La Saga du Cocu Chapitre 07

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Flavie est définitivement accroc.
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Partie 7 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 04/10/2018
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Il ne fallut pas longtemps à Solène pour comprendre ce qui se passait. Flavie devenait plus distante envers elle mais aussi envers l'ensemble des collègues. Elle convoquait très régulièrement Cheikh à l'agence pour diverses raisons. Puis, ils s'enfermaient dans le bureau pendant de longues minutes rien qu'eux deux. D'habitude, Solène était toujours conviée aux entretiens, même en tant qu'observatrice.

La révélation eut lieu un après midi. Solène se sentait comme mise à l'écart. Elle craignait avoir perdu la confiance de Flavie et ne comprenait pas pourquoi et voulut éclaircir la situation. Elle frappa à la porte du bureau de Flavie puis entra sans attendre la réponse comme elle le faisait si souvent.

La scène qu'elle découvrit la stupéfia :

Cheikh était assis dans le siège du bureau, la tête en arrière bouche ouverte. A ses pieds, Flavie était à genoux. Sa toison blonde effleurait à peine de la table de travail. Il n'y avait aucun doute sur ce qu'elle était en train de pratiquer.

Cheikh se tourna vers la porte et sourit à Solène. Puis d'un coup tressauta comme surpris après coup. Pour autant, Il n'essaya pas d'esquiver un mouvement ou de se cacher. Au contraire, il attrapa la tête de Flavie dans ses mains pour l'encourager à continuer la fellation. Plusieurs secondes passèrent encore avant qu'il poussa plusieurs cris de soulagement signes de sa jouissance. Haletant et souriant il se tourna vers sa visiteuse qui était restée paralysée dans l'entrée. Flavie se releva à son tour. Décoiffée, Le chemisier défait et surtout le visage couvert de sperme. A peine étonnée d'avoir été surprise en pleine action, elle déglutit, s'essuya le visage puis les doigts consciencieusement pour ne pas perdre une seule goute de la précieuse semence.

Flavie n'était pas du tout gênée d'avoir été surprise en pleine action. Elle sourit à Solène, se releva, rechaussa ses escarpins à talons et reboutonna son chemisier très lentement.

— Je suis désolée lui dit-elle.

— J'en avais trop envie! t'as vu comme il est canon.

Cheikh se releva à son tour ne cachait rien de son anatomie et reboutonna son pantalon sans dire un mot. Un sourire béat éclairait son visage.

— Mais... qu'est-ce que vous faites? questionna Solène en rougissant.

— Entre et ferme la porte!

Cheikh Compris qu'une explication s'imposait entre les deux collègues et décida de les laisser seules. Il embrassa Flavie avant de se retirer de la pièce.

— Au revoir mon chéri, lui glissa-t-elle.

— A bientôt ma puce!

Flavie s'approcha alors de Solène et lui raconta toute l'histoire. De la façon dont Cheikh l'avait séduite jusqu'à leurs ébats torrides encore secrets aujourd'hui. Solène était choquée. Flavie était son modèle. Elle ne saisit pas de suite ce qu'elle faisait avec Cheikh, cela la dépassait. Cependant, à force d'explication Flavie réussi à l'amadouer. Solène lui admit alors sa compréhension et lui promit même de ne rien révéler à personne.

— Ce ne sera pas nécessaire, conclue Flavie.

Le soir même, elle avoua à Vincent son petit ami, qu'elle le quittait car elle avait quelqu'un d'autre. Vincent n'était pas naïf et craignait depuis longtemps que ce moment arrive. Mais il était fou amoureux de Flavie et la supplia quand même de revenir sur sa décision.

Flavie était propriétaire de l'appartement mais pour ne pas le mettre dehors et en souvenir de leurs bons moments, elle lui laissa jusqu'à la fin de la semaine pour retirer ses affaires et déménager. Vincent se mit à pleurer.

Comment avait-elle pu tomber amoureuse d'une telle lopette. Flavie est une femme de caractère et la faiblesse de Vincent ne faisait qu'augmenter son désir pour Cheikh à la personnalité plus forte.

Le lendemain même, sans attendre que Vincent commence à ranger ses affaires, elle décida quand même de sortir avec Cheikh puis de l'inviter à finir la soirée chez elle. Et tant pis pour Vincent.

Elle se prépara donc pour sortir et surtout s'habilla dans une tenue très suggestive : Robe très courte, d'un rouge flamboyant qui faisait magnifiquement ressortir sa blondeur, chaussures à talons et cheveux attachés. Elle était sûre ainsi de faire sortir Cheikh de ses gonds Mais à la voir, c'est Vincent reprit espoir. Flavie était magnifique. Le malentendu était total. Il prépara une bonne bouteille et des verres et décida d'essayer de la reconquérir dès qu'elle reviendrait. Après tout, Flavie était restée évasive sur les raisons de leur rupture. Il n'avait rien à se reprocher et rien n'indiquait qu'elle avait réellement quelqu'un d'autre. Il n'imaginait pas une seconde l'étendue de son erreur.

La soirée avança. Enfin, sur les coups de 23 heures, il entendit la clé dans la porte. Flavie revient!

Elle revint en effet mais elle n'était pas seule. Elle entra dans la pièce principale main dans la main avec un autre type.... Un black. Une tonne de questions se bousculaient dans la tête de Vincent. Flavie fit les présentations.

— Cheikh, je te présente Vincent... Mon colocataire. C'est aussi accessoirement mon ex ajoute-t-elle. Puis, elle proposa à Cheikh d'aller s'asseoir. Elle aperçut alors les verres et la bouteille.

— Ça c'est gentil dit-elle à Vincent en souriant.

Le malheureux n'imaginait pas un seul instant que sa petite attention se retournerait contre lui. Dérouté, il resta-là ne sachant pas quoi dire.

Le salon comportait un canapé assez large et confortable pourtant, Cheikh choisir de s'assoir sur une chaise, en face. Vincent n'arrivait pas à encaisser ce qui se passait. Il essaya de se convaincre qu'il s'agissait d'une méprise et espérait avoir mal compris la situation. Il s'assit sur le canapé comme attendant une explication. Il se demandait bien ce que faisait ce black ici en jean, baskets et tee shirt avec ce bout de tissu, une sorte de dentelle, qui dépassait de sa poche arrière.

Flavie porta les verres et la bouteille jusqu'à la table basse. Elle fit le service, deux verres, en tendit un à son invité puis en conservant l'autre. Hésitant un instant, elle s'assit finalement sur les genoux de Cheikh. Vincent était abasourdi. Juste en face de lui, Flavie se serrait contre ce black sans retenue. Une chappe de plomb s'abattit sur lui. Son espoir de reconquérir Flavie s'envola. Cheikh avait maintenant posé sa main sur les jambes de Flavie et lui caressait les cuisses. Ils trinquèrent et s'embrassèrent.

— J'ai encore envie de toi, ici tout de suite! annonça Cheikh.

— Là devant mon petit ami?

— Ça ne t'a pas dérangée tout à l'heure, t'as vue comme les gens nous regardaient au resto? demanda Cheikh.

— Oui j'ai adoré.

Flavie se tourna vers Vincent :

Cheikh n'a pas pu se tenir dit-elle alors que les mains du black remontaient plus haut. Juste après le plat de résistance il m'a entrainée dans les toilettes et m'a fait l'amour debout contre la porte des chiottes... C'était merveilleux. Elle dit cela le plus naturellement du monde. Vincent était ulcéré.

— Tu as fait quoi avec ce?...

— Ce quoi? interrompit Cheikh en jetant un regard autoritaire à Vincent qui le fit taire.

La main de Cheikh avait maintenant remontée jusque sur sa chatte. Il avait commencé à la doigter. Il fallait la voir sourire et son rictus pour ne pas douter du plaisir qu'elle prenait. Vincent toujours en face, restait de marbre pensant vivre une hallucination. Comme tétanisé par la surprise Elle ne va quand même pas le faire devant moi? Pensa-t-il. A cet instant, il remarqua qu'elle n'avait même plus sa petite culotte. Il se rappela d'un coup le bout de tissu dans la poche de Cheikh. C'est pire que ce que je pensais: elle l'a déjà fait.

Flavie se garda de raconter en détails ce qu'il s'était passé lors de la soirée mais c'était très chaud. Elle avait conduit Cheikh dans un établissement chic. Un de ceux qu'elle fréquente habituellement avec de riches clients. Dès qu'ils passèrent la porte, un malaise s'était installé dans toute la salle. Une grande blonde très classe et un petit black trapu, qui n'avait de surcroit fait aucun effort d'habillement. Tous deux, main dans la main. De plus, avec ses talons elle toisait son compagnon d'une bonne tête. Il ne pouvait pas avoir de couple plus différent. Ils étaient épiés attentivement. Flavie a bien sûr remarqué le regard de ces gens. Mais elle a ce côté provocateur et a adoré ça. Ça l'excitait même. A peine la commande passée elle n'arrêta pas de chauffer Cheikh, tantôt lui faisant du pied, tantôt lui caressant l'avant-bras. Dans la conversation elle était sans équivoque. Tout dans son attitude indiquant son attente.

Elle n'eut pas à patienter très longtemps. Chauffé à point comme il était, Cheikh se leva et l'entraina directement vers les toilettes. Une grande salle carrelée en blanc avec d'un côté les lavabos et de l'autre les cabines d'aisances. Par chance l'endroit était désert. Ils s'embrassèrent brutalement. Cheikh saisi Flavie par la taille, la souleva pour la poser sur les lavabos.

— Non pas ici! supplia-t-elle en avisant les vasques humides. Il se ravisa, la retourna et la plaqua directement au dos de la porte. Cette position avait l'avantage de barrer l'éventuelle entrée d'un intrus. En quelques secondes, il lui arracha sa culotte. Flavie était comme en lévitation, le dos appuyé sur la porte, les jambes enroulées autour du bassin de Cheikh, les bras pendus autour du cou se son amant. Elle n'était maintenue que par les deux bras de Cheikh sur ses hanches. Elle ne sait pas exactement à quel moment il a baissé son pantalon ni comment il s'y est pris, mais elle a senti son gland se positionner juste à l'entrée de sa grotte. Bien que mouillée depuis son entrée au resto, elle n'imaginait pas l'épais poteau entrer en elle comme ça...Si facilement.

Pourtant, une fois en position, Cheikh relâcha son étreinte. La gravité fit le reste. Flavie glissa lentement laissant entrer en elle le gourdin, toujours plus loin.

Cheikh la saisit de nouveau par les cuisses pour la faire remonter le long de la porte puis le relâcha de nouveau et ainsi plusieurs fois de suite. Ces mouvements reproduisaient le va et vient d'un acte sexuel conventionnel.

La queue de Cheikh, si grosse, parut l'empaler. Elle ne put s'empêcher de laisser partir un cri d'orgasme. Jamais un homme n'était allé si loin en elle, c'est comme si elle perdait sa virginité une seconde fois.

— Viens!! Oh oui viens!! tu me rends folle!! implora Flavie. Ses paroles alternant entre deux gémissements.

Lorsque Cheikh tira enfin le feu d'artifice, Flavie fut comme inondée de tout le bas ventre. Elle sentit avec regret l'épais pieu se retirer d'elle en même temps que Cheikh la desserra. Elle s'écroula à genoux sur le sol. L'abondant jet de foutre qui s'écoulait d'elle avait formé une grande flaque par terre.

La queue de Cheikh revenue au repos, restait impressionnante. Flavie la lécha consciencieusement pour nettoyer toutes les traces de son œuvre.

— T'es bonne! putain! qu'est-ce que t'es bonne salope! constata Cheikh alors que les douces lèvres de la belle finissaient le nettoyage.

— Je n'ai même pas pu me branler dans tes nibards salope! regretta-t-il. Tu y auras droit plus tard.

De retour dans la salle, tout le monde n'avait d'yeux que pour eux. Les cris de Flavie s'étaient entendus. De plus, après avoir saisi la culotte de Flavie, Cheikh l'avait négligemment glissée dans la poche arrière de son pantalon la laissant dépasser. Il était évident pour tout le monde que le black venait de sauter la blonde. Beaucoup de gens étaient choqués. Ils s'en étaient plaints. Les deux amants auraient dû être virés manu militari du restaurant en raison de leur conduite...Indécente. Par chance, le maitre d'hôtel était black lui aussi. Il ne fit rien, leur conseillant juste d'être plus discrets. Il adressa un sourire complice à Cheikh et se retira.

Flavie déglutit une dernière rasade, reposa le verre puis s'adressa à Vincent.

— Bon, maintenant je te laisse ranger, nous on va se coucher! lui dit-elle ordinairement. Elle se leva et le tenant par la main, elle entraina son amant vers la chambre à coucher.

— Si tu restes là cette nuit et je ne veux pas te voir approcher de la chambre ordonna-t-elle.

La suite fût un véritable cauchemar pour Vincent. Il était là seul sur ce canapé alors que sa petite amie le trompait ouvertement.

Il était abasourdi, sans réaction. Là juste de l'autre côté de la cloison, sa petite princesse chérie lui échappait.

Il entendit d'abord des rires. Puis, des claquements de bouches, ils devaient s'embrasser. Puis un silence. Des bruits de vêtements, un choc sourd, comme des chaussures balancées contre le mur puis, encore du silence... pendant plusieurs minutes. Un silence de plomb. Des milliards de questions agressèrent Vincent. Qu'était-il en train de se passer? Il y avait l'ordre de Flavie. Et puis l'autorité de ce black l'avait intimidé. Pour autant, il ne pensait qu'à aller voir. Il se retint... une fois, puis une autre. Mais à un moment il céda et décida d'entrer dans la chambre. Leur chambre commune, où ils vécurent tant de moments de bonheur. Mais alors qu'il posa la main sur la poignée de la porte il entendit les premiers gémissements. Comme des plaintes, des petits gémissements féminins qu'il reconnut sans peine. C'était le signe que Flavie prenait du plaisir. Cela dura encore de longues minutes enfin, les gémissements devinrent des cris. Flavie et Cheikh faisaient l'amour comme s'il n'existait pas.

Il renonça à entrer dans la chambre. Il supporta silencieusement son cocufiage. Cela se reproduit plusieurs fois au cours de la nuit. Au son des orgasmes successifs de Flavie, il entendait le plaisir qu'elle prenait. Il se surprit même à avoir une érection. Il était cocufié, humilié. Néanmoins, cette situation l'excitait.

Tiraillé entre l'envie de partir en courant et l'envie d'entrer dans la chambre pour mettre un direct à Cheikh, il ne fit rien de tout ça. En fait, il aurait donné n'importe quoi pour assister à la scène.

Au petit matin, Cheikh quitta l'appartement saluant Vincent juste d'un « salut cocu ». Flavie resta couchée et endormie une bonne heure de plus. Après ce qu'elle a pris cette nuit elle avait probablement besoin de récupérer.

Au réveil, elle fut d'humeur joyeuse. Elle sourit à Vincent, ne s'offusqua pas qu'il soit encore là au contraire, elle se sentait libérée.

— Je suis désolée pour hier soir. Je ne voulais pas t'humilier mais sa grosse queue noire bien dure me rend folle j'ai avait trop envie, et puis on a rompu non?

Vincent acquiesça. Il avoua une fois encore son amour pour Flavie, reconnut qu'il ne pouvait pas lutter face à Cheikh et qu'il la comprenait. A ce moment il était prêt à passer l'éponge si Flavie lui demanda. Mais rien ne vint. Il lui demanda juste de pouvoir y assister la prochaine fois sur un ton de plaisanterie.

Cette demande surpris Flavie et la fit sourire comme si une idée lui était venue.

— Cheikh revient ce soir dit-elle.

— C'est ton jour de chance, il accepte que tu restes habiter ici. Il a même insisté. Mais maintenant... c'est lui l'homme de la maison. Ce n'est pas que cela m'enchante mais pour l'instant tu peux défaire tes valises. Peut-être, si tu restes sage, tu pourras tu voir ton fantasme se réaliser...

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

très beau récit, ça me rappelle quand l'amant black vient la baiser à la maison, elle est accroc à sa belle queue black, souvent il la fait pleurer de jouissance!!!

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