plustôt, dont je ne peux plus me passer. Je me suis aperçu que plus je retarde la jouissance de l'éjaculation, plus mon orgasme est puissant.

Obnubilé par les révélations de LATI, sur notre ancienne CPE, je prend mon courage à deux mains. Je me prépare, je me lave en profondeur. J'enfonce un plug au fond de cul. Je sort de chez moi, non loin du lycée, dans un bureau de tabac, j'achète un téléphone à carte. Je vais dans un parc, je choisis un banc discret. J'appelle son service directement. Je demande à parler à Maîtresse MARTINE "R".

Grand silence au téléphone. Une voix féminine me répond, enfin, après plusieurs secondes de silence.

_ Madame "R" n'est pas la, mais je peux laisser un message, c'est de la part de qui?

_ C'est personnel, je rappellerai.

Tout ça pour rien, bon, ce n'est pas grave, ce n'est que partie remise.

Le lendemain, même heure, en début d'après-midi, le plug bien en place, je reviens sur le même banc dans le parc.

Je rappelle le service, je demande à parler Maîtresse MARTINE "R".

j'entends alors l'interlocutrice l'appeler, lui disant qu'un mec voulait lui parler.

_ MARTINE, téléphone pour toi.

_ C'est qui?

_ Je ne sais pas, il a déjà appelé hier, il veut parler à "Maîtresse MARTINE".

_ C'est n'importe quoi, passe le moi.

Allo?

_ Oui, Allo, bonjour, mes hommages Maîtresse MARTINE.

_ Mais ça ne va pas bien, qui êtes-vous?

_ Un mâle soumis qui souhaite se prosterner devant vous, Maîtresse MARTINE.

_ Ok, t'es qui?

_ Maîtresse MARTINE, je suis Alan.

_ Non, je ne connais pas de Alan, en plus, tu fais erreur, je ne suis pas une Maîtresse.

_ Je vous prie de m'excuser Maîtresse MARTINE mais vous êtes bien une grande Femme de plus d'un mètre soixante-quinze. Vous êtes brune, vous avez les cheveux longs frisés, les yeux noirs. Vous avez de magnifiques formes, vous êtes une femme plantureuse.

Vous êtes même très souvent habillée de noir, de plus vous ne portez jamais de pantalon.

_ Oui, ça pourrait être moi, comme plein d'autres femmes. Mais tu te trompes et puis tu vas me dire qui tu es?

_ Un homme fasciné par vous Maîtresse MARTINE.

_ C'est n'importe quoi. Là je suis au travail en rendez-vous, je suis occupée.

Elle raccroche sans un mot de plus, me laissant sur ma faim.

Le lendemain, à peu près à la même heure, au même endroit, tout propre et tout lisse, le cul toujours rempli, je rappelle le service.

_ Allo, bonjour, pourrais je parler à Maîtresse MARTINE s'il vous plaît.

_ Allo, oui! bien sûr. Je te la passe. MARTINE téléphone pour toi.

_ Allo, Maîtresse MARTINE?

_ Allo! Oui! NON! Alors, c'est encore toi le mec qui m'appelle sur mon lieu de travail pour dire des conneries. Bon sérieusement je te connais?

_ Non Maîtresse MARTINE, mais j'aimerais beaucoup.

_ OK t'es un taré, qu'est-ce que tu me veux? Dépêche toi je n'ai pas que ça à faire.

_ Maîtresse MARTINE je souhaiterais ramper à vos pieds, devenir votre soumis.

_ A quand même!!! Et qu'est-ce qui te fait croire que j'ai envie qu'un mec rampe à mes pieds?

_ Maîtresse MARTINE, vous êtes tellement puissante et magnifique, je ne peux que vous rendre hommage, me prosterner devant vous.

_ Et tu crois que j'ai envie de ça?

_ Maîtresse MARTINE, je rêve de me prosterner devant vous.

_ C'est tout?

_ Non Maîtresse MARTINE.

_ Alors vas y. Quoi d'autre?

En même temps, j'entends des voix féminines parler derrière elle.

Elle n'est pas seule, plusieurs femmes sont présentes. Elles vont écouter toute notre conversation, j'en suis sur. Curieusement, ça rajoute de l'excitation, je fais comme si je n'avais rien entendu.

_ Maîtresse MARTINE, je vous prie de bien vouloir m'excuser de vous déranger sur votre lieu de travail, je n'ai pas trouvé d'autre solution pour vous proposer ma candidature de mâle soumis.

_ Comment tu me connais?

_ D'anciennes connaissances m'ont parlė de vous.

_ Qui t'a parlé de moi?

_ Maîtresse MARTINE, je ne connais pas leur nom, ils sont juste parlé de vous en termes très élogieux.

_ C'est quoi ces conneries, qui a parlé de moi?

_ Je n'en sais pas plus sur ces hommes Maîtresse MARTINE.

_ Arrête de me prendre pour une conne, c'est qui ces mecs? Où tu les as rencontrés?

_ Maîtresse MARTINE, je les ai rencontré dans une soirée, dans un sauna sur Bordeaux.

_ Lequel?

_ Celui qui est derrière la gare Maîtresse MARTINE.

_ OK! Comment ils s'appellent ses mecs?

_ Je ne connais que leur prénom Maîtresse MARTINE.

_ Alors crache leur nom.

_ Un s'appelle Pierre-Louis, l'autre Jean-Rémy, Maîtresse MARTINE.

Un long silence, je n'entend aucune voix derrière. Ce sont deux prénoms de soumis, parmis une longue liste, dont m'avait parlé LATI. Je suis sur que j'ai mis le doute, elle doit les connaitre, les prénoms ne sont pas communs.

_ Bon et alors, je ne connais personne qui s'appelle comme ça. Tu veux quoi?

_ Maîtresse MARTINE, je souhaite juste être votre soumis.

_ Mais tu ne me connais pas et je ne te connais pas, comment tu t'appelles?

_ je m'appelle Alan, Maîtresse MARTINE.

_ je ne connais pas de Alan, tu racontes n'importe quoi.

Derrière j'entends des voix féminines, qui parlent même temps.

_ Maîtresse MARTINE, vous ne me connaissez pas mais moi si. Je vous ai déjà vu, vous êtes magnifique.

_ OK, où tu m'a vu?

_ Près de votre travail, à la sortie du lycée M, Maîtresse MARTINE.

_ En fait, tu es un pervers. Tu m'espionne, tu me harcèle, tu veux me faire peur c'est ça?

_ Maîtresse MARTINE je ne veux pas vous faire peur, je veux juste avoir l'honneur de vous servir comme la Déesse que vous êtes.

_ Tu veux me servir?

Alors qui es-tu?

Comment tu t'appelles?

_ Maîtresse MARTINE, je m'appelle Alan.

_ Alan Comment?

_ Alan Soum, Maîtresse MARTINE.

_ Tu te fou de ma gueule.

_ Non Maîtresse MARTINE.

_ Arrête de m'appeler Maîtresse.

_ Je vous prie de m'excuser, comment dois je vous appeler.

_ Tu ne m'appelle plus, tu raccroches et tu m'oublie.

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