La Soubrette

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Une soubrette très serviable.
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romane
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Les examens de fin d'année approchaient. Une amie de classe m'a invité à venir réviser avec elle durant un week-end. Elle était rejetée par toutes les filles parce qu'elle avait eu la chance d'être bien née. Cela ne me dérangeait pas du tout pour ma part.


C'était la première fois que j'allais chez elle. Je fus accueillis par une mignonne petite soubrette brune. Je fus surprise en voyant sa tenu. La seule fois où j'avais vu une telle robe , c'était sur un site Internet proposant des tenus sexy. Elle était noire, comme une robe de soubrette en général, avec de la dentelle au couture externe.

Le décolleté dévoilait une poitrine généreuse. La robe s'arrêtait à la naissance de ses fesses dévoilant ses superbes longues jambes.

Je la suivais à sa demande. Je ne pouvais détacher mes yeux de la naissance de ses fesses. Elle ne pouvait avoir que deux choix avec cette robe : ne rien porter dessous, ou bien un string ficelle. Il n'y avait pas d'autre alternative.

La belle répondait au doux nom de Bénédicte.

Mon amie et moi passâmes la journée dans nos révisions.

Le soir, on dîna tous ensemble au salon. Je revis enfin Bénédicte. Je fis connaissance de la mère, magnifique blonde d'origine slave, au corps mince et bien foutu. Le père était plus bedonnant mais fort sympathique.

Bénédicte assurait le service. Parfois elle attendait les ordres en restant à gauche de sa patronne. Je ne le vis pas tout de suite. Quand Bénédicte se plaçait près de la maîtresse de maison, cette dernière glissait sa main sous la robe de la jeune fille et lui caressait les fesses. Rien sur le visage de la soubrette ne laissait transparaître l'émotion qu'elle devait avoir. Moi, je gémirais tout de suite sous une telle attention.

Ce manège dura pendant tout le repas ce qui m'émoustilla un peu.

Le mari prit congé car il avait un travail important à faire au bureau. Mon amie me chuchota qu'il allait rejoindre sa maîtresse. La situation me sembla un peu bizarre. Visiblement, si la fille savait que son père avait une maîtresse, la mère le savait forcément. Bizarre.

On passa au salon afin de prendre un tisane. On s'installa, mon amie et moi dans le canapé et sa mère dans un fauteuil. Bénédicte nous servit nos tisane, sans plier les genoux offrant la vu de son postérieur à la maîtresse de maison. Celle-ci ne manqua pas de profiter d'une telle offrande.

-Je vous laisse les filles, je vais me coucher. » dit elle une fois la tisane finit. « Bénédicte, vous m'accompagnez? »

-Oui Madame. »

Je les vis partir, la main de la patronne à nouveau sur le postérieur de la jeune fille. Je continuais à me poser la question : string ou pas string?

Mon amie alla se coucher à son tour me disant de prendre la chambre d'amie. Je restais donc seule à méditer sur les relations entre la mère de ma copine et la jeune soubrette. J'étais très excitée par ce que j'avais vu durant la soirée.

Je décidais alors d'aller me coucher à mon tour afin de calmer la tension que j'éprouvais.

J'arrivais dans le couloir menant aux chambres. Mon amie avait oublié de me montrer la chambre d'amie et Bénédicte devait être couchée maintenant. Quelle porte était la chambre d'ami?

Pourquoi ne pas prendre une bonne douche afin de calmer mes ardeurs.

J'ouvris la porte de la salle de bain et je fus surprise par ce que je trouvais. La mère de mon amie était dans la baignoire et se faisait laver par la ravissante soubrette. Celle-ci était penchée sur la baignoire et j'eus enfin ma réponse : string. Quel cul magnifique! La maîtresse de maison gémissait sous l'attention de la jeune fille. Bénédicte passait et repassait sur le minou de la femme qui se pinçait les téton sous les assaut du plaisir. Elle se mit deux doigts dans la bouche et les donna à sucer ensuite à la soubrette. Elle les suça avec plaisir le recouvrant de sa salive. La femme vint l'embrasser sur la bouche. C'était un baiser tendre et affectueux.

Je me mis dans un coin attendant la suite.

La mère de mon amie se mit à quatre patte dans la baignoire et se caressant l'intimité elle regarda la soubrette avec un regard d'invitation. Bénédicte se déshabilla et entra dans la baignoire derrière sa maîtresse. Elle avait des seins superbes à faire envie de nombreuse femmes. Elle portait une petite chaîne autour de la taille. On voyait la marque de son maillot de bain. Elle cracha de la salive sur la chatte de sa maîtresse et se mit à lécher ses fesses se rapprochant petit à petit de sa vulve. La femme émit un râle plus fort lorsque la jeune fille posa sa bouche sur son intimité. La soubrette lécha alors les chair humide et l'anus de la femme qui gémissait de plus belle.

Je réussis à m'emparer du string qui gisait à terre et le portant à mon nez, reniflais les odeurs intime de la jeune fille. C'était divin. Je glissais une main dans mon pantalon et me caressait en les regardant.

Bénédicte léchait maintenant l'anus de la femme avec ferveur. Elle la branlait également de deux doigts.

Elles se mirent alors chacune dans un coin de la baignoire et la femme prit le pied de Bénédicte et lécha les doigts et y déposant une abondante salive.. La soubrette devait caresser l'intimité de sa patronne à l'aide de son autre pied.

J'avais une folle envie d'aller embrasser les seins de Bénédicte.

La femme s'assit alors au bord de la baignoire et la soubrette vint entre ses cuisses ouvertes. Elle lécha et suça la chatte de la femme. Elle aspirait de temps en temps les lèvres juteuses afin de faire sortir le petit clitoris. Après avoir bien lubrifié sa patronne elle glissa deux doigts en elle.

-Ho oui vas y… Branle moi… Humm c'est bon… »

Le corps de la femme tangua de plus en plus et elle jouit dans la bouche de Bénédicte qui la but avidement. Elle passa sa langue autour des lèvres de la femme, nettoyant les dernières goutte de liqueur et remonta le long du corps, léchant les tétons au passage. Elle offrit alors le résultat de son travail dans la bouche de sa patronne. Le baiser fut plus tumultueux cette fois ci.

-Merci Bénédicte, vous êtes une perle. Je suis heureuse de vous avoir à mon service. »

-Moi aussi madame » dit elle en souriant.

-Allez ma petite Bénédicte, c'est à votre tour maintenant. »

-Oui madame. »

Elle s'assit à son tour sur le bord de la baignoire et sa patronne vint lui rendre hommage à son tour, léchant, suçant un pubis aussi glabre que le sien.

Le spectacle fut tout aussi beau. Elle la suça et la branla. J'entendais enfin les râle de plaisir de la belle Bénédicte. Elle eut son orgasme à son tour. Elles échangèrent à nouveau un baiser passionné. La patronne attira le jeune fille dans ses bras et elles s'allongèrent dans la baignoire.

Je quittais discrètement la salle de bain, apportant le string de la soubrette. Je trouvais une chambre vide et me jetais sur le lit sur le lit en proie à une frénésie sexuelle. Je portait le string à mon nez et me masturbais violemment. J'eus mon enfin mon orgasme. Je sombrais dans le sommeil.

Dans mon rêve, j'étais allongée sur un lit, les jambes écartées, la main frottant énergiquement mon intimité. Devant moi se trouvait la mère de mon amie, à quatre patte, qui me regardait en souriant entre deux râles, le corps ballotté en cadence. Derrière elle, se tenait Bénédicte, à genoux et prenant sa maîtresse à l'aide d'un godemiché noir attaché à sa taille. Elle aussi me souriait. C'était d'une luxure extrême. La femme jouit encore une fois ainsi que moi.

Est ce que je rêvais vraiment? Je sentis une langue mutine nettoyer ma liqueur sur mon minou. Ce fut la fin de mon rêve.

Je fus réveillée par une tenture que l'on ouvre. Le soleil printanier inonda la chambre où je me trouvais. J'ouvris les yeux et vis Bénédicte souriante. Elle portait à nouveau sa tenu de soubrette. Elle regarda ma main droite.

-Je crois que ceci est à moi? » dit elle dans son beau sourire.

Je regardais ma main et constatais que je tenais toujours son string.

-Vous pouvez le garder si cela vous en dit. J'espère surtout que le spectacle vous a plut? »

Je fermais les yeux en signe d'assentiment. Elle sourit et m'embrassa à nouveau sur le front.

-Cela me convient. Madame et mademoiselle vous attendes pour le petit déjeuné. »

Douce Bénédicte, j'aimerais tant goûter à ton fruit défendu. Instinctivement, je levais une main et caressais ses fesses nue sous la robe. Quelle douceur. Elle gloussa et quitta la pièce.

Je me remémorais ce que j'avais vécu dans la nuit, surtout ce rêve étrange.

Rêve?

En me levant, je découvris sur la table de nuit le godemichés noir de mon rêve. La ceinture gisait à côté de lui.

Un rêve vous dites.

romane
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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 19 ans
Romane, c'est une histoire adorable

Malgré la fatigue après la lecture de la docteresse, je n'ai pas résisté à sucer (viruellement) les calices inondés des héroines. Quelle puissance évocatrice dans ces nouvelles! La main qui remonte le long des cuisses, c'est fabuleux! Merci encore. Peut-être d'autes nouvelles avec dames très mûres découvrant les ceintures vibrantes?

Bisoux et câlins.

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