La Petite Amie de Mon Frère ! 01

Toph, un homme de 45 ans au physique imposant, il accueille chez lui son frère Richard et sa petite amie Eva pendant la pandémie de Covid-19. Richard, un jeune infirmier de 25 ans, a été affecté à Paris pour prêter main-forte dans un hôpital submergé par l'afflux de patients. Eva, quant à elle, est une étudiante de 18 ans, remarquable par sa beauté, qui poursuit ses études en visioconférence

La cohabitation se passe bien, mais Toph ne peut s'empêcher de remarquer à quel point Eva se promène souvent en tenue légère dans l'appartement, suscitant en lui des désirs qu'il s'efforce de réprimer. Après tout, elle est la petite amie de son frère et elle est bien plus jeune que lui

Mais un soir, les gémissements et les cris d'Eva pendant qu'elle fait l'amour avec Richard poussent Toph à bout. Il entend Eva crier "Vas-y, défonce-moi le cul", "Tape au fond, j'suis pas ta mère", "Baise-moi comme une salope", "J'aime la queue".

Puis il entend Richard pousser des gémissements, il doit jouir et Eva crie "Putain, tu es trop précoce, lèche-moi la chatte pour qu'enfin, que moi aussi je jouisse".

Tout ces bruits, ces paroles crues excite énormément Toph, déjà qu'elle le fait bander quand elle se balade presque à poil dans l'appartement.

Ce soir-là, il se branle en imaginant être à la place de son frère, et lorsqu'il entend Eva se plaindre que Richard est juste bon à la faire jouir avec sa langue et qu'il ne lui fait pas atteindre l'orgasme avec sa queue, Il crache de nombreux jets de sperme sur son lit, en poussant de nombreux râles et en criant "tiens prends ça salope". "Merde", dit-il, "j'espère que personne ne m'a entendu, et en plus je suis bon à changer mes draps de lit demain matin". Il s'endort plus détendu.

Le lendemain matin, alors que Toph travaille sur son ordinateur dans le salon, il entend du bruit provenant de sa chambre. En s'y rendant, il découvre Eva en train de changer les draps de son lit. Elle lui explique avoir remarqué qu'ils étaient sales et les avoir remplacés par des propres. Toph est convaincu qu'elle a entendu ses gémissements de la nuit précédente et qu'elle est venue constater les dégâts."

Eva se baisse pour ramasser les draps sales, et Toph ne peut s'empêcher de remarquer à quel point son short est court et à quel point son cul est magnifique. Il bande immédiatement, et Eva remarque la bosse dans son pantalon. Elle passe sa langue sur ses lèvres en le regardant droit dans les yeux, puis renifle les draps sales, déclarant qu'ils sentent bon son odeur.

Toph doit rassembler tout son courage pour sortir de la chambre sans sauter sur Eva.

Dans l'après-midi, Eva reçoit un appel de l'hôpital où Richard travaille : il a contracté le Covid et doit rester en isolement pendant plusieurs jours, mais il se porte bien. Eva vient prévenir Toph et lui annonce que Richard avait réservé un restaurant pour le soir même. Elle lui demande de l'accompagner, et il accepte, à condition que ce soit lui qui règle l'addition.

Le soir venu, Toph attend Eva dans le salon. Elle apparaît dans une robe blanche très fine, presque transparente et fendue sur toute la longueur des jambes, ce qui la rend encore plus désirable. Ils passent une soirée agréable, mais Eva commence à évoquer les capacités sexuelles médiocres de Richard, mettant Toph mal à l'aise.

Lorsqu'ils rentrent à la maison, ils prennent un dernier verre. Alors qu'ils sont assis sur le canapé, Eva croise les jambes, dévoilant leur superbe galbe. Toph ne peut s'empêcher de fixer ses cuisses, ce qui n'échappe pas à Eva.

"Tu sais, Toph, je sais que tu me désires," dit-elle en souriant. "Je l'ai vu dans tes yeux quand tu me regardes. Et ta queue ta trahit plusieurs fois"

Toph est pris au dépourvu, mais il essaie de garder son sang-froid. "Je ne sais pas de quoi tu parles," ment-il.

Eva rit. "Ne joue pas les innocents avec moi," dit-elle. "Je sais que tu as entendu Richard et moi faire l'amour. Je sais que ça t'excite. « J'ai senti ton jus sécher sur tes draps

Toph rougit, mais il ne peut nier la vérité. "Eva, je ne peux pas... tu es avec mon frère," dit-il.

Eva se penche vers lui, ses yeux fixés sur les siens. "Et alors? Richard n'est pas ici ce soir. Et entre nous, il n'est pas très doué au lit," dit-elle en riant. "Je suis sûre que tu pourrais faire beaucoup mieux."

Toph est choqué par ses paroles, mais il ne peut nier qu'elles l'excitent. Eva se lève alors, et se dirige vers la porte. "Je vais me coucher," dit-elle. "Si tu changes d'avis, tu sais où me trouver."

Toph reste assis sur le canapé, les pensées en désordre. Il sait qu'il ne devrait pas céder à la tentation, mais les mots d'Eva résonnent dans sa tête. Il se décide finalement à se lever et à monter dans sa chambre, se déshabille et se couche dans son lit, mais il ne peut s'empêcher de penser à Eva et à ce qu'elle lui a dit.

Lorsqu'il entend des gémissements venant de la chambre d'Eva, il ne peut résister à l'envie d'aller voir ce qui se passe. Il trouve Eva nue allongée sur le lit, se masturbant avec un vibromasseur. Elle le regarde dans les yeux, Elle sort le vibromasseur de sa chatte, il dégouline de mouille, elle le lèche et dit à Toph " tu veux goûter, mon salop? " ensuite elle baisse les yeux sur sa queue dressée, et dit : "Tu as une plus grosse queue que ton frère, j'espère que tu sais mieux t'en servir que lui."

Toph sans hésiter lui dis « Pour le savoir, tu vas devoirs y goutter »

Toph ne lui laissa pas le temps de répondre, il fit un bond jusqu'à elle, l'attrape par les cheveux et lui enfonce sa bite dans la bouche. Eva a du mal à garder la grosse queue de Toph en bouche, mais elle continue de sucer avidement, bavant énormément

Après quelques minutes, Toph retire sa bite de la bouche d'Eva et la regarde dans les yeux. Il prend une bouteille de lubrifiant sur la table de nuit et en verse une généreuse quantité sur sa queue, se masturbant lentement devant Eva.

"Tu es une vraie chaudasse, n'est-ce pas?" dit-il.

Eva sourit. "Oui, je le suis," répond-elle. "Et toi, tu es un vrai étalon. Je veux que tu me baises comme une grosse salope"

"Je vais t'enculer, petite pute" dit Toph, sa voix trahissant son désir.

Eva hoche la tête, les yeux brillants de désir. "Oui, je veux que tu m'encules," répond-elle, sa voix à peine audible. "Je veux sentir ta queue en moi."

Toph se positionne derrière Eva, attrape le lubrifiant qui la laissé près du vibro et en recouvre la rondelle d'Eva puis écarte ses fesses pour révéler son trou du cul serré. Il guide sa queue lubrifiée vers l'entrée de son intimité, sentant la chaleur humide de son désir.

"Tu vas avoir le cul bien rempli, ma belle," dit-il, "Je vais te baiser comme les salopes comme toi aiment l'être"

Et avec un mouvement lent mais puissant, il s'enfonce en elle. Eva pousse un cri, un mélange de douleur et de plaisir, alors que Toph remplit son intimité. Il s'immobilise un instant, laissant à Eva le temps de s'habituer à sa présence en elle. Puis, il commence à bouger, ses hanches se déplaçant dans un rythme lent et régulier.

Chaque coup de rein est comme une explosion de plaisir, faisant monter la tension dans leurs corps. Eva gémissait et haletait, ses mains crispées sur les draps, tandis que Toph grognait et soufflait, ses mains toujours fermement ancrées sur les hanches d'Eva.

"Putain, Toph... C'est... C'est trop bon, j'adore ta grosse queue, ramone-moi mon cul de salope." gémissait Eva, ses mots entrecoupés par ses gémissements de plaisir. "Je... Je vais jouir..."

Ces mots poussèrent Toph à accélérer, il la fessa brutalement et la défonçait à présent à grands et puissants coups de queue, au bord du gouffre, avec un dernier grognement, il se laissa aller et remplit le cul d'Eva de sa semence, son corps se tendant alors qu'il atteignait l'apogée du plaisir. Eva cria, son corps se convulsant sous lui alors qu'elle était emportée par sa propre vague de plaisir.

Ils restèrent ainsi, enchevêtrés l'un à l'autre, leurs corps, leurs respirations saccadées remplissant le silence de la chambre. Toph se retira finalement du cul d'Eva, s'allongeant à côté d'elle.

"Maintenant que t'y à goûter, tu vois une différence?" demanda-t-il, un sourire satisfait sur les lèvres.

Eva tourna la tête vers lui, un sourire épanoui sur son visage. "Oh oui," répondit-elle, sa voix encore tremblante. "Je l'ai vu et sentie."

Ils restèrent là, silencieux, savourant les derniers échos de leur plaisir partagé. Ils savaient que leur relation venait de franchir une ligne, une ligne qu'ils ne pourraient peut-être jamais effacer. Mais pour l'instant, ils ne voulaient penser à rien d'autre qu'à la chaleur de leurs corps, à la douceur de leurs caresses.