La Transition 02

Amaury Lemestre s'éveilla lentement. Il s'étira ; jouissant de la sensation de bien-être qu'une bonne nuit de sommeil pouvait apporter. Il sortit du lit en douceur pour ne pas réveiller Séverine qui avait grand besoin de récupérer après la tempête qui avait frappé ses sens la veille. Elle gisait nue, avec un total abandon, un drap enroulé autour de sa taille tandis que ses petits seins pointaient vers le plafond.

Bien qu'il l'ait Améliorée, elle n'avait pas encore la résistance physique d'Aude, la mère d'Amaury , qui lui aurait permis d'affronter les trois heures d'orgasmes quasi en continu de la veille pendant qu'il la prenait et reprenait dans toutes les positions, l'amenant presqu'à l'inconscience sous ses assauts répétés.

Après une escale dans la salle de bains, il se dirigea, vêtu uniquement d'un short, vers la cuisine où il entendait Elise, la mère de Séverine qui chantonnait tout en préparant le petit déjeuner. Elle lui tournait le dos et il s'arrêta pour la contempler. Suivant ses instructions, elle ne portait qu'une nuisette qui ne masquait quasiment rien de son corps un peu rubénien de quadragénaire. Et en tout cas, certainement pas ses fesses rebondies qui saillaient alors qu'elle se penchait au-dessus de la table pour disposer les couverts du petit-déjeuner. Son érection matinale se manifesta aussitôt et il posa sa main à la jointure des fesses près de son entrejambe et dit doucement

« Tu as tellement envie de moi, Elise ... »

« Uuuuh » fit-elle en s'allongeant sur le table, soudainement frémissante de désir. Elle écarta les jambes, permettant à la main d'Amaury de continuer sa progression vers la chatte récemment épilée grâce aux bons soins de Séverine elle-même.

« Amaury! J'ai envie de toi ... j'ai besoin de sentir ta grosse verge me ramoner le minou ... oooh ... Amaury, j'ai tellement envie de toi! »

Sans plus de préliminaires, il baissa son short et se masturba un instant pour donner à son membre dressé son amplitude maximale. Puis il le présenta à l'entrée du vagin déjà détrempé et s'enfonça dans l'onctueux cocon d'une seule poussée.

« AAAAHH Aaamaury! C'est bon!!! OOOH! Comme ça ... continue .. .! »

Ayant enfanté, Elise avait le vagin moins étroit que celui de sa fille et le garçon la prit avec la brutalité qu'elle affectionnait sans craindre de la blesser avec son engin surdimensionné depuis sa Transition . Il saisit les hanches de la femme à pleines mains et s'arc-bouta pour amplifier ses coups de boutoir.

« AAARGH! Tu me tues! Oooh ... N'oublie pas mes seins ... Broie mes seins ... Amaury .. oooh ... Massacre-les! OUI ... OH OUI ... C'EST SI BON! »

Le garçon la tenait à la hanche gauche d'une main tandis qu'il brutalisait le sein droit de l'autre. Puis il changea, pétrissant le globe gauche en se retenant à la hanche droite.

« Je .. vais .. bientôt .. jouir ... Elise! Viens ... avec ... moi! MAINTENANT!

Elle s'effondra sur la table en feulant pendant que le Doué remplissait sa chatte de son foutre et utilisait son Pouvoir pour multiplier l'intensité de son plaisir

« OUIII!! ... AMAURY ... TU ... UUUH .. ES .. MON ... OOH .. MAÎ... TRE ... AAAH! ENCORE!!!! CA .. AAH .. N'ARRÊTE ... PLUS! »

Le garçon acheva de se soulager dans le vagin accueillant et se rajusta, laissant la quadra vautrée en travers de la table. Il se rajusta et prit une tasse de café qu'il remplit au percolateur fumant.

C'était très bon Elise mais la prochaine fois, tâche d'avoir du lubrifiant, je prendrai ton beau cul

« Oui Amaury » La répétition de son prénom procurait visiblement à Elise un intense plaisir. « Mais j'en ai dans le tiroir du vaisselier. J'en ai dans toutes les pièces en fait ; je sais à quel point tu aimes défoncer mon gros cul! »

Depuis la fin de sa transition, les surhormones du jeune homme étaient sous contrôle mais il ne pouvait commencer une journée sans avoir éjaculé deux à trois fois, de préférence dans une des cavités d'amour d'Elise qui était visiblement du matin.

Elle s'épongea avec un essuie-mains pour éviter que le sperme ne retombe sur le sol et ne tache le carrelage immaculé mais une petite quantité s'échappa malgré tout. Elle se mit à quatre pattes pour éponger et effacer toute trace, exhibant du même coup sa croupe aux yeux de son presque beau-fils.

Amaury trouva immédiatement le tube de lubrifiant, bien en vue dans le tiroir et se précipita à genoux derrière Elise ; il utilisa son Pouvoir pour rebander et enduisit son sexe du fluide gras. Il pointa son sexe face à l'œillet qui lui clignait de l'œil et le défonça sans pitié.

« OUCH! » fit Elise mais Amaury l'Influença aussitôt

« Tu aimes te faire enculer ma belle ; tu peux jouir rien qu'en te faisant sodomiser ; surtout par une grosse bite comme la mienne! »

« RAAAH ... AMAURY!! OUIII ... TA BITE ... DANS ... MON .. CUL! OOOH! TU .. ME ... FENDS ... EN .. DEUX! «

Dans le même temps, elle agitait son torse pour racler sa poitrine et surtout ses tétons sur les aspérités du carrelage froid.

« OOOHH ... Mes ...tétons... glacés ...et .. mon.... CUL .. EN .. FEU! AMAURY ... DONNE .. DONNE ... JE VAIS ... AAAAHHH! »

Son amant vit distinctement le flot de cyprine mêlé de foutre qui jaillit hors du vagin béant de son amante et la rejoignit dans l'extase, incapable de se contenir sous la pression des contractions de l'anus qui accueillait son membre survolté.

Séverine se réveilla à son tour et entendit les hurlements de plaisir de sa mère à l'étage du dessous.

« Hum, maman en prend de nouveau plein le cul » soliloqua t'elle, connaissant le goût immodéré de son homme pour la croupe rubénienne d'Elise. La veille, c'était elle qui avait été à la fête, prise entre les sensualités débridées de son Doué et de Véronique, leur blonde ex-camarade de classe qu'Amaury avait Influencée à son tour pour qu'elle les rejoigne dans le grand lit qui était jadis occupé par Elise.

Quelques jours auparavant, Séverine avait avoué à Amaury son penchant pour Véronique dont la forte poitrine l'obsédait , elle dont les seins ne remplissaient qu'à peine les mains de son Maître. Amaury lui avait fait la surprise d'Influencer et de ramener Véronique à la maison pour la livrer en cadeau à son amante. Séverine s'était d'abord repu des grosses mamelles de son amie, les léchant et les mordillant en tous sens avant de demander à Amaury que sa nouvelle conquête la fasse jouir de sa langue pendant qu'il prendrait leur compagne de jeu en levrette.

Le garçon avait obtempéré en oubliant volontairement de préciser à la récente Influencée combien d'orgasmes elle devait offrir à Séverine qui avait fini par demander grâce, Elle avait trempé les draps de ses jouissances successives jusqu'à ce que son corps la trahisse.

Véronique par contre s'était montrée presqu'infatigable, léchant son amie d'un côté et accueillant la verge d'Amaury de l'autre.

« Aah Sev ... Quelle bonne idée ... han ... tu as eue,.. Elle est vraiment .. han .. bonne cette .. Vero .. et elle .. han .. aime mon doigt .. han .. dans son .. cul! Je vais en .. han .. mettre un .. deuxième .. Je veux .. han .. pouvoir .. la sodomiser .. han ... han .. aah .. avant la fin .. han .. de la soirée .. AAARGGH ... DANS .. SON ..CUL ... JE .. LA .. HAN ... VEUX! »

Il avait tenu parole, à grand renfort de lubrifiant, et il avait profité d'un 69 exécuté avec beaucoup d'entrain par les filles pour perforer l'anus encore vierge de Véronique. Il l'avait laissé souffrir un moment de l'énorme intromission avant de lui ordonner de prendre du plaisir par le cul aussi!

Véronique n'était pas la seule de leurs ex-camarades de classe à avoir rejoint le harem d'Amaury . En fait, elle était une des dernières, ayant été précédée dans les bras du jeune couple par une bonne dizaine de jeunes diplômées de leur collège. Trois d'entre elles étaient même encore pucelles et Séverine avait pris grand plaisir à les préparer à leur dépucelage par la verge de son Doué.

Au début, elle avait craint qu'Amaury ne la remplace par une de ses fraîches conquêtes et ne la jette comme un kleenex mais il revenait toujours vers elle et avait su trouver les mots pour adoucir la douleur du partage.

« Tu es et tu resteras ma préférée, Sev, comme ma mère a toujours été la préférée de Stéphane. En tant que Doué, il m'est impossible de résister au plaisir que me procure l'exercice de mon Pouvoir sur une nouvelle fille mais je reviendrai toujours vers toi ... seul ou avec la fille! »

Elle avait donc vu défiler toute une panoplie de chattes plus ou moins épilées et de poitrines plus ou moins attirantes mais sa préférée appartenait bien à Véronique. Rien que d'y penser, elle mouillait à nouveau malgré ses exploits de la veille. Elle se résigna à sortir du lit pour gagner la salle de bains puis, habillée seulement d'un slip et d'un T-shirt, elle rejoignit son amant et sa mère.

Elise était en train de raconter à Amaury sa triste condition de technicienne de surface. Elle avait décroché un diplôme de comptabilité au terme de ses études mais n'avait presque jamais exercé, s'étant retrouvé enceinte de Séverine dans sa première année professionnelle. Lorsque son mari, Achille Deton, l'avait quittée pour refaire sa vie à l'étranger en omettant soigneusement de payer une pension alimentaire, L'ex Madame Deton, née Sémoit, avait été obligée d'accepter un emploi sous-qualifié, n'étant plus du tout au fait de l'évolution dans sa branche.

Mais en plus des horaires ingrats et d'un salaire de misère, elle était confrontée à une jeune patronne insupportable.

« Elle a hérité la firme de son père mais n'a aucune de ses qualités. Elle passe plus de temps à humilier son personnel qu'à chercher de nouveaux clients ou à surveiller ses comptes. La boîte est presqu'au bord du gouffre mais elle ne s'en rend même pas compte! »

« J'ai peut-être une solution » dit Amaury « Est-ce que tu pourrais me mettre en sa présence? »

« Tu veux la baiser? Je ne vois pas en quoi cela m'aiderait ... »

« Regarde » lui dit il en fixant Séverine qui s'était postée à côté de sa mère.

La jeune fille sentit une douce chaleur émaner de son bas-ventre . Puis la chaleur s'intensifia et elle se rendit compte que sa chatte s'ouvrait, qu'elle mouillait et que son clitoris semblait avoir doublé de volume. Elle gémit et voulut se caresser mais Amaury l'arrêta

« Non! Assieds toi Séverine, écarte les jambes et ne te touche surtout pas. »

La jeune fille obéit mais un désir fou lui embrasait l'entrejambe. Elle grogna de désespoir

« A .. Amaury ... s'il te plaît, .. baise-moi ... ou .. oooh .. laisse-moi me ... caresser .. c'est intenable ... j'ai besoin ... oooh ... jouir ... pitié ... je brûle ... »

« Tais-toi et ne jouis pas! »

« Mmmh « Malgré tous ses efforts, Séverine ne parvint pas à réfréner un gémissement de désespoir ; tous ses sens appelaient à l'assouvissement de cette énorme vague de désir sexuel qui la chamboulait. Elise vit une large tache humide se développer sur le slip de sa fille, plaqué contre sa chatte béante.

« Séverine, réponds par oui ou par non : est-ce que tu veux qu'Elise te soulage? »

« OUIIIII! .. mmmh OUIIII »

« Vas-y Elise, ta fille a besoin de toi »

Tout aussi obéissante que sa fille, Elise se dirigea vers Séverine et glissa sa main dans son slip. Elle avait à peine effleuré le clitoris saillant que la jeune fille se plia sous l'effet d'un orgasme qui la fit se plier en deux et la ravagea des pieds à la tête, la laissant pantelante, le tout dans un silence exceptionnel, uniquement troublé par sa respiration hachée.

Elle se redressa soudain, une lueur de panique dans le regard

« MMMhhh »

« Tu vois Elise, je peux recommencer ce petit jeu plusieurs fois d'affilée. Avec ma douce Séverine, je vais m'arrêter ici mais avec ta patronne ... »

« C'est diabolique Amaury! Mais j'adorerais voir cette idiote de salope se rouler de désir à mes pieds! Ce soir, je dois passer par le bureau pour prendre mon planning de la semaine. Tu pourrais peut-être m'accompagner? »

« Avec plaisir Elise.. et Séverine pourrait aussi nous accompagner ; on va bien s'amuser! »

La jeune fille les interrompit « Mais d'ici là, j'espère que tu vas un peu t'occuper de moi! Tu m'as fait grimper aux rideaux ; il est temps que tu me fasses redescendre! »

Le garçon sourit et la souleva dans ses bras. « Je suis impardonnable mon ange mais je vais tenter de me racheter de mon mieux. A tout à l'heure Elise! »

Pendant qu'il la portait jusqu'à la grande chambre, elle passa ses bras autour de son cou et l'embrassa passionnément.

« Et ne crois pas que tu pourras t'en tirer avec un petit coup de Pouvoir! Je veux le menu complet! »

Le soir même, le trio se rendit aux bureaux de la société de nettoyage où travaillait Elise. Celle-ci salua la secrétaire, Chantal , dont on disait qu'elle avait été la maîtresse de feu Paul Monnet, le père de l'actuelle directrice Sara Monnet.

« Bonsoir Chantal, la Pimbèche est dans sa tanière? »

« Hélas oui. Je dois t'annoncer? »

« Pas la peine ; c'est une opération commando! »

Elise se dirigea vers une porte marquée « Direction », suivie de Séverine et Amaury. Le garçon jeta un dernier coup d'œil à Chantal. Elle devait avoir l'âge d'Elise et était plutôt bien de sa personne. Elle serait une agréable complice pour l'aboutissement du plan qu'il avait fomenté avec sa belle-mère.

Ils envahirent le bureau directorial, dérangeant visiblement Sara Monnet fort occupée par la contemplation de ses ongles et qui avait posé ses pieds nus sur son grand bureau. Amaury passa immédiatement à l'action, la mettant dans une phase d'excitation sexuelle encore plus puissante que celle qu'il avait infligée à Séverine la veille mais ne l'Influença pas outre mesure. Il préférait qu'elle résiste le plus possible pour pouvoir briser le plus brutalement possible sa volonté consciente plutôt que de la dominer et la soumettre en douceur.

« Elise, qui vous a permis ... et qui sont ces jeunes gens ... mmmh »

Sara ramena ses jambes sous le bureau et haleta

« Je ne sais pas pourquoi... mmmh ... vous êtes ici ... mais ... mmmh ... je vais devoir vous ... mmmh ... prier de sortir ... oooh! »

Ses mains s'agrippèrent convulsivement au bureau et les jointures blanchirent dans un effort désespéré pour ne pas plonger vers son entrejambe en feu.

« Vous ne vous sentez pas bien Sara? Vous êtes toute rouge » demanda Elise. »Vous devriez peut-être ouvrir un peu votre chemisier pour vous rafraîchir? »

« Nooon ... ça va ... mmmph ... aller mais laissez-moi ... mmmph ... seule, je vous prie ... »

Amaury augmenta encore un peu la « température » de sa victime et dit

« Elise, je crois que vous avez raison, Madame Monnet est trop couverte ; elle a sans doute besoin d'aide pour se mettre à l'aise ... Ne bougez plus Sara! Laissez-vous faire! »

Elise contourna le bureau et enleva la veste du tailleur de Sara qui ne résista pas mais gémit encore plus fort lorsque le tissu de la veste effleura ses seins pourtant couverts du chemisier et du soutien-gorge.

« Ooooh , bon sang ... mais qu'est-ce qu'il m'arrive? C'est insupportable! »

« Ce sont probablement vos frustrations qui s'extériorisent « répondit Elise en faisant sauter l'un après l'autre les boutons du chemisier. Elle en écarta les pans, dévoilant un diaphane soutien-gorge rose pâle, très chic, qui laissait apparaître de larges mamelons férocement érigés sous le tissu vaporeux.

« Levez- vous Madame Monnet » ordonna Amaury. La directrice s'exécuta et Elise ouvrit le zip de sa jupe qui tomba au sol. « Rasseyez-vous, ..posez vos pieds sur le bureau .. les jambes bien écartées... voilà ... on dirait que nous avons découvert la cause de votre mal être ... vous êtes trop excitée! »

Le slip de la fausse blonde était visiblement trempé en son centre ; le tissu rose clair s'assombrissant au fur et à mesure que l'humidité gagnait du terrain.

« Je ne sais pas ... oooh ... ce qui m'arrive .. oooh ... il faut que .. oooh .. laissez-moi, je vous en supplie! »

« Vous voulez sans doute vous branler?» demanda le jeune homme, implacable « Cela ne servira à rien . Vous ne pourrez plus vous donner du plaisir en solo. Seule Elise peut vous soulager! Mais il faudra le lui demander très gentiment ..»

« Nooon! Pas avec .. ooh .. une simple ... ooooh .. une ouvrière! Je vais .. mmmh ..le faire moi ... moi-même .. Ne regardez pas! Oooh! »

Elle commença à fourrager désespérément sous sa culotte mais Amaury l'avait assez Influencée et malgré tous ses efforts, elle ne jouit pas. Elle ne parvint qu'à s'exciter encore davantage et se mit à sangloter sous le coup de la plus intense frustration de sa vie sans pour autant interrompre sa frénétique masturbation.

« Séverine, va chercher Chantal, elle va adorer le spectacle » dit Elise

« Nooon ... qu'est-ce que vous ... oooh... m'avez fait ... pas Chantal ... je suis sa aaahhh .. patronne ... oooh ... c'est atroce ... oooh .. ça ne marche .. aah plus .. J'ai besoin ... oooh tellement besoin ... »

Sur ces entrefaites, Séverine avait fait entrer la secrétaire qui contemplait la directrice le sourire aux lèvres.

« Aaaah ... Chantal .. ne regardez pas ... aaahh ... oooh .. je vais ... mourir ... si je ne viens .. pas ... ELISE ... PITIE ... AIDEZ-MOI! .. OOOH .. . N'EN ..PEUX.. PLUS! »

« Une seconde Elise... Madame Monnet, ferez-vous ce qu'Elise vous dira si elle vous fait jouir? »

« OUI! OUI! TOUT CE QUE VOUS VOULEZ! »

Elise écarta la main de Sara pour glisser la sienne à sa place sous le slip détrempé et, comme avec sa fille la veille , elle effleura à peine le clitoris de sa brune employeuse que celle-ci poussa un hurlement de soulagement

« AAAAAHHH!! OUIIII ..... ENFIN ........ OOOOH ....sob... sob ... Elle sanglotait de soulagement tandis que l'énorme tension sexuelle s'évacuait sous la forme d'un flot de cyprine qui traversa son slip. Elle resta un long moment à moitié inconsciente puis repris ses esprits

« Allez-vous en! Tous .. toutes ... je ne veux plus jamais vous revoir! Disparaissez! Vous aussi Chantal! »

« Vous n'avez pas encore compris madame Monnet? » dit Amaury en réveillant les gonades de la mégère. « Elise et Chantal vous sont indispensables faute de quoi vous risquez de ne plus jamais être en mesure d'assouvir votre énorme besoin de jouissance. Mais plus vous résisterez, plus le prix à payer sera élevé. Tenez »

« Oooh » fit Sara qui se plia en deux sous l'afflux d'une nouvelle vague de sensations dans son vagin et aux alentours de son clito. « NON! ... CA RECOMMENCE ... IL FAUT ... IL FAUT ... » Malgré son précédent échec, elle arracha son slip et se remit à se branler ... en vain « oooh ... je dois ... il faut ... que je ... jouisse ... encore ...oooh ... jouir ... par pitié ... »

Amaury souleva Séverine et l'étendit sur le bureau. Il releva le T-shirt de la jeune fille et suça ses mamelons et tétons tandis qu'il accroissait mentalement l'excitation des mamelles déjà gonflées de désir de la directrice qui avait quasiment le nez sur le jeune couple.

« Ne faites ... oooh... pas ça ... vous n'avez ... ooh ...pas le droit... Je souffre ... ooh ...tellement ... jouir...uuh.. ELISE ...bonne .. Elise ... VENEZ! »

« Non Elise » dit Amaury qui était en train de libérer son imposante verge « Elle n'est pas sincère et ne tiendra pas parole! » Il vérifia que Séverine était prête à le recevoir sous son slip qu'il écarta et la pénétra langoureusement.

« AAAHH AMAURY! AAAH TA GROSSE BITE EN MOI! ... OOOH ... CA FAIT DU BIEN! ... VAS-Y .. BAISE-MOI! FAIS-MOI ... BIEN ... JOUIR ...! »

« Salauds » sanglota Sara .. « C'est intenable ... sob ... sob ... arrêtez... je n'en peux ..sob ... sob ...plus! »

« Chantal ...han .. . voulez-vous bien .. han ... taper un ordre ... han .. de service ... nommant ...humph.. Elise Sémoit..Directrice ...humph .. en lieu et place ... han ...de Sara Monnet ... qui prendra ...han ... sa place ... dans ...humph ...le corps de balais? Prenez votre temps ... humph ... elle n'est pas encore ...han ...prête à signer... »