La Saga du Cocu Chapitre 05

Informations sur Récit
Flavie cède à son tour.
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Récit n'a pas de balises

Partie 5 de la série de 7 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 04/10/2018
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L'histoire de Flavie. Jeune femme très dynamique vaut également d'être racontée en détails. Elle aussi a récemment basculé pour des relations interraciales, beaucoup plus sensuelles et enrichissantes.

25 ans, blonde aux cheveux longs d'environ 1m75, des yeux bleus profonds. Plutôt bien proportionnée mais surtout dotée d'un sacré tempérament. Après de brillantes études, Flavie fait aujourd'hui partie des cadres dirigeants d'une société de sécurité. Elle plus spécialement chargée des ressources humaines. Poste on ne peut plus important dans ce type d'activité. A 25 ans seulement elle tient déjà le service comme un vieux briscard. C'est elle qui recrute notamment les vigiles et autres agents de sécurité. Elle fait déjà preuve d'une grande compétence dans le domaine et ne se trompe jamais. Cela lui vaut les éloges de ses supérieurs.

Côté cœur, elle vit avec Vincent, son amour de lycée. Flavie ne voit cette relation comme une convenance et pour ne pas être seule. Son travail est pour elle le plus important. Cela lui sert également de moyen de mettre fin aux très nombreuses tentatives de drague auxquelles est soumise. Vincent lui, est totalement fou amoureux d'elle, Le malheureux accepte ses moindres caprices et lui passe beaucoup de choses.

Depuis un mois, en plus de son travail, Flavie a la charge de former une jeune stagiaire : Solène. Une sorte de copier-coller de Flavie. Même blondeur, mêmes yeux bleus, même taille mais plus jeune. A 18 ans, Solène s'est prise d'une admiration sans bornes pour sa tutrice. Tant sur le plan du travail que sur le reste copiant jusqu'à l'habillement et le maquillage de Flavie. On dirait des clones. Seule différence notable, Solène est une jeune fille sage et plutôt réservée. Elle n'a pas l'aplomb de son ainée. Elle vit encore chez sa mère et rougit dès qu'on lui parle d'un éventuel petit copain.

Flavie et Solène sont l'atout charme de la boîte. Flavie le sait, en use et en abuse. Elle est capable de manipuler son monde et obtient toujours ce qu'elle veut.

C'est ainsi qu'à la suite de la signature d'un important contrat, la direction a chargé Flavie de recruter de nouveaux agents de sécurité. Le cahier des charges de ce nouveau client se révélant très exigeant en la matière, Flavie a dû renoncer à ses pistes de recherche habituelles. Ainsi, finis les sempiternels ventripotents proches de la retraite qui s'endorment au bout de trois heures de garde ou les étudiants dilettante qui tiennent deux nuits et s'en vont sans donner de raisons. Il lui fallait des gens plus fiables.

Elle contacta alors Mouhamadou. Un black d'une quarantaine d'années qui l'avait démarché quelques mois plus tôt. À l'époque, Il s'était présenté comme homme d'affaires et cherchait à faire embaucher ses camarades. En réalité, Mouhamadou tenait une boîte de nuit spécialisée dans la musique antillaise et africaine. Cette activité marchait très bien. Tellement bien qu'il était devenu une sorte de star dans sa communauté. La boîte de Mouhamadou était quasiment un point de chute obligé pour tous les africains qui débarquaient. Il prenait ce rôle très au sérieux et avait réussi à en placer pas mal notamment dans le bâtiment. Mais la demande de plus en plus forte le contraignait à trouver d'autres débouchés.

C'est donc d'abord professionnellement que leurs intérêts se sont rejoints. Mais Mouhamadou est aussi amateur de jolies femmes et le physique de mannequin de Flavie l'avait motivé au plus haut point. Il l'a ouvertement dragué à plusieurs reprises sans réellement y parvenir. Pourtant habituée à être draguée Flavie avait cette fois, bien failli craquer mais elle avait tenu bon. Ils sont restés en bon terme et l'un comme l'autre, conscients qu'il aurait été bête de gâcher une relation professionnelle qui leur profitait à tous deux, en sont restés là.

Mouhamadou lui envoya donc deux candidats, Ahmad et Cheikh, qu'il avait lui-même préalablement soigneusement présélectionnés. L'entretien d'embauche eu lieu au siège de la boîte. Flavie accompagnée de Solène se chargea de le mener.

Deux blacks pas très grands mais trapus, bien musclés et à l'expression suffisamment agressive pour dissuader d'éventuels resquilleurs. Vêtus de tee-shirts et de joggings, les deux candidats entrèrent dans la salle de réunion prévue pour l'entretien. Il y a d'abord Cheikh, l'ivoirien sourire charmeur, crâne rasé, barbe frisée, à peine 1m65 compensés par le V parfait que formait son buste. Puis Ahmad, le guinéen, plus réservé cheveux courts, à peine plus grand que Cheikh et moins bien proportionné.

Les deux hommes furent surpris d'être reçus en entretien par deux femmes de surcroit si jeunes. Dans leurs pays, les femmes, n'ont pas de droit de regard sur les affaires. Malgré le désagrément de la situation, l'enjeu était de taille alors ils jouèrent le jeu. Pour autant, l'entretien fut long et dur, s'il on peut dire, pour les deux hommes. Ils eurent toutes les peines du monde à conserver calme et sérieux troublés qu'ils fussent par ces deux superbes femmes blanches et blondes. Cheikh lorgnait plus que régulièrement sur le décolleté de Flavie et Ahmad, placé en coin de table avait une vue de biais sur les magnifiques jambes croisées de Solène. L'entretien était comme plombé pour une tension sexuelle très forte.

A la fin, Flavie et Solène se retrouvèrent pour débriefer. Une fois passées en revue les aspects d'ordre technique, la conversation s'orienta vers des questions beaucoup plus terre à terre. Il était évident qu'ils correspondaient au profil recherché. Alors, elles passèrent en revue les avantages physiques des deux hommes. D'abord sur le ton de la plaisanterie mais pas tant que cela. Flavie confia à Solène qu'elle n'avait jamais vécue l'expérience d'être prise par un black, elle lui confia les nombreuses sollicitations de Mouhamadou et lui livra son regret de ne pas être allée plus loin.

— Ces mecs sont beaux, musclés, sont montés comme des chevaux. Ils ont quelque chose d'animal, de sauvage si envoûtant. Solène eu un sourire gêné.

— Ne soit pas si timide! avoue que ces deux mecs ne te font pas de l'effet à toi. T'as vue comment ils nous regardaient.

— Comment peux-tu dire ça s'exclama Solène, ils sont... noirs. En plus tu as un petit copain.

— Bien sûr! répondit Flavie. Vincent est gentil mais eux en plus ils ont l'air brutal et ça m'excite terriblement. Et puis nous vivons dans une société multiraciale ne soit pas si fermée d'esprit. Tu es décidemment trop coincée!

Le débat se clôtura quelques minutes plus tard. La décision fut prise d'embaucher les deux hommes.

Les premiers retours furent positif, les vigiles faisaient bien leur travail et Flavie se félicitait de son choix. Cependant, Ahmad passait très souvent à l'agence, prétextant un problème de badge, une lampe qui ne fonctionne pas... Il demandait toujours à voir Solène. Il avait visiblement un petit faible pour elle et la draguait clairement.

Son insistance incommodait Solène. Flavie lui avait parlé des dragueurs qu'ils soient collègues, clients ou autres. Elle lui avait expliqué comment s'en débarrasser. Mais il lui restait de gros progrès à faire. Elle était comme désarçonnée, sans réactions. Le regard d'Ahmad la paralysait tout autant qu'il la fascinait.

Flavie ayant compris la gêne qu'éprouvait Solène décida d'y mettre un terme. Si le fait qu'Ahmad draguait Solène ne la dérangeait pas vraiment, elle était surtout préoccupée par le fait qu'il mettait en danger son contrat. On ne mélange pas le pro et le privé! Elle se rendit alors chez son client pour parler à Ahmad et le recadrer comme on dit dans ce cas-là.

Elle se rendit personnellement au poste de garde à la prise de service du gardien. La nuit commencer à tomber et il pleuvait. Flavie voulait régler ça rapidement pour rentrer prendre un bain chaud. Elle passa un savon à Ahmad sans y mettre les formes et lui ordonna sur un ton très ferme de ne plus importuner sa jeune collègue. Cheikh qui lui, terminait le sien restait dans un coin et ne bronchait pas. Flavie lui demanda de sortir du poste de garde la conversation étant personnelle. Il obéi impressionné qu'il était par l'autorité de Flavie.

A la fin de l'entretien Flavie retourna à sa voiture. Sous une pluie battante, elle dût s'y rendre en courant pour ne pas finir douchée.

La voiture ne démarra pas. Flavie prend beaucoup de soin de sa personne et de ses vêtements en général mais les voitures ne l'intéressent pas. Elle conservait cette vieille bagnole qui pourtant avait déjà montré de signes de faiblesse et lui valut quelques voyages en dépanneuse. Mais là ça tombait fichtrement mal. Coincée sur le parking de son client dans une voiture en panne. Elle pesta encore contre cette fichue guimbarde et attrapa son portable. Après ce qui venait de se passer, elle ne pouvait décemment pas retourner au poste de garde.

Quelqu'un frappa alors à la vitre. Cheikh arrivait pour lui proposer son aide. Consciente qu'elle venait d'y aller fort avec Ahmad, elle renonça à la dépanneuse et accepta son aide. En bonne gestionnaire des ressources humaines, elle comprit l'intérêt de conserver un allié dans la place. Tous deux effectuèrent plusieurs tentatives pour démarrer la voiture sans succès. La pluie s'accentuait, ils furent tous deux rapidement trempés. En désespoir de cause, Cheikh offrit de la raccompagner. Flavie n'eut d'autre choix que de le suivre.

Il l'a remmena à bord d'une vieille 205 dont le toit ouvrant fuyait. Il pleuvait bientôt autant dans la voiture qu'à l'extérieur. N'ayant pas l'habitude des climats froids et humides Cheikh n'avait pas arrêté de frémir dans la voiture. Flavie se sentit obligée de lui offrir l'hospitalité. Elle s'en voulait. Se faire raccompagner par un employé chez elle n'est pas professionnel. Le faire entrer dans son appartement encore moins. La situation devenait fâcheuse.

Arrivés à l'appartement, elle le laissa entrer et lui indiqua la salle de bains afin qu'il se sèche. Flavie se changea à son tour. Elle se dirigea dans sa chambre et se déshabilla en ruminant son embarras. Veste tailleur, chemisier, jupe et sous-vêtements finirent en boule dans le couloir. Je viens de sermonner un de mes employés et voilà que je fais exactement ce que je lui reproche pensa-t-elle agacée. Elle se rendit alors compte qu'elle n'avait aucun rechange de disponible, puisque Cheikh occupait la salle de bains. Elle retourna dans sa chambre où elle empoigna une nuisette qu'elle avait laissé trainer négligemment. Une nuisette de soie presque transparente. Celle-là même qui rendait fou Vincent. Elle rumina encore. Elle eut juste le temps de l'enfiler avant que Cheikh ne sorte juste vêtu d'une serviette à la taille.

Cheikh était stupéfait de ce qu'il voyait. Flavie est vraiment une superbe femme. Il allait beaucoup mieux, sécher et réchauffé il ce qu'il voyait l'enchantait. Flavie elle aussi prit la mesure de ce magnifique corps d'ébène bien musclé.

— Je suis désolée, j'ai besoin d'une serviette pour me sécher les cheveux. Dit-elle presqu'en s'excusant. Ce n'était plus la patronne autoritaire qu'il avait vu plus tôt.

— C'est moi qui suis désolé, avoua Cheikh, je les ai toutes utilisées pour me sécher. Il ne reste que celle-ci qui ne soit pas humide.

Il saisit alors la serviette qu'il portait à la taille, l'enleva et la tendit à Flavie. Elle sursauta et se couvrit les yeux et tourna la tête dans un réflexe.

— Attention! Je vais tout voir dit-elle en rougissant. Cheikh ne bougea pas et répondit le plus calmement du monde

— Ce n'est pas grave.

Flavie se retourna. Cheikh se tenait devant elle entièrement nu, sans la moindre intention de cacher quoi que ce soit. Elle attrapa la serviette qu'il lui tendait et se frictionna les cheveux mais son regard se posa immédiatement sur le sexe de Cheikh. La taille de ce pénis l'impressionna beaucoup. Pas encore totalement en érection, il atteignait déjà une dimension ahurissante. Au repos il était plus long et plus épais que celui de Vincent bandé au maximum. Flavie resta là, sans bouger juste à regarder cet énorme sexe noir qui grossissait à vue d'œil et se dressait de plus en plus haut.

Comme hypnotisée, elle lâcha la serviette sur le sol, restât de longues secondes sans bouger puis tomba à genoux, son visage à quelques centimètres de ce gland qui semblait l'appeler.

— Vas-y! dit alors Cheikh. Je vois bien que tu en meurs d'envie.

C'est la première fois qu'il la tutoyait. Flavie d'habitude si soucieuse à ce genre de détails ne releva pas. La vision de cette énorme queue black maintenant dressée à angle droit, dans les 25 centimètres de long, lui avait fait perdre tout repère. Elle venait de franchir la limite qu'elle s'imposait depuis toujours. Pas de relations intimes au travail!

Elle effleura d'abord le pénis du bout des doigts. Puis s'approcha encore. Elle s'agrippa aux cuisses de Cheikh et donna quelques timides coups de langue sur le gland. S'enhardissant, elle lécha ensuite cette grande tige sur toute sa longueur. Cheikh était aux anges. C'est un rêve qui se réalisait. Il avait bandé sur Flavie dès qu'il l'avait vue mais n'imaginait pas la séduire aussi facilement.

Les douces lèvres de Flavie entouraient maintenant la bitte de Cheikh. Elle suçait l'engin avec gourmandise. Par moments, sa main droite lâchait la cuisse de Cheikh pour venir lui malaxer les couilles tandis que l'autre lui caressait la jambe. Le goût sucré lui faisait perdre tout repère. Au moment de décharger Cheikh dû lui saisir la tête afin qu'elle ne se retire pas. L'épaisse semence tapissa alors la gorge de la belle. Elle ne put tout avaler et en régurgita une partie qui coula sur sa nuisette.

Cheikh la saisit par la taille et la souleva. Flavie entoura ses bras autour du cou de Cheikh puis ils s'embrassèrent. Les deux amants aussi demandeurs l'un que l'autre savaient que cette fellation ne suffirait pas à apaiser pas leur désir. Cheikh la porta alors jusque dans la chambre ou il la jeta brutalement sur le lit. Allongée sur le dos, Flavie remonta légèrement sa nuisette jusqu'à la taille et écarta les cuisses offrant son intimité et réclamant en elle cet énorme gourdin.

Contre toute attente, Cheikh la retourna sur le ventre, se positionna au-dessus d'elle. Quelques minutes à peine après sa première éjaculation, il rebandait déjà. Offerte à lui en position de levrette il la pénétra ...

— Mmmm, c'est bon continue! encouragea Flavie le regard déjà parti dans le vague.

— Oh oui, enfonce! encore!!

Cheikh la posséda là sur le lit sans dire un mot. Il s'introduisit de plus en plus loin jusqu'à toucher la paroi vaginale. Il crût venir mais relâcha la pression d'un coup. Il se retira violemment et s'introduisit de nouveau. Ce petit jeu de « j'y vais, j'y vais pas » rendit Flavie folle. Elle partit sur un orgasme comme elle n'en avait jamais eu.

— Je vais te baiser salope! tout le monde à la boîte dit que t'es trop bonne mais c'est moi qui vais te baiser.

— Oh oui!! vas-y! baise-moi! hurla-t-elle.

L'extase dura plusieurs minutes avant que Cheikh ne finisse par déflagrer en elle.

Ils s'allongèrent tous deux sur le lit serrés l'un contre l'autre. Pendant de longues minutes. Cheikh la caressa avec soin l'embrassant tendrement. Flavie était conquise. Ici dans ce lit qu'elle partageait d'habitude avec Vincent, un autre homme l'avait emportée comme jamais. Elle voulait que ces instants ne finissent jamais.

— Je dois y aller maintenant.

C'est par ces mots que Cheikh prit congé de sa belle. Il rattrapa ses vêtements encore humides puis quitta l'appartement. Flavie le rattrapa sur le palier. Toujours à moitié nue elle se moquait d'être vue par des voisins. Ils s'embrassèrent une dernière fois avant que Flavie ne se résolve à le laisser partir avec regrets. Elle reprit peu à peu ses esprits mais ne regrettait rien de ce qu'elle venait de faire.

En descendant l'escalier, Cheikh bouscula négligemment Vincent qui rentrait à ce moment.

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 6 ans
Fade

Vincent va paraitre "fade" après ça !

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