La Prêtresse de la Pureté Ch. 02

Informations sur Récit
Préparatifs & rappel hiérarchique façon prince Arlor.
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Partie 2 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 04/22/2019
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Chapitre 2 - La hiérarchie

— Tenez, ce que vous m'aviez demandé.

Le prince lança le mouchoir imprégné des larmes du capitaine sur la table de pierre, au milieu d'un amas d'alambics et de fioles au contenu plus inquiétant qu'intrigant.

L'alchimiste royal Yerzo soupira. Il ne prit même pas la peine de se retourner, trop occupé à écraser un tas d'herbe dans un broc à grands coups de pilon. Une unique fenêtre à voute chassait péniblement les ombres de la tour qui lui servait tout à la fois de chambre et d'atelier. Perdu au milieu d'étagères surchargées d'ingrédients à l'air périmé et d'animaux empaillés, il ressemblait à un vieux loup solitaire au fond de sa tanière. La longue robe noire qui le collait comme un pelage n'arrangeait rien à cette impression.

— Des larmes de rage d'un homme trahit, dit Arlor pour briser le silence qui s'installait. Cela ressemble à l'ingrédient d'une recette de sorcière digne des pires contes de mon enfance. J'espère pour vous qu'il ne s'agissait pas de je ne sais qu'elle farce destinée à me faire perdre mon temps?

L'alchimiste lâcha son pilon qui claqua sur la table. Il poussa un second soupir.

— Comme je vous l'ai déjà expliqué, Sire, dit-il d'une voix qui grinçait comme la hache heurtant le bouclier, les émotions sont au coeur de toute magie. Plus celles-ci sont fortes, et plus il est simple d'en sculpter les effets. Pour vos besoins, il me fallait une source à haut potentiel.

— D'accord, d'accord, je m'en remets à votre expertise. La seule chose qui m'importe c'est de savoir quand sera terminé l'élixir.

L'alchimiste daigna enfin se retourner. Il soutint le regard noir du prince de ses yeux gris surplombés par des sourcils particulièrement broussailleux. Nul ne connaissait son âge, mais, d'aussi loin qu'Arlor se souvienne, son visage dur n'avait jamais dépassé les trente hivers.

— Je ne sais pas, Sire, j'ai beaucoup à faire et votre petit projet (L'alchimiste mit autant d'acidité que possible dans ce dernier mot.) ne m'apparait pas comme une priorité.

— À d'autres! À part quelques onguents pour soulager les articulations de Père ou les états d'âme de mes frères, vous ne débordez pas de travail depuis l'éradication de la menace Guldran.

Nouveau soupir.

— Si vous mettiez autant d'énergie dans les affaires d'états que dans vos affaires de sexe, l'avènement du second âge d'or des seigneurs épées serait déjà sur nous.

Arlor ne put s'empêcher de sourire. L'alchimiste était une des rares personnes dans ce fichu palais éternel qui pouvait se permettre de lui tenir tête aussi ouvertement. L'avantage de se savoir difficilement remplaçable. Cela était presque rafraichissant, tant qu'il ne tentait pas trop sa chance, bien sûr.

— Épargnez-moi vos leçons de morale. Mes affaires de sexe, comme vous les appelez, ne sont pas toutes pour vous déplaire. D'ailleurs, cette chère Imda vous a-t-elle apportée entière satisfaction?

Le sourire en coin de l'alchimiste valait mille mots. Yerzo lui avait demandé du temps « en tête à tête » avec elle en échange de son aide. En pratique, le prince aurait pu simplement lui ordonner de s'exécuter, mais lui offrir cette récompense l'amusait. A vrai dire, la moitié du conseil intérieur rêvait probablement de ce cadeau, sans oser l'avouer. Il faut dire qu'Imda leur avait laissé une très forte impression il y a de cela deux semaines lors d'une réunion stratégique d'urgence. Arlor, en l'absence de son père de plus en plus fatigué, la présidait aux côtés des principaux généraux du royaume.

— Sire, avait commencé Vardan, le gouverneur des terres du sud, un homme au visage aussi impénétrable que la lourde armure d'acier Mal'Zek qu'il semblait ne jamais quitter. La troupe de bandits menée par la furie écarlate continue de piller les villages à la frontière Aldyrienne.

— Et donc, Gouverneur? demanda le Prince. Vos six légions ne suffisent-elles pas pour appréhender une vulgaire voleuse de moutons?

Des rires contenus firent le tour de la table. Beaucoup convoitaient la place de Vardan. Le voir ainsi en difficulté réjouissait les prétendants au poste.

— C'est-à-dire, Sire, que cette garce profite de la frontière pour échapper à nos troupes. Je ne peux lui donner la chasse sans risquer d'offenser Aldyr.

— Ne disposez-vous pas d'assez d'hommes pour patrouiller les frontières afin de la capturer, elle et sa bande de malandrins, avant qu'elle ne s'y réfugie?

Un rire moqueur claqua dans l'air. Arlor le reconnut immédiatement pour l'avoir entendu bien trop souvent à son goût. La maréchale Imda, petite fille de feu Poing-Sanglant, le héros de la passe des mille lames dont les exploits continuaient à ce jour d'alourdir l'escarcelle des bardes, cognait du poing sur la table de la grande salle du conseil.

— C'est impossible, Sire, dit la flamboyante rousse en fixant le prince comme s'il s'agissait d'une vulgaire crotte sous une semelle. Vous devez pourtant savoir que les frontières sont bien trop vastes? Même en plaçant un homme tous les cents mètres, il restera toujours bien trop de passages non surveillés.

Arlor crispa sa mâchoire. Il n'avait jamais compris pourquoi le Roi protégeait cette garce. Enfin, ce n'était pas tout à fait vrai. Vu le nombre incalculable de fois où elle s'était levée, comme aujourd'hui, pour le contredire d'un air moqueur, il soupçonnait son père d'apprécier voir son héritier être malmené. Ce genre de tactique destinée à lui "forger" le caractère était tout à fait dans les habitudes de ce vieux sournois.

— Le seul moyen de régler définitivement ce problème, poursuivait Imda, est d'envoyer un émissaire à la capitale Aldyrienne pour les enjoindre à coopérer avec nous.

Arlor sourit tout en détaillant la maréchale. Derrière son air bravache et la profonde cicatrice qui traçaient un sillon de sa joue à son arcade gauche, elle avait un visage plus que désirable. Seule déception, elle dissimulait son corps sous un plastron informe et des braies d'homme. Le prince l'imaginait athlétique et agréablement déliée - intense entrainement militaire oblige - mais impossible d'en être certain.

— Maréchale, auriez-vous l'amabilité de vous approcher? demanda Arlor en désignant du doigt l'espace au pied de son large fauteuil.

Un court silence flotta au-dessus de la grande salle.

— Sire, la situation est urgente, dit-elle. Je n'ai guère le temps de participer à vos petits jeux.

— Maréchale Imda! Feriez-vous honte à la mémoire de votre grand-père en désobéissant à votre seigneur-épée?

— Sauf votre respect, mon seigneur-épée est le Roi, Sire.

Arlor se contenta de la fixer, son sourire réduit à une fine ligne. La guerrière balaya la salle de réunion du regard. Ce n'est qu'à cet instant qu'elle prit pleinement conscience de l'absence inhabituelle de son « protecteur ». Elle ramena contre son flanc son poing encore planté sur la table et redressa un peu plus la tête. Son malaise devenait palpable.

— Je n'ai aucunement l'intention de me répéter, dit Arlor.

Ses mots s'évanouirent dans un silence qui fût bien vite brisé par un long soupir accompagné du roulement d'yeux de la guerrière.

— Très bien, s'il n'y a que cela pour vous faire plaisir.

Elle approcha d'un pas décidé. Ses solerets claquèrent contre le marbre du sol. Une odeur capiteuse, mélange de sueur et de graisse d'armure, chatouilla agréablement les narines du prince lorsqu'elle se tint face à lui, son regard empalé dans le sien et son agaçant sourire toujours aux lèvres.

— Tournez-vous, ordonna-t-il.

— À quoi rime tout cela, Sire? demanda la maréchale en faisant une moue dédaigneuse.

— Ma tolérance à l'insubordination n'est pas aussi vaste que mon père.

Le visage de la guerrière se crispa, comme pour préparer un énorme crachat.

— Je ne suis pas une vulgaire courtisane que vous pouvez traiter avec dédain. J'ai participé à toutes les campagnes de la côte des lames. J'ai moi-même permis la reprise de la forteresse de Vakzoz. Un minimum de respect m'est dû.

— Vos exploits guerriers ne vous dédouanent pas d'obéir à vos supérieurs, maréchale. Que vaut un soldat qui n'en fait qu'à sa tête? Tournez! Vous!

Le prince avait presque crié ces derniers mots. Il détestait monter le ton, mais la guerrière avait le don de tester sa patience.

Un léger frisson parcourut la maréchale lorsqu'elle comprit qu'elle ne pourrait pas le raisonner. Elle tourna sur elle-même, droite comme un I et fit claquer les talons de ses solerets en une moquerie de parade militaire. La garce le testait!

En dépit de sa bravade, la voir plier, même rien qu'un peu, excitait le prince. Son érection lui réchauffait agréablement l'intérieur de la cuisse. N'y tenant plus, il se leva de son siège et plaça une main sur l'épaule de la maréchale. Avant qu'il puisse appuyer pour la cambrer contre la table, elle rugit.

— Non, espèce de... (Elle ravala son insulte de justesse.) Enlevez vos putains de mains!

Dans un réflexe né d'années d'entrainement, son coude parti brutalement en arrière et percuta le flan du prince qui grogna de surprise et douleur mêlée. Il l'avait mal jaugée en pensant qu'elle ne pousserait pas sa réticence jusqu'à la violence. Malheureusement pour elle, l'impact ne fit que raffermir sa détermination. Plus que jamais, il voulait punir l'arrogante. Il lui saisit un bras, le tordit dans son dos avant d'agripper sa nuque pour forcer son oreille à sa bouche.

— Il semblerait que vous soyez trop stupide pour comprendre le principe de succession. Pensiez-vous vraiment que mon père serait toujours là pour vous protéger? Je vais devoir vous rappeler votre place.

— Sale enfoiré de pervers de merde, rugit de plus belle Imda. Étouffez-vous sur la bite d'Oldan.

Le prince ne chercha pas à la faire taire. La rage de la maréchale propulsait son désir vers de nouveaux sommets. Malgré ses ruades, elle était plus petite qu'Arlor et avec son bras pris en clé, il avait l'avantage de la position. Il la soupçonnait également, après son assaut initial né de ses réflexes bien huilés, de ne pas mettre autant de force qu'une guerrière expérimentée pouvait exercer par peur de blesser le futur suzerain. Que ses actions soient justifiées ou non, verser le sang de la lignée des seigneurs-épée devant un parterre de généraux ouvrait à des châtiments autrement plus terrifiants. Il lui tordit encore un peu plus le bras.

— Arrêtez, je vous en prie Sire, tenta la maréchale. Je suis désolée. Vous êtes content?

Arlor avait dépassé le stade des excuses depuis bien longtemps. Entendre l'arrogante plaider sa cause ne fit que tendre encore plus son désir. D'une main experte, il déverrouilla la ceinture de la maréchale et fit glisser son haut de chausse le long de ses jambes. Une toison rousse dépassait entre ses cuisses musclées. De longues lèvres rose pâle très évasées visibles à travers. Il y avait quelque chose de sauvage dans l'anarchie de ces poils non entretenus, contrairement aux dames de la cour, qui excita d'autant plus le prince.

— Que quelqu'un l'arrête! Il n'a pas le droit, il n'a pas le droit!

Les conseillers autour de la table, pour la plupart habitués aux frasques du prince et à l'impulsivité de sa colère, faisaient leur possible pour se faire oublier. Arlor extirpa son sexe, découvrit son gland et d'un habile crachat, l'enduit de salive.

— Connard de fils de pute, dit Imda lorsqu'elle sentit le membre turgescent du prince se planter dans l'orée de sa délicate vulve.

— À partir de maintenant, rugit Arlor, je ne veux plus entendre que des cris sortir de votre bouche.

Pour appuyer son propos, il effectua une poussée brutale qui fit geindre la maréchale, l'amenant au bord des larmes. Son membre gorgé de désir et de rage distendit la chatte de la guerrière, ses lèvres enflées autour du sexe envahisseur. Un soupir d'aise échappa à Arlor lorsque, en dépit de ses protestations, il se planta en elle jusqu'à la garde.

Envolée l'arrogante qui l'avait pris de haut toutes ces années sous le regard moqueur de son Père. Arlor entrait en elle, encore et encore, il plongeait toujours plus profondément, cognant de toutes ses forces, habité par la colère et la frustration de ses innombrables défiances. Imda tenta de retenir sa voix de longues secondes, mais, à mesure que le prince pompait ses lèvres délicates, elle n'y tint plus et gémit. Ses cris se répercutèrent dans les voutes de la grande salle, de plus en plus fort. Arlor dégusta chaque plainte provoquée par ses coups de reins.

Perdu dans les délices de l'invasion de cette chatte rétive, le prince avait presque oublié que les principaux conseillers et généraux du royaume observaient la scène. Son érection s'intensifia lorsqu'il surprit plusieurs regards concupiscents.

— Il serait dommage, haleta-t-il entre deux profonds mouvements de bassin, que je sois le seul à en profiter.

Il saisit la courte lame glissée dans le fourreau intégré aux solerets de la maréchale, accessoire standard des membres des légions. Sans cesser son pistonnage rageur, il coupa les sangles qui retenaient le plastron et le gambison en dessous. L'armure fit un bruit sourd lorsqu'elle percuta la table avant de tomber sur le sol de marbre.

Arlor put presque entendre la salle retenir sa respiration. Il comprit bien vite pourquoi lorsqu'il remonta ses mains le long du ventre plat et noueux de muscles avant de se saisir de la poitrine découverte. La guerrière arborait une impressionnante paire de seins que sa tenue ne laissait absolument pas deviner. Penchée en avant, ils pendaient, lourds et offerts à la vue de tous. Trop occupée à plaquer ses mains contre la table pour ne pas la percuter, elle ne chercha même pas à se dissimuler. Le prince pressa ses paumes contre les larges orbes dont il parvenait à distinguer les contours dépasser sur les côtés du dos couvert de sueur sous lui, se régalant de leur poids dans ses mains devenues soudainement bien trop petites. Il en saisit les longs tétons, les étirant sans ménagement entre ses doigts, arrachant de nouvelles plaintes à la guerrière.

— Reprenons, dit le prince en haussant le ton pour se faire entendre par-dessus les intenses gémissements. Gouverneur, je vous adjoins les services de mon Sénéchal. (L'homme fit mine d'écouter, mais ses yeux revenaient régulièrement sur les imposants seins qui se trémoussaient de haut en bas à chaque coup de bassin, leur pointe frottant parfois douloureusement contre le rebord de la table quand le prince lui-même ne les pinçait pas.) C'est un excellent limier qui vous sera très utile pour mettre la main sur cette voleuse. S'il s'avère qu'il pense la situation inextricable sans faire intervenir la diplomatie, nous pourrons en reparler, mais je préfèrerais autant que possible ne pas m'endetter auprès des Aldyriens.

Comme pour entériner la décision, le prince empala une dernière fois la vulve distendue. Son membre palpita violemment avec la montée de son orgasme.

— Non! Non! Non! gémit la maréchale.

Arlor agrippa encore plus fermement les hanches de la guerrière qui se débattit de plus belle. Une main fortement serrée contre un de ses seins, il inonda son étroit vagin de son plaisir en longues pulsations qui arquèrent son corps. La maréchale retomba contre la table, l'énergie de sa lutte maintenant vaine évaporée, ses cheveux étalés en soleil au milieu des parchemins en vrac.

— La séance est levée, dit le prince

Il s'extirpa de la guerrière dans un bruit de succion, claqua ses fesses musclées et quitta la salle.

L'alchimiste royal avait fait parti des membres du public ce jour-là.

— Dur de résister à l'attrait d'une chatte sauvage, dit le prince en laissant se dissiper le délicieux souvenir pour reporter son attention sur Yerzo. Sa poitrine n'était pas en reste.

Le visage austère de l'alchimiste royal s'illumina.

— En effet, Sire.

— A-t-elle été récalcitrante?

— Et bien, j'ai dû l'attacher, Sire.

L'image de la guerrière offerte impuissante dans un entrelacs de corde excita aussitôt le Prince. Décidément, il appréciait de plus en plus l'alchimiste.

— Vous ne m'avez toujours pas répondu. Concernant mon élixir?

— Laissez-moi trois jours pour tout préparer. Si ce n'est pas indiscret, Sire, pour quelle raison en avez-vous besoin?

— Disons juste que l'intouchable Haute-Prêtresse de la pureté ne portera bientôt plus aussi fièrement son titre.

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(Suite au chapitre 3, très bientôt, voir maintenant si vous venez du futur! N'hésitez pas à commenter, ça encourage toujours.)

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
Ben_CloverBen_Cloveril y a presque 5 ansAuteur
Merci!

Merci beaucoup pour ces commentaires encourageants. La maréchale refera une apparition d'ici la fin de cette seconde histoire du prince, mais je n'en dis pas plus pour le moment ;)

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans

superbe récit, j'attends la suite avec impatience. j'aimerai bien un passage un peu plus développé sur les tourmants de la maréchale

AnonymousAnonymeil y a presque 5 ans

Excellent texte vivement la suite. Un paragraphe sur les tourments de la maréchal serait suoet

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