La nouvelle vie de Christine Ch. 13

Informations sur Récit
La promotion de Christine - suite 1.
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17.7k
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Partie 13 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 09/03/2016
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Avertissement : Ce récit raconte la déchéance et la soumission sexuelle d’une mère de famille. Si vous n’aimez pas ce genre de récits, fermez cette histoire.

***************************************************

Alors que Francis et Bruno discutaient près de la porte, Christine se rhabillait lentement. Tout en reboutonnant son chemisier, elle pensait que son travail était terminé pour aujourd’hui.

Elle avait tort.

Lorsque Bruno quitta le bureau, Francis se tourna vers ma belle-mère et lui dit :

- Vous ai-je dit de vous habiller?

- Euhhhhhh... Non Monsieur MULLER. Dit Christine, ses doigts immobiles sur un bouton du chemisier

- Eh bien, je vous suggère de vous déshabiller à nouveau et de vous habituer à rester en sous-vêtements. Dès lundi, ce sera votre nouvelle tenue de travail. Est-ce compris?

- Oui Oui Monsieur MULLER.

Ma belle-mère se dépêcha de déboutonner son chemisier afin de l’enlever. Et rapidement, elle quitta sa jupe.

- Voilà qui est mieux. Dit son patron en reprenant Son siège.

Puis il indiqua à ma belle-mère de s’asseoir dans son fauteuil derrière le bureau. Il lui déclara :

- Téléphonez à Marc DELAIN et dites-lui que j’ai besoin de lui ici de toute urgence.

- Oui Monsieur MULLER.

Elle prit le téléphone et composa le numéro. Il sonna peut-être trois ou quatre fois puis Marc répondit. Elle dit :

- Bonjour Marc. Pourriez-vous revenir au travail s’il vous plait. M. Muller a besoin de vous de façon urgente. Retrouvez nous dans mon bureau.

Elle écouta la réponse et raccrocha.

Francis demanda à Christine :

- Dans combien de temps sera-t-il là?

- Dans vingt minutes. Répondit-elle.

- Bon, je vais déjeuner. Si vous mangez dans votre bureau, alors vous restez tel quel mais si vous voulez aller à la cantine vous pouvez vous rhabiller mais ensuite vous revenez et vous déshabillez.

Francis quitta le bureau. Je pris le téléphone et téléphonai à ma belle-mère.

- Salope? Dis-je dès qu’elle décrocha.

- Oui Maître?

Alors que je la regardai sur mon écran de pc, je lui demandai :

- As-tu aimé que l’entrepreneur te baise?

- Oui Maître. Fut sa seule réponse.

- Tu étais si sexy et si soumise. La complimentai-je.

- Merci Maître.

- J’ai l’impression que ce n’est pas fini étant donné que Marc arrive. Es-tu prête à te faire encore enfiler Salope?

- Pas vraiment Maître. Mais il semble que je n’ai pas le choix...

Contrariée, sa voix se brisa légèrement.

- Ne t’inquiète pas. Il te suffit de penser à l’argent que tu vas gagner. Une bonne pute gagne beaucoup d’argent en s’occupant de grosses bites.

Je voulais lui faire savoir que j’étais satisfait de son évolution.

- Oui Maître, je suis votre pute. Dit-elle

- Bon, rappelle-toi que je te regarde. Je te téléphone plus tard.

Alors qu’elle raccrochait, je filai à la cuisine pour me faire un sandwich.

Quand je revins regarder mon écran, Christine était encore assise à son bureau, sirotant une bouteille d’eau. Marc n’était pas encore arrivé et Francis n’était toujours pas revenu de déjeuner. Alors que j’étais à la moitié de mon sandwich, j’entendis le bruit d’une porte qui s’ouvre. La tête de ma belle-mère tourna immédiatement vers l’entrée de son bureau.

Une discussion enfla, et un instant plus tard, Francis, suivi de Marc entrèrent dans le bureau. Ils se turent et un immense sourire se dessina sur le visage de Marc lorsqu’il remarqua que sa supérieure était assise derrière son bureau, en soutien-gorge, sa poitrine débordante.

Francis reprit son siège en face du bureau et fit signe à Marc d’attraper un autre fauteuil et de venir s’asseoir à côté de lui. De la sorte, ils étaient tous les deux en face de ma belle-mère.

Francis se tourna vers Marc et dit en pointant son doigt:

- Très bien Marc, je vais être court. Vendredi soir, alors que j’étais parti, je sais que vous avez pris cette salope en levrette sur son bureau....

- Euhhh.... Désolé.....Commença à dire Marc, gêné.

Francis le coupa en levant sa main.

- Taisez-vous Marc. Cela ne me dérange pas. Christine a des attributs qui me plaisent et que je veux utiliser, d’où son accoutrement. Maintenant que je la connais, je comprends qu’il était trop dur pour vous de ne pas la baiser.

Francis parlais de son employée comme si elle n’était pas là. Il voulait lui faire comprendre son nouveau statut.

Marc, beaucoup plus à l’aise maintenant qu’il comprenait que son patron n’allait pas le renvoyer, répondit :

- Oui M. MULLER, il était difficile de me retenir.

- A partir de lundi, Christine travaillera à l’étage, dans un nouveau bureau conçu pour son nouveau rôle de « Faciliteuse de contrats » au sein de la société. Nous aurons une réunion d’équipe lundi après-midi afin de discuter de tout cela. Ok?

Francis regarda Marc qui était un peu perplexe de la tournure des événements. Tout en jetant un regard sur le décolleté de sa supérieure, celui-ci approuva :

- Oui d’accord M. MULLER.

- La raison pour laquelle je vous ai fait revenir est que je vous offre la place de Christine en tant que directeur de ce département. Vous aurez son salaire après une période de trois mois d’essai ainsi que d’autres avantages.

Marc était visiblement heureux et souriait largement à l’annonce de sa nouvelle promotion qu’en fin de compte, je lui avais fait gagner.

- Merci M. MULLER, je suis très honoré.

- Par contre, nous devons choisir un nouveau directeur adjoint pour ce service.

Marc, toujours avec un grand sourire sur le visage, proposa :

- Je crois que j’ai la personne qu’il vous faut. Nicolas MOUTON, c’est le plus compétent.

- Oui, bon choix, c’est un gars fiable. Dit Francis.

Puis il regarda ma belle-mère et lui dit :

- Téléphonez à Nicolas MOUTON et dites-lui de venir le plus vite possible.

Francis serra la main de Marc afin de sceller leur accord. En arrière-plan, Christine parlait au téléphone :

- Bonjour Nicolas, c’est Christine. M. MULLER a besoin de vous voir, il s’agit d’une chose urgente. Pouvez-vous venir au bureau?

Elle raccrocha. Francis attendait sa réponse.

- Il sera là dans cinq minutes M. MULLER. Il fait des courses et est en train de payer.

- Bien! Nous allons l’attendre alors.

Je me doutais de ce qu’il allait se passer. Je pensais au moment où j’avais demandé à ma belle-mère si elle était prête pour la queue de Marc. Elle allait sûrement en avoir plus cet après-midi.

Nicolas arriva cinq minutes plus tard, entant en courant dans le bureau, inquiet. Puis il vit Francis et Marc, assis en face de sa patronne en soutien-gorge. Il demanda, étonné :

- Oh merde!!! qu’est-ce qui se passe ici????

- Asseyez-vous Nicolas, je vais vous expliquer.

Francis montra le canapé dans le coin du bureau, utilisé habituellement pour des réunions informelles.

- Il va y avoir quelques changements dans ce service à partir de lundi.

- Oui je vous écoute. Répondit Nicolas, son regard passant de son patron à Marc puis à ma belle-mère.

- Je ne sais pas si Marc vous a raconté. Mais vendredi soir il a baisé cette salope ici. Indiqua Francis en pointant son doigt sur Christine.

Nicolas dit en les regardant :

- Je ne savais pas. Si je m’attendais à ce que vous baisiez ensemble......

Francis le coupa avant qu’il termine.

- A cause de cela, j’ai remarqué que Christine avait de très bonnes compétences.

Il obtint un grand sourire comme réponse. Ils savaient tous les deux exactement ce que cela signifiait.

- Donc, à partir de lundi, elle travaillera à l’étage, dans un nouveau bureau, avec le grade de « Faciliteuse de contrat. »

- D’accord. Dit Nicolas tout souriant.

- Comme il me faut un nouveau directeur pour ce service, j’ai proposé le poste à Marc qui a accepté. Je vous propose de devenir son assistant?

- Bien sûr, j’accepte.

- Comme Marc, après trois mois d’essai, vous aurez son salaire ainsi que de nombreux avantages au sein de la société.

Francis tendit la main à Nicolas qui s’empressa de la serre pour signifier son accord.

- Excellent. Maintenant que nous avons réglé toutes les formalités, nous pouvons passer à des choses plus intéressantes.

Francis sourit à ses deux subordonnés avant de regarder Christine, terriblement mal à l’aise derrière son bureau, trois paires de yeux fixées sur elle.

Après un moment de silence dans le bureau, Francis parla à nouveau :

- Il faut que je m’assure que Christine répond à toutes les situations. Elle a déjà passé un petit test avec brio donc je suis confiant dans sa capacité à réussir à faire mieux. Christine? Venez donc faire une petite fellation à Marc?

Nicolas se balança dans le canapé et dit excité :

- Oh merde.....C’est fou.....

En le regardant je me dis qu’il était plus jeune que Marc. Je lui donnais 28-30 ans. Il ne portait pas d’alliance. Je suis sûr qu’il allait bien profiter de ma belle-mère.

Je vis son excitation augmenter quand il vit son ex-supérieure se lever en talons et bas avec un simple bout de tissu déjà mouillé recouvrant les lèvres de sa chatte enflammée.

- Putain Christine! Pendant toutes ces années, vous nous avez caché ce corps splendide.

Alors que ma belle-mère allait s’agenouiller entre les genoux de Marc, Francis l’arrêta en lui tapotant les fesses et lui demanda de rester debout.

Elle se pencha et batailla sur la ceinture de l’homme. Enfin, elle put baisser son pantalon ainsi que son caleçon et atteindre le membre encore flasque. Avec ses doigts, elle commença à le branler. La bite de Marc devint de plus en plus rigide sous ce traitement.

- Mettez-vous près d’elle Nicolas, je suis sur qu’elle peut utiliser son autre main à bon escient!

L’homme, impatient ne se fit pas prier et fut à côté de la femme en un instant. Marc se leva en face de Christine. Elle réussit, tout en masturbant le premier homme avec un bras en arrière, à défaire et baisser le pantalon ainsi que le caleçon de l’autre homme.

Avec la webcam, je ne pouvais pas voir le membre de Nicolas mais il souriait beaucoup. Mais je voyais les deux bras de ma belle-mère qui s’agitaient à faire durcir les deux queues.

Alors qu’elle branlait les deux employés, Francis se leva et dégrafa son soutien-gorge. Tout de suite, Nicolas attrapa le sein droit et le malmena grossièrement. Les mains de Christine quittèrent brièvement les deux membres afin de permettre au soutien-gorge de tomber au sol.

Maintenant, ses mamelons étaient tirés et pincés par les deux hommes alors qu’elle les branlait aussi vite qu’elle le pouvait. Je vis que Francis commençait à enlever la petite culotte en la tirant vers le bas. Il demanda à ma belle-mère d’enjamber le bout de tissu, ce qu’elle fit sans hésitation.

Francis se rassit et demanda :

- Écartez vos jambes Christine! Il faut que Nicolas se familiarise avec votre corps. Marc le connait déjà.

Les jambes de ma belle-mère étaient bien écartées et l’accès à sa chatte fut extrêmement facile pour Nicolas qui tendit la main pour que ses doigts caressent ou sondent le trou et le clito. La femme n’arrêta pas de branler les bites même lorsqu’elle eut un sursaut lorsque son ancien subordonné martela son vagin avec trois doigts.

Continuant à la pilonner avec ses doigts bien lubrifiés, il commenta :

- Votre chatte est déjà complètement trempée Christine, vous êtes vraiment une salope.

- Cela vient peut-être du test passé ce matin. A moins que vous n’ayez beaucoup d’effet sur les femmes.

Francis plaisantait et les trois hommes se mirent à rire.

Marc demanda en regardant son patron:

- Quel test?

- L’entrepreneur qui arrange le nouveau bureau de Christine l’a essayé ce matin.

- Quelle chienne! Dit Nicolas.

Ma belle-mère baissa les yeux vers le sol, honteuse de sa situation. Mais comme une bonne soumise, elle continua à branler les deux bites tout en laissant les doigts s’agiter dans sa chatte.

J’ai cru qu’elle allait bientôt jouir mais Marc eut une idée et déclara qu’il était temps qu’il la pénètre. Il la retourna et, avec sa main, il guida sa tête vers le membre de Nicolas.

Celui-ci laissa échapper un gémissement alors que la bouche humide engloutit sa queue. Il savoura la fellation experte qui lui était donnée. Christine avait placé ses mains sur les hanches de Nicolas afin de garder son équilibre. Mais Marc avait encore une idée.

- Reculez Christine et montrez-moi votre chatte.

La femme tendit les bras dans son dos afin d’attraper ses fesses et les écarter, donnant une vue dégagée sur son sexe mouillé. Mais elle eut du mal à s’équilibrer donc elle écarta encore plus les jambes pour mieux de stabilité.

Marc s’avança, mit une main sur le dos de son ex-patronne, et pénétra son vagin comme il l’avait fait le vendredi.

- Mmmmmmphhhh ummmmph ummmmummm!

Christine gémit, la bouche pleine. Ces bruits étouffés étaient constants. C’était la seule bande son de la scène sordide que je pouvais voir sur mon écran. Marc se mit à labourer violemment ma belle-mère qui avait de plus en plus de mal à rester sur ses pieds. Alors elle remit ses mains sur les hanches de Nicolas. Sans rien dire, Marc la baisa encore plus violemment maintenant qu’elle pouvait se tenir.

Après le petit traitement que sa chatte avait subi avec les doigts de Nicolas et les coups de butoirs de Marc, au bout de trois minutes, elle se redressa :

- OUIIIIIIIIIII, ARGGGHHHHHH,UMMMMMM!

Elle cria alors que son corps perdait le contrôle et était secoué par un orgasme intense.

Nicolas, mécontent dit :

- Remettez vos lèvres autour de ma bite tout de suite!

Il saisit la tête de Christine pour l’abaisser vers son membre. Puis d’une poussée, il remplit sa bouche, étouffant ses gémissements.

Marc continua à la baiser un instant puis se retira, laissant la chatte vide. Nicolas profita de l’occasion. Il retourna la femme, l’obligeant à mettre sa tête sur ses genoux, une main touchant le sol pour garder l’équilibre. Puis il conduit son sexe au plus profond du vagin de la femme. Elle jappa sous la surprise.

Je regardai la sixième queue que prenait ma belle-mère soumise. Elle devenait une vraie prostituée.

Nicolas la pilonna pendant une minute, puis il saisit ses bras afin de les tirer dans son dos ce qui la força à relever la tête. Dans cette position, à chaque fois qu’il tapait au fond, il tirait sur les bras, accentuant ainsi la pénétration, faisant crier Christine.

J’avais une vue magnifique sur le visage défait et grimaçant de ma soumise. Et la façon dont ses seins balançaient et rebondissaient me faisait bander. Marc en profita pour malmener sa poitrine et tirer ses tétons alors qu’elle était transpercée par son nouvel assistant.

Je me doutais que Nicolas continuerai à la baiser jusqu’à ce qu’elle jouisse. Il en allait de sa dignité. Heureusement pour lui qui commençait à être fatigué, Christine gémit qu’elle allait jouir. Cela redonna de la vigueur à son partenaire qui dit :

- Allez Christine, enfoncez-vous sur ma bite et laissez-vous aller.

Dans la minute suivante, l’orgasme de ma belle-mère éclata, incontrôlable.

Elle jouit bruyamment pour la deuxième fois en vingt minutes devant les trois hommes. Mais peu lui importait, elle avait une bite dans sa chatte et celle de Marc était prête à l’investir de nouveau. Elle regarda son patron Francis qui souriait, puis elle ferma les yeux, se laissant aller.

- Oh non! Dit Nicolas en la pilonnant de plus en plus vite. Il la pénétrait, ne la tenant plus que par les poignets, alors que son corps se détendait.

Elle ressemblait à une poupée bien baisée et quand l’homme la repoussa, elle tomba au sol, ses jambes trop faibles pour la retenir plus longtemps, l’orgasme faisant son effet.

Marc demanda à Francis :

- A votre tour Patron?

- Je ne voulais pas au début, mais sa performance m’a diablement excité. Alors occupez là pendant que je me déshabille. Mettez là sur le bureau! Dit Francis en retirant sa chemise.

Marc releva Christine et la poussa sur le bureau comme ce matin avec l’entrepreneur. Elle appuya ses fesses sur le meuble puis glissa en arrière, évasant ses jambes devant l’homme. Sa chatte bien utilisée était merveilleuse et humide. Elle fut bientôt pénétrée lentement par Marc.

Nicolas grimpa sur le bureau et se mit à genoux aussi près de la tête qu’il le pouvait. Elle se tourna vers lui quand il lui dit d’ouvrir la bouche. Elle accepta immédiatement la bite et aspira le membre. Marc la baisait lentement, caressant le clito sensible.

Francis tapota l’épaule de son employé :

- A mon tour Marc!

Celui-ci rejoint Nicolas sur le bureau, si bien que ma belle-mère eut deux queues à s’occuper avec sa langue. Sa chatte était sur le point d’être utilisée par sa quatrième bite de la journée. Et c’était sûrement la plus grosse.

Christine savait déjà ce que lui destinait son patron. Je pensais qu’elle n’attendait que ça mais le voulait-elle vraiment?

Francis frotta son gland de haut en bas de l’entrée du vagin, caressant aussi le clitoris enflammé. Il taquina son employée pendant deux à trois minutes afin que son membre raidisse complètement.

- AHHHHHHHHHH! Cria Christine, crachant la bite de sa bouche.

Francis était entré.

- C’est si gros. Dit-elle avant que Marc saisisse sa tête et remplisse sa bouche, l’empêchant de parler.

Mais elle recracha le membre aussi vite quand Francis la pénétra complètement :

- Quelle bite! Comme elle est grosse M. MULLER! Si grosse! Put-elle dire avant que Marc réinvestisse sa bouche.

Son patron commença lentement des vas et viens, s’assurant à chaque fois de sortir complètement puis de la pénétrer jusqu’au plus profond. Cette baise lente dura environ cinq minutes alors qu’elle suçait alternativement ses deux collègues.

J’étais assis chez moi, ma queue raide dans ma main. En me masturbant, j’étais ravi de la tournure des événements. Ma belle-mère était formidable une bite dans sa chatte et obligée d’en sucer deux autres. Mais j’avais un problème. Si Christine était déplacée dans un autre bureau dès lundi, je ne serais plus en mesure de voir ce qu’il se passe. Je devais remédier à cette situation.

Un cri aigu de ma soumise me tira de mes réflexions. Elle jouissait sous les effets de la grosse bite de son patron, ses cris bientôt étouffés par la queue de Nicolas dans sa bouche. Francis continua à la baiser tandis qu’elle frémissait sous l’orgasme. Puis il se retira.

- A genoux Salope! Dit Marc en la tirant et la jetant sur le sol comme une vieille serpillière.

Francis se mit à genoux devant elle. Sans qu’on lui dise ce qu’elle devait faire, elle tendit la main afin de saisir le membre de son patron encore humide de son jus puis elle le mit directement dans sa bouche. Marc la prit par derrière à nouveau. Nicolas, un peu désemparé, se demandait comment il pourrait participer. Finalement il choisit de s’allonger sur le dos, sa queue pointant à côté de la main de la femme.

Encore une fois, instinctivement, celle-ci leva la main afin de saisir le membre debout pour le branler. Elle faisait encore plaisir à trois hommes en même temps.

Je continuai à regarder la débauche qui dura encore près de quarante minutes. Les hommes changeaient de positions, utilisant sa chatte, sa bouche ou tout simplement se laissant branler. Je ne comptai plus le nombre de fois où ma belle-mère jouit mais je suis sur qu’elle eut plus de sept orgasmes. Pendant les dix dernières minutes, son corps était fatigué et ses fellations étaient plus lentes.

- Je vais bientôt éjaculer. Dit Marc.

Francis répondit :

- Nous allons la couvrir de sperme.

Christine fut mise à genoux au milieu des trois hommes.

Marc se plaça à cinq centimètres de son visage et pointa sa bite sur la bouche ouverte de la femme.

- Prends chienne!

Il grogna et déchargea par cinq fois. Ses deux premiers jets atterrirent autour de la bouche, le reste tombant sur le menton, les joues et le cou. Il recula, satisfait.

Francis s’avança et enfonça son membre dans la gorge de Christine. Il baisa son visage cinq secondes, puis il sortit et posa son engin sur le visage, les couilles sur le menton, la verge sur le front. Puis lui-aussi, il grogna et recula laissant un filet de sperme du front au menton de sa cible. Puis il éjacula encore sur les seins avant de remettre son membre dans la bouche de sa victime afin qu’elle le nettoie.

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