La nouvelle vie de Christine Ch. 17

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De nouveaux clients pour la "faciliteuse de contrat".
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Partie 17 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/03/2016
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trouchard
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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d'une mère de famille. Si vous n'aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire .

************************

Mercredi, lorsque je déposai Christine au bureau, Francis m'attendais pour me parler :

- Les caméras sont en place et fonctionnent. Voici l'adresse web et le mot de passe. Connectez-vous et vous aurez le flux en direct de toutes les caméras. Cela vous convient?

- Ok merci Francis.

En lui répondant, je me demandai si je devais mentionner le comportement d'Étienne JARSON et l'utilisation de son mobile pour enregistrer. Mais je me ravisai et décidai d'attendre de voir son comportement les deux prochaines semaines.

Francis, avec Christine à ses côtés, rajouta :

- Connectez-vous aujourd'hui, car j'ai des projets pour Christine. Donc elle sera assez occupée si vous voyez ce que je veux dire.

Je rentrai à la maison, allumai mon ordinateur et me connectai au système de surveillance du bureau de ma belle-mère. Je vis qu'elle avait déjà changé de vêtements. Elle portait un ensemble de sous-vêtements coordonnés rouges avec culotte en dentelle et soutien-gorge en demi-coupe. Ses seins étaient si gros qu'ils avaient du mal à rester dans le tissu. Lorsque Christine marchait, ils rebondissaient. Les auréoles sombres étaient parfaitement visibles. Des talons hauts et rouges terminaient sa tenue.

Francis avait fait installer plusieurs caméras. Il y en avait dans la salle de conférence où elle avait sucé sept bites. Les chaises entouraient aujourd'hui une grande table en bois. Son bureau n'avait pas changé. Il y avait une caméra dans une salle de bain. Je supposai qu'elle était utilisée par ma belle-mère pour se nettoyer entre les clients.

Ensuite, des caméras couvraient un grand espace ouvert qui avait l'air d'une salle d'attente. Elle était meublée de deux grands canapés de chaque côté d'une table basse ainsi que d'un fauteuil à une extrémité. Sur le mur, était accrochée une grande télé. Le long du mur, sous les fenêtres, il y avait une rangée de tabourets comme dans son bureau.

La dernière pièce couverte par le système vidéo était des toilettes. Sur le mur du fond, il y avait des WC suspendus. Sur la paroi latérale se trouvaient trois urinoirs.

Mais je ne vous ai pas dit que dans les grands canapés étaient assis trois hommes. Le plus vieux, installé dans le fauteuil était Bruno l'entrepreneur qui avait rénové le bureau à la demande de Francis. Je supposai que les deux autres hommes assis dans les canapés étaient ses ouvriers. Ils étaient tous les deux très jeunes, environ la vingtaine d'année, mais ils étaient grands et musclés et je ne doutai pas qu'ils aient de l'endurance.

Ils étaient vêtus de jogging, alors je compris qu'ils avaient été invités par Francis et qu'ils n'auraient pas une journée de travail normale.

A 9h30, Christine arriva par le couloir et se présenta aux trois hommes.

- Putain! Dirent les deux jeunes hommes en la voyant vêtue de lingerie, ses seins débordant presque.

- Bonjour. Je suis Christine la « faciliteuse de contrat ». Je crois que vous êtes ici pour conclure un marché avec M. MULLER.

Elle parla comme s'il s'agissait d'un simple jour de travail. L'entrepreneur répondit en regardant ses ouvriers :

- Oui, nous sommes ici pour parvenir à un accord.

- M. MULLER m'a expliqué les termes de l'accord. Je dois voir avec vous si tout est correct.

- Pas de problème, je sais que Francis tiendra parole mais vous pouvez le confirmer par vous-même.

Ma belle-mère hésita, déglutit puis parla :

- Chacun de vous va pouvoir me baiser individuellement. Ensuite vous pourrez me prendre tous les trois ensembles. Ce sont les propos de M. MULLER.

Elle était très embarrassée. Elle vit un des deux jeunes hommes taper dans la main de l'autre.

- Très bien Madame. Commençons....

L'entrepreneur se leva, indiquant qu'il serait le premier à utiliser Christine. Il fit le tour de la femme, caressa son cul devant ses gars, le serra avant de lui donner une grande claque en disant :

- Emmène ton cul dans ton bureau!

Il la suivit. A l'écran, je vis qu'il reluquait le cul qui s'agitait devant lui. Il commença même à défaire sa ceinture et les boutons de son jean.

Ils entrèrent dans le bureau, l'entrepreneur fermant la porte derrière lui.

Puis dans une posture d'attente il dit :

- Bien Christine. Maintenant, mets-toi à genoux et viens chercher ma bite.

Elle se dirigea vers lui, tomba à genoux devant lui et continua à défaire son pantalon. Experte, elle tira sur le caleçon et le jean pour les abaisser sur les chevilles de l'homme.

Le membre à demi dressé de Bruno ainsi que ses grosses boules poilues étaient à dix centimètres de son visage.

- Te souviens-tu de moi? Demanda l'homme en souriant.

- Oui je me souviens de vous. Répondit-elle.

- Suce ma bite! Ordonna-t-il en poussant sa bite sur le côté de son nez.

Christine se releva légèrement, ouvrit la bouche et accepta volontiers la queue de Bruno pour la deuxième fois en faveur d'un accord conclu avec Francis.

Elle suça l'entrepreneur en s'appliquant et en utilisant toutes ses techniques. Elle prit même une grosse couille velue dans sa bouche tandis qu'elle branlait la queue au-dessus de son visage. Bruno semblait aimer ce traitement. Il gémit constamment pendant cette fellation jusqu'au moment où il se retira et demanda à Christine de se mettre sur le canapé.

- Allonge-toi sur le dos et écarte les jambes. Maintenant enlève ta culotte et montre-moi ta chatte.

Tout en se mettant à genoux entre les jambes de la femme, il remarqua :

- J'avais oublié quelle jolie chatte vous avez. Elle est assez bonne pour être mangée.

Il abaissa sa bouche sur le sexe de Christine.

- Ohhhh oui, c'est bon!! Dit-elle en se tortillant.

Elle le remercia tandis que je regardais et entendais l'entrepreneur bouffer sa chatte avidement. Ses éloges augmentèrent quand il glissa une main le long de son corps pour sortir les deux seins du soutien-gorge. Et il commença à malmener les mamelons sensibles.

- OHHHH OUI Bruno. Léchez moi et tirez mes tétons. Ne vous arrêtez surtout pas. OHHHH...

Bruno brouta la chatte de Christine pendant dix bonnes minutes, sans vraiment reprendre son souffle. Finalement ses efforts furent récompensés.

- OHHHH Bruno ne vous arrêtez pas, je vais jouir sur votre visage.

Elle se souleva légèrement avec ses mains pour regarder l'entrepreneur, qui était le seul à la lécher. Elle dit en serrant les dents :

- OHHHH Merci Monsieur. Je vais jouiiiiirrrr.....

Bruno concentra ses efforts sur le clitoris et quelques instants plus tard, il fut couvert du nectar ambré de la femme.

- OUUUIIIIII JE VIENNNNNSSSS....

Christine ferma ses cuisses autour de la tête de l'homme pendant que l'orgasme la terrassait. Quelques secondes plus tard, elle desserra ses cuisses et regarda l'homme en souriant. Elle ne dit que deux mots :

- Merci Bruno.

Il se leva et se coucha sur elle afin de l'embrasser passionnément. Il serpenta sa langue dans sa bouche, lui laissant goûter son propre jus. Enfin il recula au bord du canapé et dit :

- Il est temps que tu prennes de la bite. Retourne-toi sur tes genoux, je veux te prendre en levrette.

Il attendit que Christine se mette en place. Ma belle-mère se retourna et se mit à quatre pattes. Elle tortilla son cul en lui souriant par-dessus son épaule. Elle semblait plus impatiente que d'habitude de prendre une bite. Elle poussa ses fesses en arrière, recherchant le membre de l'homme. Je me demandai si son comportement venait du fait qu'il l'avait fait jouir par un cunnilingus.

Toujours en tortillant son cul à la recherche d'une bite, elle supplia :

- Remplissez-moi Bruno. Baisez-moi avec votre grosse queue.

Elle cessa de bouger lorsque l'entrepreneur posa ses deux mains sur ses hanches pour bien la tenir. Dans un mouvement rapide, l'homme enfonça sa queue dans la chatte humide. Tout en baissant sa tête sur les coussins afin que son cul se cambre, Christine dit :

- Oui, voilà ce que je veux. Voilà ce que je dois faire pour vous.

L'homme n'hésita pas à la pénétrer de toute la longueur possible. Il la baisa dans cette position aussi longtemps et aussi fort que possible. Il la fit jouir une fois de plus avant de la tirer sur lui et la tenir complétement empalée sur sa bite pour cracher sa semence en elle.

- Merci Bruno. Dit-elle à nouveau quand il se retira, la laissant vide et pleine à la fois.

Il lui donna sa culotte avant de se rhabiller.

- Suis moi et voyons voir lequel de mes ouvriers va être le prochain.

Il lui tint la porte ouverte et la regarda alors qu'elle essayait de remettre ses seins dans son soutien-gorge. Il l'arrêta :

- Laisse tes gros nichons comme ça.

Elle renonça, laissant sa grosse poitrine à l'air. L'homme la suivit jusqu'à la salle d'attente sans lâcher du regard le cul qui se balançait.

Un fois arrivé dans la pièce où ses deux ouvriers attendaient avec enthousiasme, il arrêta Christine. Placé derrière elle il attrapa les deux seins par les mamelons puis les tordit en les soulevant.

- HUMMMMM.

Ma belle-mère gémit profondément, incapable de résister à la douleur sur ses tétons sensibles.

- Qui sera le prochain à utiliser cette salope à gros seins? Demanda Bruno en lâchant ses seins et en claquant son cul avant de s'assoir dans le fauteuil.

- Jacques a remporté le tirage au sort Patron. Dit le plus petit des deux gars.

- Allez Jacky, montre à cette vieille salope ce que vaut un jeune. Dit Bruno en riant.

Le jeune homme se leva et se dirigea vers Christine avec un grand sourire sur son visage. Celle-ci le prit par la main et lui dit :

- Suis-moi!

Elle l'emmena à travers le couloir jusqu'à son bureau. Un fois à l'intérieur, elle le dirigea vers un des tabourets. Elle se mit en face de lui et elle lui baissa son pantalon de survêtement ainsi que son boxer sur les chevilles. Jacques l'aida en secouant ses jambes pour éloigner les vêtements puis il enleva son haut.

Il avait un corps solide avec des pectoraux qui montraient qu'il avait effectué beaucoup de travaux de force. Je regardai ma belle-mère frotter sa main sur la poitrine et l'estomac du jeune homme.

- Vous avez un corps merveilleux...

Elle le complimenta pendant qu'il s'assit sur le tabouret, laissant ses jambes ouvertes.

- Oh mon dieu!

Christine roucoula, incapable de cacher son désir de cette jeune bite. Elle avança sa main et souleva le membre avec quatre doigts afin de l'inspecter de plus près. Quand elle eut fini et qu'elle retira sa main, la bite se dressait fièrement, 20 centimètres de chair debout. Ce n'était pas la queue la plus épaisse qu'elle eut prise mais une des plus longues surement. Elle la regarda, la faim dans les yeux.

- Quel âge avez-vous Jacques?

Elle lui posa la question tout en laissant courir son index sur la longueur de la bite ainsi que sur les couilles rasées.

- Dix-neuf. Répondit-il.

- Hummmmm...

Christine gémit tout en prenant dans la paume de sa main la jeune bite. Elle la serra, pelant le prépuce vers le bas de son arbre.

- Les jeunes queues sont mes préférées. Dit-elle.

Elle baissa sa bouche sur le sexe et l'enfourna complétement

- Oh merde.

Jacques jura dès que les lèvres se fermèrent sur sa verge. C'était surement la première fellation qu'une femme mature lui faisait.

Ma belle-mère le suça comme elle ne l'avait jamais fait auparavant. Elle s'appliqua pour faire plaisir au jeune homme, engloutissant son sexe au plus profond de sa gorge, à la limite de l'étouffement. Après cinq bonnes minutes, Jacques montra des signes d'un homme prêt à éjaculer. Christine, beaucoup plus expérimentée qu'il y a quelques temps, le sentit. Elle leva la tête et dit :

- Ne vous inquiétez pas Jacques, vous pouvez éjaculer. De toute façon vous ne me quitterez pas avant de m'avoir baisée avec votre grosse bite. Dites-moi seulement où vous voulez éjaculer quand vous êtes prêt.

Elle retourna à sa fellation appliquée. Deux minutes plus tard le garçon n'en pouvait plus. Il demanda :

- Je vais jouir. Puis-je le faire sur vos seins?

Christine recracha son sexe et se mit sur ses genoux afin que Jacques puisse se tenir au-dessus d'elle. Elle branla sa bite jusqu'au moment où il grimaça et cria :

- OHHHHHHHH Putain.

Il lâcha cinq charges épaisses de sperme sur les gros seins de ma belle-mère. Une fois qu'il eut fini d'éjaculer, elle reprit le sexe dans sa bouche pour continuer à le sucer et pour le nettoyer, dégustant la jeune semence. Elle le suça pendant cinq minutes. La jeune queue n'ayant pas débandée, elle décida qu'il était temps de l'avoir en elle.

Elle se lava et se dirigea vers le canapé opposé. Puis elle saisit sa culotte pour la faire rouler doucement sur son cul, se penchant tandis que le bout de tissu descendait le long des jambes. Elle garda la pause un moment, ouvrant les jambes pour montrer ses orifices matures à un garçon avec une grosse queue qui pourrait être son fils.

Elle se retourna et s'assit sur le canapé en regardant Jacques qui branlait son sexe en attendant qu'elle l'invite.

Elle s'adossa et écarta les jambes, exposant sa chatte au jeune homme Tout en ouvrant sa fente avec ses doigts, elle roucoula :

- Viens me baiser avec ta grosse queue bien dure.

Le garçon rejoint rapidement Christine. Et sans finesse, il poussa sa bite à l'intérieur du trou humide.

- Ohhhh mon dieu, que c'est bon Jacques. Baise-moi fort.

- Pas de problème. Dit-il en commençant à coulisser dans la chatte.

Il la fourra durement et rapidement, plus fort et plus vite que toutes les bites qu'elle avait prises auparavant. A dix-neuf ans, son rythme ne ralentit pas et ses coups de boutoir ne diminuèrent pas. Si bien, que Christine se tordait sous lui en gémissant.

Les efforts du jeune homme furent bientôt récompensés. Christine lui dit qu'elle allait jouir. Ce qui fit accélérer Jacques. Et ma belle-mère jouit. Elle passa ses jambes autour du dos du garçon afin de l'enfoncer complétement en elle pendant que l'orgasme secouait son corps.

Une fois qu'elle eut récupéré, elle indiqua à Jacques ce qu'elle désirait :

- Maintenant, remplis ma chatte avec ton sperme.

Elle retira ses jambes de son dos pour qu'il recommence à la pilonner. Trois minutes plus tard, l'homme éjacula au fond du vagin de ma belle-mère, au grand plaisir de celle-ci qui sentit le liquide chaud en elle.

Jacques se rhabilla et commença à partir quand il vit Christine sur le point de remettre sa culotte. Il lui dit :

- Laissez donc votre culotte, vous n'en aurez pas besoin pour le reste de la journée.

Il ouvrit la porte et sortit, laissant la femme suivre le onzième baiseur qu'elle avait eu depuis qu'elle était devenue ma pute. Le douzième l'attendait dans la salle au bout du couloir.

Christine sentit le sperme fuir de sa chatte pendant qu'elle marchait. Elle avait l'air d'une vraie salope. Elle l'admit devant moi, le soir lorsqu'elle fut à la maison. Elle se sentait sale et salope tandis qu'elle marchait vers la salle d'attente, du sperme couvrant ses seins et coulant de sa chatte.

- Hé Jacky, c'était bon? Cria Bruno en rigolant.

Christine arriva sur ses talons hauts, nue à l'exception du soutien-gorge baissé sous sa poitrine. Elle attendit Régis, l'autre garçon.

Bruno la regarda avec un sourire salace :

- Allez, au dernier!!

Régis était déjà levé et s'approchait de Christine. Il tapota la fesse nue en la poussant dans le couloir. Il suivit la femme tout le long du retour au bureau et ferma la porte derrière eux. Au moment où Christine se retourna, le garçon finissait de se déshabiller en enlevant son tee-shirt. Son corps était aussi musclé et tonique que son collègue.

Christine regarda vers le bas du corps de Régis. Ses yeux s'arrêtèrent au niveau de l'aine. Son regard resta fixe et un silence s'installa dans la pièce.

- Aimez-vous ce que vous voyez Salope?

Régis posa la question tout en marchant avec assurance vers ma belle-mère.

- Oui. Répondit-elle tout en gardant son regard sur l'entrejambe du jeune homme.

Je ne pouvais voir le membre de ce jeune car il était dans un angle mort des caméras. Mais, à voir le regard hypnotique de Christine, je me doutais qu'il devait être spécial.

Régis passa devant ma soumise et se dirigea vers les tabourets. Il sauta sur le plus proche et se retourna.

Alors je pus voir son sexe et je compris pourquoi il gardait l'attention de ma belle-mère. Il était un peu plus long que son ami mais le plus important était son épaisseur. Fièrement il se branlait, son pouce et ses doigts ne se touchant pas sur cette énorme tige. Pas étonnant qu'il soit si assuré avec cette chose dans son pantalon. Il fut un des plus chanceux lorsque Dieu distribua les portions de bites.

Christine avait suivi Régis comme un petit chiot et se tenait humblement devant lui, le regardant se masturber et se demandant quand il lui permettrait de toucher l'engin.

- Quel âge avez-vous? Demanda-t-elle sans quitter le membre des yeux.

Il répondit avec un grand sourire sur le visage :

- Dix-huit.

Puis, en prenant sa queue à la base et en la balançant devant Christine il rajouta :

- Pas mal Hein?

Elle chuchota :

- Non, elle est impressionnante.

- Et vous, quel âge avez-vous?

En posant la question, il tendit le bras, posa sa main derrière la tête de la femme pour la tirer vers sa bite engorgée.

- 39 ans. Répondit-elle.

Elle ouvrit la bouche aussi large que possible et permit à régis d'abaisser sa tête le plus bas possible jusqu'à ce que son gland tape au fond de la gorge. Puis il la libéra afin qu'elle puisse retrouver son souffle.

- Vous n'êtes pas la plus vieille salope que j'ai baisée mais je veux que vous me prouviez que vous êtes la meilleure.

Il étendit les bras le long du comptoir sur le mur pendant qu'elle lui répondit en le regardant dans les yeux :

- Je ferai de mon mieux.

Elle abaissa de nouveau sa bouche sur le sexe du garçon.

- Assurez-vous de le faire.

Il aida Christine en plaçant une main sur sa tête afin qu'elle avale complétement sa bite.

- C'est une bonne façon de commencer. Dit-il en se penchant en arrière, profitant de la sensation de cette bouche sur sa queue.

Comme pour Jacques, ma belle-mère s'appliqua à sucer le jeune garçon. Elle savoura chaque morceau de cette jeune bite jusqu'à ce qu'il soit prêt à éjaculer.

- Mets-toi à genoux, je vais baptiser ton visage.

Précipitamment, il la repoussa sur ses genoux et se leva :

- Ouais, je vais arroser ton joli visage.

Il branla son énorme bite devant le visage de Christine, agenouillée et attendant sa charge.

- Ne bougez pas surtout, ne bougez pas lorsque je gicle.

Il accéléra son mouvement. Une minute plus tard, il sursauta et cria lorsqu'il jouit. Sa queue cracha, non pas une seule fois mais six fois sur le visage de ma belle-mère. Et lorsqu'il eut fini, il engouffra de nouveau son sexe dans la bouche de Christine afin qu'elle la nettoie.

Lorsqu'il considéra son membre assez propre, il se retira, attrapa Christine pour l'asseoir en face de lui sur le tabouret, le cul près du bord.

J'eus une bonne image du visage de ma soumise. Il l'avait littéralement plâtré du front au menton avec des amas de sperme blanc.

Il demanda à ma belle-mère de tirer ses jambes en arrière et de les tenir derrière ses genoux.

- Oh mon dieu Régis.

Elle gémit quand la bite écarta les lèvres de sa chatte, révélant son clitoris.

- Baise-moi Régis, Baise-moi avec ta grosse queue.

Elle le supplia, ne cachant pas son besoin de bite. Il fit glisser son membre de deux centimètres en demandant :

- C'est ce que vous voulez Salope?

- Oui Régis, vas-y.

Il commença à pousser son bassin lentement vers l'avant de sorte que la moitié de sa verge entra dans la grotte humide.

- Est-ce assez? demanda-t-il.

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