La Véranda Ch. 03

Informations sur Récit
Faisons un rêve.
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Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 03/19/2021
Créé 11/09/2009
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Le point de l'histoire où nous en sommes : formant un couple assez ordinaire, Sido et son mari Rupert ont été conviés à une soirée dans un club échangiste. C'est une première et ils invitent au préalable leur ami Xavier pour s'informer de ce qui les attend. Au fil des explications, Sido veut passer aux exercices pratiques. Xavier donne de sa personne.

Niveau 1

Rupert était enfin rentré de sa promenade digestive. Sido s'était précipitée sur lui, et l'avait embrassé goulûment, à fond de bouche. Elle avait changé de tenue, s'était douchée et parfumée, et se promenait maintenant dans une jupe noire de soirée, longue et fendue, accompagnée d'un chemisier en tulle vaporeux, toujours montée sur ses escarpins. Je vis, alors que la fente de sa jupe s'était ouverte, qu'elle avait suivi mes conseils, et trouvé une culotte au style plus en relation avec le reste, culotte qu'elle avait bien passé sur les jarretelles. Sido était en tenue de combat! Elle prit Rupert par la main, me fit un signe de l'œil de les suivre, et le guida vers le profond canapé du salon. Il s'y affala, comme effondré par l'effort de la journée. Je m'assis sur une chaise non loin d'eux, pour aviser de la suite des évènements. Sans vergogne, Sido s'approcha de son mari, s'installa à califourchon sur ses genoux, ouvrant sa jupe dans le même mouvement. Ses jambes gainées de noir étaient découvertes, et elle arborait pour qui voulait voir la blancheur du haut de ses cuisses, soulignée du trait des jarretelles. Avec l'air goguenard qui lui était familier, Rupert lança :

-- Doucement, ma toute belle! Nous sommes en public!

-- Et alors, mon lapin? Ce sont les exercices pratiques!

-- Ah! Oui, mais depuis tout à l'heure, nous avons laissé tomber l'ambiance! Alors, comme ça, sans préambule, te mettre toute nue devant lui!

-- Oh, mais mon chéri! D'abord l'ambiance n'est pas tombée... et je suis très habillée! Nous, on a bien maintenu la pression pendant ta promenade digestive! Alors, tu vas voir, on va faire bien mieux que ça!

-- Comment mieux?

Je sentis un certain désarroi dans la question. Il sentait le dérapage, et aurait bien voulu contrôler la situation... Mais c'était trop tard! Elle poursuivit :

-- Mon lapin, tu as vu mes trucs, mes dessous, ce soir? Ils sont beaux, hein! Et alors, tu vois, lorsque tu voudras enlever ma culotte... (elle avait dit cela en pouffant dans son oreille) -- après y avoir mis la main, bien sûr! N'est-ce pas! Hein! Que tu me la mettras au cul?

-- Ma chérie, tu vas gêner!

-- Mais non, mon loup, il n'est pas gêné, Xavier! Elle continua : - Parce que, tu vois, quand tu m'auras mis la main! Eh bien, faudra bien que tu me l'enlèves, ma culotte! Hein, pour enfoncer ta grosse queue!

-- Ma chérie!

-- Bah! Si! Bien sûr! Comme je mouille, faudra bien que tu me la mettes, sinon je vais être frustrée! Et tu sais bien qu'il ne faut pas que ta Sido soit frustrée!

-- Ma chérie!! Quel tempérament! Dites-moi, Xavier, qu'est ce que vous lui avez fait pour qu'elle parle comme ça?

-- Elle se l'est fait toute seule! Mais je trouve que cela devient passionnant, votre histoire!

Sido intervint :

-- Xavier, vous devez avoir le nez qui s'allonge! Me faire cela toute seule! Quelle blague! Quant à toi, mon Rupert adoré, eh bien! tu vois, si tu peux enlever ma culotte -- tu te tiens bien, hein! --

-- Avec toi, ce soir, il vaut mieux!

-- Eh bien, si tu arrives, vite, pressé comme tu es, ce sera grâce au monsieur qui est là!

-- Qui donc?

Rupert était éberlué, et me regardait comme s'il avait mal compris ou manqué une partie de la progression... rien n'allait plus bien!

-- Là, Xavier! Tu vois, cet après midi -- Je te rassure, nous n'avons rien fait de mal : moi j'ai dit : il faut attendre Rupert et lui en parler! Eh bien, si Xavier m'avait pas dit, je mettais le porte jarretelles à l'envers, et pour m'enlever ma culotte : bernique! Tu te vois, avec ton gros chibre tout déballé, en train d'attendre que je dégrafe tout! Çà, j'en suis sûre, t'aurais débandé, mon pauvre loup! C'est que ça prend du temps! Mais heureusement, Xavier, il m'a expliqué! Il m'a montré! Et, tu sais, je peux te le dire : il a des doigts de fée! (Et j'ajoute : une langue aussi!) Alors, voilà, mon grand, tu n'as plus qu'à tirer dessus, et toc! le tiroir est ouvert!

Rupert se tourna vers moi et me balança en rigolant :

-- Des doigts de fée! Vous avez utilisé quel doigt?

-- Exclusivement ceux de la main, m'entendis-je lui répondre.

-- Oui, c'est vrai! Alors, mon lapin, j'ai pensé : ce soir il faut remercier Xavier! D'abord, il nous a tout raconté sur la boîte échangiste! Et ça, ce sont des conseils en or! Ensuite, tu te rends compte, il a vu ma foufoune sans le faire exprès, et maintenant, il faudrait qu'il reste en chemin comme ça!

-- Eh, bien, ma chérie, au moins, voilà de la générosité!

-- Oui, hein! Mais tu sais, je me suis dit : Rupert, quand il m'a raconté le coup de l'invitation dans ce lieu de perdition, il m'avait dit que cela le rendrait tout chose s'il voyait un autre homme qui me fasse plaisir! Je veux dire : en me fourrant sa queue dans le cul, bien sûr! Alors comme on a parlé ce matin d'exercices pratiques, je me suis dit que c'était l'occasion ou jamais! Hein!

-- Ah! Toi, je te reconnais : tu es une déterminée!

-- Mais toi, tu me l'avais bien dit?

-- C'est vrai!

-- Alors, il vaut mieux pour essayer que ce soit avec Xavier, un ami qu'on connaît bien, propre sur lui, et qui ne dira rien ailleurs, hein?

-- Ma chérie, ce qui te fait plaisir me fait plaisir!

Elle se leva avec une ondulation féline, et nous regardant tous deux, annonça :

-- Alors, nous allons commencer les travaux pratiques comme Xavier l'a dit : d'abord le premier niveau! Et pour le slow frottant, ce sera dans la véranda! Allez, tout les deux, on monte!

Nous nous engageâmes dans l'escalier étroit qui conduisait au premier. Sido me précédait. Ayant gravi quelques marches, elle s'arrêta, et annonça par-dessus son épaule :

-- Eh, les gars! Je ne m'étais jamais rendue compte de ce que l'escalier était aussi raide! Alors, profitez bien du spectacle! Lever de rideau!

Et ce faisant, comme si elle était entravée par sa jupe, et que celle-ci l'eût empêchée de gravir aisément les degrés, elle la remonta à deux mains, comme les élégantes aux robes longues le pratiquaient à la belle époque, mais se troussant jusqu'aux fesses! Spectacle féerique que celui de ces cuisses larges dont la blancheur tranchait au dessus de la lisière des bas, encore soulignées par le trait noir des jarretelles, qui oscillaient lascivement au rythme lent de son ascension, sous le pli des globes fessiers qui s'évanouissaient dans l'ombre du tissu... Arrivée sur le pallier, Sido marqua un temps d'arrêt, cambra légèrement les reins, faisant saillir ses fessiers, remonta sa jupe plus encore, brièvement, laissant entrevoir la splendeur d'un cul somptueux, puis lâcha le tout. Elle se retourna, et nous lança une œillade égrillarde. Puis elle pénétra dans la véranda.

-- Mes chéris! Maintenant, de la musique pour slow frottant!

Sido avait sorti un CD des Platters, et bientôt la musique berça l'ambiance de ses accords sirupeux. Sido se tourna vers nous :

-- Exercices pratiques, niveau 1! Répartition des rôles : Xavier vient de m'apercevoir et m'invite à danser. Toi, Rupert, tu fais tapisserie, sale voyeur! Et rince-toi bien l'œil!... Xavier, j'accepte votre invitation!

Elle haussa le volume sonore. Nous étions comme plongés dans la musique. Je m'avançai et pris Sido dans mes bras. Le premier contact fut un peu tendu. Comme une raideur chez Sido, qui n'avait probablement pas encore accepté dans son for intérieur le contact furtif que nous avions eu plus tôt dans l'après-midi, ou qui appréhendait de se livrer comme cela à un tiers devant son homme. Progressivement, la musique aidant, elle s'abandonna, s'appuyant contre ma poitrine, les mains jointes derrière ma nuque, le visage noyé dans mon épaule. Je glissai alors à son oreille :

-- Savez-vous que j'adore cette danse?

Elle se serra un peu plus. Je continuai en murmurant :

-- Que vous m'avez donné un air de parfum tout à l'heure... que je cherche encore en vous respirant...

-- Coquin... Vous m'avez surprise...

-- Mais vous avez apprécié...

-- Taisez-vous!

-- L'odeur d'une lande marine... le goût de votre conque...

-- Et vous aimez?

-- J'adore... la rondeur... l'ampleur... le volume de votre ventre...

Mes mains partaient à la conquête de sa chute de reins. Au fil des pas de danse, elles s'égaraient désormais très bas... Je sentais sous ma paume la rondeur de la fesse, la marque de la culotte sous le tissu... le relief des jarretelles qui allaient chercher les bas... J'avançai la jambe... ses cuisses s'écartèrent... Sido calla sa cuisse droite entre mes propres jambes... s'appuyant contre mon ventre... Elle me faisait bander à hurler de douleur!

-- Vous êtes gros!

-- Gros?

Elle murmura à mon oreille :

-- Vot' grosse queue!

-- C'est votre ventre... sa rondeur...

-- J'aime vous sentir...

-- J'aime penser que je me repose sur votre forêt...

-- Ma foufoune!

-- Votre foufoune!

Son ventre vînt plus franchement encore se caller contre le mien, et dans ses ondulations lascives, elle faisait rouler ma bite contre son mont de Vénus en se frottant comme une hétaïre.

Soudain, elle décolla ses épaules de ma poitrine, et, me tenant par le cou, se cambra en pressant son bassin contre le mien. Si Rupert avait encore des doutes sur le plaisir que prenait sa tendre moitié, c'est qu'il devait être aveugle! Elle se déhancha et poussa un petit cri de plaisir. Renversant la tête et la tournant vers son homme, elle affirma :

-- Ah! Lapin! Les exercices pratiques! Tu sais qu'il en a une grosse! - et elle ajouta en articulant distinctement - Une vraiment grosse bite!

Et elle éclata d'un rire forcé pendant que Rupert grognait dans son coin.

-- T'es pas content, Lapin?

-- Mais si, ma Chérie... Mais ça me fait tout drôle! Ah! J'ai du mal! Je suis coincé, tu vois!

-- Ce sont les exercices pratiques comme on avait dit! Lapin, on va continuer, tu sais! Et si tu trouves que c'est trop chaud, n'hésite pas! Soulage-toi! Nous, on ne regardera pas!

Elle rit.

-- D'ailleurs, on aura autre chose à faire!

Et elle se resserra contre moi. Un murmure dans l'oreille...

-- Xavier?

-- Oui?

-- Je vous sens! Et vous, vous me sentez?

-- Vos rondeurs m'excitent!

-- Alors... touchez-les!

-- Ah! Vous m'offrez...

-- Mais moi aussi, je vais vous gâter... et vous les tâter... vos grosses couilles! articula-t-elle d'un air déterminé dans l'oreille.

-- Putain! Attaque directe!

Elle avait joint le geste à la parole. Pendant que nous nous serrions sur ce slow langoureux, son visage toujours dans le creux de mon épaule, elle aventura l'une de ses mains, descendit ma turgescence, et d'un geste vif se saisit de mes boules au travers du pantalon. Je faillis crier!

De mon côté, j'avais répondu à l'invite. Tout aussi franchement. Sans hésiter, la tenant d'une main au dessus des fesses, j'avais descendu l'autre main sur sa jupe, et puis j'avais fripé! Et encore fripé pour remonter le tissu, jusqu'à ce que l'ourlet se présente, et que je sente enfin la nudité de sa cuisse, au dessus du bas! Glissement du plat de la main contre la peau, investissement de la fesse, soulèvement et contournement de la culotte, fesse sublime, raie moite, pelage intime florissant entre les hémisphères...

J'assurai ma prise, et je tenais désormais Sido « collée-serrée » tout en aventurant mes doigts dans les plis et froncements que je découvrais progressivement. Lorsque je bloquai mon index sur sa rondelle, Sido eut comme un sursaut, et s'empara sauvagement de mes lèvres, en plongeant voluptueusement sa langue à la découverte de la mienne. Derrière moi, sur son canapé, Rupert émit comme une sorte de hoquet!

-- Ah! Putain, ils veulent que je m'astique! se mit-il soudain à beugler.

-- Ah! Vas-y mon Chéri! Montre la aussi, ta belle queue! Fais-le-toi bien! Fais-toi du bien!

Nous nous tournâmes dans sa direction. Rupert avait extrait de son bénard un chibre d'importance, tout tendu, et qui déjà, devant les dames, s'était découvert... Et Rupert, le visage congestionné, renversé dans son fauteuil, la respiration saccadée, doucement, se manipulait... Ce qui donna des idées à Sido!

-- Ah bah! Puisque mon Lapin l'a sortie, on va bien le faire nous aussi! Avec votre doigt dans mon cul, je peux bien vous sortir la quéquette!

Et voilà qu'elle s'attaquait sérieusement à ma braguette! Il ne lui fallut pas longtemps pour accomplir son projet! J'eus à peine le temps de baisser les yeux, que je la voyais accrochée par ma queue, et que ses doigts enserrant ma bite déclenchaient des ondes de plaisir dans ma mœlle épinière. Alors, n'y tenant plus, j'ouvris brutalement son chemisier, baissai les balconnets de son soutien-gorge, puis, la ployant sous moi, dans une sorte de tango sauvage, j'attrapai un téton entre les lèvres, et achevant mon forfait, troussai sa jupe sur ses reins, écartant la soie de la culotte de l'autre main, assaillant sa conque de mes doigts gourmands!

Ainsi, pendant que Rupert nous reluquait de son air lubrique, nous nous trouvions dans une position improbable, où mes deux mains se rejoignaient presque au cœur de sa fêlure, déjà moites de l'émotion qui sourdait de son con, comme la selle d'une luxurieuse monture, dans la dévastation d'une culotte écartelée, béante, qui dévoilait enfin l'efflorescence d'une touffe magnifique. Sido se déhanchait maintenant encore davantage, le buste rejeté en arrière, se retenant d'une main à mon cou et de l'autre à ma bite, et se frottant lascivement le sexe sur mes paumes, en poussant déjà des râles de plaisir.

-- Ah! Mon Chéri! Aahhh! Il sait... Aaahhh!... y faire... Aaaahhh!... lui aussi! Xavier! Aaahhh! Continuez! Aahhh! Ouiii! Aahhhh! Aahhhh! Aahhhh!

Notre équilibre était trop précaire pour qu'il pût subsister. La musique continuait de se déverser dans la pièce, mais les pas de notre danse s'enfiévraient davantage, et dans un mouvement ultime, nous nous affalâmes sur la canapé, où Sido s'étala de tout son long, les cuisses écartées, nous dévoilant le spectacle de son sexe ouvert et congestionné, sous le rideau luxuriant de l'épais vison qui ornait son bas-ventre.

Je me retrouvai agenouillé devant cet autel, et achevai de me prosterner en communiant au nectar qui s'écoulait de sa fontaine de nacre rose. Mon visage était maintenant noyé dans ce bain, et pendant que je dégustais cette ambroisie en lapant les ourlets diaprés de ses nymphes, dont le goût et la fragrance me transportaient dans un paradis de volupté, mon nez pressait et chatouillait la petite hampe dressée à l'orée de sa fente.

Sido se tendait à ce contact, ses hanches et son buste oscillaient de droite et de gauche, et alors qu'elle respirait comme cherchant de l'air pour éviter l'étouffement, expirant ensuite en de profonds vagissements, son visage s'était pétrifié, déformé par la jouissance, ses yeux s'étaient clos pour mieux goûter la violence du plaisir qui l'envahissait progressivement au plus intime de son être, et qu'elle cherchait à accroître en se pétrissant violemment seins et tétons en une suite de mouvements convulsifs.

De mon côté, j'appuyai mes épaules contre ses cuisses afin de bien les relever, et, m'étant saisi des deux hémisphères de sa croupe, je les séparais largement, écartant sa raie comme on dresse la table pour un festin crapuleux! Entre le foisonnement des deux étoles de fourrure qui enserraient lèvres et trou du cul, se déployaient les splendeurs d'une conque large aux nymphes diaprées, luisante de cyprine jusqu'au soleil sombre d'un joli fion tout frémissant! Je poursuivais ma dégustation aux senteurs marines sur cette lande de bruyères luxuriantes, dans un concert de vocalises variées. Plus je m'enivrais de ces saveurs, et plus j'étais fasciné par l'œil fripé qui me guettait plus bas, où s'arrêtaient chacune à leur tour les gouttes de liqueur qui perlaient du con de Sido, et qui lentement glissaient au fond de la raie avant de se perdre sur le pelage qu'elles collaient petit à petit sur la peau tendre et foncée. J'avançai alors un pouce pour étaler cet onguent sur les fronces, et tenter de l'introduire dans la rondelle qui commençait à céder. Sido protesta au début.

-- Ah! Ah! Xavier! Non! Pas là! Non, non! Xavier... dou... doucement... Non... Aaahh! Non! Non! Doucement! Aaahh! Oui... Comme ça! Oui! Attention! Doucement!

Le pouce était passé, et je commençai à masser légèrement l'anneau, recueillant toujours plus de cyprine, et en lui suçant amoureusement le capuchon pour la soulager. Sido poursuivait son délire sensuel, concentrée sur sa jouissance, jusqu'à ce que tout le pouce ait pénétré son fondement.

-- Ah! Chéri! Aaaahh! Xavier! Chéri, Aaahhh! Ça tu... tu ne me l'as jamais fait! Aaaahhh! Il m'encule!! Mais c'est bon! Ouiiiii!!

Nouvelle tétanie! Les jambes gainées de bas battent l'air au dessus de moi! Et brutalement, elle se détendit. Je constatai que Rupert, affalé dans son fauteuil, s'était bien astiqué, et que de gros filaments de sperme tachaient maintenant ses vêtements et le velours du fauteuil. Pour ma part, tout à ma préoccupation du plaisir de Sido, je restai la queue pendante... et toujours bandante! Après quelques instants, Sido sortit de sa torpeur pour reprendre la direction des opérations.

-- Ah! Mes Chéris! (Elle avait glissé vers un pluriel intéressant!) Quel pied magnifique!

-- C'est ce que j'ai vu! ajouta Rupert.

-- Et tout ça, hein Xavier, ce n'est que le premier niveau, si vous voyez ce que je veux dire (!). Et vous m'en avez déjà fait, des choses coquines! Alors là! Le truc dans le... Le doigt dans le... (elle baissa la voix pour continuer dans un souffle) le cul... Rupert ne me l'avait jamais fait!

Niveau 2

Je me contentai de sourire d'un air entendu. Elle continua :

-- Lapin, il faudra essayer tous les deux!

-- Mais, ma chérie, tu sais bien que j'avais déjà pointé le bout de mon nez, si je peux dire, à cet endroit là, et que tu avais refusé!

-- Bon, Lapin, on verra... Peut-être que doucement... Bon, mais c'est pas tout ça! Après le premier niveau... il y a le deuxième niveau!

-- Ma Chérie! Quelle santé!

-- Oui Lapin! Mais surtout : de la détermination! Je suis déjà toute chose après les mignardises de Xavier! Alors il faut voir comment ça fait au total!

-- Ça, c'est de la détermination!

-- Alors, le deuxième niveau, c'est par là! Et maintenant, à nous trois ce soir! Tous sur le lit, et tous tout nus!

Elle nous prit chacun par une main, et nous emmena dans la chambre. D'un retour de main, elle dégagea entièrement le lit, dont il ne resta que le drap sur le matelas. Nous commençâmes à enlever nos chemises, lorsque Sido, qui s'était débarrassée de sa jupe, se précipita à tour de rôle sur nos pantalons, exhiba successivement nos virilités et, lorsque ce fut fait, se tourna vers son mari.

-- Lapin!

-- Ma Chérie!

-- Avant que nous commencions, tu te rappelles que tu dois procéder à un dernier essai préalable?

-- Dis-moi!

-- Mais, mon Chéri, le truc de ma culotte et de mon porte-jarretelles, si tu vois ce que je veux dire!

-- ...

-- Xavier, vous ne m'en voudrez pas, mais il faut que je lui montre! Une petite infidélité supplémentaire de trente secondes!

Sido se précipita sur son homme en lui sautant au cou. Gros baiser bien mouillé, pendant qu'elle collait son ventre sur le gros chibre en liberté. Puis d'un ton suppliant :

-- Allez, Lapin! Truque la moi au panier!

Le lapin ne se le fit pas dire deux fois. En terrain conquis et de connaissance, je vis sa grosse paluche qui se glissait sous la soie du slip, et qui s'aventurait entre les cuisses que la coquine écartait à dessein. Le baiser se fit hurleur! Je vis Sido s'agiter soudain, serrer son ventre convulsivement contre celui de Rupert, sa croupe vibrer en cadence tandis que des borborygmes s'échappaient de leurs bouches encastrées. Elle se prit un nouveau pied. A peine remise, elle articula essoufflée, sur un ton d'urgence inattendu :

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