La soumission de Kellie Pt. 03

Informations sur Récit
Kellie entre dans le business.
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Partie 3 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/24/2017
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Un matin, un colis arriva à l'agence à son attention personnelle. Elle l'ouvrit. Il contenait des vêtements : une jupe très courte, un haut très fin et des chaussures à talons plutôt hauts. Un vrai déguisement. Un petit sachet avec un fard à paupières et un bâton de rouge à lèvres et au fond de la boîte ce petit mot.

« Une pute doit s'habiller comme une pute. Mets ces fringues, maquille-toi et viens ce soir 27 rue Mozart à 19H30 sans faute ».

Kellie s'exécuta. Après son travail, elle se changea discrètement au bureau après le départ de tout le monde. Elle n'a pas l'habitude des talons et la jupe est vraiment très courte, juste quelques centimètres en dessous de l'aine. Elle passa le petit haut sans manches. Trop étroit pour elle, elle dû retirer son soutien-gorge. Mais même comme cela, il lui comprimait le buste et elle dû défaire encore un bouton avec pour effet de faire encore plus ressortir sa poitrine. Une pute : c'est bien ce à quoi elle ressemblait attifée ainsi. Elle se sentait presque nue. Elle joua le jeu quand même, se dirigea ainsi vers sa voiture. Au passage, elle baissa la tête en croisant un groupe de personnes qui la dévisageaient. La tenue faisait son effet. La honte l'envahissait.

L'adresse se trouvait être une rue dans la cité. Une sorte de centre commercial a moitié désaffecté avec des locaux associatifs. Kellie connaissait l'endroit au moins de réputation. C'est un des carrefours de prostitution de la ville. Elle arriva sur place à l'heure dite. Khelifa, El Hadji étaient là. Ils étaient accompagnés d'un groupe de filles blacks et beurettes très courts vêtues. Kellie comprit de suite ce qu'il l'attendait. Khelifa et El Hadji furent ravis de la voir et même un peu surpris. Après de rapides présentations Khelifa ordonna à chaque fille de se poster à un coin de la rue. Soumise, humiliée, Kellie obéi. Elle se retrouva à ce feu rouge en plein vent, entre les insultes des gamins de la cité qui passaient et le regard mauvais des autres filles pas très ravies de voir débarquer cette blanche sur leur terrain. À côté, Khelifa et El Hadji devaient déjà monnayer ses services en connaissance de cause. Elle est bien loin la petite banquière sage.

Kellie eu tout de suite énormément de succès. Beaucoup d'hommes se pressaient autour d'elle la dévisageant comme une marchandise. Khelifa et El Hadji dépassés par la demande furent contraints de faire une sélection draconienne. A leur grand bonheur, les prix montaient très vite et très haut. Kellie eut vite fait à elle seule de leur rapporter autant que les autres filles réunies. Toutefois, elle leur demandait une attention de tous les instants. Une voiture aurait vite fait de l'embarquer et utiliser les services de Kellie sans passer à la caisse.

Aussi décidèrent-ils de ne pas la laisser trop longtemps sur le trottoir. Juste de temps de la montrer. Après quoi ils l'emmèneraient dans un endroit plus cossu ou ils pourraient demander le prix fort.

Ce soir-là, Kellie fit quand même une passe. Un maghrébin de l'âge de son père. Peut-être plus riche ou plus motivé que les autres, il claqua une petite fortune pour se faire faire une fellation. Kellie s'exécuta sur la banquette arrière d'une voiture. Le type fantasmait littéralement sur les petites blanches aux lèvres charnues. Sans aucune expérience dans le domaine, Kellie le lima du mieux qu'elle pût. Elle n'en tira aucun plaisir, la laideur et la forte odeur de son client l'incommodaient. Heureusement, le supplice ne dura que quelques minutes, le type joui très rapidement. Khelifa la libéra juste après. Elle put rentrer chez elle prendre une bonne douche et se laver des attouchements de ce sale type.

Dès le lendemain le manège recommença. D'abord un mail de Khelifa avec des menaces. Puis, l'ordre de remettre ses vêtements de travail et de se rendre sur le trottoir.

Kellie obéi consciencieusement. Elle arriva à l'heure sur la place. Comme la veille, Khelifa la plaça au coin de la rue bien en vue afin que tout le monde puisse la voir. Cependant, cette fois, il fut interrompu et du s'absenter pour régler une autre affaire laissant Kellie sans surveillance.

La conséquence fut immédiate. Un grand black s'approcha d'elle en la dévisageant de bas en haut. Il l'observa quelques minutes là, juste à quelques mètres. Kellie était gênée. Elle sentait que ce type ne se contenterait pas de la regarder. Il portait un bas de jogging et il était aisé de voir l'effet que lui produisait Kellie. Ne voyait personne d'autre, le black se décida. Il attrapa brutalement Kellie, la saisi par les hanches, la souleva et la posa sur le capot d'une voiture. Elle protesta et appela, en vain. Le black la viola directement sur la voiture en pleine rue devant tout le monde. Il baissa son pantalon, laissant jaillir son pénis en pleine érection. Les autres filles ne bronchaient pas plutôt ravies de voir cette encombrante rivale en fâcheuse posture. L'acte sexuel fut aussi rapide d'intense. Jambes écartées, Kellie fut pénétrée par ce qui lui sembla être un pieu. Définitivement persuadée que la taille des queues blacks n'est pas une légende. Le type ne fit que quelques va et viens avant de jouir profondément en elle. Il ne devait pas l'avoir fait depuis un moment tant la quantité de foutre qu'il libéra fut conséquente.

Quand Khelifa revint, Il trouva Kellie sur le sol entre deux voitures jupe relevée et dégoulinante. Elle récupérait de ce violent assaut et pleurait. Contre toute attente, il prit soin d'elle. La releva et l'aida à marcher. Elle coulait tellement de l'entre jambes que ça la génait pour marcher. Elle pleurait d'avoir été humiliée de cette façon. Il l'accompagna chez lui sous les insultes et les crachats des autres filles.

Kellie était trop bien pour le trottoir. Ce fut son dernier soir. Khelifa décida de la garder pour lui. Cette gamine lui plaisait beaucoup et il éprouvait même des sentiments pour elle. Ce soir-là, ils se parlèrent réellement pour la première fois. Plus personne d'autre que lui ne la toucherait désormais. Kellie s'était toutefois plu dans son rôle de pute. Celui de se dévoiler aux hommes, de les rendre fous de désir mais n'aimait pas être prise pour une esclave sexuelle.

Depuis, à la banque, son attitude et ses tenues ont changés. De petite employée transparente elle est devenue la bimbo de la boîte déclenchant ainsi des promotions qu'elle aurait mis plusieurs années à obtenir sur son seul mérite. Elle dut bien sûr, céder aux faveurs de plusieurs cadres mais cela l'amusa. Des hommes dans la cinquantaine convaincus que leur pouvoir leur autorisait tout. Finalement assez inoffensifs. Ils n'avaient ni la puissance ni l'endurance de Khelifa ou El Hadji. Khelifa justement l'installa chez lui. Il la réserva plus qu'à des soirées privées pendant lesquelles de riches patrons africains et moyen orientaux faisaient les affaires. Elle et quelques autres filles triées sur le volet faisaient le service en petite tenue. Kellie s'est toutefois coupée de ses parents après s'être installée chez Khelifa. Comme prévu ils n'ont pas acceptés de la voir avec lui. Et encore, ils ne connaissent pas toute l'histoire. Même Leïla, la fidèle copine s'éloigna. Peu importe, Kellie s'affirmait. Khelifa la laissa même prendre place dans son business. Elle ambitionne maintenant de développer le service aux hommes d'affaires africains. Elle a bien compris leur fantasme sur les jeunes filles blanches et à décider d'en profiter. Elle recrute maintenant des jeunes filles issues de son milieu dans ce but. Nul doute qu'elle y parviendra.

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1 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a plus de 6 ans
Mon Dieu! Elle doit souffrir!

Pourquoi imaginer une chute dans la prostitution forcée? Je ne suis pas d'accord de lire qu'elle y prend du plaisir même pour l'amour de Khelifa, gros membre et endurant, seules choses pour la faire monter, rayonner et exploser au septième ciel.

Tous les noirs ne sont pas "automatiquement" montés comme des chevaux. Mais çà arrive et leur rencontre mène à des extases "mortelles". Merci pour ce récit. Bises.

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