La Vengeance d'un intello 07

Informations sur Récit
La vengeance finale sur son ex-patronne.
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Partie 7 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 04/14/2017
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Avertissement : Ce récit est une fiction qui raconte comment un jeune homme maigrichon prend le contrôle de personnes afin de les asservir sexuellement. Si vous n'aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur « Silkstockingslover »

************************************

Résumé : Après avoir été licencié, Bruno, un jeune intello maigrichon a inventé un produit qui lui permet de prendre le contrôle de personnes. Cette drogue agit ainsi :

• La personne ne peut pas mentir.

• Le corps de la personne obéit aux ordres même si l'esprit conscient s'oppose à cette obéissance.

• La libido sexuelle de la personne augmente considérablement. (Bruno avait tenu à mettre en œuvre ce point afin de se venger de cette chienne de Sarah ainsi que d'autres qui l'avaient mal traité au cours des années passées).

• La personne se sent enfermée dans des vêtements et elle voudrait être nue.

• L'impact du médicament est permanent sur la personne infectée (la drogue d'origine n'avait d'effet que pendant une heure. Toutefois, il n'était pas encore certain. L'effet pourrait durer quelques heures, jours, semaines ou indéfiniment).

Bruno a testé avec efficacité son produit sur sa sœur et l'amie de celle-ci ainsi que sur son ennemi à l'école et la mère de celui-ci. Il a aidé son meilleur ami à avoir son jouet personnel. Et après avoir sauvé sa mère, il a avec elle des rapports sexuels endiablés. Ensuite sa mère désire faire de sa sœur à elle une vraie soumise.

************************************************************************

Bruno s'est un peu égaré de sa véritable cible avec l'utilisation de son produit. Il a baisé sa sœur, la meilleure amie de celle-ci, la voisine, sa mère et sa tante. Il s'est bien amusé mais il est temps pour lui d'exécuter sa vengeance.

Le matin de la veille du jour où il décide d'en finir, il sort de sa chambre pour voir sa mère lire le journal avec deux repose-pieds humains : sa sœur et la voisine. Il est évident que sa maman apprécie l'usage de sa drogue, tout comme lui.

Enjoué, il se dirige vers les deux salopes à quatre pattes pendant que sa maman le salue :

- Alors comment va mon grand garçon ce matin?

- Bien mais j'ai la trique. Quelle salope veut mon sperme?

Mme LEVIS, la voisine, qu'il avait conditionnée, supplie immédiatement :

- S'il te plaît, baise moi!

- Je vois que tu ne l'as pas nourrie ce matin. Elle n'a pas eu sa dose de léchage de chatte ce matin.

En parlant, Bruno sort sa bite déjà raide de son pyjama.

- Pas encore, il est dit que la patience est une vertu. Répond sa mère.

- Pas pour moi. Dit-il tandis qu'il se place derrière Mme LEVIS, se met à genoux et glisse sa bite dans le trou du cul offert.

- Oh oui. Gémit la femme, son corps conditionné pour ne sentir que du plaisir, même si son anus doit être en feu après cette pénétration à sec.

- Tu aimes l'avoir dans le cul n'est-ce pas? Comme ton pédé de fils? Demande la mère de Bruno.

Mme LEVIS déteste cette condition d'aimer être sodomisée. Elle ne supporte pas non plus que son fils ait été transformé en homosexuel affamé de bites. Mais elle est obéissante pour protéger son mari, qui, pour le moment n'a pas reçu le produit qui modifierait son esprit.

- Elle n'est pas aussi serrée que d'habitude! Remarque Bruno.

- Elle a été enculée par trois étudiants noirs hier. Dit sa maman.

- Oh, j'aurais aimé voir ça. Dit Bruno excité.

- J'ai une vidéo de très bonne qualité. Répond sa mère.

- Super. Dit son fils en pensant qu'il faut qu'il filme sa vengeance prévue demain.

- Oui, surtout que l'éjaculation des trois sur son visage fait un final fantastique. Ajoute Elizabeth.

Après quelques coups de reins dans le cul de la voisine, Bruno entend sa tante Lisa gémir, désespérée de ne pouvoir en profiter :

- Et moi?

- Tu veux que je t'encule aussi? Demande le garçon.

- Oui mon neveu. Avoue Lisa.

Elle est furieuse d'avoir été transformée en bimbo par sa sœur. Pourtant, à chaque fois qu'elle voit une bite, elle veut l'avoir en elle... même celle de son neveu.

- Je reviens. Dit Bruno en sortant de la voisine et en forçant son sexe dans la salope numéro 2, qui a le cul beaucoup plus serré.

- Oui. Crie Lisa quand son cul est rempli par la bite de son neveu.

- Je ne veux pas que vous jouissiez, tant que votre Maître n'a pas éjaculé. Ordonne Elizabeth à ses deux soumises.

Bruno remarque que sa mère a beaucoup changé depuis la découverte de son produit. C'est un exemple de la menace que présente cette drogue. Dans de mauvaises mains, ce produit pourrait changer le monde.

C'est pourquoi il a brûlé ses notes. Il a seulement gardé 6 doses de produit et 3 doses de médicament curatif. Il a effacé toutes preuves de cette expérience réussie.

Il aurait aimé droguer toute chienne et les rendre soumises mais les risques sont plus importants que les gains.

Bien sûr, il arrêtera après-demain quand il aura humilié Sarah, son ancienne patronne qui l'a licencié.

Il continue à sodomiser sa tante qui gémit fortement en jouissant du traitement comme c'est programmé dans sa tête.

- Et moi? Gémit Mme LEVIS, voulant que la bite revienne dans son cul.

Elle est mortifiée de vouloir une queue dans son cul, surtout d'un intello maigrichon comme Bruno. Mais elle ne peut résister aux commandements.

- Tel fils, telle mère. Rigole Bruno qui a transformé son ancien tourmenteur en pédé complet.

La voisine est encore plus humiliée quand le garçon lui rappelle le jour où elle a vu arriver son fils, le visage plein de sperme. Pourtant malgré son ressentiment envers Bruno, elle veut sa grosse bite dans son anus. Cela l'afflige, mais elle ment :

- Il l'a mérité.

- Comme toi qui l'a toujours laissé faire et qui m'a toujours traité comme un moins que rien. Déclare Bruno.

C'est vrai. Elle a grandi dans une famille riche et snob où l'intimidation est vue comme une forme de survie adaptée, un maintien dans la hiérarchie sociale. Elle dit :

- Et je le paierai le reste de ma vie.

- Et oui. Dit Bruno.

Puis il sort de sa tante pour retourner enculer la voisine, qui est devenue plus soumise et plus affamée sous les ordres de sa mère.

Après quelques minutes d'enculage profond, Bruno est sur le point de jouir. Sa mère dit alors :

- Éjacule sur le sol et laisse ses salopes se battre pour lécher.

- J'aime ton mauvais esprit. Dit Bruno en souriant.

- Tel fils telle mère. Rit Elizabeth en enlevant ses pieds de dessus ses tabourets humains.

Le garçon sort à la toute dernière seconde, s'éloigne un peu des deux salopes et lâche son sperme sur le linoléum du salon. Il regarde, amusé, les deux femmes soumises se précipiter sur sa semence comme des cochons se ruant sur une auge.

- Je pense qu'elles ont faim. Rigole Elizabeth.

Lisa, qui a l'habitude d'obtenir ce qu'elle veut, lutte contre l'autre femme et réussit à récupérer la majorité du sperme. Elle sait que si elle ne le faisait pas, elle aurait encore envie de sperme au travail et ne serait pas capable de faire quoi que ce soit avant d'avoir sucé et avalé la semence d'un inconnu.

Bruno range son sexe en regardant avec sa mère les deux salopes.

Elizabeth, qui préfère la langue de sa fille aux deux autres crié :

- Catherine, viens prendre ton petit déjeuner.

Une minute plus tard, la jeune fille est entre les jambes de sa maman. Pendant ce temps, les deux autres soumises ont entrepris un 69 pour étancher leur soif de jus féminin.

*****

Cette nuit-là, Bruno entre dans son ancienne entreprise. Les concierges, qui détestent Sarah autant que lui, le laissent pénétrer dans les locaux.

Le garçon passe quelques heures à trafiquer le système d'aération. Son plan est simple : Il veut que son produit se diffuse dans tout le 18ème étage où est le bureau beaucoup trop grand de Sarah. Ainsi il va pouvoir se venger.

Une fois fait, il rentre chez lui et pense à sa vengeance du lendemain. Il est tellement excité qu'il ne baise aucune des salopes à sa disposition. Il se couche et passe une bonne nuit.

Le lendemain il se lève plus tard que d'habitude. La maison est vide. Tout le monde est parti à ses occupations. Une fois prêt, il se dirige vers son ancienne entreprise.

Une fois de plus, les concierges le laissent entrer discrètement sans que la sécurité ne le voie.

Une fois à l'intérieur, les concierges confirment que sa patronne est bien là. Et que la seule personne au même étage est sa secrétaire qui elle aussi est une garce. Bruno déclenche le mécanisme qui va diffuser son produit au 18ème étage Puis il attend impatiemment pendant les 10 minutes nécessaires pour que sa drogue soit complètement dissipée.

Ne tenant plus en place, il entre dans l'ascenseur et monte jusqu'à l'étage réservée à cette chienne de Sarah. L'heure de la vengeance arrive.

Il se dirige vers la secrétaire Karen, qui lui demande, clairement agacée qu'il soit devant elle :

- Que fais-tu ici?

- je viens me venger. Répond Bruno.

Puis il ajoute :

- A quatre pattes!

- Comment oses-tu? Dit Karen.

La secrétaire, belle rouquine, est sur le point d'appeler la sécurité quand elle se sent tomber sur le sol comme ordonné. Confuse, elle regarde ce petit maigrichon en s'exclamant :

- Qu'est-ce qui se passe?

-Tu es un bon coup. Je ne veux pas attendre pour te baiser. Répond Bruno.

- Tu es trop moche. Dit la secrétaire en ne comprenant toujours pas pourquoi elle a obéi à ce minus.

- Tu as envie d'une bite dans ton cul.

Bruno ajoute cet ordre dans la tête de cette prétentieuse. Elle n'est que secrétaire et elle n'a pas à le prendre de haut.

- N'importe quoi! Dit-elle

Bruno sourit. Il aime le défi que lui oppose cette prochaine salope. Il ordonne :

- relève-toi!

Alors qu'elle a essayé de le faire les 60 dernières secondes, Karen est contente que son corps lui obéisse et qu'elle puisse se relever.

- Bien salope. Maintenant déshabille-toi! Dit le garçon en souriant.

- Va te faire foutre. Crache-t-elle.

- C'est le plan. Dit-il.

A ce moment il pense qu'il pourrait la prendre à la maison comme un jouet que la famille aimerait utiliser. Sa mère serait sûrement contente du cadeau.

Karen le regarde alors qu'elle voit qu'elle est en train d'enlever sa robe. « Que se passe-t-il? Pourquoi j'obéis? » pense-t-elle.

Bruno, voyant la perplexité sur le visage de la secrétaire rouquine, lui explique :

- Je t'ai infecté avec un produit qui te fait obéir à tous mes ordres.

- C'est ridicule. Dit-elle.

Pourtant elle tire sa robe par-dessus sa tête et se trouve debout, en collants, soutien-gorge et culotte noirs devant cet intello.

- Si tu le dis. Pourtant c'est la vérité. Dit le garçon en admirant le corps de la femme.

Puis il ajoute :

- Enlève ton soutien-gorge que je puisse voir ces seins.

- Arrête. Supplie Karen, alors que tout d'un coup, elle comprend la dure réalité de sa situation.

Et elle dégrafe son soutien-gorge.

- Lance-le moi!

Karen obéit puis se couvre les seins.

- Mets tes bras le long de ton corps. Ordonne Bruno en sortant son téléphone.

- S'il te plaît, arrête. Supplie-t-elle tout en obéissant complètement mortifiée.

Le garçon fait quelques photos puis prend des ciseaux sur le bureau, les lui tend en ordonnant :

- Coupe ton collant à l'entrejambe puis ta culotte, que je puisse voir ta chatte.

Elle attrape les ciseaux et le regarde méchamment :

- Tu es un gros dégueulasse complètement fou.

- Bon. A partir d'aujourd'hui tu ne boiras ton café qu'avec un nuage de sperme.

Bruno ajoute l'ordre en pensant toujours à de nouvelles façons de l'humilier.

Mais elle se moque en commençant à couper son collant :

- Ah ah, je ne bois pas de café.

Bruno secoue la tête en pensant qu'elle est bien stupide :

- Et bien alors, chaque matin tu prendras une décharge de sperme sur la figure et tu l'étaleras comme une crème pour le visage.

- Tu n'es pas sérieux? Demande-t-elle en se rendant compte qu'elle aurait dû se taire.

- Chaque ordre que je te donne est permanent. Alors tu devrais réfléchir avant de parler... Si une salope idiote comme toi peut penser. Dit Bruno en essayant de l'énerver.

Elle le regarde, son corps entier tremblant de colère pendant qu'elle coupe ses sous-vêtements. Mais elle ne répond pas.

- Maintenant la culotte! Ordonne Bruno, appréciant que cette chienne lui obéisse.

Elle le fait sans un mot, ayant compris qu'il est préférable pour elle de garder la bouche fermée. Une fois qu'elle a coupé sa culotte, elle la lui tend. Il dit alors :

- Si tu te comportes bien, je vais faire en sorte que la vraie chienne pour laquelle je suis là aujourd'hui te mange ta petite chatte rasée.

Karen est surprise. Quand il parle de vraie chienne il doit s'agir de sa patronne qu'elle déteste aussi. Une patronne qui l'a obligée à baiser avec de gros clients hommes ou femmes. Elle est très bien rémunérée comme secrétaire. Mais la vérité c'est qu'elle est bien plus qu'une secrétaire. Et même si elle est en mauvaise situation, elle demande avec un sourire :

- Tu me laisseras dominer cette mijaurée?

- Si tu es un bon petit animal de compagnie obéissant. Répond Bruno en tendant la main vers la chatte de la rouquine.

Karen, qui a l'habitude dans son travail d'être utilisée sexuellement, se laisse doigter par l'intello maigrichon. Elle se dit que si elle se débrouille bien, elle pourra profiter de la situation. Alors elle gémit.

Bruno est impressionné par la rapidité de la secrétaire à comprendre sa position. Il veut la baiser mais il faut qu'il attende. Il doit d'abord terminer son plan de vengeance.

- A quatre pattes! Ordonne-t-il en enlevant son doigt de la chatte.

Karen obéit.

- Va jusqu'à la porte du grand bureau!

Elle obéit encore. Bruno prend une grande respiration. La fin est proche. En ouvrant la porte, il dit :

- Entre à l'intérieur!

La secrétaire obéit. Sarah, la patronne lève les yeux de son bureau.

- Que se passe-t-il? Demande-t-elle en voyant sa secrétaire ramper complètement nue devant elle.

Bien sûr, elle avait déjà vu cette salope nue auparavant dans son bureau... mais jamais comme ça. Habituellement c'était quand elle était excitée et avait besoin d'un orgasme ou alors quand elle voulait être méchante. Elle se délectait de son pouvoir et d'avoir une secrétaire à son service qui la léchait sous le bureau.

Bruno entre alors.

- Salut chienne. Dit-il.

- Que fais-tu ici? Demande Sarah en regardant le maigrichon qu'elle a renvoyé il y a quelque temps.

- Je viens me venger. Dit Bruno sans crainte.

Puis il ajoute :

- Sarah, enlève ton chemisier et ton soutien-gorge. Voyons voir ces faux seins payés par ton salaire indécent.

La patronne lui lance un regard furieux et le menace, alors que ses mains commencent à déboutonner son chemisier :

- Je vais te faire arrêter.

Le garçon hausse les épaules et réfléchit à tous les commandements qu'il doit implanter pour se protéger de toute menace future. Il dit :

- Tu ne diras jamais mon nom après que je t'ai enculée. Tu ne diras jamais à personne pourquoi tu es devenue la plus grosse salope du monde.

- Oui c'est ça. Se moque Sarah.

Mais elle a un hoquet de surprise lorsque qu'elle se rend compte qu'elle déboutonne son chemisier. Elle essaie de s'arrêter, mais elle n'y arrive pas. Elle s'exclame :

- Que se passe-t-il?

- Ça marche. Sourit Bruno.

- Qu'est-ce qui marche? Demande-t-elle en finissant de déboutonner son chemisier.

- Tu es vraiment stupide. Déclare Bruno content de pouvoir dire exactement ce qu'il pense d'elle.

- Espèce de petite bite! Insulte Sarah alors qu'elle enlève sa chemise.

Puis elle réalise que ce garçon avait découvert le produit qui prenait le contrôle de l'esprit.

- En fait je suis assez bien doté. Corrige Bruno.

Puis il ordonne :

- Karen, viens montrer à ta patronne comment je le suis.

Celle-ci, curieuse, est disposée à faire tout ce qu'il demande pour ne plus avoir de conditions imposées. Alors elle s'approche de lui et va chercher sa bite.

Pendant ce temps, la patronne déchire son soutien-gorge, furieuse et inquiète. Elle se demande comment il a fait pour récupérer le produit et combien de temps il va être efficace. Cachant sa colère et son inquiétude, elle demande :

- Comment as-tu fait?

- Cela n'a pas d'importance. Dit-il alors que sa queue qui commence à être raide sort de son pantalon.

Essayant de le distraire et espérant que l'efficacité de la drogue est de courte durée, Sarah dit :

- Bruno, nous pouvons travailler ensemble ici.

- A quoi penses-tu? Demande Bruno, joueur.

- A tout. Déclare Sarah.

- Alors tu vas prendre ma bite dans ton cul pendant que tu lécheras la chatte de Karen? Demande le garçon.

Sarah baisse les yeux et voit que ce maigrichon a une putain de grosse bite. Elle voit également que Karen, sans qu'on lui demande, l'a prise en bouche.

- Alors c'est de cela qu'il s'agit? Tu veux me baiser?

Elle se dit qu'elle va pouvoir se débarrasser de ça. Après tout, elle a baisé de hommes encore plus gringalets et plus moches que lui pour arriver à sa position au sein de l'entreprise. Les hommes sont faciles à manipuler.

Entre temps, Karen est impressionnée par la taille de la bite de l'intello. Parallèlement, Bruno est impressionné par la bouche experte de la secrétaire. Il répond à son ancienne patronne :

- il s'agit de te donner une leçon.

- Pourquoi? Parce que je t'ai renvoyé?

- Parce que tu es une grosse chienne. Enlève ta jupe!

- Combien de temps dure l'effet de la drogue? Demande Sarah en voulant savoir combien de temps elle allait devoir rester sous l'emprise de ce minus.

- Toujours. Répond Bruno en la regardant enlever sa jupe.

A sa grande surprise, il voit qu'elle porte des bas. Ça le rend heureux :

- Tu es habillée pour être baisée.

Elle ignore son commentaire pour se concentrer sur le mot de sa réponse horrible. Elle demande :

- Que veux-tu dire par « toujours »?

- C'est un mot assez simple à comprendre non?

Sarah le regarde furieusement. Elle déteste être prise pour une idiote.

- jusqu'à la fin de ta vie. Ajoute Bruno d'une voix moqueuse, lui parlant comme s'il parlait à un enfant.

- Tu n'es pas sérieux? Dit-elle.

Pendant les essais de ce produit, il était censé agir un temps limité seulement. S'ils l'avaient utilisé sur des personnes, ils auraient enfreint la Convention de Genève. Mais si le produit a un effet permanent, c'est une catastrophe.

- je n'avais pas l'intention de faire ça au début. Dit Bruno.

Puis il hausse les épaules, en regardant les formes avantageuses de Sarah et dit :

- Mais j'y vois quelques avantages.

- C'est dangereux. Insiste-t-elle, non seulement pour elle mais pour tout le monde si c'est vrai.

- Je sais. C'est pour cela que j'ai effacé tous mes résultats de recherche ainsi que le reste du produit. Tu es mon dernier cas de test. Dit-il en évitant de mentionner que tout est vrai sauf les quelques flacons qu'il a gardés.

- Tu l'as vraiment perfectionné pour te venger de moi?

- Oui. Et pour te prouver que je pouvais le faire.

- Et bien, je suis impressionnée. Dit-elle.

- Et maintenant tu vas être ma salope à trois trous. Bien que j'imagine que c'est ainsi que tu es arrivée à ce poste.

Ça énerve Sarah. Bien sûr elle a baisé de hommes importants ainsi que quelques femmes pour y arriver. Mais elle est aussi une femme très intelligente qui mérite d'être là où elle est. Alors elle dit :

- C'est un minus au chômage qui me dit ça...

Bruno soupire :

- Tu aimes bouffer de la chatte?

- Dieu non. Répond Sarah, tout en se rappelant qu'elle l'a déjà fait pour monter en grade ou conclure un contrat.

Alors Bruno la conditionne :

- Tu aimes bouffer de la chatte et tu as envie de bouffer de la chatte... pour toujours.

Sarah se tourne alors vers sa secrétaire qui l'a broutée de nombreuses fois mais à qui elle n'a jamais rendu la faveur.

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