La soumission de Kellie Pt. 02

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Kellie s'offre à son amant à domicile
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/24/2017
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Kellie avait également attendu le soir du rendez-vous. Khelifa l'avait effectivement appelé quelques heures avant l'avertissement de Leila. Au téléphone sa voix était aussi envoûtante que son physique. Ils avaient convenus de se retrouver à la sortie de son travail. Elle lui avait transmis un plan par mail pour qu'il trouve facilement l'endroit. Mon Dieu... mon mail pensa-t-elle. C'est comme ça qu'il l'a eu.

L'heure venue, tous ses collègues partirent les uns après les autres, la zone se vida, elle resta seule à attendre sur le parking, le soir tombait. Au bout d'une demi-heure, elle décida à son tour de partir. Le gars lui avait manifestement posé un lapin. Elle y avait pourtant cru. Petit maquillage soft, chemisier échancré, pantalon de toile et bottes montantes. Elle avait hésité avec une jupe mais, elle n'a pas l'habitude d'en porter et du reste n'en possède pas de suffisamment sexy. Tout juste avait-elle soigné sa lingerie au cas où...Ce Khelifa la captivait terriblement. Il se dégageait de lui une puissance quasi animale. Ce doit être un sacré coup pensai-t-elle innocemment.

Elle en avait assez d'être draguée par des blondinets premiers de la classe, des types qui lui ressemblaient trop. Des prétentieux qui parlaient beaucoup mais s'avéraient finalement assez inoffensifs où bien des gendres idéaux qui auraient plu à ses parents mais à la personnalité bien lisse. Elle voulait autre chose. Khelifa avait éveillé en elle ses fantasmes les plus inavouables. Elle, la petite fille sage rêvait d'être prise comme une chienne par un homme, un vrai. Nul doute que ce Khelifa saurait la contenter. En même temps, cela ne serait que l'aventure d'un soir. Une relation avec ce beau black lui attireraient les foudres de ses parents et la désapprobation de tout son milieu. Une jolie blonde des beaux quartiers avec une racaille des cités : c'est inconcevable. Expérimenter le goût de l'interdit l'excitait. Et cela l'excitait encore plus depuis que Leila lui ai parlé de la réputation de gangster de Khelifa.

Elle se dirigea un peu déçue vers sa voiture. Elle aperçue bien entre deux voitures, un homme black consulter son portable et crut reconnaitre la silhouette de Khelifa. Elle s'arrêta de marcher un instant mais l'homme disparu dans la pénombre. Elle s'approcha de sa voiture. Au moment où elle mit sa main dans son sac pour y sortir ses clés, une main ferme lui ceintura fermement le bassin tandis qu'une autre lui couvrit la bouche. Elle distingua un avant-bras noir. C'est Khelifa! Elle et ne se débattit pas. L'homme respirait fort et colla sa bouche sur son oreille.

--Ça fait un moment que je t'observe toi! t'es bonne petite salope. Tu vas goutter à mon dard!

Kellie n'en revenait pas. Son fantasme se réalisait. C'est comme si ce pervers avait lu en elle. Cependant, la voix n'était pas celle de Khelifa alors elle décida de se défendre un peu. Elle agita bras et jambes pour se sortir de l'étreinte de son attaquant. En vain. L'homme resserra ses bras, la souleva et la plaqua violemment sur le capot d'une voiture. Surprise, sa tête heurta le métal froid et comme assommée elle cessa toute résistance. Ce simulacre d'agression l'amusait déjà beaucoup moins. Le vicieux en profita pour la peloter. Il passa ses épaisses mains sous ses vêtements et la caressa. Aucun homme ne l'avait jamais touchée ainsi. Sa poitrine, son ventre, son corps entier en frissonnaient. Il se colla à elle, sa respiration forte empestait, et ce truc dur qui frottait sa jambe... Il bandait comme un âne. Puis d'un geste sec, il lui baissa sur pantalon et lui arracha sa frêle petite culotte d'une main tout en la maintenant plaquée contre le capot avec son autre main sur le dos. Pliée en deux sur la voiture, maintenue fermement, Kellie était à la merci de son agresseur.

--T'as un beau petit cul salope! lui dit-elle avant de lui assener une série de gifles sur les fesses.

--Non... arrêtez! hurla Kellie. Faites ce que vous voulez mais ne me faites pas de mal!

--Je veux te la mettre bien profond salope! t'es trop bonne.

La suite apparaît sur la vidéo. C'est ainsi que Kellie découvrit le visage de son violeur. Mais surtout que son agression fut soigneusement mise en scène et filmée. La douleur des coups n'était à côté de celle de la pénétration. Elle se sentie comme découpée en deux et hurla tout ce qu'elle savait. Elle crut être empalée par un objet dur. La vidéo lui montra que ce n'était que la bitte circoncise de son assaillant. Elle supplia et hurla espérant l'intervention de quelqu'un. Mais rien ne se passa. Pour autant, la brutalité et la soudaineté de l'événement l'avaient excité. Passée la douleur, elle avait même éprouvé un certain plaisir à sentir coulisser cet épais piston dans son anus. Sur la vidéo, les cris qu'elle poussait révélaient son orgasme.

Sans un mot, l'affaire faite, l'homme se retira et disparu dans les rangées de voitures laissant Kellie s'effondrer sur le sol. Il lui fallut plusieurs minutes pour récupérer. Cette sodomie sauvage l'avait épuisée. Elle se releva puis remisa ses vêtements. La nuit commençait à tomber et elle n'y voyait rien. Par chance, elle retrouva ses lunettes sous un pneu. Elles avaient volé dans le feu de l'action mais étaient intactes. Elle regagna sa voiture en boitant. Elle dégoulinait de l'entre jambes, et ressentait une douleur aiguë. Ce porc lui avait carrément déchiré l'anus avant de l'inonder.

A son volant, elle prit quelques minutes encore pour réfléchir. Khelifa était le seul à savoir où elle se trouvait. Il était forcément dans le coup. Elle repensa à l'avertissement de Leila. Il l'avait probablement espionné et connaissait tout d'elle. Elle était prise au piège. Plus tard, la vue de la vidéo lui confirma que ce n'est pas lui qui avait abusé d'elle. En revanche il était bien dans le coup et c'est très probablement lui qui avait filmé et lui avait envoyé ce message.

Kellie vit encore chez ses parents dans un pavillon de banlieue assez chic. Nue au fond de son lit, entourée de ses objets familiers, elle ressassa encore ces évènements. Elle crut s'endormir enfin, quand soudain une puissante main lui couvrit la bouche. Il était là....

Reprenant ses esprits, cette fois c'est bien le visage de Khelifa qui apparut au-dessus d'elle. Il était entré sans bruit et devait l'observer depuis déjà quelques minutes. C'est lui qui lui maintenait la bouche fermée. Il lui fit juste un chut en posant son index sur la bouche. Déjà déshabillé, il souleva alors la couette et se lova près de Kellie. Il la caressa doucement et l'embrassa même. Ses gestes étaient aussi doux et tendres que ceux d'El Hadji avaient été brutaux la veille. Vue l'étroitesse du lit, ils se serraient l'un contre l'autre pour ne pas en tomber. Pendant de longues minutes, Khelifa la caressa. Il embrassa ses seins, mordilla ses mamelons et lui offrit un cunnilingus de folie. Kellie luttait pour ne pas hurler de plaisir mais la jouissance était sans pareil et elle mouillait abondamment. Enfin, Khelifa se positionna au-dessus d'elle. Elle écarta les jambes, conquise. L'épais gland de son conquérant fougea quelques instants le long de sa vulve humide. Puis il s'enfonça doucement au plus profond de son intimité.

L'énorme pénis de Khelifa glissa lentement dans son con puis de plus en plus vite. Kellie attrapa un oreiller pour étouffer ses cris. Cela aurait vite fait de réveiller toute la maison. Elle voulait que cette sensation merveilleuse ne s'arrête plus. Relâchant l'oreiller, elle enfoui sa tête dans les épaules de son amant. Elle senti l'odeur forte de sa peau et entendit au plus près ses ahanements.

Kellie ne put retenir un cri de jouissance. Elle l'asphyxia comme elle put en collant sa bouche sur l'épaule de son fornicateur. Celui-ci éjacula à ce moment l'inondant par de généreux jets saccadés.

À peine terminé, le souffle encore court, il sorti du lit sans un mot. Comme la veille, il fallut de longues minutes à Kellie pour se remettre de cet assaut. La maison était toujours calme. Par chance, personne n'avait entendu leurs ébats. Violée à domicile, dans son propre lit, oui mais cette fois bien consentante. Dans un geste désespéré, elle supplia même Khelifa de rester avec elle encore un peu. Mais dès qu'il fut rhabillé, il disparut par la fenêtre.

Plusieurs jours s'écoulèrent sans aucune nouvelle. Kellie reprit son train-train quotidien. À part une visite à la pharmacie pour acheter une pilule du lendemain. Elle avait reçu une telle quantité de sperme qu'il est évident qu'elle avait été fécondée. Elle continua même à se garer dans le parking sombre. Elle ne dit rien de l'aventure à son amie Leila surtout pour ne pas entendre ses reproches. Elle tenta bien de le recontacter par téléphone et mail mais sans succès.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnicetteAnicetteil y a plus de 6 ans
Passionnante intrigue.

Ah le fantasme du black qui force et nous fait jouir un orgasme indicible! Combien de fois on y a pensé, soit après une danse avec un jeune africain noir, soit en se faisant peur seule dans la nuit. Même à 50 ans, dans les thés dansants, on rencontre des beaux et jeunes blacks, polis, propres, empressés, galants...Et bien dotés par la nature. Cette histoire me rappelle des choses, mais je n'ose pas pour l'instant soumettre mon récit. J'aime l'aventure ,très bien écrite, de Kellie Bises.

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