La Pause Déjeuner

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Marie déjeune de foutre...
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J'avais laissé passer quelques jours, notamment parce que j'avais dû quitter Paris pour un court voyage professionnel, mais le souvenir de la soirée avec Marie restait très présent. Nous n'avions fait l'amour qu'une fois et je sentais que notre relation sensuelle était pleine de potentiel. Son corps m'attirait et aussi sa personnalité, simple et soumise, dont j'avais bien l'intention de jouer.

« Bonjour Marie, c'est Pierre. »

« Bonjour... »

« On peut se voir à midi? Je passe te prendre à ton travail? »

« Euh oui, d'accord. Tu veux faire quoi? »

« Te voir bien sur. On décidera de ce qu'on fait quand on sera ensemble. »

Comme elle travaillait tout près de chez elle, j'avais une idée précise de l'emploi du temps de la « pause déjeuner ». Mais je préférais ne pas encore dévoiler mes batteries car j'espérais que l'emprise que je sentais avoir sur elle la conduirait à désirer que nous allions chez elle plutôt qu'au restau. Elle avait eu l'air tellement troublée par la manière attentive dont je l'avais baisée et fait jouir que je sentais que ce n'était pas une expérience courante pour elle et j'espérais bien qu'elle en redemanderait...

Elle sortit à l'heure pile, un grand sourire illumina son visage en me voyant et, à ma surprise heureuse, je la vis trotter vers moi plutôt que marcher. Elle s'arrêta et me dit

« Allons-y, ici il y a tous mes collègues. »

J'opinais et, sans même me demander mon avis, elle se dirigea vers son appartement, Je marchais à côté d'elle sans lui prendre la main pour respecter l'espèce de confidentialité qu'elle souhaitait garder sur le fait qu'elle avait un « amoureux ». De temps en temps, elle tournait son visage vers moi et me regardait d'un air bizarre, un mélange d'envie et de méfiance comme si elle sentait qu'elle mettait le doigt dans un mécanisme qu'elle ne maîtrisait pas...

Nous sommes passé devant de nombreux restaurants mais visiblement, elle m'emmenait chez elle, pleine du désir de se faire aimer encore. La sentir si désireuse de se donner augmentait mon excitation et j'avais grande hâte d'arriver, de pouvoir la prendre dans mes bras, la déshabiller et hm la baiser. Elle marchait vite, pressée d'arriver et la tension érotique entre nous était très grande sans même que nous ayons besoin de nous parler ou de nous toucher. Dans nos esprits, nous étions déjà en train de faire l'amour, le désir submergeait tout.

Sitôt entrés dans son studio, elle se jeta à mon cou et me donna sa bouche bien ouverte pour prendre ma langue. Je la lui fourrais et sentis la sienne tourner autour, nos bouches se suçaient avidement, elle gémissait se frottait contre moi, tout son corps demandait à être nu, à se faire caresser, baiser, à jouir. J'avais rarement rencontré une fille aussi affamée de baise et ce désir exhibé sans retenue, complètement animal, sans un mot, juste comme une chatte en chaleur se tortille en attendant la bite du matou, était incroyablement excitant. Mes mains courraient avidement sur elle et je commençais à ouvrir son corsage mais nos mouvements compulsifs rendaient je dois dire la tâche difficile! Elle s'écarta de moi avec un petit cri d'impatience et entrepris de se déshabiller elle-même, des gestes urgents, précis, pas une seconde à perdre. Elle voulait être à poil, prise baisée, son sexe commandait visiblement.

Inutile de le dire, je me déshabillais avec la même hâte ; ma bite voulait être libre, désireuse de remplacer sa prison de tissus par celle, faite de chair douce et mouillée, de sa chatte demanderesse. Nus maintenant, nous avons repris notre étreinte, nous frottant cette fois peau contre peau. Ma verge se branlait sur son ventre moelleux, ses seins s'écrasaient sur ma poitrine et mes mains s'étaient emparée de son cul pour le pétrir, glisser dans sa raie, la faisant gémir de plaisir et d'envie. Elle pris ma queue et mes couilles et commença à les presser d'une manière spasmodique et urgente. Je voulus ralentir un peu et la pris à bout de bras, la laissant se tortiller :

« Hm tu as vraiment envie, hein? »

Elle rougit et ne répondit pas même.

« Dis-le moi, je veux t'entendre dire que tu as envie. »

Sans me regarder, elle dit « Oui j'ai envie. »

« Envie de quoi?

« Envie que tu me fasses l'amour »

« Envie de te faire baiser, hein? »

« Oui... »

« Dis le... »

D'une toute petite voix : « J'ai envie que tu me baises, oui. »

Hm j'aimais lui faire dire des mots qui la troublaient, la mettaient un peu mal à l'aise mais démontraient mon pouvoir sur elle. Je savais que ce vocabulaire, baiser, bite, lui était étranger et c'était bon de l'habituer à l'utiliser d'autant que j'y suis sensible et que ça augmentait mon excitation. Poussant un grognement, j'attrapais ses seins et commençais à les pétrir en la tenant à distance. Elle poussa un cri quand mes doigts pincèrent ses tétons déjà gros et durs et chercha à se coller contre moi mais je la tins encore éloignée. Elle se tortillait de désir mais je la dominais et elle se soumit, se laissant masturber les seins. Elle ne pouvait s'empêcher de se frotter les cuisses l'une contre l'autre dans une tentative pour se branler la chatte et ma bite gonfla encore plus en voyant des petits filets de jus couler sur ses cuisses.

Je posais mes mains sur ses épaules et pesais.

« Viens me sucer. »

« J'aime pas. »

« Je vais te faire aimer, viens prend juste mon gland pour commencer. »

Peu convaincue mais obéissante, elle se mis à genoux et posa une manière de baiser timide sur le bout de mon gland. Hm cette caresse sur ma fente ne fit qu'exacerber mon désir d'une vraie pipe, de sentir sa bouche juteuse pomper ma queue.

« Lèche-moi autour du gland. »

Elle sortit sa langue et commença à me lécher doucement, trop légèrement pour mon gout mais c'était un début. Comme ses lèvres étaient entr'ouvertes, je poussais ma queue en avant et commençais à la branler sur sa bouche. Elle me suçait, sans me prendre réellement dans sa bouche, juste les lèvres tendues qui faisaient ventouse sur mon gland et c'était moi, en bougeant légèrement d'avant en arrière, qui assurait le frottement. Elle gémit quand je poussais plus fort et que ses lèvres se refermèrent autour de la base du gland.

Je gémis aussi de plaisir :

« Oh oui suce c'est bon, suce moi. »

Et elle obéit, ses lèvres courant maintenant d'avant en arrière sur mon gland décalotté. Visiblement elle s'excitait et quand je lui dis « Hm, tu suces bien, prends en plus. », elle commença à se fourrer ma tige plus profond dans la bouche, accélérant le mouvement de pompage sur le corps de ma verge. C'était bon de la voir ainsi, la bouche arrondie, moulée autour de ma grosse bite. Mes veines se gonflaient et ressortaient toute sinueuses, saturant ma queue de sang. Elle se tenait à mes cuisses et je lui dis « Caresses moi les couilles, prends les dans ta main pendant que tu me suces. » D'un geste encore hésitant elle pris ma bourse toute remontée et bien dure et la pétris un peu maladroitement : décidément, son expérience amoureuse était limitée mais elle ne demandait qu'à apprendre pour peu qu'elle ait un professeur exigeant et méthodique! « Caresse-les sans les pétrir, doucement que je sente tes ongles. Et monte entre mes cuisses aussi. » Oh que c'était bon maintenant : elle me suçait en prenant une bonne partie de ma queue dans la bouche, sans même le réaliser et je sentais ses doigts courir sur la peau de mes couilles, ses ongles ajoutant à la force de la caresse. Lorsqu'elle glissa un doigt derrière les bourses pour caresser mon périnée, je me tordis de plaisir : elle n'en était pas encore à me caresser le cul en me suçant la bite, mais c'était un bon début. Je sentais mon plaisir monter et décidais de passer aux choses sérieuses, à sa chatte qui ne demandait qu'à être enfilée et remplie de foutre.

Je la fis lever et la conduisit face au mur, lui appuyant les deux mains et la faisant se courber. Ses fesses étaient ainsi offerte, je voyais le trou de son cul, tout sombre sur la peau blanche de sa raie et en dessous sa chatte qui jutais sur ses cuisses. Je passais ma main sur sa vulve et atteignis son clito, la faisant gémir et se tortiller. Mon plaisir était immense : d'une main je me branlais et de l'autre je jouais aves sa vulve, son trou que je caressais au passage, son clito gonflé qui la faisait sursauter en glapissant au moindre attouchement. Elle réagissait violemment à mes caresses, gémissant tordant ses hanches et se cambrant pour offrir encore plus son sexe, dans des postures obscènes et excitantes. C'est si bon de rendre une femme complètement chienne et folle de désir quand on sait qu'on va l'assouvir et la faire jouir!

Saisissant ses hanches, j'appuyais mon gland décalotté sur l'entrée de sa chatte et poussais. Hm c'était si bon de le sentir entrer dans cette caverne trempée, douce et qui bougeait dans tous les sens!

« Tu aimes? Je suis en train de te mettre ma queue. Tu en veux plus? Tu la veux en entier? »

Elle poussa son cul pour entourer mieux ma bite et gémit

« Oh oui, oui oh là là! »

Lentement je commençais à la baiser, je voyais ma tige disparaître peu à peu dans son puits et dans une ultime poussée je m'enferrais entièrement dans son con chaud. Je restais un instant immobile, pour profiter juste de ses mouvements à elle, elle avançait et reculait pour se baiser et, en me retenant de la bourrer, je créais visiblement une frustration qui la rendait folle. Enfin j'obtins ce que je voulais.

« Baise-moi, baise-moi! »

Hm j'aimais l'entendre demander, passer outre sa réserve pour exprimer son besoin, son envie brûlante. C'était un effort de me retenir mais il en valait la peine, j'avais tellement envie de la dresser à quémander son plaisir! Je commençais à bouger moi aussi, lentement, sentant chaque millimètre de caresse lorsque je retirais ma queue et encore plus lorsque je la poussais, tirant sur mon prépuce, frottant mon gland contre les parois de son vagin.

Puis j'accélérais progressivement, le désir montant en moi, l'envie de la défoncer, d'aller au bout de son vagin, de m'écraser sur le mur de chair douce qui protégeait son utérus. Je la tenais bien pour limiter ses propres mouvements erratiques qui auraient pu éjecter ma bite et la baisais, la baisais maintenant comme une bête en « couvre » une autre ; plus de pensées, plus rien que ce besoin éternel de baiser la femelle, de la dominer en envahissant son ventre, de lui cracher le foutre. Je sentais son con palpiter sous mes assauts, ses muscles connaissaient des spasmes involontaires et de plus en plus puissants maintenant, écrasant mon membre quand je poussais, augmentant son étroitesse et, partant, mon plaisir : quoi de meilleur qu'une chatte étroite qui vous gaine bien la queue?

« Jouis Marie, je vais jouir aussi. Viens profite bien de ma queue! »

Je retenais mon sperme dans l'attente de sa propre jouissance car je savais que ça décuplerait notre plaisir, à l'un comme à l'autre : moi de sentir son con se serrer totalement autour de ma queue, elle de sentir les jets de sperme crachés dans son ventre et coulant sur ses cuisses écartées.

« Ah je jouis, je jouis. Oh c'est bon ah ah ah je jouis!»

Elle haletait et poussait de petits cris aigus à chaque vague de plaisir, à chaque jet de foutre. Son con était aussi précis dans les étreintes autour de ma queue que quand je me masturbe moi-même, une précision idéale correspondant exactement au point à frotter, à l'intensité du frottement. Hm j'avais vraiment trouvé une baiseuse de luxe sur le Minitel! Elle s'affaissa enfin et je l'accompagnais lorsqu'elle finit à genoux, appuyée contre le mur. Je passais à côté d'elle et frottais ma queue toute souillée sur sa joue puis sur sa bouche qui resta obstinément fermée. Tiens donc...

Je lui saisis les cheveux et frottais plus fort :

« Nettoie moi la bite, je veux que tu la suce, tu auras le goût de mon foutre et de ton jus. »

« Non, non. »

« Oh si, suce là, prends la bien dans ta bouche, ça va la faire bander et me faire jouir. »

Soumise, elle ouvrit sa bouche et commença timidement à me lécher le gland, le prenant dans ses lèvres puis léchant toute la longueur de ma bite encore un peu gonflée.

Mieux que ça, fais moi bander, fais moi jouir. ».

Elle me pris alors franchement et commença à me sucer tandis que je bougeais les hanches pour lui baiser la bouche en même temps. Elle se prenait visiblement au jeu et, sans hésiter maintenant elle pompait en me massant la base de la bite et les couilles. Elle me sentit tressaillir lorsque sa main glissa jusqu'entre mes cuisses, me caressant le périnée et glissa son doigt tout en massant mes bourses. Hm c'était bon, elle était à genoux, levant les yeux sur moi, suçant ma queue, juste cherchant à faire jouir son mec! Décidément quel bon coup cette fille! Je baisais de plus en plus fort, elle suçait avec ardeur et je sentis qu'une deuxième giclée allait partir...

« Ah je viens, tu va avoir mon jus, oui comme ça serre bien! »

Et sans même chercher à me sortir de sa bouche, elle écrasa ma bite entre ses lèvres pour que je me baise fort, glissant son doigt vers mon cul. Ah quelle bonne petite salope! Mon bassin bougeait frénétiquement pour extraire la dernière goutte de jus de mes couilles et je criais de plaisir en lui déchargeant mon foutre dans la bouche. Elle en avala une partie et laissa l'autre lui couler sur le visage, les seins...

Je la relevais et pris sa bouche qui avait le gout de mon foutre. À mon tour, le la nettoyais, léchant ses joues, son menton tout gluant, descendant sur ses seins pour les lécher eux aussi -- et aussi téter un peu ses gros bouts désirables. Elle cria « Oh non c'est trop fort. » et j'abandonnais à regret ses tétons pour embrasser encore sa bouche toujours ouverte et disponible...

Soudain, elle sursauta

« Oh là là, il ne faut pas que je sois en retard! ».

Elle courut sous la douche pour une toilette rapide dans laquelle je l'accompagnais, me retenant de ne pas la caresser d'une manière trop érotique mais profitant encore un peu de ses seins accueillants, de son cul rebondi...

Diable, ça au moins c'était une « pause déjeuner »!

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