La surprise de Marie

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Marie me prostitue.
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Le lendemain, je sonnais chez Marie à dix heures. Nous avions convenu de déjeuner ensemble. Je ne devais repartir qu'en fin d'après midi.

Marie m'emmena directement dans sa chambre, sans me demander si je voulais boire quelque chose. Elle était déjà excitée et je l'étais aussi. Déjà en m'habillant à la maison je m'étais rendue compte que mon sexe était mouillé. Je savais que nous allions faire l'amour et en plus, il y avait cette surprise qu'elle m'avait promise et qui me mettait l'eau à la bouche, ou plutôt à la chatte.

Nous commencions à avoir nos habitudes. Elle m'embrassa longuement, me caressant le corps comme le ferait un homme, pelotant mes seins, malaxant mes fesses, écartant ma culotte pour pouvoir glisser ses doigts dans mon vagin, pénétrant mon anus. En même temps, elle me déshabilla petit à petit, baissant ma culotte que j'enjambai pour m'en débarrasser, ouvrant ma robe et la faisant glisser à mes pieds, dégrafant mon soutif en m'embrassant les tétons.

Quand je fus nue devant elle, elle m'ordonna de monter sur le lit et de m'asseoir sur mes talons. Elle prit un masque noir dans la table de chevet et elle l'ajusta sur mes yeux. A partir de cet instant, je ne voyais plus ce qu'elle faisait. Je ne pouvais plus me fier qu'à mes autres sens, et plus spécialement l'ouïe, pour comprendre ce qui se passait. Je l'entendis sortir tout un attirail avant de refermer le tiroir.

Elle me demanda de prendre appui sur mes mains et de lever légèrement les genoux. Je sentis qu'elle passait une corde autour de mes cuisses et de mes jambes, pour les maintenir repliées. Elle attacha une seconde corde à la première, qui partait de mon dos et faisait le tour de ma taille. Ainsi, la première corde était tenue vers l'arrière, l'empêchant de glisser vers l'avant. Je pouvais encore plus ou moins ouvrir les cuisses et les refermer mais je ne pouvais plus me lever. Je gardais mes talons collés à mes fesses.

Marie plaça mes bras derrière mon dos et attacha mes poignets à la corde autour de ma taille. Elle me fit basculer en avant. Ma tête retomba sur un oreiller. Mes pieds décollèrent du matelas. J'avais le cul dressé. Mes genoux servaient de pivot mais à cause du poids de mon buste, je restais dans cette position de prosternation et ne pouvais plus me relever sans aide.

Marie me demanda d'ouvrir la bouche. Elle souleva ma tête pour passer un élastique autour de ma nuque et introduire un bâillon entre les mâchoires. C'était une sorte de boule en plastique. Je pouvais encore gémir mais je ne pouvais plus parler. "Je vais te baiser avec un gode ceinture et ensuite je t'enculerai." Je l'entendis se déshabiller puis s'harnacher. J'avais déjà vu ce genre de dispositif sur internet et je l'imaginais avec une sorte de porte-jarretelle en cuir solide et un gode rigide fixé au niveau de sa chatte.

Sans préparation, elle me pénétra avec la bite factice, me tenant aux hanches. Ce devait être un engin de gros calibre, en tous cas bien plus gros que le zizi de mon mari. Je pensais que s'il était rentré assez facilement dans ma chatte, il en irait tout autrement pour mon anus et je craignais de ne pas pouvoir le prendre.

Pendant qu'elle me baisait tranquillement, elle me graissait le petit trou avec quelque chose de froid. Cela me faisait penser à du beurre. Elle en étalait largement autour de ma rose, tartinant la raie. Elle en faisait entrer dans mon rectum avec un doigt, sans doute son majeur. Quand elle a estimé que j'étais prête, elle a sorti le gode de mon vagin et l'a placé sur ma rondelle. Elle a commencé une manœuvre de perforation, lente mais inexorable. Elle devait tenir le faux membre d'une main. Je sentais que de l'autre, elle tirait sur mes chairs pour m'ouvrir et rentrer la bite quelques millimètres plus profond. Je ne pouvais pas protester, juste geindre parce que c'était douloureux, même si Marie prenait une infinité de précautions. Elle ressortit le gland bien qu'il m'avait semblé qu'il était déjà pas mal engagé. Elle me beurra à nouveau le cul et se replaça pour une seconde tentative. Elle s'enfonça assez vite jusqu'au niveau déjà atteint et profita de la lubrification supplémentaire pour glisser le cylindre un peu plus loin.

Le gland passa enfin le sphincter. Je sentis mon cul se refermer un tout petit peu. Marie poussa encore et le mandrin s'engagea petit à petit jusqu'à ce qu'il semble buter sur le fond de mon rectum. Marie orienta la queue vers le haut, chercha un passage, le trouva et continua à rentrer encore plus loin, sans doute dans mon intestin. Elle ne fut plus longue à pouvoir coller son pubis à mes fesses. Je reconnus le contact des lanières de cuir du porte-jarretelle. "Voilà qui est fait. Je te félicite! Je viens de t'en rentrer plus de vingt centimètres."

Elle se retira, tout aussi doucement qu'elle était entrée. Lorsqu'elle eut ressorti le gland, elle s'amusa à faire des allers-retours, ouvrant et refermant alternativement mon muscle.

Je ne pouvais plus avaler ma salive à cause du bâillon. Elle coulait de ma bouche et mouillait le drap sous ma joue.

On entendit quelqu'un sonner à la porte. J'aurais pensé que Marie allait laisser sonner jusqu'à ce que l'intrus se décourage et s'en aille. Mais je l'entendis descendre du lit et dire à voix haute qu'elle arrivait. J'étais stupéfaite parce que quand elle allait ouvrir, le visiteur ou la visiteuse ne pourrait pas ne pas me voir. Toutes les portes depuis l'entrée étaient ouvertes et depuis le seuil on voyait très bien le lit. Néanmoins, j'étais impuissante, incapable de me redresser, incapable de parler.

Je perçus le bruit de la serrure. Quelqu'un entra. On referma la porte. "Mettez vous à l'aise. Elle est prête." Je compris que Marie parlait de moi, soit à un inconnu qu'elle vouvoyait ou alors à plusieurs individus. "Tu vas te vendre à quatre amis. Ils vont te payer pour te baiser, t'enculer et se faire sucer. Bien entendu, tout l'argent qu'ils te donneront sera à toi. Quand ils me baisent, c'est moi qui me goinfre, quand ils te baisent c'est toi qui touche. Tu verras, c'est joindre l'utile à l'agréable."

On caressait mon visage, mes joues, mes lèvres écartées par le bâillon, mon menton. Je finis par reconnaître le contact d'un gland. Un homme frottait sa bite. Il la plaça à côté de la boule de plastique qui m'ouvrait la bouche. Il défit l'élastique et d'un même mouvement, sortit la boule et rentra son sexe. Je ne pouvais pas vraiment protester, ni le sucer étant donnée ma position avec un côté de la tête sur l'oreiller. Disons que j'avais changé de bâillon et que celui-ci était malgré tout d'une consistance et d'un goût plus agréables.

On me prit la taille et une vraie bite me remplit la chatte. L'homme me baisa sans retenue, semblant pressé de se vider en moi. Il laissa ma taille pour m'agripper la poitrine. Je l'imaginais à genoux derrière moi, donnant des grands coups de bassin, pistonnant mon vagin à toute allure, tirant sur mes mamelles. Je l'entendais souffler de plus en plus fort, râlant puis criant son plaisir et je le sentis gicler plusieurs fois alors qu'il projetait ses fesses en avant et qu'il m'écrasait les seins. Il se retira. Un autre pris sa place, mais au lieu de me prendre par le trou de devant, me prit par celui de derrière. Il me sodomisa sans problème tellement le gode de Marie m'avait ouvert le cul. Lui aussi voulait se soulager. Il me bourrait en restant au fond, donnait des petits coups de reins qui m'écrasaient les fesses. Je sentais régulièrement ses couilles qui devaient ballotter. C'était comme s'il se branlait dans mon trou. Il éjacula aussi assez vite et je sentis son sperme me remplir le derrière.

Celui qui était dans ma bouche se dégagea. Quelqu'un commença à me détacher. On m'enleva mon bandeau. Je basculais sur le dos, étendis mes jambes, massai mes mollets et mes genoux. L'homme m'écarta les pieds et prit place entre mes cuisses. Je ne pensais même pas à protester et il m'enfila sans difficulté. Contrairement aux deux autres pour qui je n'avais été que deux trous pour deux bites, lui me faisait l'amour. Il me caressait les seins, les suçait, dégageait mes cheveux, me regardait dans les yeux, et en même temps me prenait lentement mais avec vigueur. La bestialité des autres puis la tendresse de celui-ci me mettaient dans un état d'excitation tel que je voulais jouir à mon tour. Mon partenaire était attentif et il vit les transformations de mon regard qui devenait de plus en plus implorant. Je vis moi aussi dans ses yeux qu'il perdait pied petit à petit. J'ouvrais plus mes cuisses, je creusais les reins, je plaquais mes mains sur ses fesses et nous nous regardions tandis que le plaisir venait. Je le sentis éjaculer en moi et ses premières giclées, la contraction de ses fesses, son regard vitreux, son cri de jouissance me firent jouir à mon tour. J'enfonçais mes doigts dans la chair de son cul comme si je voulais lui mettre les couilles à sec.

Il resta allongé sur moi et m'embrassa. Puis il se releva.

On me laissa souffler. Marie s'assit sur le lit près de mon visage. Elle m'embrassa. Elle me fit remarquer que j'avais joui, ce qui voulait dire que j'avais été forcée mais que j'y avais pris plaisir. Elle m'expliqua ensuite que le dernier des quatre hommes voulait être sucé. Elle me recommanda de faire cela avec conscience professionnelle, comme si j'étais une prostituée.

L'homme se tenait debout, de l'autre côté du lit. Son sexe n'était pas en érection mais il était tout de même dilaté. Je plaçai ma main gauche sous les couilles, comme si je souhaitais les soupeser et je les entourai délicatement. De la main droite, je m'emparai du sexe et je le branlai doucement pour le durcir. Au bout de quelques allers-retours seulement, la bite était raide et le gland violacé. Il me faisait envie. Le méat était ouvert et s'ornait d'une goutte. J'y posai la pointe de ma langue pour la récupérer. J'eus envie de sentir ce bulbe congestionné me remplir le palais et je l'engloutis. J'avais la bouche pleine. Je suçais la bite comme si c'était une petite glace qu'on peut entrer toute entière. Mais on ne garde pas une glace longtemps en bouche, on ne tourne pas la langue autour de la boule, on ne masturbe pas le cornet comme je le faisais avec cette queue qui m'excitait.

L'homme prit ma main gauche et l'amena entre ses fesses. Il voulait que je lui ouvre la raie. Je mis mon majeur sur son trou du cul et je poussai fort pour le forcer à sec. Il eut un petit cri quand je réussi à le perforer. Mon doigt s'enfonça difficilement, faute de lubrifiant. Je gardais mon médius dans son rectum, je branlais la tige et j'excitais le nœud en léchant le frein. L'homme fléchissait les cuisses, ce qui l'ouvrait davantage. Il levait la tête, respirait par la bouche entrouverte et gémissait. Il voulait que je lui donne du plaisir et je voulais le satisfaire. Je continuais à traire son membre, attendant avec impatience la première giclée. J'avais la bouche béante, la langue sortie, en tuile au dessous du petit trou de la pine. Le gémissement s'est amplifié. L'éjaculation se rapprochait. Je pressai ses fesses pour stimuler son cul encore plus, je serrai la hampe et j'accélérai légèrement le rythme de mes va-et-vient. L'homme eut un rugissement et je reçus du foutre sur le nez qui retomba sur ma langue. Je le gobais comme un caméléon, déjà prête à recevoir le deuxième jet. Le sperme sorti de l'urètre sans pression et s'écoula le long du frein, tombant directement sur ma langue. Je le laissai s'accumuler puis l'avalai en totalité. Je repris le nœud et aspirai pour tirer tout le jus restant.

Les quatre hommes se rhabillèrent et s'en allèrent, nous laissant seules Marie et moi.

Nous restâmes un bon moment sans parler. Je pense qu'elle n'était pas sûre de ma réaction à sa surprise. De mon côté, j'étais partagée. Nous étions loin de cette aventure homosexuelle du début. Je trompais mon mari, non seulement avec une femme mais désormais aussi avec des hommes. Et puis Marie avait reçu de l'argent en échange de mes faveurs. J'étais donc adultère et putain à la fois. Mais en même temps, c'est cette irréalité apparente, cette rapidité dans l'avilissement qui me subjuguaient. J'avais eue envie de ces passes, de chacun de ces hommes à des titres différents. Il y avait ceux qui avaient abusé de moi alors que j'étais attachée, bâillonnée et masquée, celui qui m'avait possédée et que j'ai regardé dans les yeux quand il a joui en moi et enfin, celui qui m'avait abreuvé de sa semence.

Je rompis le silence en déclarant que je ne lui en voulais pas, au contraire. Je lui avouais avoir eu du plaisir et en être encore excitée. Elle parut soulagée et elle me demanda si je souhaitais continuer. Je me mépris et je lui répondis que je ne voulais surtout pas que nous nous quittions. Elle précisa sa question en m'expliquant qu'elle pouvait faire venir d'autres hommes. Je compris qu'elle voulait savoir si j'étais prête à continuer à me prostituer. Je rougis et mon cœur s'accéléra. Il battait la chamade comme on dit quand on est adolescente et amoureuse pour la première fois. Je bredouillai une timide affirmation.

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