La petite chienne de Maîtresse P. 13

Informations sur Récit
Gina est féminisée, tatouée. Maîtresse la veut sexy-vulgaire.
3.2k mots
3.41
8.6k
0

Partie 13 de la série de 18 pièces

Actualisé 06/11/2023
Créé 11/15/2022
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Maîtresse m'imposait aussi désormais de m'imprégner mon cerveau d'images vidéo destinées à mon formatage mental. J'étais astreint à passer chaque matinée une heure devant mon écran à visionner des vidéos de sissy hypno, à m'abreuver et à m'irriguer mes neurones de ces images de belles femmes à bite, tellement hyper sexy et sensuelles, infiniment plus féminines encore que les femmes biologiques, avides et insatiables de bites juteuses, qui suçaient et avalaient du sperme à longueur de journée, du bon sperme bien épais et crémeux, produit par des mâles alpha utilisant ces femmes comme des objets ou des bêtes leur étant totalement dévouées et soumises, dans les dessous les plus sexy qui soient, afin que chez moi de tels gestes deviennent également parfaitement automatiques, naturels et spontanés. L'après-midi était un peu pareil, à la différence que je devais regarder des vidéos qui faisaient l'apologie de ces filles que les anglo saxons nomment des bimbos brainless ou des fuckdolls, fabriquées pour être de parfaits objets sexuels et de tout ce qu'il fallait apprendre et faire pour en devenir une véritable. Ces vidéos fonctionnaient comme de parfaits système de lavage de cerveau, aidant à l'abreuver de nouvelles notions très féminines, faites exclusivement d'envies futiles, faisant oublier toutes les réflexions sérieuses d'antan pour ne plus traiter que de, et exclusivement de, tout ce qui tourne autour de la beauté, de la féminité, de la perfection physique et vestimentaire, de la séduction et du sexe au sens le plus large et uniquement de ça.

Soumise à ce conditionnement systématique, en même temps que subissant ma lente et systématique transformation par les hormones, je devenais de plus en plus femelle, acquérant un mental de parfaite salope. Le plus difficile restait quand même de faire disparaître mes derniers automatismes masculins, de perdre toutes ces ancienne manières d'homme, ces dégaines masculines acquises durant 18 ans et de les remplacer par de l'élégance et de la sensualité féminine.

Judith m'avait aussi remplacé le rosebud par un plug vibrant que je devais porter désormais en permanence. Il était régulièrement mis en marche pour attendrir ma chatte, télécommandé par son téléphone portable ou celui de Maîtresse. Deux mois après le début de ma sissification, j'étais désormais capable de prendre un gode de 5 cm dans mes reins, au plus grand plaisir de Maîtresse qui adorait me sodomiser dans le donjon. Julien aussi en profitai, mais il finit par déplorer que j'étais meilleure au début, car j'étais plus serrée. Maîtresse lui répondit qu'il devait faire avec, son but étant que ma chatte soit rendue accessible au plus grand nombre et notamment aux gros calibres. Curieusement, pour le moment seul Julien avait le droit de me baiser. Maîtresse ne m'avait encore jamais « prêtée » à un autre homme.

Comme le processus de transformation pouvait parfois être difficile et que je n'apportais pas toujours totale satisfaction aux dames, j'avais aussi régulièrement droit à des séances de punition au donjon. Paddle, cravache, fouets, attaches, pincements, griffures, torture des seins (de plus en plus proéminents) etc. étaient souvent au menu, ayant comme principal effet de renforcer ma docilité et mon acceptation de tout ce qu'on m'imposait. Les extenseurs de tétons faisaient également leur travail et mes mamelons pouvaient désormais être étirés de plus de 2.5 cm. Maîtresse adorait alors les retirer pour jouer avec eux, les pinçant douloureusement et s'excitant de voir des larmes de douleur couler sur mon mascara.

Deux mois et demis après le début de mon traitement hormonal Judith m'apprenait à porter des habits de plus en plus sexy et de plus en plus provocants.

-Madame m'a demandé de t'apprendre aussi à t'habiller et te comporter en belle pouffe. Elle veut que tu puisses être ultra féminine dans tous les régimes. Du reste aujourd'hui je dois t'habiller pour sortir, donc mini jupe en cuir ultra étriquée d'à peine 30 cm qui laissera apparaître quelques centimètres de tes fesses, corset porte jarretelle en vinyle, bas résilles à grosses mailles, petites bottines très sexy salope montantes avec un talon de 10 cm, perfecto en faux cuir avec manches retroussées sur les poignets afin de montrer tes anneaux. Maquillage à l'avenant avec une épaisse couche de fonds de teint, des yeux très noirs, tes paupières colorées en bleu nuit, de très longs faux cils noirs bien chargés de mascara et un rouge à lèvre rouge vif et ultra brillant. Perruque noire coupe au carré. Un look parfait pour aller faire le trottoir.

Petit détail, comme tout ceci me faisait toujours bander à mort, et que cela se voyait tellement à travers ma mini-jupe déformée, Judith m'installa un petit dispositif pour rendre ma bandaison beaucoup plus discrète. Si j'avais porté une cage de chasteté, il n'y aurait pas eu de problème, mais comme j'étais un sujet particulier, qui devait toujours être en mesure de bander sur demande, une petite chaîne fut attachée au freinum et reliée à l'anneau du nombril, pour maintenir ma bite tendue vers le haut et contre mon bas ventre. Pour éviter une tension douloureuse en cas de débandaison, elle avait pensé à tout et avait ajouté à la chaîne un petit ressort qui permettait de détendre la tension sur le freinum, lorsque ma bite reprenait une position au repos, mais toujours bien tendue vers mon nombril.

Je me regardai dans le miroir, Michel n'existait définitivement plus et je voyais une belle femelle, un parfaite salope qui pouvait sans autre aller déambuler sur un trottoir pour racoler des clients.

Une fois ainsi apprêtée, Maîtresse vint me chercher.

-Ça va être la première fois que tu sors en fille, je veux que tu soies à la hauteur et que tu me fasses honneur lorsque nous serons hors de la voiture. Penses à mettre en application tout ce que Judith à pris la peine de t'inculquer durant ces 2 mois et demi.

-Oui Maîtresse, je ferai très attention.

-Comment te trouves-tu ainsi?

-Je me sens très belle et très féminine Maîtresse, et fière d'être ainsi pour vous plaire. Michel à disparu, je suis Gina. Et j'adore être ainsi sexy, ça me plaît énormément.

-Parfait Gina, je dois dire que tu portes très bien ton patronyme, Gina Putana, mais je ne te cache pas qu'il y a encore beaucoup de progrès à faire pour que tu deviennes cette parfaite femelle que je veux faire de toi.

-Oui Maîtresse, je sais.

-Bien, suis-moi on prends la voiture.

Nous montâmes dans la Rolls et Julien nous conduisit vers la ville.

-Nous allons retourner chez mon ami Adam le pierceur, je pense qu'il est temps d'entreprendre quelques modifications corporelles supplémentaires qui vont te donner encore plus de féminité, mais on en parlera sur place.

Arrivés en ville, Julien fit exprès de se parquer à 200 mètres de l'atelier, ce qui nous obligea à marcher dans la rue. Maîtresse comme à son habitude, toute en cuir, ne se gênait pas d'exhiber une paire de belles cuissardes à talons aiguille de 15 cm, ultra sexy, la cambrant et lui donnant une démarche de rêve, se moquant visiblement des regards désapprobateurs de certains passants. Elle les fixait durement et on les voyait détourner leur regards, gênés. Pour ma part, je me forçais à marcher aussi sensuellement qu'on m'avait appris, tenant Maîtresse par le bras. Nous avions quand même l'apparence de deux belles putes déambulant en ville. Nous entrâmes dans l'atelier d'Adam. Après les salutations et les échanges d'usages, Adam lui demanda :

-Alors ma belle que puis-je faire pour toi?

-Tu vois ma belle petite salope, elle est actuellement en cours de féminisation, elle vient de débuter un traitement hormonal intense, suivi par mon ami médecin Charles. Tu peux voir que le résultat est déjà pas si mal.

-Oui, sacrée transformation depuis la dernière fois, tu permets que je regarde l'état de ses cicatrices?

-Mais oui, ne te gênes pas.

-Je dus me déshabiller un peu, pour lui permettre de m'examiner.

-C'est parfait dit-il, même au niveau du freinum, les cicatrices sont très belles. Joli le petit dispositif pour lui maintenir sa bite dressée, tu me donnes des idées pour certaines clientes dominatrices. Et les extenseurs à tétons font un excellent travail, tu as déjà gagné un bon centimètre depuis la pose.

-Oui, j'en suis ravie, et lorsque nous avons de petites séances dans le donjon, je me fais un plaisir de les pincer, de les mordiller et les lui sucer, juste pour lui voir couler quelques larmes, sans rien oser dire, mmmhh c'est jouissif et ça nourrit mon côté sadique...Ensuite je remet les extenseurs à tétons en tournant un petit peu plus.

-Oui, je connais tes penchants ma belle perverse, mais que puis-je alors pour toi maintenant.

-Voilà, je t'explique. Je veux la faire évoluer pour en faire une belle sissy slut, ultra sexy. Pour moi, une vraie sissy doit porter son sexe au milieu de sa figure, ça doit se voir au premier regard que c'est une belle petite salope à bite. Mais pour le moment je ne la trouve pas encore assez vulgaire pour ça. Je voudrais la rendre plus sexy et surtout lui offrir un look plus vulgaire, les deux choses allant de pair. Ce côté vulgaire salope de filles faciles qui les rends irrésistiblement attrayantes et attire tellement les mecs, car le maquillage ne fait pas tout. Donc j'ai besoin de lui faire quelques ajustements. En premier lieu ses lèvres, pourrais-tu bien les gonfler à l'acide hyaluronique pour les rendre beaucoup plus pulpeuses, pour en faire avant tout de parfaites lèvres à suceuse? Je sais que tu es aussi habilité à le faire. Te gênes pas et mets-en autant que tu peux lui en mettre, je les veux bien grosses pour lui donner cette apparence de pouffe bien vulgaire, même un peu exagéré. Ensuite lui marquer le contour de ses lèvres avec un trait bien foncé, du style orange très foncé voire brun. Il faudrait aussi lui faire un maquillage permanent bien marqué du contour des yeux ainsi que bien mieux lui marquer les sourcils. Finalement lui implanter des faux cils bien longs. Peux-tu faire tout ça? Je ne veux surtout pas du naturel, mais du bien lourd et exagéré, bien artificiel tout comme les putes qui se maquillent outrageusement.

-Oui bien sûr, j'ai toutes les accréditations pour ces interventions, mais je ne vais pas pouvoir tout faire le même jour. Le contour des lèvres il faudra attendre qu'elles aient pris leur forme définitive par exemple. Ça te fera revenir d'ici une semaine, dit-il avec un sourire.

-Oui, je comprends. J'envisage encore une intervention sur ses yeux, pour leur donner une forme en amande, mais là ce sera dans une clinique. Déjà avec ça elle va devenir méconnaissable par rapport au Michel d'avant. Et je me réjouis de la voir en belle pouffe ultra vulgaire, ultra provocatrice, aguicheuse, maquillée comme une pute, le fonds de teint trop foncé pour sa carnation, appliqué à la truelle, le mascara débordant, l'eye liner qui dépasse et ses lèvres de suceuse recouvertes d'un rouge vif brillant, en attirant tous les regards des mâles vicieux dans ses cuissardes argentées à talon et sa mini de la même matière. Il approuva.

-Tu sais la psychologie de la sissy slut est tout aussi importante que son look et je m'emploie actuellement aussi à lui faire subir d'intenses séance de brainwashing, de lavage de cerveau. Ça fonctionne vraiment bien, tu vois le résultat ici. Avec ce que tu vas encore lui faire, elle va devenir canon.

-Je vais tout faire pour te satisfaire ma belle. Je te propose de commencer par ses lèvres.

Adam m'installa sur la chaise couchée et à l'aide d'une seringue munie d'une très fine aiguille, m'injecta le produit dans mes deux lèvres. Elles enflèrent passablement et ce fut assez douloureux.

-Ne t'inquiètes pas, d'ici 3 jours tout sera redevenu normal, sauf que tu seras beaucoup plus belle et sexy. Ensuite on passa à l'eyeliner noir de la paupière et du bas de l'oeil, très prononcé, gravé en tatouage, à l'aide d'une aiguille et donc irréversible. Désormais j'avais le contour de mes yeux maquillés d'un épais trait noir, avec de vrais yeux de biche, me donnant un regard beaucoup plus profond et très féminin. Finalement on passa à la pose de longs faux cils. Mon visage était définitivement modifié.

-Pour le contour des lèvres et les retouches aux sourcils, repasse d'ici une semaine, lorsque ce sera parfaitement désenflé. On fera le tout et je vais lui faire une vraie bouche de pouffe, tu seras ravie et elle aussi.

Nous étions sur le départ, lorsque Maîtresse s'adressa encore à Adam.

-Adam, tu connais mon petit problème sexuel, dès que l'envie arrive, je deviens incapable de résister, il me faut mon orgasme. C'est devenu encore pire depuis 3 mois que je l'utilise pour calmer mes ardeurs. Je me suis tellement habituée à lui que je n'arrive simplement plus attendre. Et là soudain j'ai vraiment besoin d'un orgasme. Tu sais c'est presque comme si tu as besoin de faire pipi, vient un moment où tu ne tiens plus. Comme je sais que tu es homo, je ne peux pas te demander de me sauter (sourire), mais est-ce que ça te dérangeait si je demandait à Gina de me calmer, sur ta table, devant toi?

-Non, au contraire, je me ferai un plaisir de vous voir à l'œuvre.

-Oh, t'es un chou, merci, mais stp, met un linge sur ta chaise, je ne veux pas la souiller.

Maîtresse m'appela pendant qu'elle s'installait sur la chaise de tatouage, jambes écartées, mini retroussée et chatte déjà gluante à l'air, toujours aussi indécente et s'assumant.

-Viens mon toutou, commence par bien lécher Maîtresse comme tu sais si bien le faire et profite de montrer à Adam.

Je m'agenouillai devant sa chatte et à son habitude, elle tira ma tête contre elle et m'exhortait.

-Vas-y ma chienne, suce moi, lèche, mordille moi bien, ouiii c'est bon, encore, ne t'arrête pas, entre ta langue dans ma chatte et bois mes jus.

A ce moment elle se rendit compte que ma bite était bloquée, attachée au nombril. Elle s'interrompit et demanda à Adam

-Adam, tu as vu, sa bite est attachée à son nombril, tu pourrais stp lui retirer la barette du frenulum et la lui libérer?

-Avec plaisir dit-il.

Je me retournai vers lui, ma bite dressée et dure comme un roc.

-Mmmh quelle jolie bite, alors elle oui qu'elle m'intéresse, dit-il avec un aire complice. Il ne se gêna pas de bien la caresser durant le geste.

-Ah non lui dit Maîtresse, jouant la fâchée, tu touches pas, elle est à moi et là j'en ai urgemment besoin.

-Ok, alors un jour tu me la prêteras?

-Mais oui, promis, mais stp libère sa bite.

Adam retira la barrette du frenulum pour libérer ma bite et sans attendre je m'introduisit dans sa chatte brûlante et trempée tout en commençant à la besogner, ses mains agrippées à mes fesses. Elle était à nouveau tellement chaude que son orgasme monta en quelques minutes, pendant que ma bite allait et venait et glissait dans sa chatte abondamment lubrifiée, sous les yeux fascinés d'Adam qui ne perdait rien du spectacle qui lui était offert.

Maîtresse, comme à son habitude eut besoin de quelques minutes pour récupérer.

-Tu viens de me donner une jolie idée lui dit-elle, revenant sur terre, la prochaine fois je veux que tu lui tatoues aussi sa bite en y écrivant encore une fois : « Propriété exclusive de Maîtresse Irina ».

-Ça marche, je te ferai ça. Je te l'offrirai même en contre partie de ce joli spectacle.

-Merci t'es un chou Adam.

Sur ces dernières paroles nous le quittâmes pour rentrer au château.

Après une semaine, mes lèvres s'étaient bien désenflées, mais restaient quand même bien plus épaisses et marquées qu'auparavant. Du reste je le sentais bien en fermant ma bouche, mes lèvres reposaient beaucoup plus l'une sur l'autre. Je remarquai aussi que pour manger, je devais plus ouvrir ma bouche. En me regardant dans le miroir, je voyais des lèvres bien hypertrophiées de belle pouffe, qui vulgarisaient mon visage, mes lèvres exagérément épaissies attirant beaucoup plus l'attention sur elles qu'auparavant. Et bien évidemment que tout homme qui me regardait ne pouvait imaginer autre chose qu'avoir sa bite glissant entre elles.

La semaine suivante, nous sommes retournés à l'atelier, moi toujours habillée dans les mêmes habits ultra provocants et bien sur maquillage à l'avenant, pour terminer le travail. Adam me tatoua définitivement un magnifique contour des lèvres bien épaissies, de couleur orange-brun assez foncé, délimitant parfaitement un rouge à lèvre bien criard, d'une carnation recouverte d'une épaisse couche de fonds de teint « à la pute ». Jour après jour, je me voyais changer et devenir de plus en plus femme, mais femme salope, avec cette touche de vulgarité qui fait les vraies bimbos pouffes. Du reste Judith m'apprenait à prendre des airs faussement supérieur et dédaigneux et blasés, à la manière des adolescentes, de manière à être capable de les adopter selon les circonstances. Ensuite j'eu droit au tatouage de ma bite. Maîtresse avait bien pris la précaution de me faire prendre 40 mg de Cialis ce matin là et durant toute l'opération, ne cessa pas de me caresser ma bite pour la maintenir bien allongée et bien dure, durant tout la séance. Deux heures plus tard, au dessus de ma bite était gravé en lettres gothiques bien noires : « propriété exclusive de Maîtresse Irina ». Je savais la marque totalement indélébile et donc toute la signification de ce tatouage.

-Donc baise avec une capote durant 1 semaine à 10 jours, on est d'accord?

-Bien compris dit Maîtresse, c'est parfait. Ainsi il n'y a plus aucune ambiguïté sur le fait que cette jolie petite chose m'appartient. Et le fait qu'il ait accepté cette marque et se soit laissé faire démontre sans équivoque son désir de l'être, sans aucun compromis.

Nous sommes ensuite rentrés au manoir. Le tatouage était douloureux et boursoufflé. Maîtresse m'accorda deux jours sans coït, où je dus la satisfaire avec ma langue et avec le gode buccal, mais pour elle rien ne remplaçais mon beau bâton vivant de 20 cm, accroché à un corps-objet chaud et vigoureux, qu'elle utilisait comme sa machine à baiser.

Les deux semaines suivantes se passèrent dans la routine mais mes journées étaient de mieux en mieux remplies, me laissant de moins en moins de temps pour mes jeux vidéos. Les services à Maîtresse, mais aussi des séances de dressage dans le donjon, où j'étais familiarisée avec des instruments bdsm variés, entre des séances de punition à la cravache, au paddle, au fouet, de sodomisation par le gode ceinture de Maîtresse. Mon anus devenait aussi de plus en plus accueillant à force d'être écartelé acceptant désormais des godes de 5 cm que m'introduisait Maîtresse. Curieusement, je n'avais toujours pas été proposée à un homme et seul Julien avait le droit de m'inséminer. Mais doté de sa petite bite, il commençait à se lamenter que je devenais trop large pour lui et que mon cul n'était plus si agréable qu'au début. Maîtresse lui avait encore fait comprendre que son but était qu'un jour je puisse accepter tout les calibres qui pouvaient se présenter...elle n'en dit pas plus. Je prenais mes pilules tous les jours et une fois par semaine j'avais droit à ma piqure d'hormones. L'éducation féminine que me prodiguait Judith se poursuivait aussi, en m'apprenant à être de plus en plus salope, autant dans ma manière de me comporter que dans celle de m'habiller.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
3 Commentaires
Sium38Sium38il y a plus d’un an

Belle évolution d'un étalon soumis à une belle salope suceuse.

GinaputanaGinaputanail y a plus d’un anAuteur

Oui, je ne souhaitais pas aligner du porno hard, hyper cru et intense à longueur de phrases, comme dans d'autres récits, mais décrire une lente, systématique et définitive descente dans les tréfonds du vice, pour le plus grand plaisir de Maîtresse et de son toutou complaisant, afin d'en arriver à "normaliser" la perversité la plus aboutie dans sa tête de petite femelle sexuellement dégénérée et tellement heureuse de l'être. Et en arriver à un point de non retour. La manière de décrire les choses est délibérée. Comme vous dites, à mesure qu'elle avance, la perversité devient sa nature profonde. Et vous finirez bien par la voir mettre en pratique ce pour quoi Maîtresse la destine. Un grand merci pour vos commentaires Aurailiens, qui font toujours plaisir à lire. Gina

AurailiensAurailiensil y a plus d’un an

Bravo pour la description de cette lente transformation. Gina Putana va devenir un véritable concentré de perversité... vraiment très excitant ! Va-t-on la voir à l'oeuvre ?

Partagez cette Récit

Histoires SIMILAIRES

House of Seduction Ch. 01 A straight man is faced with a world of sissies and sex.
A Year in the Life of... Ch. 01 A story of feminisation.
Transformation When a few men are transformed to women.
Une Maîtresse inattendue (01) Rencontre avec une médecin dominatrice qui va m'éduquer.
Neighbourhood Terror to Sissy Pt. 01 A story about a neighbour who wants some payback.
Plus d'histoires