La nouvelle vie de Christine Ch. 20

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Convoquée par le directeur de l'école.
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Partie 20 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/03/2016
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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d'une mère de famille. Si vous n'aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire .

Traduit avec l'aimable autorisation de l'auteur "MILowner"

************************

Je reçus un nouvel appel de Nelson GOBERT le mercredi après-midi. Il semblait très excité :

- Le directeur a vu la vidéo. Il appelle Christine pour la convoquer ce soir à l'école. Bien sûr, je lui ai parlé de vous et de la situation.

- Et les autres enseignants? demandai-je.

- J'ai d'abord montré le film au directeur qui souhaitait un peu de temps seul avec elle. Je donnerai le film aux autres quand nous terminerons ce soir et peut-être seront-ils convaincus demain.

- D'accord. Dis-je en raccrochant.

Durant la journée, je ne vis pas Christine prendre d'appels téléphoniques. Mais à 16h55, elle m'appela pour me dire que le directeur de l'école voulait la voir ce soir à 19 heures. Inquiète, elle me demanda :

- Pensez-vous qu'il veuille parler de ce qui s'est passé vendredi soir.?

- Non ne t'inquiète pas salope. Répondis-je en raccrochant et attendant qu'elle descende de son bureau.

Sur le chemin du retour, je lui demandai pourquoi le directeur voulait la voir et elle me dit que c'était pour sa fille Alice. Je savais très bien que Nelson en était la cause et que nous avions convenu qu'Alice serait l'excuse

Alors que nous arrivâmes à la maison, ma belle-mère dit :

- Je n'ai pas envie d'aller à cette réunion ce soir.

Tout en entrant dans la maison, je rétorquai :

- Tu es obligée d'y aller. Toi ou ta fille pourriez avoir des ennuis si tu ne réponds pas à une convocation.

- Oui je sais. Dit-elle à contrecœur.

Christine se vêtit d'un pantalon et d'un chemisier strict sur un soutien-gorge classique. Le directeur ne lui avait rien demandé au sujet de ses habits. Il ne voulait pas l'alerter sur les principales motivations de la convocation.

Nous nous arrêtâmes sur le parking visiteur de l'école et entrâmes à l'intérieur. Nous restâmes quelques minutes à la réception puis nous entendîmes une porte s'ouvrir dans le couloir qui mène à la salle des profs et le bureau du directeur. Un homme assez grand arriva et se dirigea vers nous avec un grand sourire sur le visage. Il me tendit la main et me fit un clin d'œil :

- Bonjour, je suis Claude RINCLOT, directeur de cette école. Et vous êtes?

- Je suis le gendre de Christine. Je suis ici pour la soutenir moralement. Dis-je en souriant.

Il regarda de bas en haut ma belle-mère puis dit :

- Christine, nous nous sommes déjà souvent rencontrés n'est-ce pas?

Je sentis ma soumise mal à l'aise. Le directeur continua :

- Si vous voulez bien me suivre dans mon bureau.

Il tourna les talons et partit dans le couloir, suivi de Christine puis de moi. Nous le suivîmes dans son bureau qui était assez petit. Il avait disposé de chaque côté de son fauteuil en cuir deux sièges. Dans le coin, était disposée une table avec un téléviseur et un lecteur DVD. Il nous fit signe de nous asseoir. Il dit :

- Maintenant, je ne vais pas tourner autour du pot ou je le ferai un peu plus tard. Je vais donc passer à autre chose.

Il prit la télécommande du téléviseur sur son bureau et appuya sur un bouton en la braquant sur l'écran. La pièce fut bientôt emplie par des gémissements. A la télé, nous pûmes voir la scène de baise entre Nelson et Christine.

Le visage de celle-ci se décomposa quand elle comprit pourquoi elle était là encore ce soir. Elle se tourna vers le directeur qui avait les yeux rivés sur elle et qui dit :

- Maintenant Christine, je pense que vous serez d'accord avec moi. Ce genre de comportement est totalement inacceptable avec l'un des professeurs de votre fille. N'est-ce pas?

- Oui, je suis d'accord, mais....

Elle commença à se justifier devant le directeur mais celui-ci l'arrêta en levant la main :

- Il n'y a pas de Mais Christine. En tant que directeur de cette école, je ne peux pas tolérer un tel comportement dégradant des parents envers mon personnel... sauf si j'en profite aussi.

Un grand sourire se répandit sur son visage tandis qu'il continua :

- Comprenez-vous ce que je veux dire Christine? Vous n'êtes pas assez stupide pour ne pas comprendre que vous faites du bon travail. Dit-il en la regardant fixement alors que les sons de son orgasme sur la bite de Nelson remplissaient le bureau.

Bien sûr, à l'école, il était connu que Christine avait une bonne position dans son entreprise et qu'elle gagnait beaucoup d'argent. C'est ce que les gens pensaient, ne connaissant pas sa nouvelle promotion.

- Je suis ce que vous pensez Monsieur RINCLOT. Dit Christine en le regardant puis en se tournant vers moi sachant très bien que j'autoriserai le directeur à la baiser.

- Ça ne sert à rien de regarder ton ami. D'après ce que Nelson m'a dit, ton gendre est devenu ton maître Non?

Il profita de pouvoir poser des questions embarrassantes à ma belle-mère qui répondit :

- Oui c'est vrai.

- Et que dit Alain? Je suppose qu'il ne sait pas.

- Non, il ne sait pas. Confirma-t-elle.

De mon côté j'ajoutai :

- Pas encore non....

Ils se tournèrent tous les deux vers moi. Christine était nerveuse et le directeur se réjouissait du contrôle que j'avais sur ma belle-mère et de l'embarras de celle-ci à remettre en question ma menace de dire à son mari ce qu'elle était devenue.

Le directeur reprit :

- Donc Christine, si vous savez ce que vous êtes et si vous comprenez pourquoi vous êtes là, je vous suggère d'enlever vos vêtements un par un et de les empiler sur mon bureau.

Ma belle-mère était maintenant bien dressée. Elle avait été si souvent dans cette situation qu'elle comprit qu'elle n'y échapperait pas. Elle se leva en poussant sa chaise et avança au milieu du bureau. Je bougeai légèrement ma chaise afin de mieux voir son strip-tease humiliant.

Elle commença par son chemisier strict qu'elle déboutonna et enleva. Quand elle apparut en soutien-gorge, Claude lui dit qu'elle avait des seins fantastiques puis il lui demanda de continuer. Elle défit le bouton de son pantalon et descendit la fermeture éclair de la braguette laissant apparaître un peu de dentelle de la culotte. Elle se pencha pour déboucler ses chaussures. Ensuite elle laissa son pantalon tomber sur ses chevilles. Elle se pencha de nouveau pour le récupérer sur le sol et elle le plaça sur le bureau avec son chemisier. Sa petite culotte était en dentelle noire avec des petits nœuds rouges sur les bords.

- Tournez-vous. Demanda Claude.

Elle obéit, montrant son beau petit cul recouvert de dentelle noire.

- Remettez vos talons. Ordonna de nouveau le directeur.

Elle remit ses chaussures, et se mit en attente dos au bureau. Claude prit un moment à l'admirer puis il dit en souriant :

- Magnifique. Enlevez votre soutien-gorge.

Les yeux baissés, elle mit les mains dans le dos pour faire sauter le fermoir. Son soutien-gorge tomba légèrement avant qu'elle le saisisse. Elle se retourna et le déposa délicatement sur le bureau du directeur. Celui-ci put regarder ses gros seins avec les grandes auréoles autour de ses mamelons pointus. Il attrapa le soutien-gorge, le frotta entre ses doigts et trouva l'étiquette qu'il lut :

- 95 D!!!

Il cria presque en regardant ma belle-mère et en lui lançant un sourire lubrique. Il reposa le soutien-gorge et demanda :

- Maintenant voici le final, Enlevez le bas!

Christine attrapa l'élastique de sa culotte et commença à la baisser quand Claude l'arrêta :

- Demi-tour et penchez-vous!

Elle se retourna et recommença à baisser sa culotte tout en se baissant. On put voir tout d'abord son petit trou du cul, puis les plis de sa chatte bien rasée. Elle descendit le sous-vêtement jusqu'aux chevilles.

- Ne bougez plus! Demanda le directeur en regardant le cul et le sexe déjà humide de ma belle-mère.

Puis après quelques secondes, il ordonna :

- Apportez-moi votre culotte Christine.

Elle dégagea sa culotte de ses chevilles et se dirigea vers le directeur, la tête baissée et les yeux rivés sur sa mince bande de poils pubiens. Elle arriva près le bureau. Claude tourna sa chaise sur le côté pour lui montrer qu'elle devait lui amener au plus près. Elle fit le tour pour se placer juste devant lui puis elle lui tendit sa culotte. Il la prit et la posa sur son nez pour humer l'odeur de ma belle-mère. Il sourit et mit la culotte dans un tiroir de son bureau.

- Vous sentez bon Christine.

Il lui dit d'ouvrir les jambes puis lui fit signe avec son doigt d'avancer tout près de lui. Une fois qu'elle fut positionnée, il tendit sa main droite pour la gifler à l'intérieur de la cuisse droite juste en dessous de sa chatte. Instantanément, elle écarta les jambes. La main droite du directeur se posa sur son sexe et il glissa deux doigts en elle.

- Hummmmm. Gémit-elle, incapable de se contrôler.

- Soumise et mouillée, c'est comme ça que j'aime mes putes. Dit-il en la regardant.

Il commença à faire coulisser lentement ses doigts dans son vagin, savourant chaque instant et s'assurant qu'elle sente bien toute la longueur de ses doigts potelés. Il les retira puis les remit à l'intérieur en les poussant au maximum.

Christine avait fermé ses yeux. Soit parce qu'elle ne voulait plus voir le regard vicieux du directeur, soit elle ne voulait pas voir son visage alors qu'elle profitait de ses doigts et qu'elle poussait sa chatte sur sa main, demandant encore plus.

Même si ma belle-mère avait fermé les yeux pour ne pas montrer à Claude qu'elle appréciait ses doigts, celui-ci avait certainement vu le mouvement du bassin. Il lui demanda :

- Vous aimez mes doigts dans votre chatte, n'est-ce pas?

- Hummmmm...ummmm. Gémit-elle tout en avançant de nouveau le bassin sur sa main, signalant ainsi son approbation.

Elle poussa un petit cri quand le pouce du directeur écarta les lèvres de sa chatte pour localiser son clitoris. Il n'avait pas besoin de réponse, le comportement de la femme l'avait fait.

- Ohhhh! Votre clito est brulant. Dit-il en le frottant.

Il accéléra son mouvement, excitant de plus en plus le clitoris si bien que ma belle-mère jouit violemment en s'abandonnant. Ses jambes se dérobèrent sous elle et le directeur la tint par l'épaule tout en pompant sa chatte et caressant son clitoris, le temps que l'orgasme se termine.

Une fois qu'elle eut repris son calme, il enleva sa main de sa chatte et il lui demanda :

- Tournez-vous, penchez-vous, gardez les jambes écartées et attrapez vos chevilles avec vos mains.

Bien sûr, elle fit ce qu'il dit et une minute plus tard elle était en position. Elle ne résista pas quand le directeur prit de la mouille de sa chatte pour en badigeonner son anus serré. Il recommença une fois puis se pencha pour cracher directement sur son petit trou. Ensuite il trempa son index dans sa chatte pour le lubrifier une fois de plus puis il l'enfonça lentement dans son trou du cul.

- ARGHHHHH.

Christine gémit quand elle sentit qu'il violait avec son doigt son intimité anale. Suivit un gémissement plus profond ainsi qu'un gémissement d'acceptation quand le doigt entra entièrement.

Claude pilonna le passage avec un seul doigt pendant trois ou quatre minutes et je pus voir qu'il coulissait en elle avec une grande facilité. On aurait pu croire qu'il avait lu dans mon esprit car il ajouta un deuxième doigt à côté de l'index. Les deux coulissèrent aussi facilement sans que Christine de fasse de commentaires à l'intrusion supplémentaire. Donc après deux minutes encore, Claude rajoutait un troisième doigt à l'intérieur de son cul.

- Putain! Oh! Merde! Ahhhh!

Ma belle-mère se tortillait sur la main, ses fesses rebondissant alors que le passage s'étirait pour accueillir trois doigts.

Au même moment, le téléphone sonna sur le bureau. Le directeur répondit de sa main gauche inoccupée, trois doigts de l'autre main fermement coincés dans le cul de Christine.

- Ha oui. Je vais venir Nelson. Je suis juste en train d'apprendre à connaitre Christine un peu plus intimement après toutes ces années. Elle se familiarisera avec ma bite lorsque nous vous rejoindrons. A bientôt. Dit-il au téléphone avant de raccrocher.

Je n'ai rien demandé et le directeur n'a pas donné d'autres informations. Il a simplement demandé à Christine de se relever. Puis il se leva de sa chaise et se dirigea vers la porte en nous demandant de le suivre Ma belle-mère alla récupérer ses vêtements mais quand Claude la vit, il lui dit de les laisser car elle n'en aurait pas besoin.

Après avoir hésité, elle le suivit dans le couloir, complétement nue à part ses hauts talons qui cliquèrent sur le plancher. Je leur emboitai le pas.

Claude nous conduit vers la salle des professeurs. En nous approchant, nous pouvions voir qu'il y avait de la lumière à l'intérieur. Claude ouvrit la porte et nous laissa entrer, d'abord Christine puis moi et il referma la porte. Ma belle-mère se figea sur place et je faillis la bousculer. Je compris lorsque je vis Nelson ainsi que deux autres hommes assis dans des canapés.

Claude se tourna vers Christine et lui dit :

- Ne soyez pas timide Christine, venez voir Daniel et Georges, deux autres enseignants qui voudraient goûter à votre chatte.

Ils se mirent tous à rire. Ma belle-mère se tourna vers moi et me prit la main en me suppliant :

- S'il vous plaît, tous ces hommes enseignent à ma fille Alice.

Sur l'instant, je pensai que j'allais peut-être trop loin dans la soumission et l'humiliation à laquelle je la soumettais. Elle me serait peut-être reconnaissante si je la ramenais à la maison. Je réfléchis un moment, puis je retirai sa main de la mienne et je la retournai en face des quatre hommes qui attendaient. Lentement, elle avança vers les hommes assis.

- Stop! Dit Claude lorsque qu'elle fut au milieu des canapés, deux hommes de chaque côté.

Sur sa droite, étaient Claude et Nelson qui l'avaient déjà doigtée et baisée. A sa gauche se tenaient les deux autres hommes dont je ne connaissais que le prénom et qu'ils étaient enseignants. Je m'installai dans un fauteuil afin d'assister au prochain spectacle.

Les deux hommes étaient beaucoup plus jeunes que Claude ou Nelson. Ils devaient avoir la trentaine, étaient en forme et bien musclés. Je pensai qu'ils étaient en mesure de baiser ma belle-mère rudement.

- Christine, ne soyez pas impolie, dites bonjour à Daniel et Georges. Dit Claude.

Il pointa d'abord son doigt sur l'homme aux cheveux bruns puis sur l'autre au crâne rasé qui devait être Georges.

Christine se tourna vers ces deux hommes tout en essayant de cacher ses seins ainsi que les lèvres de sa chatte. Elle salua les deux enseignants avec un simple bonjour, avant de se détourner complétement gênée et humiliée.

Claude lui demanda :

- Allez Christine, vous pouvez faire mieux que ça. Je sais que vous ne les avez pas souvent rencontrés auparavant. Mais vous serez bientôt très familière avec eux, alors ne soyez pas timide et montrez-leur vos superbes seins et votre chatte.

Ma belle-mère rougit et baissa la tête, honteuse d'être ainsi dégradée et humiliée. Puis elle se tourna de nouveau vers Daniel et Georges, les bras ballant sur les côtés et les pieds légèrement écartés afin qu'ils puissent la voir complétement. Et elle dit :

- Je suis désolée d'avoir été grossière. Bonjour, je suis Christine, la mère d'Alice. Je suis heureuse de vous rencontrer.

- Nous sommes heureux de vous rencontrer aussi. Dit Daniel tout en lui faisant un clin d'œil.

Claude reprit :

- Voilà qui est mieux Christine. Maintenant pourquoi ne pas leur demander ce qu'ils pensent de votre corps.

Ce fut une humiliation de plus que de lui faire demander à ces étrangers ce qu'ils pensaient de sa plastique. Mais elle obéit :

- Que pensez-vous de mon corps Messieurs? Est-il bien pour vous?

Elle me jeta un coup d'œil, le visage encore rouge de honte et d'embarras.

- Pour être honnête, il semble bien pour une femme de votre âge. Mais j'ai besoin de voir de plus près avant de l'affirmer. Déclara Georges en se décalant sur un bord du canapé et en tapotant la place qu'il vient de laisser entre lui et Daniel.

Christine savait ce qu'ils attendaient. Elle se tourna vers Claude et Nelson ricanant et s'assit entre les deux enseignants. Immédiatement les mains de ceux-ci trouvèrent les seins et les mamelons. Ils furent malmenés par ces hommes qu'elle venait juste de rencontrer. Elle ferma les yeux, comme s'il cela suffisait à l'emmener loin de cette situation. Mais Claude lui ôta cette illusion :

- Gardez les yeux ouverts Christine.

Elle les rouvrit lentement puis fixa le directeur et l'homme qui avaient déjà abusé d'elle.

Les mains de Daniel caressèrent sa cuisse droite et montèrent toujours plus haut jusqu'à ce que ses doigts frôlent la région la plus intime de son anatomie. Il n'était plus qu'une question de secondes avant que de nouveaux doigts étrangers se posent sur son sexe.

- Ouvrez vos jambes. Lui dit-il à son oreille.

Christine leva la jambe droite et la posa sur sa jambe à lui. Sa chatte trempée par son orgasme sur les doigts de Claude était maintenant ouverte et accessibles aux deux jeunes enseignants. Leurs mains descendirent sur son sexe en même temps.

Les doigts de Georges trouvèrent en premier son trou. Il y entra facilement trois doigts tandis que Daniel écarta ses lèvres pour découvrir son clitoris encore sensible du jeu du pouce à Claude. Quand Daniel le pinça, elle eut un petit cri. Il le roula entre ses doigts pendant quelques secondes. Puis quand Georges retira se doigts, il en introduit trois des siens pour la baiser avec.

- Elle a mon approbation. Dit Georges en regardant Nelson et en s'amusant avec le clitoris de ma belle-mère.

- Qu'en pensez-vous Daniel? demanda Nelson.

- C'est très bien pour moi. Répondit-il en souriant.

Claude s'installa confortablement dans le canapé, les pieds posés sur le sol, ses genoux bien écartés. Je sus de suite ce qu'il allait arriver.

- Que diriez-vous de me rejoindre Christine et de vous familiariser avec ma bite? Dit Claude tout en montrant sa bosse dans son pantalon.

Ma belle-mère se leva, et après que son cul soit claqué par Daniel et Georges, elle se dirigea vers le directeur pour se mettre à genoux entre ses jambes. Elle défit son pantalon et alla pêcher sa bite à l'intérieur. Elle en sortit une grosse queue raide de 18 centimètres environ assez épaisse. Christine commença à le masturber.

Nelson prit l'initiative lui-même de sortir son membre et baisser son pantalon sur ses chevilles :

- Venez Christine. Je vous ai déjà vu vous débrouillez avec deux bites à la fois. Attrapez donc la mienne. Dit-il en secouant sa verge.

Claude déplaça ses jambes de façon qu'elle soit maintenant à genoux entre les deux, sa main droite sur la tige de Claude et sa main gauche attrapant celle de Nelson.

Du liquide pré-éjaculatoire sortait du gland de Claude si bien que chaque fois qu'elle glissait sa main sur le membre et le gland, elle étalait ce jus et lubrifiait la bite.

- Sortez vos bites messieurs, elle va vous rejoindre dans une minute. Déclara Claude.

Il attendit qu'ils aient libéré leurs membres puis il dit à ma belle-mère d'aller leur faire la même chose qu'à eux.

Elle se tourna et se dirigea vers les deux hommes plus jeunes. Elle se mit à genoux entre eux, tendit les mains et saisit les deux bites. Elle replia leurs prépuces et commença à les masturber en rythme. Daniel avait la plus longue queue des quatre, pas loin de 22 centimètres Tandis que Georges avait la plus petite aussi bien en longueur qu'en épaisseur, mais étant plus jeune elle paraissait solide.

Après cinq minutes, Claude dit à ma belle-mère de revenir vers lui et de se remettre à genoux dans la même position que précédemment. Mais pendant qu'elle masturberait Nelson elle devrait sucer sa bite. Donc, Christine tendit une main et saisit la bite de Nelson puis elle se pencha, ouvrit la bouche et engouffra la queue du directeur.

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