La nouvelle vie de Christine Ch. 24

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Il est temps que son mari soit au courant.
3.1k mots
4.28
22.4k
1

Partie 24 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/03/2016
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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d'une mère de famille. Si vous n'aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur "MILowner"

************************

Je vais avancer un peu dans le temps pour arriver un petit peu avant le quarantième anniversaire de Christine. Au cours des derniers mois, nous avions eu une routine bien huilée. Ma belle-mère était sexuellement complétement sous mon contrôle. Mais je ne lui avais jamais imposé de situation où elle ne pouvait pas satisfaire les bites qui se présentaient.

Elle était employée en tant que « faciliteuse de contrat » et elle faisait un travail exceptionnel. Son compte en banque était bien rempli, comme le mien. Si bien que je ne travaillais pas.

Nous continuions à rencontrer Claude RINCLOT et les autres enseignants une fois par mois, ainsi que Paul GREUCORE, Adam BEAUMONT et Jean VANNIER sur une base mensuelle aussi.

J'avais dû refuser plusieurs offres d'autres hommes qui voulaient la baiser. Mais de pas de sexe du tout elle était passée à quarante bites différentes dans ses trous. Elle commençait à fatiguer et donc je limitai ses ébats pour pouvoir en profiter moi-même.

Ce fut un mois avant son anniversaire que je reçus un appel de ma petite amie, la fille ainée de Christine. Elle m'informa qu'on lui avait proposé un poste permanent à l'étranger et qu'elle avait rencontré quelqu'un d'autre. Elle ne rentrerait pas chez elle de longtemps. Aujourd'hui, ça ne me dérangeait pas car je ne l'avais vu que deux ou trois fois en deux ans et sa mère était suffisante pour mes besoins. Donc je luis dis de profiter de sa carrière et adieu.

Ce que je ne savais pas ou plutôt à quoi je n'avais pas pensé jusqu'à ce que j'entende Alain le mari de Christine l'engueuler un soir, c'est que mon ancienne copine avait aussi averti ses parents que nous n'étions plus ensemble. Cela risquait de me poser des problèmes d'hébergement. J'entendis un soir Alain, saoul comme d'habitude, engueuler encore sa femme et lui dire de me foutre dehors. Je savais qu'il se conduisait comme une brute quand il était saoul mais c'était une vraie poule mouillée dans son état normal et surtout un gros fainéant.

Ce fut deux jours plus tard, après qu'Alain soit sorti boire, après que sa fille Alice soit partie avec son petit copain Rick et qu'après m'être vidé dans sa chatte, Christine me répéta ce que lui avait dit son mari :

- Maître, Alain dit que vous devez partir de la maison maintenant que notre fille n'est plus votre petite amie.

J'avais déjà pensé longuement et sérieusement à ce que je devais faire depuis que j'avais entendu Alain. Je n'étais pas prêt à volontairement abandonner ma soumise. D'autre part je ne pouvais pas l'emmener car elle n'aurait pas voulu abandonner sa fille Alice. Même si elle m'était soumise sexuellement, elle tenait à sa fille. Donc j'avais décidé que je resterai et que ce serait Alain qui partirait. Je devais tout faire pour ça et je comptais bien passer à l'acte le jour du quarantième anniversaire de Christine. Je lui répondis :

- Je vais rester jusqu'à ton putain d'anniversaire. Et après je verrai.

Christine dit à Alain que je devais partir après son anniversaire. Il ne m'en parla jamais d'ailleurs.

Le jour de l'anniversaire de Christine, nous sommes tous dans la salle des fêtes local : son mari, Alice, moi, sa famille et ses amis. Même Adam BEAUMONT a été invité par Alice. Alors que la fête bat son plein, je demande même à ma belle-mère de monter à l'étage avec lui et de le sucer rapidement.

Une fois que la fête est terminée, vers une heure du matin, tout le monde est parti. Il ne reste qu'Alain, Christine et moi. Alors que nous allons partir, Alain marmonne qu'il va au bar pas bien loin. Et même s'il peut à peine marcher, il est évident qu'il n'en a pas eu assez. Je me dirige donc vers la maison seul avec Christine qui n'est pas très assurée sur ses jambes. Alors je la tiens et passe les quinze minutes de marche à tripoter ses seins et son cul.

A la maison, un peu ivre, Christine titube vers l'escalier qui monte à l'étage mais je la retiens par le bras.

- Tu ne crois pas salope qu'il est temps d'une baise d'anniversaire.

- Hips... Nous ne pouvons pas... Hips... Mon mari va revenir... Dit-elle d'une voix empâtée tout en vacillant sur ses talons hauts.

- Je veux qu'il revienne salope, car après ce soir il saura que tu es ma pute. Dis-je en la tirant jusqu'à moi.

Je passe mes mains derrière elle et je les pose sur son cul.

- Non, nous ne pouvons pas... S'il vous plaît. Gémit-elle.

Mais elle ne lutte pas et ne résiste pas quand je fais remonter sa jupe autour de sa taille.

- Il n'est pas question que je quitte cette maison. Je t'ai toujours dit qu'un jour il saurait que sa femme est une pute, ma pute. Et ça arrivera ce soir salope.

Je la repousse légèrement pour pouvoir déboutonner son chemisier serré sur ses jolis seins moulés dans un soutien-gorge à balconnet.

Encore une fois, elle ne résiste pas même si elle proteste faiblement sur ce que nous ne pouvons pas faire. L'alcool a ralenti son processus de pensée et elle semble avoir du mal à comprendre ce que je vais faire ce soir. Bien que soumise je sais que si elle avait été sobre, elle aurait protesté beaucoup plus.

De l'avoir enivrée était une bonne idée car ça allait me faciliter les choses pour gérer Alain.

Je finis de déboutonner son chemisier, je lui enlève et je le jette sur le sol en direction de la cuisine, sur la route du retour du mari. Peut-être que les vêtements de sa femme éparpillés un peu partout de la maison l'alerteront sur la situation mais je pense qu'il faudra qu'il me voie baiser son épouse. J'enlève le soutien-gorge puis je continue avec la jupe. Christine se tient devant moi en talons hauts, bas et slip de dentelle noire que j'avais acheté pour son anniversaire.

- Viens t'occuper de ma bite salope et suce-moi pour ton anniversaire. Dis-je en m'asseyant sur le bras du canapé.

Encore une fois, elle ne proteste pas à part un faible marmonnement qui n'a pas beaucoup de sens. Je me suis assis de façon qu'elle soit obligée de tourner autour de moi et tourner le dos à l'entrée de la maison par où doit passer Alain. Maladroitement elle tâtonne sur les boutons de mon jean. Manifestement la boisson a altéré sa vue et son toucher. Finalement elle arrive à déboutonner mon jean et à le baisser ainsi que mon boxer sur mes chevilles.

- Enlève mes chaussures ainsi que mon jean et mon caleçon. Et fais ça bien salope!

Elle ne répond rien. Je pense que Christine a oublié qu'Alain allait revenir, ou alors elle a accepté la situation ce qui va rendre ce qui va se passer beaucoup plus facile.

Une fois que mon jean et mon caleçon sont enlevés, je les jette vers la porte où un chemisier et une jupe sont déjà. Ces vêtements éparpillés devraient avertir Alain sur l'adultère de sa femme. Sans rien dire Christine lève ma bite molle et la met dans sa bouche humide et familière. Elle engloutit ma queue, laissant du rouge à lèvre sur ma peau. Instantanément, mon membre commence à grossir dans sa bouche et sa tête commence à monter et descendre sur ma bite qui grossit de plus en plus comme elle l'a déjà fait des centaines de fois ces derniers mois.

J'apprécie sa bouche sur ma bite tout autant que la première fois dans ma chambre où sa curiosité a eu raison d'elle. Son besoin, son envie de queue après de longues années d'abstinence l'ont amenée à mon chevet et sa bouche de femme mariée sur mon membre. Elle pompe ma queue avec expérience et la traite comme s'il s'agissait de mon anniversaire et non le sien. Elle ne bronche même pas lorsque on entend une clé dans la porte, signifiant que le mari revient.

- Ecarte ta culotte et caresse ta chatte! Ordonné-je.

Comme une bonne soumise, sa main gauche quitte ma hanche pour aller entre ses jambes. Elle ouvre ses cuisses plus largement et met des doigts dans son vagin tout en caressant son clitoris.

Quand elle entend la porte s'ouvrir et Alain entrer, un regard horrifié s'affiche sur le visage de Christine. Mais elle ne bouge pas. Je ne sais pas si c'est son amour d'être ma pute ou si elle est trop imbibée d'alcool. Je luis dis :

- Suce ma bite!

Docilement elle scelle son destin ainsi que celui d'Alain.

La porte claque derrière lui et je le vois tituber et buter contre la cadre de la porte alors qu'il cherche son chemin jusqu'à son lit. Il enregistre brièvement les vêtements sur le plancher et se dirige maladroitement vers nous, la tête baissée. Mon estomac est noué dans l'attente de ce qui va se passer.

Alain lève les yeux. Son regard vitreux rencontre le mien. Il vacille et s'accroche au mur en essayant de se concentrer. Christine, sa femme, mon ex belle-mère suce avidement ma bite, sa main entre ses jambes en train de s'activer sur sa chatte, ma propriété, pas celle d'Alain.

Son visage change d'expression. Il essaie de dire quelque chose mais seul un grognement sort de sa bouche. Il chancèle vers moi et balance son bras dans un mouvement très mou, le poing fermé. Mais lorsqu'il m'approche, je ne bouge pas et tiens la tête de Christine sur ma bite avec ma main gauche. Puis je donne une grande claque dans le visage d'Alain ce qui l'envoie en arrière sur la chaise dans un coin de la pièce.

- Assis toi vieil homme! Dis-je.

Il finit par se relever et essaie de nouveau de balancer son poing dans ma direction. Mais comme il ne tient pas en équilibre, je n'ai pas de mal à le claquer à nouveau pour le renvoyer sur la chaise. Cette fois, il ne bouge plus, ivre, fatigué et vaincu. Il le sait aussi bien que moi, il ne peut pas arrêter ce qui se passe. Alors il tente de se concentrer sur la vue de sa femme me suçant la bite.

- Tout ça c'est de ta faute Alain. Si tu avais porté un peu plus d'attention à ta femme elle ne m'aurait pas imploré de voir ma bite. Dis-je en me penchant en arrière en mettant mes coudes sur le bras du canapé.

Christine continue de me sucer tout en se masturbant. Je lui demande :

- Salope, depuis combien de temps ton mari ne t'a pas touché?

Elle arrête de me sucer, lève la tête et me regarde avec ses grands yeux bruns puis me dit :

- Neuf ans Maître!

Puis elle revient à sa fellation.

- Neuf ans Alain, tu devrais avoir honte de toi. Elle a passé ces derniers mois à réclamer ma queue. Dis-je en me moquant de lui.

- Salope! Crache-t-il en colère.

Mais il n'essaie pas de se lever et de m'attaquer à nouveau. Il sait que c'est inutile dans son état actuel. Et j'espérai presque qu'il essaie demain matin quand il serait sobre car j'étais prêt à lui mettre la pâtée.

Je retourne à Christine et je regarde sa tête monter et descendre sur mon membre épais. A ce moment je me sens fort et je sais que je contrôle tout. Je suis si excité que je dis :

- Suce bien ma bite devant ton mari pathétique affalé dans sa chaise.

Je ne peux pas m'empêcher de lancer des paroles pour humilier Alain.

- Montre à ton mari comment tu as été en manque. Suce moi bien Christine.

Puis pour Alain :

- Tu vois Alain, c'est ce que tu aurais dû faire avec elle et elle n'aurait pas eu besoin de sucer la mienne.

Je me mets à rire de la situation.

- Salaud, va te faire enculer! Dit Alain d'une voix pâteuse, toujours cloué sur sa chaise.

Après cinq minutes de merveilleuse fellation, je soulève Christine et je l'attire vers moi pour un baiser ou nous enroulons nos deux langues. Elle se laisse aller, les yeux vitreux. Je sais qu'elle ne se soucie plus de la présence de son mari. Elle est à moi pour toujours. Je pince ses mamelons qui sont déjà dressés et tout durs. Puis elle se tourne et fait face à Alain. Ensuite elle fait une chose qui me prouve qu'elle est vraiment à moi et qui me prend par surprise. Elle regarde son mari et lui dit :

- Espèce de vieil ivrogne, tu vas me regarder baiser une vraie bite.

Je ne peux en croire mes oreilles et ma bite prend presque 5 centimètres de plus quand elle humilie ainsi son mari. Je décide de renchérir sur l'humiliation d'Alain. Je dis à ma soumise :

- Penche toi et enlève ta culotte salope!

Sa réponse fut comme une musique à mes oreilles. Elle se penche en avant et met ses mains sur l'élastique de sa culotte en disant :

- Oui Maître.

Je vois tressaillir Alain à cette réponse et un autre juron quitte sa bouche.

Christine descend sa petite culotte. Je me lèche les lèvres à la vue de son petit trou du cul bien rasé. Quand la petite culotte arrive aux chevilles, je peux voir qu'elle est trempée du jus de sa chatte. Je me penche derrière elle après avoir fait un clin d'œil à Alain. Puis j'écarte ses fesses autant que possible, j'ouvre ses petites lèvres et j'enfouis mon visage dans son entrejambe. Avec ma langue je localise très vite son clitoris.

- OOOOHHHH OOOUIiiii, c'est ce que je veux. Crie Christine de joie.

Je mange sa chatte comme je l'ai fait quelques mois plus tôt. Je me régale, appréciant chaque centimètre de son petit clito gonflé qui sort de sa cachette pour m'indiquer le désir de sa propriétaire.

- OHHHHH, OHHHH, n'arrêtez pas, je vais jouir. S'il vous plaît faites-moi jouir devant mon mari. Demande-t-elle, continuant d'humilier son mari.

Puis elle glapit :

- OOOOOOHHHHHH...OOOOOUUUUIIIIIIIII JE JOUIS, Arggggghhh, ouiiiiiiiii...

Elle pousse son cul en arrière, clouant mon visage au canapé pendant qu'elle se perd dans son orgasme et que son jus couvre ma figure.

Je la repousse et je lui dis de se pencher tout en gardant sa chatte ouverte, ce qu'elle fait en posant ses deux mains sur son cul. Je regarde Alain qui semble réfléchir mais qui a encore les yeux d'un ivrogne.

- Voilà comment ta femme aurait aimé que tu t'occupes de sa chatte durant ces dernières années. Elle s'est tournée vers moi et la chatte de ta femme est la chose la plus douce que je n'ai jamais goûté. Lui-dis-je en riant.

Je reporte mon attention sur sa femme et ma pute à laquelle je dis :

- Si tu veux de la bite tu vas devoir venir la chercher. Montre à Alain que tu as envie de queues. Je ne vais pas te baiser, c'est toi qui me baiseras.

J'écarte mes jambes et me rassoit sur le bras du canapé.

Christine se traine sur ses talons, sa culotte emmêlées autour de ses chevilles, les mains toujours sur ses fesses pour les écarter. Elle se rapproche de moi puis frotte son cul contre ma queue, recherchant mon gland avec sa chatte. Finalement et comme d'habitude elle trouve. Elle commence à pousser afin que ma bite écarte ses petites lèvres. Puis elle s'arrête, regarde son mari et sourit :

- Regarde à quel point j'aime sa queue. Dit-elle.

Elle se laisse tomber sur ma bite qui la remplit complétement. Elle laisse échapper un de ses longs gémissements dont je suis familier et qui ne m'ont jamais ennuyé.

Comme une bonne pute, elle me baise. Elle se balance et sa chatte humide coulisse le long de mon membre encore et encore. A chaque fois elle s'empale sur ma bite pour s'assurer que toute la longueur la pénètre bien. Au bout de six ou sept minutes elle jouit. Elle s'assoit sur ma queue, jette la tête en arrière et crie de plaisir. Elle déclare son amour pour mon gros membre.

Elle a prouvé combien elle aime mon sexe et elle a prouvé que son mari ne l'intéresse plus du tout. Je me relève et je la pousse sur le canapé en lui demandant de bien écarter les jambes. Je ne perds pas de temps et j'enfourne ma bite dans sa chatte d'une moiteur impressionnante. Je la ramone avec puissance, m'enterrant profondément en elle. Je regarde par-dessus mon épaule Alain qui est toujours assis sur sa chaise à nous regarder. Puis nous ne faisons plus attention à lui et, les vingt prochaines minutes je culbute sa femme dans toutes les positions possibles.

Il la regarde jouir une troisième et quatrième fois. Et comme elle a permis sa chatte mariée de se faire baiser devant les yeux de son mari, elle ajoute encore à l'humiliation d'Alain en disant, lorsque je lui dis que je vais jouir :

- Remplissez ma chatte mariée de votre sperme Maître, donnez-moi votre foutre chaud.

Je ralentis mes coups de reins quand je sens que ma sève monte dans ma queue. Puis j'éjacule en elle une grosse quantité de sperme avant de sortir ma bite et finir de gicler sur son corps.

Nous prenons une ou deux minutes pour récupérer. Puis je me lève et je marche lentement vers Alain, lui permettant ainsi de regarder ma queue encore mi raide et couverte du jus de sa femme.

- Je vais au lit avec ta femme Alain. A partir d'aujourd'hui je partage son lit. Tu peux prendre le mien ou le canapé comme tu préfères.

Je regarde Christine qui est toujours assise sur le canapé, mon sperme mélangé au jus de sa chatte coulant sur les coussins puis sur le sol. Je rajoute :

- Peut-être que tu préfèreras le lit Alain, il semble que nous ayons un peu Sali le canapé. Désolé.

Je ris et je demande à Christine de me suivre à l'étage. Comme une bonne pute, elle me suit et nous partons en laissant Alain en bas. Nous nous couchons dans le lit du couple pour la première fois. Et alors que nous dérivons lentement vers le sommeil, nous entendons Alain trébucher dans les escaliers et aller dans mon ancienne chambre.

Je suis content de moi. J'ai montré à Alain quelle pute était devenue sa femme. Et à nous deux, nous avons assez d'argent pour lui payer à boire tant qu'il le veut.

A suivre...

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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 2 ans

Vivement la traduction.

Courage.

Merci

Rudy

trouchardtrouchardil y a environ 2 ansAuteur

Effectivement il y a une suite, mais pas encore traduite.

AnonymousAnonymeil y a environ 2 ans

Il est noté " à suivre", y a t'il eu une suite à cette histoire ?

AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

C'était super

AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans
Belle histoire terriblement excitante

J'ai adoré cette histoire et dévoré ses 25 épisodes.

OlivX

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