La Nouvelle Institutrice

BÊTA PUBLIQUE

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- Allez viens, ça fait six mois que tu as appris à découvrir la sexualité avec un vrai mâle, alors je vais t'initier à autre chose, Suka!

Anne n'en revenait pas : il dominait cette gamine avec un tel mépris, et elle ne réagissait pas! Elle réalisa qu'elle-même ne disait rien, encore sous le choc de ces derniers évènements.

- Allez, viens voir à quoi tu ressembleras dans quelques années ma petite chienne! On va faire un peu de biologie avec la prof!

Il la fit s'agenouiller près d'Anne, encore sous le choc et terriblement humiliée, n'étant plus couverte que de sa jupe noire, remontée jusqu'à ses fesses.

- Allons m'dame, ne cache rien : tu es prof et tu dois enseigner à tes élèves! En plus on est en seconde, on a des cours sur la reproduction des mammifères, mais les schémas c'est nul, alors tu vas pouvoir nous aider.

Sur ces mots, il força Anne à retirer ses mains afin de donner une vue complète de son intimité à la jeune élève. Il lui ordonna d'écarter les cuisses et sa simple autorité naturelle la fit obéir.

Anne s'exécuta, honteuse, écartant ses cuisses moites de sueurs, trempées de ses secrétions vaginales, les seins rouges et gonflés par la maltraitance qu'ils avaient subie, et humidifiés par les caresses buccales de son élève... elle se sentait humiliée au plus profond d'elle, et pourtant, elle ressentait une forme d'excitation qu'elle avait jusque-là à peine entraperçu au travers de ses petits jeux de soumission / domination avec son ex...

Durant cette scène surréaliste, la petite élève s'approcha et toucha les seins de la prof : les miens sont plus gros, annonça-t-elle avec fierté, contente d'infliger cette humiliation verbale à celle qui fricotait avec son mec, ce qui fit beaucoup rire Vladimir : mais les tiens sont des nibards de salope de compétition! La prof est une pute encore innocente! Mais va voir sa chatte, là, c'est pas mal, il y a plus d'expérience!

Mareva fixa le sexe de la prof : elle n'a pas de poil? s'étonna-t-elle innocemment. Riant de bon cœur, Vladimir expliqua :

- C'est parce que les putes occidentales qui se rasent le font à la demande de leur mac ou avant d'aller tapiner!

Bien que d'accord pour dire que cette prof était une pute, Mareva n'était pas plus convaincue que ça, et la jeune fille avança, hésitante, ses doigts vers le sexe entrebâillé : elle gloussa amusée lorsque son index toucha le clitoris de la prof.

- Il est gros et tout dur!

Anne frissonna d'excitation par ce toucher, délicat et empreint de retenu, mais connaisseur. La jeune fille continuait la caresse et roulait son doigt sur le clitoris, jouant avec, dans un sens, puis l'autre, comme un enfant qui découvre un jouet. Sous le regard ravi de Vladimir, Mareva descendit son doigt vers la vulve de la prof et écarta les petites lèvres.

- Elle est si large! constata-t-elle en pensant au sien, clairement moins expérimenté et adulte, avant d'ajouter : il est si chaud et humide!

Soudainement, elle enfonça d'un coup sec l'intégralité de son index, surprenant Anne qui ne put réprimée un petit cri aigu, plus de surprise que de déplaisir.

- Ah ouais, ça entre comme dans du beurre! dit-elle les yeux grands écarquillés.

- Exactement! Tu vois, une vraie femme a une chatte bien plus accueillante qu'une pucelle! Souviens-toi!

Et Mareva se souvint de ce jour où elle avait dû accepter douloureusement les 25 cm de Vladimir...

- Mais tu crois que ta bite pourra entrer dedans? Le vagin de la prof ne me parait pas si large que ça quand même!

Anne se raidit : son élève ne comptait quand même pas coucher avec elle? Ils avaient dépassé toutes les limites morales acceptables -- et ne parlons pas des légales! - et il n'était pas question que cela tourne ainsi! Elle s'était déjà assez laissée humilier par ses élèves sans réagir, mais il fallait que cela cesse, même si l'envie d'un orgasme salvateur était omniprésent.

Et pourtant, Vladimir ne lui laissa aucun espoir:

- En la préparant bien, évidemment que si, mais mieux encore, son cul va aussi prendre cher! Et pour ça, j'ai besoin de toi...

Anne ouvrit la bouche de stupéfaction alors que la petite Mareva n'était pas chaude à l'idée de faire quoique ce soit avec une femme, surtout pour la préparer pour son mec! Au fond, elle était même furieuse que cette salope de prof se laisse ainsi faire et vole son mec : cette pute méritait peut-être après tout de se faire enculer, et de toute façon valait mieux la prof qu'elle, ce qu'elle a toujours su éviter avec Vladimir, elle trouvait ça dégoûtant et avilissant... « peut-être même que ça le calmerait et qu'il arrêterait de m'embêter avec ça! », conclut-elle.

Mareva, voyant son intérêt comprit que tant que Vladimir aurait accès au cul de la prof, le sien serait préservé...

- Ok Vladimir, je fais quoi?

De son large sourire, Vladimir lui répondit :

- Viens lui lécher les seins et passe ta main entre ses cuisses, en la caressant comme tu le ferais pour toi...

La gamine obéit immédiatement, s'amusant de nouveau du côté ludique de l'expérience : si elle était douée en cours, c'est parce qu'elle adorait apprendre. Et cette envie existait aussi en matière de sexe.

Sa petite bouche vint ainsi se saisir d'un mamelon gonflé de la prof, et elle commença à donner des petits coups de langue au point qu'Anne croyait qu'un chaton lui lapait les tétons!

- Hmmmmm, gémit-elle.

Vladimir était ravi du spectacle, et commença à déboutonner son pantalon afin de se saisir de son gigantesque pénis ...

- Non... on ne doit pas... arrête... non... gémissait Anne, gênée par l'assaut de la gamine, mais aussi excitée par la délicatesse de ses attaques : les coups de langue de Mareva étaient si doux en comparaison de ceux de Vladimir...

La petite main de Mareva caressa la prof avec une délicatesse que seule une femme peut donner... Mareva commençait elle-même à se sentir excitée, au point d'abandonner les seins pour embrasser la belle prof à pleine bouche, ses lèvres agrippant la langue de la belle soumise, la sienne cherchant à enlacer celle plus expérimentée de la prof, qui finissait par répondre à l'appel... les 2 femmes s'embrassaient avec désir et passion... Machinalement, Anne se détendait, offrant d'ailleurs un accès plus ouvert à son entre jambe... la petite le remarqua et recommença à fourrer un doigt, puis un autre... elle agitait ses deux doigts avant d'en mettre un troisième...

Elle se retira de la bouche toujours en demande de la prof et s'exclama: « mais c'est fou comme son minou avale mes doigts! ». Vladimir répondit, en se masturbant devant la scène :

- Un minou, c'est le sexe d'une pucelle! Elle, elle a une chatte, car elle a dû se faire défoncer comme une pute! Ouvre les yeux : tu crois qu'une seule prof se soumettrait ainsi sans être une vraie pute? Je suis même sûr qu'elle a été pute avant d'être prof et qu'elle s'achète une virginité! Alors je vais te le prouver : je parie que tu peux planter tous tes doigts dans sa chatte sans problème!

Anne ne s'attendait pas à un tel mépris, que l'on discute d'elle comme d'une chose : alors qu'elle se redressait pour répondre aux terribles accusations sur son honneur, Anne fut surpris de sentir que la gamine ajoutait un quatrième doigt! En se figeant, jambes toujours écartées, Anne donna un mauvais signal à l'élève qui décida qu'elle voulait le cinquième doigt!

Elle enfonça lentement son doigt dans le vagin humidifié et ouvert, et avant qu'Anne ait pu réussir à lui dire d'arrêter, la main entière de l'élève glissa en un seul coup jusqu'au poignet!

Surprise d'une telle invasion, Anne ne put réprimer un cri qui fit se raidir Mareva :

- Je lui fais mal?, s'inquiéta-t-elle.

- Non, elle vient juste de se rappeler ce que c'était que de sa faire baiser par un gros morceau! Agite-toi en elle comme une bite ferait, elle ira mieux!

La gamine crut son aîné sur parole et ne se fit pas prier : elle commença un va et vient qui surprit Anne... mais ce petit bras, cette petite main, étaient malgré tout si doux... Anne ne se reconnaissait plus... et comme elle entendait encore Clément lui dire de se soumettre, elle décida de s'abandonner à ses sens... gémissant la bouche entrouverte...

- Elle aime ça, je crois, Vladimir! Je m'y prends bien?

Vladimir se redressa, saisit le visage de sa prof, positionna son sexe à l'entrée de sa bouche entre ouverte, et enfonça lentement son sexe : oui ma chérie, en plus tu me permets de lui baiser la gueule!

Anne ouvrit les yeux lorsque l'énorme sexe la pénétra! Elle faillit s'étouffer et tenta de retirer l'énorme animal, mais Vladimir la gifla : écoute, c'est la dernière fois que je suis gentil avec toi, la prochaine fois je te démolis si tu te refuses à moi! Alors suce-moi, suka!

Anne abdiqua, non seulement par crainte de brutalités plus violentes pour lesquelles elle n'avait aucun doute, mais aussi afin de satisfaire cet homme -- son maître? -- en suçant autant que possible le monstre qui entrait dans sa gorge... mais même pas la moitié de toute la longueur n'était entré dans sa bouche pourtant soumise à cet assaut, ce qui frustra Vladimir : il décida de baiser la bouche comme on baise une poupée gonflable ou une vulgaire pute: sans compassion ni respect!

Anne manqua de s'étouffer à plusieurs reprises, la salive dégoulinait le long de ses lèvres, elle sentait le liquide pré éjaculatoire commencer à perler dans sa gorge, mais elle n'osa pas contrarier l'élève. Ni s'opposer à ses sens..

Elle sentit Mareva fatiguer de ses va et vient, mais elle avait été si douée qu'une grande partie de son avant-bras avait pénétré l'intimité d'Anne :

- Vladimir, tu as vu comme je suis au fond! J'ai presque tout mis jusqu'au coude! s'amusa t-elle comme la gamine qu'elle était encore, alors qu'Anne vit du coin de l'œil, horrifiée, l'absurde pénétration qu'elle subissait, craignant que son vagin ne retrouve plus jamais sa forme originelle! Elle se dit qu'après tout, elle méritait d'être ainsi défoncée : elle se comportait comme une vulgaire pute, une chienne en chaleur aimant se faire baiser comme une salope, et son absence de morale et de limite méritait punition.

- Ouais, c'est bien, tu me l'as bien préparée! A ces mots, Vladimir retira son monstrueux sexe de la bouche endolorie d'Anne et fit signe à Mareva d'en faire autant : elle retira lentement son bras du trou béant de la prof, luisant de toute son excitation!

- C'est dingue! dit-elle, en observant le vagin distendu qui ne se refermait plus, avant d'ajouter : je serais comme ça un jour?

- Je ne sais pas mon cœur, là c'est une sacrée pute qu'on tient! Et vu ce que tu lui as mis, même moi je ne sais pas si je vais encore sentir un truc en la baisant!

Humiliée par ces propos, Anne pris conscience que son élève avait l'intention de mener à termes son projet mais s'il existait encore une limite qu'elle voulait ne pas franchir, c'était celle-là : baisée par un élève... un sauvage... un animal...son maître...

Perdue dans ses pensées, elle n'offrit aucune résistance à Vladimir qui la leva comme un fétu de paille : il la retourna et plaqua tête contre son bureau, poussa de sa main robuste sur ses reins afin de la cambrer, puis il releva sa belle croupe afin de la mettre à hauteur de son sexe : il la pénétra d'un coup de rein et la baisa avec toute la férocité et la rage qui animait sa vie, il voulait qu'elle n'oublie jamais que c'était juste une pute de prof soumise, que c'était lui le maître!

Anne aurait hurlé en temps normal de se faire prendre par une telle bite, mais Mareva l'avait si bien travaillée qu'elle avait pu accepter le monstre jusqu'au fond dès la première pénétration! Elle s'imaginait détruite, son sexe plus bon à rien pour un rapport normal avec un pénis de taille normale, et pourtant elle aimait la pénétration : pour la 1ère fois de sa vie, chaque parcelle de son vagin sentait la vigueur de la queue qui la labourait, chaque stimulation était démultipliée, elle sentait les couilles épaisses et pleines de son tortionnaire lui claquer le cul, tandis que le bassin du géant percutait ses fesses bruyamment comme dans un film porno où l'actrice se fait prendre par un bel étalon super bien membré... elle devinait les veines du pénis qui l'envahissait ainsi que chaque pulsation du sexe qui n'allait pas tarder à jouir en elle... en elle! Non! Elle réalisait qu'elle ne prenait pas la pilule!

- A... a... attends...Vladimir... je ne suis pas protégée... »

Entendant ces mots, Vladimir eut presque envie de jouir d'un coup! Imaginer mettre enceinte sa prof qui accoucherait d'un petit bâtard, c'était le summum de l'excitation pour lui! Mais par une extraordinaire force mentale, il se retint et se retira d'un coup, laissant la prof vide et insatisfaite.

- Ah mais madame la prof, dans nos cours on apprend aussi la conception des bébés, et Mareva aimerait sûrement savoir comment on fait, hein ma puce?

L'innocente Mareva avait laissé place à la vicieuse jeune fille avide de découvertes... et de vengeance sur la femme qui osait partager sexuellement son mec!

- Hi hi oui j'aimerais bien voir ça! Il faut beaucoup de sperme? dit-elle avec perfidie.

- Oui, et j'en ai beaucoup! Mais on va faire un jeu...

- Oh oui!

Anne ne bougea pas, exténuée et frustrée par l'orgasme qui lui avait été refusée, et surtout inquiète de la suite...

- Mareva, tu vas te positionner sur le bureau et offrir ton minou à la prof...

- Anne voulut réagir mais Vladimir lui claqua le cul d'une fessée si forte qu'elle poussa un cri de douleur qui résonna dans les couloirs de l école. Une deuxième claque la frappa sur l'autre fesse, laissant l'empreinte des mains géantes de l'élève sur sa prof, comme une marque de son territoire.

- Ta gueule, suka! Et écoute, je te laisse une chance : tu vas bouffer le minou de ma copine pendant que je vais te baiser : si elle jouit avant toi, je jouirais en dehors de toi, et j'arroserai ton cul, ta chatte et ta jolie tronche avec mon litre de sperme que je te réserve! Si tu jouis avant, je t'arrose les cavités et je te promets que tu attendras des triplés!

Anne ne vit pas d'alternative que d'en finir ainsi, en se soumettant aux délires de ses élèves : elle vit la petite Mareva s'allonger sur le dos et relever sa jupe : elle ne portait aucune culotte! « mon Dieu cette génération est perdue! » songea-t-elle, avant de réaliser sa propre posture...

Le sexe de la gamine était recouvert d'un duvet blond... et Anne sentit que Vladimir s'activait de nouveau en elle, en claquant son cul, plus doucement cette fois... et elle aimait ces petites fessées qui lui rappelaient son ex... si elle la voyait maintenant!

Dans un instant de lucidité, elle se rappela qu'elle ne voulait pas prendre le risque d'avoir un enfant conçu dans l'antre de l'enfer, alors elle franchit ses dernières barrières morales en lapant la jeune élève devant elle... et échangea une relation lesbienne pour la première fois de sa jeune vie...

Elle entendit gémir la gamine et se dit qu'elle s'y prenait bien, ce qui flattait étrangement son ego, vu la situation amorale au possible. Elle décida toutefois d'accélérer le rythme, en jouant avec sa langue sur le clito à peine développé de l'élève, mais elle sentait la jeune fille mouiller comme une femme expérimentée, en chaleur, prête à jouir... mais elle sentit Vladimir accélérer aussi, et la course contre la montre commença... Anne décida de saisir les seins de l'élève afin de jouer avec ses tétons, d'augmenter son plaisir, et ça semblait marcher, mais Vladimir accéléra encore le rythme, lui claqua les fesses en la chevauchant comme un animal, et lui inséra le pouce dans l'anus, ce qui surprit Anne qui poussa un cri!

Décontenancée par l'attaque sournoise de son fondement par le jeune homme, Anne poussa un petit cri avant de réaliser qu'elle avait délaissé un court instant -- fatal -- la jeune fille!

Vladimir enfonça un peu plus profondément son large pouce et commença à s'agiter en elle par les 2 trous!

Cette action électrisa Anne qui avait de nouveau désespérément précipité sa langue dans le sexe presque juvénile positionné devant elle, léchant les lèvres, mordillant le clito, comme si sa survie en dépendait, mais c'était trop tard : Anne jouit comme jamais, ressentant un orgasme que seule une situation aussi improbable pouvait provoquer, et son vagin convulsa avec une force telle que Vladimir ne put lui-même résister : il gicla en elle une quantité de sperme si importante que sans même avoir fini d'éjaculer dans le vagin de sa prof, il en coulait déjà de longs flots hors de sa chatte béante...

Crispée par son orgasme, la bouche collée au minou de la gamine, Anne serra par réflexe les seins de l'élève qui, à son tour, eut un terrible orgasme!

Vladimir resta une bonne minute au fond de la prof tandis que Mareva se ressaisit rapidement, et lui demanda de façon faussement ingénue: dis, si tu veux lui faire un bébé, il ne faut pas que ça coule trop dehors non? Elle positionna un verre qui traînait sur la table sous le sexe des amants, afin de récupérer de la semence autant que possible.

Vladimir explosa de rire, se retira et laissa couler une quantité impressionnante de sperme dans le verre.

Il retourna la prof sur le dos, lui leva les jambes, plaça le reste des vêtements sous ses fesses pour la surélever, et écarta vulgairement les cuisses.

- Ma chérie, pour la fin du cours, je te propose de participer : un quart du verre étant rempli, tu peux lui remettre directement au fond du vagin afin que cela coule dans son utérus et féconde ses ovules...

Mareva regarda presque émerveillée le sexe béant d'Anne, y introduisit deux doigts pour parfaitement écarter le vagin, et commença à faire couler lentement le sperme riche en bébés dans l'antre de la prof, perdue dans un coma de plaisir, inconsciente de l'acte obscène et dangereux perpétré par ses élèves...

- Vladimir, ce sera un peu notre bébé à nous?

Il lui sourit : il aimait bien Mareva, mais il profiterait beaucoup de cette pute avant toute chose. Et Clément aimera en entendre parler pour ses propres projets...

Epilogue

Clément n'en revenait pas : Anne avait succombé aux assauts de Vladimir avec une facilité déconcertante! Il avait parié avec son élève 100 euros qu'il n'y arriverait pas, mais le gamin avait gagné! Ce petit était plein de ressources ...

Il avait pu assister en direct à la scène grâce à trois caméras vidéo, savamment positionnées par l'oncle de Vladimir.

- Incroyable! je ne cesserai jamais d'être surpris par ces élèves, songea-t-il.

Clément se remémora ses débuts au Lycée, lorsqu'il avait du mal à tenir ses élèves et que sa paye était misérable... Vladimir avait été présenté à l'école par son oncle : cet homme avait grandi dans la misère ukrainienne, le mépris, l'alcool et la violence, parlant à peine autre chose que le russe et l'ukrainien, gagnant sa vie au travers de multiples larcins plus ou moins criminels.

Clément avait rapidement compris qu'il pourrait régler tous ses soucis d'autorité et d'argent d'un seul coup en engageant l'oncle en tant que concierge du lycée et en faisant entrer son neveu dans l'établissement spécialisé dans l'échec scolaire.

En effet, il avait facilement deviné que le gamin s'imposerait naturellement auprès de ses camarades et qu'ainsi il obtiendrait le calme pendant ses cours. Pour ce faire, il lui faciliterait la vie en lui offrant la possibilité de devenir le caïd du lycée en dominant impunément ses petits camarades et surtout les filles du Lycée, avec l'aide de son oncle.

Il suffisait que Vladimir séduise certaines jeunes filles et les amène à avoir des relations sexuelles dans certaines salles, bien équipées grâce à son oncle. Celui-ci aurait positionné des caméras où il faut afin de filmer les scènes compromettantes de jeunes filles qui seraient trop honteuses de voir les images volées révélées au monde.

Devant l'enjeu, et bien aidées par leur probable échec scolaire leur laissant peu d'espoir d'avenir meilleur, elles finiraient par accepter de tapiner pour l'oncle ukrainien en contrepartie de son silence.