La soumission de Morgane 03

Informations sur Récit
Un homme soumet violemment la fille de ses amis à ses désirs.
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3

Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 04/18/2022
Créé 12/11/2010
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Je n'approchais plus Morgane de l'après-midi. Lorsque cela arrivait fortuitement, comme pour n'importe quelles personnes qui partagent un même endroit, je la sentais nerveuse et, parallèlement, un frisson de plaisir m'envahissait. Mais je ne la touchais même plus. Non seulement parce que se précipiter était le meilleur moyen de se faire attraper, mais aussi pour qu'elle se repose un peu, en vue de ce que je préparai. Et surtout, il fallait que je me repose aussi après la succession de jouissances de ce matin.

Je n'abandonnais pas mes plans pour autant. À la vue de la réaction paternelle, je me doutais que Morgane ne pourrait se confier à Michel sur ce qui était arrivé. En début d'après-midi, je su que Clotilde était du même tonneau lorsqu'elle passa un bon quart d'heure à enguirlander sa fille parce quelle avait laissé trainer des affaires par terre dans sa chambre, en l'occurrence le tee shirt et la petite culotte qu'elle portait lorsque je l'ai violée. Je voyais mal Morgane réussir à leur parler d'un sujet aussi honteux que son dépucelage forcé par leur propre invité et ami. Michel et Clotilde facilitait sans le savoir mes possibilités d'abuser de leur fille.

C'est donc avec une certaine tranquillité que je m'apprêtais à sortir. J'avais consulté le net sur mon ordinateur, dans ma chambre, pour trouver un sex shop dans les environs. Comme je devais également faire le plein de la voiture après le long trajet d'hier, mon excuse de sortie était toute trouvée. Je fis tout cela le plus rapidement possible, ayant tout de même une petite appréhension. Après tout, on ne sait jamais. Sur la fin de ma petite balade, je craignais même de trouver un fourgon de police devant la villa. Mais le sourire jovial de Michel me rassura aussitôt. Je montais mes achats, cachés dans le sac à dos que j'avais emporté, dans ma chambre et je redescendis pour plonger dans la piscine.

Là, je fis plus ample connaissance avec Loïc qui trouvait enfin quelqu'un pour chahuter avec lui dans l'eau. Jusqu'à la soirée, on aurait facilement pu croire que j'étais un oncle ou un cousin attentionné. Pendant un certain temps, Morgane ne sut pas quoi faire. Elle ne voulait apparemment pas sortir mais y fut contraint par sa mère, non sans une nouvelle montagne de reproches, qui refusait qu'elle reste à l'intérieur avec un si beau soleil. L'adolescente finit par remettre son bikini pour bronzer, comme si de rien n'était.

Au moment où je sortais de l'eau, elle annonça soudainement qu'elle allait prendre une douche. Elle me fuyait. Je lui laissais un peu d'avance en me séchant rapidement avant de déclarer que j'allais me changer dans ma chambre. En fait, je montais les escaliers quatre à quatre, avec le moins de bruit possible pour la rejoindre dans la salle de bain avant qu'elle ne ferme la porte. Elle faillit réussir à la refermer avant que je n'arrive mais je la bloquais et entrais.

_ On dirait que tu ne veux pas me voir, petite salope. Après tous les efforts que j'ai fait pour toi cet après-midi, ce n'est pas très gentil.

J'avais juste l'intention de lui rappeler qui est le maître et je ne comptais pas rester longtemps, aussi je préférais laisser la porte ouverte pour entendre quelqu'un venir le cas échéant.

Morgane avait reculé à mon entrée et se tenait dos au mur, apeurée. Je m'approchais d'elle et soulevais vivement le haut de son maillot de bain pour libérer ses mignons petits seins. Je me mis à les caresser avec rudesse. Mon bassin se frottait lentement au sien. Je posais mes lèvres sur les siennes et tentait d'introduire ma langue. Mais elle refusa.

_ Tu as du mal à comprendre ma pauvre fille. Ouvre-moi cette bouche, sinon...

En guise de menace, je pinçais durement ses tétons et elle poussa un gémissement de douleur. Lorsque je fis une nouvelle tentative, ses lèvres s'ouvrirent et sa langue répondit même à la mienne, bien qu'on sentait peu de passion dans cet échange. Avec le frottement de mon bas ventre sur le sien, mon envie s'éveilla à nouveau. À travers nos maillot, je la caressais doucement avec ma trique sans provoquer la moindre réaction de défense. J'aurais pu la prendre là, debout contre le mur si je l'avais voulu. Mais le moment n'était pas encore venu. Puisqu'elle avait retenu la leçon pour l'instant, je la libérais de mon étreinte et partis en direction de ma chambre comme si de rien n'était.

Le reste de la soirée ressembla assez à celle de la veille, conviviale et tranquille. Morgane ne disait pas grand chose mais elle était de toute façon d'une nature plutôt effacée en temps normal. Aussi, cela ne choqua personne. Elle alla se coucher tôt, prétextant être fatiguée. Comme si de rien n'était, je restais avec Michel, Clotilde et Loïc jusqu'à ce que nous décidions ensemble d'aller dormir.

Mais je n'étais pas fatigué. Je m'étais préparé en buvant discrètement des boissons énergisantes dans ma chambre et ceci sans compter avoir bu plusieurs cafés avec Michel et Clotilde dans la soirée. Il ne me restait plus qu'à attendre le moment opportun et je commençais à préparer le matériel que j'avais prévu.

Au bout de trois heures à passer le temps sur le net, je décidais de passer à l'action. Je pris mon sac et descendait discrètement jusqu'à la chambre de Morgane. Dans le couloir, je marchais au ralenti. J'entendis des ronflements dans la chambre de Michel et Clotilde, ce qui me rassura un peu. Mais je devais rester vigilant. J'appuyais doucement sur la poignée de la porte de la chambre. Toutes les pièces avaient des portes avec des serrures mais je n'ai vu de clefs sur aucune d'elles, je n'ai donc pas eu la présence d'esprit d'ordonner à Morgane de laisser la porte ouverte, d'ailleurs cela lui aurait peut être donné l'idée de la fermer. Je craignais toutefois qu'elle ait pu avoir l'idée toute seule de dénicher la clef et d'assurer sa tranquillité. Mais ce ne fut pas le cas. La porte s'ouvrit.

Je me glissais à l'intérieur en silence et refermait doucement la porte. La chambre était totalement dans le noir. Heureusement j'avais prévu une lampe de poche dont je dirigeais le rayon vers le sol pour que la luminosité n'éveille pas Morgane. Je me déplaçais lentement, avec attention, pour m'approcher du lit double où la belle dormait à poings fermés. Je posais mon sac près de la table de chevet. Je l'observais un moment. Le contour de ses yeux était rouge. Elle avait pleuré et cette marque de vulnérabilité m'excita grandement.

Sans plus attendre, je posais ma main sur sa bouche. Comme prévu, elle se réveilla en sursaut. Ses yeux paniqués fouillèrent la pénombre et me trouvèrent. Maintenant, elle savait à quoi s'attendre. Je me suis penché vers elle.

_ Enfin réveillée. Tu apprendras qu'il n'y a pas d'heure pour les chiennes. Elles obéissent à leur maître à n'importe quel moment. On va commencer doucement, le temps que tu sois complètement sortie du sommeil. Ce serait dommage que tu ne profites pas de tout. Lève-toi et désape-toi!

Sachant qu'elle n'avait pas plus envie que moi de voir ses parents débarquer dans cette situation, je retirais ma main. À contre coeur, elle sortit de sous ses draps pendant que j'allumais la lampe de chevet pour y voir un peu plus clair. Je m'assis tranquillement sur le bord du lit pendant qu'elle se déshabillait.

Lorsqu'elle fut nue, je l'attrapais par les hanches pour l'approcher de moi jusque entre mes jambes, ses tibias contre le matelas. J'ai aussitôt introduit deux de mes doigts dans sa fente, presque jusqu'à la paume. Elle dut se retenir, à grande peine, de crier. Je commençais à masser l'intérieur de sa vulve tandis que la pulpe de mon pouce faisait rouler son clitoris. Mon visage était à la hauteur de ses petits seins et je ne résistais pas à l'envie de suçoter l'un des tétons dans ma bouche. J'entendais clairement qu'elle retenait des gémissements. L'intérieur de son intimité devint rapidement humide.

_ Tu vois, fis-je en retirant mes doigts mouillés et en les lui montrant, tu as beau essayé de te dérober, ton corps me montre ce que tu désires vraiment. Justement, j'ai pensé à toi cet après-midi.

Je laissais Morgane le temps de prendre mon sac et de fouiller à l'intérieur pour en sortir le premier jouet qu'elle regarda d'un air plus intrigué qu'apeuré.

_ C'est un oeuf vibrant, dis-je pour répondre à la question qu'elle n'osait pas poser, avec l'intensité contrôlable à distance par cette télécommande. La portée n'est pas très grande mais pour ce soir, ça suffira amplement.

Je pris le bras de la jeune fille et la jetais en travers du lit. Je me penchais sur elle et introduisit l'oeuf dans sa chatte. Je l'y maintenait d'une main recouvrant son sexe tandis qu'avec l'autre je lui montrais la télécommande.

_ On va commencer avec la moitié de la puissance.

Je poussais le bouton de commande et Morgane, surprise par cette nouvelle sensation, poussa un petit cri sonore. Je plaquais ma main, et la télécommande, sur sa bouche. Mon coeur venait de faire un bond. Je tendis l'oreille pendant plusieurs minutes pour guetter le moindre bruit mais je n'entendis rien. Apparemment, tous les autres dormaient profondément.

J'avais longtemps réfléchit au moyen d'opérer pour cette nuit. Il aurait été beaucoup moins dangereux que j'emmène Morgane jusqu'à ma chambre, plus loin des autres et la seule dont la porte ferme à clef, une attention de Michel et Clotilde pour préserver mon intimité. Là, elle aurait même pu crier toute la nuit sans que cela ne s'entende. Mais il fallait que ça se passe ici. Il fallait qu'elle comprenne que sa chambre n'était plus son endroit personnel et réservé. À partir du moment où elle m'appartenait, plus rien n'était à elle et elle ne pouvait se réfugier nul part. C'était risqué, mais si tout se passait bien, elle aurait franchit une étape importante dans sa soumission.

Je retirais la main de sa bouche. Maintenant que l'effet de surprise était passé, elle se contentait de respirer fortement. J'introduisis à nouveau deux doigts en elle entre lesquels j'attrapais l'oeuf. Je me mis à la masturber doucement tandis que mon pouce se remit à jouer avec son bouton d'amour.

Morgane commençait à répondre, malgré elle, à tous ces stimuli. Son corps se cambrait un peu au rythme de mes vas et viens et elle commençait à haleter vraiment. Moi, tout en la masturbant, j'avais posé la télécommande sur le côté et je caressais sa petite poitrine, la regardant prendre du plaisir. Je me penchais sur elle pour l'embrasser et ma langue s'introduisit sans rencontrer de résistance. Elle y répondit même, bien que trop mécaniquement.

Jouer avec le corps de Morgane m'amusait beaucoup mais je commençais à me sentir à l'étroit dans mon pantalon et il était tout à fait temps de passer à la phase suivante. D'un coup soudain, je retirais mes doigts et l'oeuf vibrant du sexe trempé. La jeune fille en poussa un gémissement de dépit en me regardant d'un air interrogateur et suppliant.

_ J'ai comme l'impression que ça te plaît ce petit jouet. Tu en veux encore?

Morgane savait que j'essayais de la manipuler. Elle jeta un coup d'oeil sur l'oeuf, brillant de ses sécrétions intimes, hésitant entre le plaisir qu'elle venait de ressentir et le fait de devoir se soumettre pour l'obtenir.

_ Alors? Tu es une petite chienne qui veut jouir avec l'oeuf ou pas?

Je posais le sex toy contre son clitoris et elle gémit à nouveau. Je le retirais encore avec un sourire narquois.

_ Réponds, on ne va pas y passer la nuit.

_ Oui..., souffla-t-elle, ... d'accord...

_ Je n'ai pas bien entendu. Tu devrais dire toute la phrase pour que je sois sûr de ton choix.

Elle hésita encore un peu, se demandant probablement jusqu'à qu'elle point elle pouvait aller sans trop s'engager. Elle ignorait qu'elle avait déjà passer le point de non retour en acceptant, même à demi-mots.

_ Je suis une petite chienne qui veut jouir avec l'oeuf.

Je posais le vibrateur sur son pubis et je le fis lentement diminuer d'intensité. Morgane m'observa pour savoir ce qui n'allait pas. Elle comprit rapidement.

_ Je suis une petite chienne qui veut jouir avec l'oeuf, Maître.

_ Voilà qui est mieux.

Je me redressais en position assise sur le bord du lit et arrêtais complètement le sex toy.

_ Tu vas me sucer et si tu le fais correctement, je te laisserais jouer avec l'oeuf. Tu n'as pas le droit de te caresser en attendant.

Morgane fut inquiète, ne sachant pas si je l'attirais vers un nouveau piège ou non. Elle savait qu'elle n'était pas très douée en fellation et craignait de ne jamais obtenir sa récompense. Néanmoins, résolue, elle s'agenouilla sur le sol face à moi et ouvrit mon pantalon avec des gestes fébriles et incertains. Une fois ma verge à l'air elle commença par lécher timidement le contour du gland puis, se rendant compte que ce n'est pas comme ça qu'elle gagnerait quoi que ce soit, elle l'introduisit dans sa bouche.

Sa pratique était toujours hésitante. Elle mit quelques secondes avant de se souvenir de ce que je lui avais dit ce matin et de commencer à sucer un peu plus correctement. Je la laissais faire un peu puis je passais à la suite de mon plan.

_ C'est pas trop mal. Je t'autorise à te caresser avec une main. Avec l'autre, tu vas me branler tout en continuant à sucer.

Je devais veiller à ce que son excitation ne retombe pas pendant ce qui s'annonçait comme une pipe laborieuse, ce serait obligatoire pour la suite. Puisqu'elle ne l'avait jamais fait, je dû guider sa main sur ma verge pour coordonner les efforts de celle-ci avec sa bouche. Son autre main, en revanche, n'eut besoin d'aucune aide. Lorsque je sentis qu'elle n'avait plus besoin d'aide, je la laissais faire.

Face à moi se trouvait une commode avec un miroir et je pouvais y voir à loisirs la caresse que se procurait Morgane. Elle se contentait de masser son bouton d'amour, ne se pénétrant pas ou très peu, avec le bout d'un doigt pour caresser son clitoris de l'intérieur. Elle était encore timide, mais cela changerait bientôt.

Je jouais avec l'oeuf entre mes doigts, juste sous le regard envieux de Morgane qui fixait l'objet sans plus se soucier du reste. Je décidais de mettre fin à son supplice.

_ Bon, c'est pas trop mal, petite pute. Tu peux t'amuser avec l'oeuf, toujours en continuant de me sucer. Je vais garder la télécommande

Les yeux de l'adolescente s'agrandirent de contentement. Elle se retenait à grande peine de sourire, essayant vainement de ne pas me faire voir que j'avais encore augmenté mon emprise sur elle. Elle s'empara du sex toy et fut dépitée de voir qu'il ne fonctionnait pas.

_ Tu oublies tes manières, salope. Je te donne un jouet et tu le prends sans rien me dire.

_ Pardon... merci, maître.

_ Un peu tard. Pour la peine je ne te donne que la moitié de la puissance. Tu as intérêt à t'appliquer sur ma bite si tu veux que je l'augmente.

Morgane baissa les yeux et reprit son ersatz de fellation tout en plaquant l'oeuf sur son clitoris. Dans le miroir, je la vis pratiquer des caresses plutôt expertes qui en disaient long sur son expérience dans l'art de se donner du plaisir. Cela allait me faciliter la tâche, elle associerait plus facilement le plaisir à la soumission, sans s'en rendre compte.

Et je profitais finalement de son savoir faire car, sans y faire attention, plus le plaisir montait en elle plus elle s'activait en conséquence sur ma queue. Ce qui avait commencé comme une pipe timide devint épique lorsqu'elle commença à se pénétrer avec le sex toy. Pour la peine, je poussais la puissance au maximum et je pouvais entendre ses gémissements étouffés par mon pieu. Au bout d'un moment, je sentais que ma jouissance montait finalement peu à peu. Il était temps d'entrer dans la phase finale.

D'un coup brusque, j'arrêtais l'oeuf. Morgane, emportée dans son élan, ne s'en rendit pas compte tout de suite. Elle me jeta un regard surprit, persuadée d'avoir mérité d'aller jusqu'au bout de son plaisir.

_ Frustrée ma salope? Pourtant je t'autorise à jouir. Seulement tu devras le faire avec ce que tu as devant les yeux et rien d'autre.

La jeune fille regardait mon engin avec une certaine crainte, partagée entre son excitation démesurée et son habituelle envie d'essayer de me résister. Je me penchais sur elle pour prendre son poignet et lui retirer l'oeuf qu'elle refusait encore de sortir de sa chatte. Puis je fouillais encore dans le sac à la recherche d'un autre instrument. Morgane me regardait avec une certaine appréhension sortir un bâillon-boule.

_ Avec ça, tu pourras te laisser aller à crier de tout ton saoul sans avoir peur d'être entendue.

L'objet était un tel symbole de soumission que la jeune fille recula franchement lorsque je l'approchais de son visage. Je fis semblant d'être lassé en soupirant.

_ Ecoute, je ne te le dirai qu'une fois. Je te ferai crier cette nuit. Alors ou tu mets le bâillon sans résistance comme une bonne petite fille, ou je te le mets de force. Est-ce qu'il est besoin de préciser que tu n'apprécieras pas du tout la deuxième solution.

J'attrape sa tête par l'arrière d'une main et enfourne la balle dans sa bouche de l'autre. Elle émet un faible gémissement de protestation mais se laisse faire, sachant pertinemment que j'aurai gain de cause tôt ou tard. Je me dépêche de serrer la lanière puis je la prend par la taille, la soulève et la pose face à moi sur mes cuisses. Tout en lui caressant les fesses, je la rapproche de moi jusqu'à ce que nos ventres aient enfermés mon membre entre nos chairs.

Doucement, je lèche la partie de la balle qui sort de ses lèvres, puis je remonte le long de la lanière jusqu'à son oreille que je mordille un peu avant de lui susurrer :

_ Maintenant prends ton plaisir. Fais-le toute seule comme une grande. Et ne me fais pas croire que tu n'en as pas envie après ce que j'ai vu. Allez!

Ma dernière injonction rappela à Morgane que, si je la laissais faire à son envie, je gardais néanmoins un certain contrôle sur ce qui se passait. Et que désobéir serait une faute impardonnable. Elle s'agrippa donc à mes épaules et souleva ses hanches tandis que je malaxais ses petits seins. Elle hésita un instant lorsque mon gland se frotta à l'entrée de sa chatte, mais un léger pincement de ses tétons la rappela à l'ordre et elle saisit mon chibre pour le positionner correctement avant de se laisser descendre doucement.

Morgane ne fit glisser que la moitié de mon pieu dans son ventre étroit avant de commencer à lentement monter et descendre dessus, se refusant à aller plus bas, tant par fierté personnelle que parce que son sexe n'en supportait pas encore d'avantage sans ressentir de douleur.

Tandis qu'elle poussait des gémissements étouffés par le bâillon, je me laisse aller en arrière pour profiter pleinement du spectacle de ce corps de nymphette remuant sur ma queue. Peu à peu, je sentis que le plaisir de la jeune fille remontait en flèche. Elle arrivait au bout de son premier véritable orgasme. Mais j'avais encore mon mot à dire.

À un moment où elle s'abaissait sur moi, je donnais un coup de rein vers le haut et ma bite la pénétra enfin entièrement. Morgane poussa un cri de surprise et de douleur mêlées. Je la pris par les hanches.

_ Tu t'es assez amusée toute seule. Continue mais cette fois-ci, pense aussi à moi et va jusqu'au bout, compris?

L'adolescente fut confuse quelques instants. Son plaisir lui commandait de m'obéir mais ses dernières défenses l'empêchaient encore de se laisser aller à supporter la douleur jusqu'à la jouissance. Elle commença à remuer lentement des hanches en serrant les dents.

_ Plus vite!

Je lui donnais une claque sur les fesses, lui montrant que la douleur pouvait être administrée d'une autre manière. Elle se décida alors à s'activer plus rapidement, ses yeux plissés par l'effort et poussant de petits cris étouffés. Mes mains tenaient fermement sa taille et je la poussais à augmenter la cadence peu à peu jusqu'à ce qu'elle danse frénétiquement sur mon ventre. Sa peau luisait de sueur et sa tête tombait en arrière tandis qu'elle s'abandonnait totalement à un rythme des plus violents.

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