La Villa Ch. 06

Informations sur Récit
Stéphanie vient de décrocher un contrat sur Rennes.
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Partie 6 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 01/21/2022
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Ce récit fantastique, teinté d'horreur, n'est pas à mettre entre toutes les mains. Le viol en est son fondement. Seul un public majeur et avertit pourra le lire. Seul un public aimant ce genre de texte l'appréciera, du moins je l'espère. Il est donc réservé au moins de dix-huit ans, au amateurs de rapports forcés. Je rappelle que ce texte n'est que tiré de l'imagination de son auteur. En aucun cas il ne cautionne quoi que ce soit. Il y aura des moments pornographique, pervers, d'autres plus narratif, j'espère que les deux côtés vous plairont. Pour ceux qui n'aime pas le genre, ne lisez pas, seul des critiques jaillirons de votre esprit. Ce serait aussi stupide que de commander le meilleur plat à base de viande dans le meilleur restaurant du monde, alors que vous êtes totalement végan. Pour les autres, je vous souhaite bonne lecture.

Pour info, j'ai classé ce texte dans « horreur », mais il aurait tout aussi bien put se mettre dans « non consentement. ». Ensuite l'histoire va commencer plus ou moins doucement, avant de basculer dans le porno horrifique. J'espère que vous prendrez autant de plaisir à lire ce texte, que j'en ai eus à l'écrire. Cordialement, Livio.

Stéphanie à l'impression qu'elle vient de se coucher quand on la secoue. Deux voix résonnent à ses oreilles. Deux voix qu'elle ne connaît que trop bien, qui appelle : « Stéphanie ». Dans son sommeil, elle se demande comment Anne et Linda ont put rentrer chez elle, dans son appartement. Les deux vivent à Nice, elle est à Paris. Cela doit être une visite surprise. Mais comment alors ont-elles eus les clés?

Mais Anne et Linda insiste, la secouant plus fort : « Stéphanie, dépêche-toi. Ils vont nous punir méchamment si on est en retard. ». Mais elle ne veut pas ouvrir les yeux. Il faut qu'elle dorme, demain elle a des tas de choses à faire. Notamment se trouver un appartement à Rennes.

« Stéphanie, vite, on a plus que dix minutes! ». Dix minutes pourquoi se demande la jeune femme. Alors elle ouvre les yeux. Elle est dans une pièce qui n'est pas sa chambre. C'est petit, elle n'est pas couchée dans son beau lit, mais sur une paillasse. Il y en a deux autres à côté d'elle. Celle de Linda et Anne. Elle va pour les engueuler puis tout lui revient...

Après l'explosion de lumière, elles ne sont pas allées chez un gentil voisin. Elles se sont retrouvées au même endroit, mais sans trace de la villa. Par contre à la place du portail, l'entrée d'une auberge, située dans l'autre sens. L'auberge se trouve sur la pente, et non vers sa villa. Elle ne le saura que plus tard. La maison n'a pas été construite sur les ruines de l'auberge, mais sur le charnier dans lequel Jean, Anatole et Nino entèrent leurs victimes.

Cela explique toute cette énergie malfaisante. C'est la souffrance ressentie par toutes ces mortes. Cela explique la force de Jean, il a puisé sa force dans cette énergie. Mais seul lui pouvait faire le trait entre le monde des morts et notre réalité. Pour Nino et Anatole cela n'est pas possible. Ils n'arrivaient pas à drainer assez de puissance. L'arrivée de Linda et de ses pouvoirs de médiums à été le lien, le fusible qui a permit aux autres d'avoir à leurs tours toute cette force. La force nécessaire pour tourmenter les trois malheureuse.

Quand elles ont fuient, l'explosion de lumière n'est pas comme a crut Stéphanie dans son rêve, dut à leurs libérations. Non, elles sont revenues devant l'auberge, en 1858, soit deux ans avant la mort de Léontine. Nino, Jean et Anatole étaient autour d'elles. Ils les ont battues, violées sur place, avec des sexes toujours aussi gros.

Pendant plusieurs jours elles ont été violées, battues, torturées par les trois malfrats. Puis maintenant, elles servent dans l'auberge. Nue, la seule auberge du monde où c'est le cas. Pour quelques pièces de plus, en sus du gîte et du repas, on peux les louer pour la nuit. Les violer, les battre... Leurs faire toutes les tortures imaginable ou pas, même les tuer. À minuit, elles reviennent, en vie, vierge... Tout peux alors recommencer avec d'autres clients.

Linda, Anne et Stéphanie n'ont que cinq heures de repos par jour. Pour dormir, se laver et se nourrir. Le reste du temps, c'est travail. À servir ou à se faire prendre par tout les trous. Cela fait deux ans que cela dure. Elles doivent chacune aller réveiller Anatole, Jean et Nino. À sept heures du matin, après avoir fait le ménage, et préparer le petit-déjeuner. Le tout sans le moindre bruit. Car si elles réveillent l'un des trois hommes, elles seront punis. Peut importe la coupable. Les trois subiront leurs courroux. Fouet, brûlure de cigarettes, coups. Ils se moquent de ce qui leurs font. À minuit toutes traces disparaîtra. Elles ont deux heures pour faire cela. Il est impératif qu'elles commencent à cinq heures du matin. Si elles n'ont qu'une seule minutes de retard, paf, punitions atroces. Même si ils dorment profondément, à leurs réveils, ils savent. C'est pour cela que Linda et Anne ont tant insisté pour que Stéphanie se réveillent.

Cette dernière est encore plus mal que d'habitude. Son rêve, elle y a tant crue. Le retour à son horrible réalité est dur, si dur. Mais Stéphanie sait ce qui l'attend si elle tergiverse. Même si à minuit toutes traces disparaîtra, la douleur, elle, la jeune femme la vivra. Alors elle se lève rapidement, à cinq heures pile, les trois sont au travail.

A sept heures, elles vont réveiller les hommes. Le soir, Jean annonce qui réveille qui. C'est à chaque fois pareil. Elles doivent entrer nue dans la chambre du mâle désigné. Aujourd'hui, Stéphanie doit tirer Nino des bras de Morphée. C'est donc complètement nue qu'elle entre dans sa chambre. Elle grimpe silencieusement sur le lit. L'homme dort nu. Elle voit son sexe mou. Elle secoue le corps de l'homme, tout en disant : « Maître, c'est l'heure du réveil. ». La phrase dite, elle gobe alors le sexe mou de Nino, le garde sur sa langue sans bouger. Jusque à ce qu'il se réveille.

Quand il ouvre les yeux, voyant sa bite dans la bouche de l'une ou l'autre des trois putains, il se met à uriner. Stéphanie avale tout. Elle sait que la moindre goutte qui déborde annonce une journée de torture. Une fois qu'il a fini, elle passe alors à la fellation, jusque à ce qu'il jouisse. Quand il a fini, sans que le pénis sorte de sa cavité buccale, elle le nettoie. Une fois qu'elle l'estime propre, elle peut le recracher. Si le sexe n'est pas parfaitement propre, bang, torture pour la journée.

Ensuite, elle demande si Nino veut la prendre autrement, ou si il veut aller déjeuner. Suivant sa réponse, il va déjeuner ou elle s'empale sur son chibre, par l'orifice demandé, que ce soit sa chatte ou son cul. Jusque à ce qu'il lui dise que c'est terminé. Aujourd'hui, il la veut de dos, sa bite dans son cul. Même si elle sait que ce viol anal sera atroce, vu qu'elle est de nouveau vierge du cul, Stéphanie n'hésite pas. Ce sera toujours beaucoup plus doux que la torture.

Elle n'aura fini de coucher avec Nino que quand il le décidera. Aujourd'hui, sa sodomie lui suffit. Des fois ils veulent sa chatte aussi. Stéphanie se désempale de lui. Elle se relève, se mettant un doigt dans le cul pour que sa semence ne coule pas. Elle se lève, passe la porte et attend contre. Ce n'est que quand Anne et Linda seront ressortis de la chambre des deux autres hommes, qu'elles pourront descendre.

Pour une fois, Anne et Linda sortent peu après. Les deux autres n'ont pas demandés plus. Il est vrai qu'elle ont eus droits à beaucoup de sexe avec eux la veille, jusque à tard. Stéphanie voit que Anne et Linda ont eut droit à des rapports vaginaux, leurs doigts sont enfoncés dans leurs sexes. Les trois descendent alors, leurs trous remplis toujours bouchés. Elles ne peuvent les enlever qu'une fois agenouillées dans la cuisine. Elles mettront leurs orifices bouchés au dessus de trois bols. Le sperme qui s'évacue de leurs corps devra couler dedans. Elles devront alors attendre les trois maîtres.

Quand ces derniers descendront prendre leurs petits-déjeuners, chacune d'entre elle devra en sucer de nouveau un, après avoir lapée avec leurs langue la semence dans le bol en dessous leurs corps. La pipe devra aller jusque au bout, ou si ils ne jouissent pas avant, qu'ils prennent un de leurs trous de putes. Car désormais c'est ce qu'elles sont : des putains. Surtout que pour chaque rapport, chacune d'elles est noté par son tortionnaire sexuel. Ensuite, elles devront préparer les repas pour les clients du midi. Mais aussi s'occuper des bêtes. C'est à dire servir de vide-couilles aux chiens, voir pour celle qui aura obtenu la moins bonne note, aux chevaux.

Autant dire que ce soit Stéphanie, Linda ou Anne, chacune d'elle fait tout pour plaire à son violeur, afin qu'il la note le mieux possible. En cas d'égalité, c'est un tirage aux sorts qui désigne qui aura le malheur de servir les chevaux. Car quoi qu'il en soit, le chenil compte douze chiens, chacune d'elle devra en satisfaire quatre. Un dans la bouche, un dans la chatte, un dans le cul. L'animal passant en quatrième choisissant lui-même l'orifice qu'il souhaite prendre.

Quand à celle qui passe avec le cheval, elle morfle vraiment. Les hurlements sont terrible, elle est déchirée, fissurée. Elle boitera toute la journée, ne pouvant pas fermer ses jambes sans avoir mal. Le soir, à minuit, tout sera réparée. Tout pourra recommencer pour une nouvelle journée de tourment.

Mais avant cela elles devront faire le service à l'auberge. De midi à vingt-trois heures quarante-cinq. Chacune devra se prostituer avec le client qui paiera une misère pour cela. Autant dire qu'elles sont gratuites. Le pseudo paiement n'étant qu'une humiliation de plus pour elles. Pendant deux ans, chaque journée se passera comme cela.

Un enfer de viols, de tortures, d'humiliations, de coups. Le seul effet positif, c'est que pour l'instant, du fait de leurs reconstructions totales chaque nouveau jour, aucune des trois filles ne retombent enceinte. Une bien maigre consolation pour autant de tourments.

Puis un matin, Jean annonce qu'elles seront un peu plus tranquille pour la journée. L'auberge restera fermée. Ils seront les seuls à jouer avec Linda, Anne et Stéphanie. Aucune des trois ne cherche à savoir pourquoi. Ce sont les maîtres, le fait qu'elles ne soit que des esclaves, des moins que rien est bien entré dans la tête de chacune des filles. Au bout de deux ans d'enfer, aucune n'a plus aucun sentiments de rébellion en elle. Chacune subit ce qui lui arrive, en hurlant souvent, mais avec une acceptation totale de leurs horrible sort. Même l'évasion n'est plus une option.

Si la matinée à partir de cinq heures, jusque au cheval, se passe comme d'habitude, à partir de midi jusque au soir, cela change. Seul les trois maîtres s'amusent avec leurs corps. Le soir, à vingt heures, elles peuvent même s'habiller. Certes c'est avec des habits crasseux, voler à de pauvres paysannes qu'ils ont assassinés, mais au moins, pour la première fois depuis ce retour en arrière dans le temps, Linda, Anne et Stéphanie ne seront pas nue. Un vêtement sera posé sur leurs corps. Par contre ils ne leurs octroient aucun dessous. Elles resteront nue sous leurs habits.

À vingt-trois heures, alors qu'elles viennent juste d'être sodomisée, chacune par un mâle différent, la porte de l'auberge s'ouvre violemment. Une frêle jeune femme complètement apeurée, en habits de pauvre paysanne, entre rapidement dans la pièce. Toutes les trois la reconnaissent. C'est Léontine. Mais une Léontine encore en vie, avant ses viols et son meurtre. Une Léontine qui ne les reconnais pas puisque elle ne les connais pas.

Jean, Anatole et Nino ont expliqués aux filles en quelle année ils étaient tous, après l'explosion de lumière. Stéphanie s'en rappelle parfaitement, les deux autres aussi : 1858. Stéphanie qui contrairement à Anne et Linda, connaît l'année et le mois du meurtre de la magnifique blonde, fait un rapide calcul. Il est fort possible, que ce jour soit le dernier de Léontine. Le jour où elle a été assassinée.

Les trois filles pensent que Léontine va subir le même horrible sort que la première fois. Revivre ses terrible derniers jours. Anatole, Jean et Nino ayant violés, torturés et assassinés les même pauvres filles que lors de leurs première vie. Avec une petite différence, leurs trois esclaves en témoins, mais aussi en participantes forcées. De belles scènes lesbiennes pour les trois maîtres. Toutes savent que cela va être pareil avec la malheureuse Léontine.

La jeune fille pure de dix-huit ans, au magnifique visage, à l'air si innocent est en pleures. Mais contrairement à la première fois, les trois hommes ne se jettent pas sur elle, sans lui laisser le temps de parler. Léontine qui pense être devant trois couple, se met à parler vite, pleurant beaucoup.

- J'ai été attaquée, volée. Ils ont tués mon cocher, pris mes vêtements, mes bijoux.

Anatole s'avance vers elle.

- Ils sont encore derrière vous?

- Non, non, je ne crois pas.

- Jean reste ici, Nino et moi on va vérifier.

Les deux hommes sortent de l'auberge, s'avance dans la cours, franchissent l'entrée des murs l'entourant. Tapie dans les bois, le brigand qui a essayé de rattrapé la belle petite blonde sait que cela sera difficile face à deux hommes. Surtout si il y en a d'autres dans l'auberge. Pas très courageux, l'homme fait alors demi-tour, sans faire aucun bruit, direction le camp où se trouve ses compagnons. Il décide qu'ils iront chasser de la paysanne le lendemain, histoire de se vider tous les couilles.

Au bout de dix minutes, Anatole et Nino entrent de nouveau dans l'auberge. Bien que le vrai chef soit Jean, pour Léontine, Anatole joue son rôle de chef de famille.

- Jean tu es le plus jeune, le plus rapide, le meilleur cavalier. Prends un cheval, va réveiller la maréchaussée du bourg. Nino et moi, on prend les armes cachés au cas où ils reviennent. Si les brigands viennent on devraient pouvoir tenir le temps que tu arrives avec les renforts.

Jean ne se le fait pas dire deux fois. Il sort en trombe, monte un cheval et fonce vers le bourg.

Nino va chercher les deux fusils qu'ils possèdent. Anatole se tourne vers Léontine, sous le regard médusés des trois filles qui ne comprennent rien. Il prend alors un ton paternaliste :

- On va vous aider, si vos agresseurs viennent, ils seront reçus! Anne prépare de la soupe pour la demoiselle, Stéphanie, attise le feu pour réchauffer plus la pièce, la pauvrette est morte de froid.

Léontine est ivre de joie d'être en sécurité. Elle ne sait vraiment pas comment remercier ses sauveurs. La chaleur du feu, la soupe, tout lui fait du bien, l'aide à oublier le cauchemar qu'elle a vécu. À cette époque, la majorité étant à vingt-et-un ans, Léontine est une jeune fille douce, fragile, qui a des rêves plein la tête. Absolument pas prête à vivre ce qu'elle a vécu. Heureusement pour elle, la jeune fille ne saura jamais à quel ignoble calvaire elle a échappée.

Une heure plus tard, Jean revient avec six gendarmes et leurs officier, le lieutenant Jacquot. Tous connaissent bien l'auberge. Ils ont souvent goûtés gratuitement aux trois jeune filles. Anatole à toujours refusé leurs paiement pour le moment qu'ils passent avec une des trois putains, voir les trois ensemble quand les gendarmes viennent à plusieurs. Disant que comme cela, si un jour il y a un problème, ils viendront rapidement. Ce qu'ils ont fais ce jour là.

Le lieutenant Jacquot et ses hommes décident de rester à l'auberge pour la nuit. Deux autres gendarmes sont partis chercher soldat et renfort de maréchaussée à la ville. Le lendemain, c'est une centaine d'hommes qui arrivent. Ils partent à la recherche des brigands. Qu'ils trouveront quelques jours plus tard. Cette fois aucun des brigands ne survivra.

Léontine, quand à elle est raccompagnée à sa destination. Sous l'escorte du lieutenant Jacquot et ses hommes. Avant de partir, elle serrera dans ses bras chacun des trois hommes. Les remerciant de tant de bontés et de courages. Leurs promettant une reconnaissance éternelle. Ainsi qu'une forte récompense pour l'avoir si bien aidée.

Dès le départ des gendarmes, Anne, Linda et Stéphanie qui ont eus ainsi un peu de repos, subissent immédiatement les outrages et les services de la part de leurs trois maîtres. Ils s'en donnent à cœur joie sur elles. Aucune ne comprend pourquoi les maîtres sont autant heureux et soulagés. Surtout que pendant les semaines qui suivent, il n'y aura plus d'autres victimes. Malgré le fait que des cibles potentielles passent par l'auberge. Seules Linda, Anne, et Stéphanie subiront les pires avanies de la part des trois hommes. Leurs violences et leurs méchancetés, qu'ils savent sans conséquences permanente, seront alors décuplés.

Deux mois après le sauvetage de Léontine, un homme très riche entre dans l'auberge, accompagné de neuf hommes d'armes. Il est huit heures de matin, la veille, Jean à prévenues les trois malheureuses que le lendemain, et pour plusieurs jours, l'auberge reste fermée. L'homme riche n'a pas l'air méchant, par contre ses hommes d'armes... Il paraît connaître Jean, Anatole et Nino. Il leurs remets une grosse bourse remplis de napoléons en or. Aucune des trois ne sait le pourquoi. Puis le soir venu, après avoir servis de jouets sexuels à tout les hommes d'armes très violents du riche bourgeois, les trois filles se retrouvent seules, en très piteux état, avec le bourgeois, Anatole, Nino et Jean. Le trou-du-cul, le sexe, la bouche de chacune est en feu, comme trop souvent maintenant...

L'homme regarde les corps nus, couverts de bleus et de semences des trois filles. Lui ne les a pas touchés. Il sourit et dit :

- Alors c'est vous les filles du futur?

Les trois victimes se regardent, n'y comprenant rien. Comment peut-il être au courant. Le bourgeois enchaîne :

- Cela fait plus de cent-cinquante ans que j'attends cela. Ce moment est le plus beau de ma vie.

Il réfléchis à la façon de leurs annoncer ce qui va suivre.

- Ma fille est tout pour moi. Je suis très riche, j'ai de nombreuses affaires, mais tout ce que je fais, je le fais pour elle. Sa mère est décédée lors de l'accouchement. Je n'ai pas refais ma vie ensuite. J'ai eus des centaines de conquêtes, mais rien de sérieux. Elles en avaient après mon argent, j'en avais après leurs corps. Mais pour ma fille, je vendrais mon âme au diable. En quelques sortes, c'est ce que j'ai fais.

L'homme prend quelques secondes avant d'enchaîner :

- Sachez d'abord que je n'ai aucun regret, tout ce que j'ai fais, je l'ai fais pour ma fille, uniquement pour elle.

Aucune des trois ne parlent, chacune se demandant quel secret le très très riche bourgeois va leurs révéler.

- Quand ma fille est morte, j'ai été anéantis. J'ai payé des hommes pour faire payer les brigands, puis pour abattre les trois personnes de l'auberge. La maréchaussée qui a prit d'assaut l'auberge, à abattu les trois hommes sur mon ordre. Mais la vengeance n'a pas atténuée ma douleur. Au contraire, cela était plus difficile chaque jour. Sans ma fille, je n'étais que souffrance.

Cela, Anne, comme Linda ou Stéphanie peuvent le comprendre.

- J'ai alors plongés dans les arts ésotérique pour vendre mon âme au diable pour que ma fille retrouve la vie. Cela s'est avéré impossible. Pas de vendre mon âme, non, cela est possible. Mais pour de l'argent, des femmes, la gloire. Pas pour ressusciter une morte. Il aurait fallut pour cela qu'elle vende son âme de son vivant, une tierce personne ne peut faire cela. Alors j'ai investit beaucoup d'argent, fait rechercher et trouver les meilleurs sorciers, médium, j'en passe et des meilleurs. Mais même pour tout l'or du monde, personne ne pouvaient rien y faire.

L'homme se tait quelques nouvelles secondes, puis reprend :

- Pendant quinze ans mes recherches furent vaine. Puis l'on m'a parlé d'une indienne, en Amérique, une puissante shaman, capable de m'aider. Je suis allé la trouver, et en effet, elle avait ce pouvoir. Pas de ressusciter ma fille, enfin pas comme on l'entend. Mais de lancer une malédiction, après avoir fait un pacte avec un puissant démon. Un démon presque aussi fort que Satan lui même. Je ne peux vous dire son nom, car on ne peux le nommer. Il est si puissant, qu'aucune trace de lui n'existe nul par. Dans aucun livre, même les plus maudits, dans aucune tradition ou légende. Seul certains shaman, les plus puissants le connaissent.

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