La leçon

BÊTA PUBLIQUE

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romane
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Elle avait un remède, léchant mon clitoris et me taquinant jusqu'à ce que je me détende, et elle arriva à le faire glisser en moi. Cela me fit ouvrir encore plus, me donnant une grande sensation, et me faire baiser avec deux faux phallus, je me senti lascive. Je commençais à bouger, très ferme, et encore plus loin. Rien d’autre n’existait excepté moi, les filles, et ces godemichés. Je gémissais, et réalisais qu'une chatte s’était déposé sur mes lèvres. La toison me caressait les lèvres et le nez, et je le léchais aussitôt.

Je le léchais avidement en fait, dégustant le sperme et la liqueur mélangé ensemble. Je trouvais l’ouverture qui me délivra de la crème plus épaisse et son clitoris. Elle avait un grand clitoris et je le suçais comme si c’était un pénis, l’agaçant du bout de ma langue. Elle gémit et brusquement mon visage fut trempé alors que son sexe expulsait le sperme qui se trouvait encore à l’intérieur. Ces liqueurs s’ajoutèrent à l’inondation. Son bassin bascula contre moi, et je glissais ma langue à l’intérieur de son minou, sentant les spasmes de ces muscles intimes autour de ma langue.

Elle se retira et une autre chatte pris sa place. Celle là était rasé. Cette fille avait un minou plus sucré, et aucune trace de sperme en elle. Elle ouvrit elle même ses lèvres et se frottant contre ma bouche, et bougea d’avant en arrière sauvagement. Mes propres hanches bougeaient, travaillant soit avec le godemiché dans mon cul et soit avec celui dans ma chatte, me rapprochant du plaisir, de la délivrance. La fille les introduisait rapidement, alternant les attaques et les repos. Je gémissais dans le sexe rasé, buvant des jus sucrés qui inondaient mon visage.

Ce fut encore au moment où j’allais venir que tout s’arrêta. Je n'obtenais pas ce que je voulais, et j’étais vraiment frustrée. J'étais si chaude que j’étais prête à faire n’importe quoi pour me faire jouir. C’est ce que j’avais déjà supposé avoir ressenti quelque jours plus tôt.

(Mlle la voix sexy) me conduisit encore vers une autre partie de la pièce, et me fit asseoir par terre, jambes écartées et mains dans le dos. Je senti des mains qui venait de derrière moi se poser sur mes seins, alors que des hommes éjaculaient sur moi. La fille caressait mes seins, laissant le sperme léger glisser entre ses doigts et mes tétons. Je ne sais pas combien de types ont éjaculé sur moi, mais quand je me suis étendu sur le banc, j’étais toute mouillée.

Mon visage était mouillé, le sperme coulant le long de mon cou et de mes seins, mêmes en bas sur mes poil pubien. J’étais à nouveau sur un banc. (Mlle la voix sexy) me demanda de me lever, de chevaucher la banc et de descendre doucement. Comme je le faisais, je senti ses mains écarter mes fesses et mon anus et un phallus, un réel cet fois, un phallus tiède, et bien vivant se pressa contre mon oeillet. Il n'était pas très grand, et il glissa aisément.

Je me senti terriblement sexy et réellement cochonne quand on souleva mes jambes du plancher si bien que tout mon poids était concentré sur mes fesses. Des mains féminines me soulevaient mes jambes, et mes bras étaient enroulés autour de leurs épaules. Elles commencèrent à me lever et à me baisser sur le phallus, tenant mes jambes largement ouvertes. L’homme resta tranquillement allongé et s’était les filles que me faisaient aller et venir sur son pénis. J'étais brûlante, et quand il vint, il éjacula une partie de son sperme dans mon cul.

Après tout ce que j’avais subit, j’étais prête pour n’importe quoi. Même un chien aurait pu faire l’affaire. J’étais prête à me battre si l’on m’empêchait encore une fois de glisser mes doigts dans ma chatte.

(Mlle la voix sexy) revint encore une fois, et me conduisit vers le milieu de la pièce et elle me fit asseoir par terre, à nouveau les jambes largement écartées et les mains dans le dos.

J’entendis alors une autre voix qui disait à quelqu’un de s’agenouiller par terre. Je sentis une peau humide et une toison qui me caressait légèrement les cuisse interne.

Je reconnu le parfum de Anne et j’étais excité, sachant que elle me ferait jouir si n’importe qui ne voulait le faire

- Vos masques vont être enlevés. » dit (Mlle la voix sexy), « et vous avez justes trois minutes ensemble, pour faire ce que vous désirez. »

Mon coeur sauta. Nous pouvions alors nous faire jouir toutes les deux!

Le masque fut enlevé et je clignais des yeux. L'éclairage était doux, légèrement obscure. Anne était à genoux devant moi, et elle était comme moi, couverte de liqueurs et de spermes. Ces cheveux étaient encore à leur place, et il y avait des filets, encore épais, de sperme près de sa bouche. On s’embrassa alors avidement, léchant le sperme que l’on n’avait sur le visage et dans la bouche et c’est alors qu’elle se redressa et me présenta son sexe les lèvres écartées par ses doigt.

- Suce moi, putain! Fais moi jouir! » me cracha t’elle.

Je lui suçais alors son clitoris, et glissais trois doigts dans sa vulve moite, la baisant follement avec les doigts et la langue. Anne commençait à gémir et à trembler, tirant ma tête contre elle et frottant son minou contre mon visage. Je m'arrêtais et la regardais au dessus de moi.

- Mange moi aussi! Laisse moi jouir avec toi! » lui dis-je implorante.

- Ne t’arrête pas de me baisser, salope! »

Anne glissa sur le dos, gardant mon visage collé à sa chatte.

- Fait moi jouir partout sur ton visage! »

Anne était aussi frustrée que je l’étais. Je réussis à me dégager d’elle et à la basculer sur le sol. Anne se débattu pour finirent de basculer sur mon corps, écartant largement mes jambes et attaquant enfin ma vulve avec sa langue comme une folle. Sa chatte se pressa contre ma bouche et je commençais à la sucer moi aussi. On se doigtait chacune, léchant nos clitoris, jusqu'à ce que, enfin, après un long moment de baise, je pus sentir les vagues de l’orgasme arriver. Ce fut aussi le cas de Anne. Je sentais ses muscles vaginaux qui pressaient de plus en plus mes doigts.

Encore quelque seconde et ... quelqu’un la retira de dessus de moi et des mains me repoussèrent me plaquant contre le sol.

- NON! NON DE DIEU! JE VEUX JOUIR! J’ALLAIS JOUIR » hurlais je dans la pièce.

Anne cria la même chose que moi.

Ma mère nous apparut, et je n’en croyais pas mes yeux. Elle se tînt en face de nous deux, vêtu de longues cuissardes en cuir qui remontaient haut sur ses cuisses, d’un harnais de cuir qui faisait de grands anneaux autour de ses seins, des chaîne qui partaient de son harnais pour disparaître entre ses cuisses, et des gants de cuir qui lui remontaient jusqu’aux coudes. Elles restait devant nous, les mains sur les hanches dégageant une chaleur animale.

- Laissons ses salopes continuer de se sucer. » dit-elle.

(Mlle la voix sexy) nous dit que nous pouvions continuer notre ébat amoureux. Je tournais la tête et la regardais, découvrant une femme exquise de 28 ans, avec une poitrine pleine, une chevelure sombre, et une bouche très sensuelle qui me regardait. Alors je vis que son pubis était rasé, comme l’était l’une de mes amantes, et une fille plus jeune qui était en train de doigter le sexe de (Mlle la voix sexy).

Anne revint sur moi et on reprit notre soixante - neuf, sachant, toutes les deux, que cette fois nous pouvions jouir. Anne et moi, nous nous doigtions et nous nous sucions, et je sentis ma chatte qui se recroquevillais, me préparant à venir, et espérant que cela ne s’arrête pas maintenant. Le sexe de Anne faisait la même chose sous mes doigts, et nous nous approchions de l’instant fatidique.

Anne jouit la première, et elle bougea ses hanches sauvagement. Alors je vins à mon tour, gémissant d’un cri guttural, un orgasme qui fit chanceler mon esprit. Je pouvais sentir Anne qui se secouait au dessus de moi, et mon corps frémissant se secouait aussi.

Quand on eut enfin fini, Anne resta au dessus de moi, et je lui embrassais sa douce chatte mouillé, en douceur. Elle se retourna, me caressant toujours l’intérieur des cuisses, et nos bouche s’unirent. On goûtais ainsi à nos propres liqueurs, mêlé d’un léger relent de sperme. Après notre long et tendre baisé, Anne roula à côté de moi et on regarda autour de nous.

La pièce était comme un grand salon, avec des chaises et des sofas, le banc, plusieurs d'escabeaux de pied et une table de café. Dans toutes la pièces les gens étaient soit nus, ou bien vêtus de chose très sexy.

Je réalisais que Anne était également nue, et moi aussi je l’étais. On nous avait retiré nos bas et collant mais je ne me rappelais plus à quel moment.

Je vis une blonde à la chatte rasée qui chevauchait un énorme pénis, et un autre homme au sexe minuscule qui commençait à baiser le trou du cul d’une autre femme.

(Mlle la voix sexy) avait sa chatte rasée bouffée par une fille qui avait dans nos âges, assise sur un sofa avec ses jambes sur les épaules de la fille.

Un homme jouit près d’elle, et l’on vit le sperme se répandre sur sa poitrine pleine. La fille arrêta de sucer la chatte et s’attaqua au phallus de l’homme afin de le nettoyer. Elle revint sur elle, et commença à lécher le sperme sur les seins de (Mlle la voix sexy).

Anne me montra quelque chose et je vis une femme assise sur un tabouret, la chatte prise par un sexe impressionnant, et son visage broyé par les jambes d’une autre femmes.

C'était une véritable Orgie!

Je recherchais ma mère, et la trouvais. Je clignais des yeux, et la regardais. Trois hommes éjaculèrent leur sperme sur tout son corps et ses seins, pendant qu’elle se faisait sucer par une autre femme. Ma mère lécha avidement leurs phallus, alors qu’une rousse arriva et étala tout le sperme sur le visage de ma mère.

Anne et moi on se regarda, et elle recueillit un peu de sperme sur sa poitrine, et me le déposa sur mon visage. Je me senti sexy, et très cochonne. Mes propres seins étaient trempés et je la poussais vers eux et elle commença à les lécher. Un type s’agenouilla en bas, tenant son grand pénis près de mon clitoris et se masturbant lui-même.

- Eclabousser plutôt son visage! » lui dis-je, et il le fit quelque seconde plus tard.

Certaine giclé atterrir sur mes seins et Anne suça son pénis. On s’embrassa et elle m’offrit la jouissance de l’homme dans sa bouche.

On le chassa, alors qu’elle avalait, m’embrassant même de plus en plus fougueusement.

Un homme nous regardait et je sentis ma chatte sondé par quelque chose. Je regardais en dessous de moi, entre mes cuisse et vis une femme muni d’un godemiché à la ceinture qui s’agenouillait derrière moi, posant son engin contre ma vulve. Elle savait comment utiliser ce godemiché. Peu de temps après, elle me pistonnait, allongée sur mon dos me prodiguant un nouvel orgasme.

Anne glissa de dessous de moi, et je la vis se mettre à quatre pattes devant un homme qui devait avoir la cinquantaine. Il avait un corps svelte et court, un phallus épais qui alla droit dans le cul de Anne. Je les regardais jusqu'à ce que je commence à avoir un nouvel orgasme. La femme se pencha pour m’embrasser et me remercier, léchant mon oreille et repartit en quête d’une autre femme à baiser.

Anne se faisait enculer merveilleusement et je glissais en dessous d’elle pour l’embrasser. Je senti un sexe en moi, qui me baisa jusqu'à ce qu’il jouisse. Je voulais juste embrasser Anne et pincer ses tétons et elle jouis à son tour. Je senti du sperme se répandre dans ma grotte et le sexe du type fut remplacé par la bouche d’une femme. Elle me lécha avec ravissement, le sperme mêlé à mes liqueurs et je sus que j’allais bientôt jouir. Je voulais voir qui elle était.

Je regardais en bas et vis une longue chevelure rouge. La femme leva la tête et dit :

- J’ai toujours su que tu avais un minou délicieux » et elle retourna me lécher.

Je la connaissais!

- Mademoiselle PALMER!? » dis je surprise de voir ma prof d’Anglais, nue, suçant avec avidité mon chaton.

Elle s’assit, sa poitrine menu couverte de larges mamelons rosés et son visage humide de ma rosé. Elle me sourit et me dit qu'elle avait toujours voulu sucer mon chaton, alors elle glissa trois doigt à l’intérieur, utilisant son pouce sur mon clitoris tandis qu'elle me suçait et me léchait la poitrine.

L'homme jouit dans le cul de Anne, se tenant bien enfoncé en elle, et tous les deux regardaient Mlle PALMER qui me suçait les seins et me branlait jusqu'à l’orgasme. Elle offrit alors sa toison rousse à Anne, qui le lécha et la suça à son tour, la faisant gémir. Je me relevais pour aller sucer sa poitrine menue, bandante.

- Vous êtes très chaude les filles! » nous dit elle « de vrais salopes vicieuses, et j’adore cela! » Elle jouit, criant en de long gémissements, mouillant le visage de Anne. On l’embrassa, lui permettant alors de nous branler toutes les deux, jusqu'à ce qu’elle se lève et nous abandonne partant à la recherche d’autre plaisir. Autour nous, il y avait de plus en plus de gens que j’avais déjà vu, j’en suis sûre, et je vis certain nouveaux visages (sexe, et corps). Je ne vis plus Mlle PALMER et (Mlle la voix sexy). Ma mère était allongée sur le dos, se faisant baiser rudement et lécher par une fille d’environs 25 ans.

Un homme ayant la trentaine nous demanda si l’on voulait boire quelque chose. On se demanda de quel genre de boisson il voulait bien perler, mais il nous conduisit dans une pièce où il y avait un bar et nous servit du jus d’orange. L'homme nous dit que nous étions les plus impudique gamines qu’il n’avais jamais vu. On le remercia et de retour dans la pièce, on trouva ma mère assise sur une chaise se laissant brouter la chatte. J’allais vers elle et lui demandais combien de temps on allait rester ici.

- Si vous voulez rentrer, les clé de la voiture sont dans mon placard, c’est le numéro 358. » dit-elle.

La fille qui broutait ma mère, commença à me masturber moi aussi.

- Je connais quelqu’un qui peut me ramener, sinon vous êtes libres de rester aussi longtemps que je serais là. »

On lui dit que l’on voulait rentrer. On était épuisé, et on avait plus de peps pour retourner au combat. Elle nous répondit qu’elle rentrerait tard et que nous avions le droit de faire tout ce que nous voulions maintenant, même baiser avec nos petits amis à la maison.

On alla dans les vestiaires afin de prendre la clé de voiture. On repris nos vêtements et une fois rhabillé on constatait que nous portions rien d’autre que nos chaussures et moi ma robe et elle sa minijupe et son bustier. Le sperme et les liqueurs féminines étaient un peu trop voyante sur nos corps. On essaya de se laver un petit peu le haut sans remarquer qu’il y avait des douches derrière la dernière rangé de placard.

On se dirigea vers la sortie et on s’arrêta pour demander un homme comme rejoindre la ville.

- Suivez les panneau, ce n’est pas très compliqué! » nous dit il.

Il était plutôt occuper à faire glisser son phallus entre la poitrine opulente d’une femme.

On sortie dehors dans l’air tiède de la nuit et on trouva facilement la voiture. On remarqua seulement que l’on était rester plus de cinq heures dans cet endroit. Je sortie du parking et peu de temps, en suivant les panneau, on tomba sur une route que nous connaissions.

- Je n’arriva pas à m’imaginer ce qui vient de se passer! » dit Anne. « Réalises tu que nous sommes comporté comme de vrai chiennes en chaleur devant toutes ces personnes? »

- Et ma mère! » lui dis je.

- Oh oui ta mère n’est pas mal non plus. »

Cela me désola un peu, mais je suis sûre qu’elle savait à quoi je pensais.

- As tu vu comment ta mère aimait voir ces types lui éjaculer dessus! »

- Tu a aussi aimé cela, n’est ce pas? » lui dis je.

- Oui, mais... »

- Moi aussi d’ailleurs. Et tu étais trempé de sperme lorsque on a retiré nos masques. » lui rappel je.

- Moi!», cria t’elle, « salope, tu avais du sperme qui te dégoulinait de tout le corps! »

- Et cela t’a plu » lui rétorque je.

- Comme tu le dis! » me dit elle avec un clin d’œil.

Toute cette discussion me rappela la sensation collante que j'avait sur mes seins, mon estomac et en d’autre endroit. Mes fesses étaient encore collante et mon sexe était encore humide. Je conduisais prudemment.

- Et qui m’a traité de salope et de putain? » lui demandais je.

- Excuse moi mais l’envie de jouir était trop forte et tu t’étais arrêtée de sucer mon clitoris juste au moment où j’allais venir. J’étais exaspérée. »

- Ecoute, espèce de bouffeuse de foutre, si tu avais fait un soixante neuf avec moi dés le début... »

Je devenais folle, car Anne ne s’imaginait pas l’état de chaleur dans lequel j’avais été.

- Foutre, bouffeuse de foutre! » dit-elle, « attends que l’on soit à la maison et je te montrerais ce que c’est qu’une bouffeuse de foutre! »

On s’arrêta de parler et on éclata de rire.

Une fois à la maison, on retira tous nos vêtements nous embrassant sur des parties du corps auquel on ne l’aurait jamais pensée le faire auparavant. Le main de Anne commença à glisser entre mes cuisses.

- Attends une minute! » lui dis je, « j’aimerais prendre une bonne douche. Je me sens sale et collante. »

- Hmm., mois aussi. Je me sens collante de sperme, et après ta bouffeuse de foutre te léchera jusqu'à ce que tu lui demandes la permission de jouir. »

- Ooh, tu es ma petite bouffeuse de foutre préférée. Allons prendre notre douche! »

On alla dans la salle de bain et on commença à faire couler l’eau dans la douche. Anne ne me laissa pas de répit, s’agenouillant et léchant ma chatte pendant que l’eau se réchauffait. Malgré la rude épreuve qu’elle avait subit, ma chatte recommença à mouiller et ses doigtes me caressèrent les lèvres alors que je butais contre la porte de la douche.

- C’est bon petite gourmande » dis je en ouvrant la porte, « tu peux me manger aussi sous la douche! »

Anne ne bougea pas, léchant mon clitoris ce qui me rendis chaude et lascive. Je décidais que après avoir jouis, on prendrait cette douche.

Elle n’était plus qu’à un pouce, lorsqu’elle s’arrêta.

- Alors, on la prend cette douche! » dit elle.

- Espèce de salope! » lui dis je, « ne t’arrête pas maintenant! »

- Ha bon tu te préparais à jouir?" me dit elle coquine.

- Mange moi putain, lèche moi le clitoris! » lui dis je, la forçant à retourner par terre.

Anne recommença à me branler ce qui me fit me détendre.

- Je paris que tu aimes sucer mes liqueurs maintenant » me dit Anne.

Je gémis essayant de la faire descendre entre mes jambes.

- Ou peut-être, préfères tu avoir la bouche pleine de sperme craché par un superbe phallus? »

Je gémis encore, et lui dis « Tait toi et fait moi jouir espèce de salope! »

Anne rigola et recommença à lécher mon clitoris. Je jouis, le corps tremblant, la vulve pleine de spasme, tenant la tête de Anne le plus près de mon ventre.

Quand j’eus repris mes esprits, je la remerciais en l’embrassant sur la bouche.

On alla sous la douche et on se lava mutuellement et je lui rendis son plaisir en allant lui sucer sa chatte jusqu'à ce qu’elle jouisse.

Ensuite, on grimpa sur mon lit, on s’embrassa , on se toucha, on grimpa l’une sur l’autre. On se brouta plusieurs fois et Anne jouit même sur ma poitrine, me couvrant de son jus sucré.

Nous étions toutes les deux nues, enlacé, prêtes à nous endormir lorsque ma mère arriva.

Elle nous réveilla toutes les deux lorsqu’elle alluma la lumière de la chambre. Il faisait chaud, et on était à moitié recouverte par les draps. Je dormais avec mon bras au dessus de Anne, tenant dans ma main l’un de ses seins.

Ma mère souriait, et elle nous demanda si on avait passé un bon moment. A moitié endormit, on lui répondit que « oui ».

- Approchez! » nous dit elle. « Je vous ai acheté quelque chose sur le chemin du retour . »

Elle nous donna à chacune d’entre nous un cadeau emballé dans une boite. On les les ouvrit et on découvrit à l’intérieur des vibromasseurs. Les deux étaient de bonne taille et d’un aspect assez réel. Et il y avait des piles.

romane
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