La leçon

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Deux jeunes filles subissent la punition d'une femme.
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romane
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Voici une Leçon à méditer : Il n’y a rien de plus humiliant que de se faire surprendre par votre mère alors que vous baisez avec votre petit ami, n’est ce pas? Faux. Ma mère me surprit bien sûr, mais elle ne surprit pas seulement moi, elle surprit aussi ma cousine, Anne. Nous étions toutes les deux dans mon lit, avec mon petit ami. Elle arriva juste après que Marc eut jouis dans le sexe de Anne, et Anne continuait à sucer mon clitoris. Elle avait eu la bonté d’attendre que Marc finisse son affaire. « La parti est finie » dit-elle. Une fois que Marc fut parti en courant, elle nous dit.

-Nous discuterons de cela plus tard! Venez à table! »

Ma mère était très belle lorsqu’elle portait seulement une robe. Le déjeuner était superbe et le vin était excellent. Peut-être juste un petit trop excellent, me dis je. Je la trouvais un peu trop cool après nous avoir surprise ma cousine et moi, alors qu’elle me suçait la chatte. Elle nous sermonna, disant que nous étions assez âgée pour nous protéger bien qu’elle sache que Anne prenait la pilule. Elle n’était pas en colère mais juste irritée. Elle nous envoya dans nos chambres. Anne se dirigea dans la chambre d’ami et moi je m’effondrais sur mon lit. Ma mère nous dit qu’elle chercherait une punition qui nous servira de leçon.

J’étais trop vieille pour recevoir la fessé, mais à l'idée de passer mes vacances estivales autour d’un aspirateur et laver des fenêtres ne me plaisait pas du tout.

J'entendis ma mère passer quelques coup de fil, puis elle alla travailler. Je l’entendis taper sur son ordinateur puis l’imprimante vrombit.

Elle nous appela ensuite dans le salon, nous donna des feuilles et des stylos.

- Répondez à ce questionnaire, honnêtement! Je vous donne trente minutes. » dit-elle.

Dans sa voix , elle avait accentué le mot "honnêtement", et cela me sembla curieux.

Elle nous renvoya dans nos chambres, seules, à répondre aux questions. C’était une sorte de sexe-quiz, et je pensais qu'elle voulait tester nos connaissances.

Les premières étaient un peu facile :

- Avez vous eu des rapports? Si oui, combien de fois (approximativement).

- Est ce que vous vous masturbez? Si oui, où et quand?

J’allais à la fin du questionnaire et répondais honnêtement (oui, plus de10 fois, oui, deux fois par semaine, et n’importe où).

Je m’arrêtais sur les question suivante.

- Vous êtes vous mis n'importe quoi dans votre rectum? Quoi?

- Avez vous eus des rapports anaux? Combien de fois? Avez-vous aimé cela?

- Avez-vous eus des rapports oraux? Donner ou recevoir? Est-ce que vous avez aimé? Pourquoi?"

- Quel est votre position favorite? Pourquoi?"

- Quel est votre fantasme sexuel favori (brièvement)?

- Avez vous déjà fait l’amour avec une autre femme? Avez-vous aimé?

- Avez vous des rapport avec au moins deux ou plusieurs personnes à la fois?

Vous voyez un peu l’idée. Il y avait presque trente cinq questions, et avec justes trente minutes, il fallait répondre à toute le plus honnêtement possible. J’en sautais certaine inintéressante, mentais à d’autre.

Elle nous donna pourtant quarante minutes. Elle prit les copies et nous renvoya dans nos chambres.

Dix minute plus tard, elle appela Anne dans sa chambre et resta avec elle au moins quinze minutes.

Elle m’appela à mon tour. Je croisais Anne qui avait l’air penaude.

- Ma chérie » commença t’elle, « Je suis contente que tu aimes le sexe, mais tu dois savoir comment l’appréhender. Ce n’est pas la chose la plus importante au monde, tu sais? »

Je hochais la tête. Elle me dit que le sexe était un amusement, et le sexe et l’amour étaient deux choses différentes, mais le sexe AVEC l'amour était la meilleur des chose. Je hochais encore la tête.

Elle me donna alors l’une des feuilles et me demanda de la lire. Je le fis et remarquais rapidement qu'elle était écrite de la main gauche de Anne. Anne avait répondu honnêtement, aussi loin que ma mémoire allait, disant qu'elle avait eu des rapports sexuels, qu’elle se masturbait presque quotidiennement, qu’elle avait pratiqué le sexe anal, le sexe oral, et que sa position favorite était « la levrette », et elle avait couché avec des femmes ( moi incluse) , et pratiqué le sexe de groupe. Mais ce qui me surpris, fut son fantasme. "Etre mangée par Julie tandis que trois types me donnent du plaisir, devant un groupe d'autres gens." Julie c’est moi. Les yeux bruns de ma mère brillaient lorsque je la regardais. Je me rappelais ce que j’avais écris (mon deuxième actuellement), et qui devait être de faire l'amour avec deux types dehors sous le soleil tiède où n'importe qui pourrait nous voir.

- Anne a un ticket avec toi. »me dit-elle. « Que pense tu de cela? »

J'aimais Anne, et nous avions découverte tant de chose ensemble depuis des années.

- Cela me plaît! » lui dis je honnêtement.

Ma mère eu un sourire et me renvoya dans ma chambre. Je réalisais qu'elle avait probablement montré mes réponses à Anne, et senti un petit peu embarrassé de n’avoir pas été aussi ouverte avec elle.

Ma mère repassa des coups de fils. Qui pouvait-elle bien appeler? Peut-être racontait-elle se qui venait de se passer! Peut-être parlait elle à sa sœur des mœurs de sa fille.

Elle nous appela dans le salon. Elle nous demanda d’aller nous doucher, de nous raser les jambes et de mettre les vêtements qu’elle choisirait pour nous et qu’il fallait faire vite, nous partirons vers six heures et demi. Cela nous donnait à peu près quarante cinq minutes.

Alors Anne et moi somme allées dans la salle de bain, retirer nos vêtements et sauter dans la douche. Avec le temps contre nous, nous n’avions pas le temps de jouer (pas assez à notre goût).

On s’entoura de nos serviettes et retournions dans nos chambres. Sur mon lit, ma mère avait posé une robe légère en lin. J'allais à ma commode pour prendre des sous-vêtements, quand je remarquais quelque chose sous ma robe. Il y avait un porte-jarretelles d’un bleu électrique et une paire de bas Nylon. Quelque chose me dit, que quoi ce que ma mère avait prévu, j’allais sûrement aimer. J'ouvrais un tiroir pour prendre une culotte, et le trouvais vide. A l’intérieur, il y avait un mot : « Julie, tu ne portes rien sauf ce qui est sur ton lit. »

Ma mère avait même mis une paire de chaussure sexy sur le lit. Je m’habillais, tâtonnant avec les fermoirs étranges du porte-jarretelles. La robe en lin était transparente et légère, s’arrêtant à mi cuisse dévoilant de temps en temps le haut de mes bas. J'ai de beaux seins et la robe douillette, caressante, me les raffermit encore plus, ce qui fit bander mes tétons.

Une fois habillé, il ne me restait plus que cinq minute pour me sécher les cheveux. Ma cousine avait de long cheveux blonds qui faisait tourner la tête au garçons, alors que les miens s’arrêtais aux épaules. J’étais blonde comme elle. J’entendais Anne qui se faisait aussi sécher les cheveux. Je me maquillais rapidement et retrouvais Anne et ma mère devant la porte.

Anne était merveilleusement habillé d’une minijupe, de bas sombres, et d’un boléro couleur pêche qui révélait sa peau bronzée et son petit nombril sexy. Sa chevelure était sèche, alors que la mienne était mouillée. L’idéale de vivre dans le sud de la France est que votre chevelure sèche rapidement, surtout en été.

Ma mère portait une robes raisonnables, et dans le sac en Nylon qu’elle avait à la main, il devait y avoir ses affaires de gym. Ce soir on était Jeudi, et elle avait gym chaque Jeudi et Mardi soir.

Elle nous fit grimper dans la voiture et commença à conduire, ignorant les questions d’Anne qui voulait savoir où nous allions.

A la sortie de la ville, elle s’arrêta sur le bas côté.

- Je vous amène les filles dans un lieu très spéciale. » dit-elle. « Et, maintenant, je veux que vous m’obéissiez complètement. »

Cela me semblait un petit peu mélodramatique, mais nous lui donnions notre accord. Elle nous donna une paire de masques noirs, le type que certaine personnes utilisait pour dormir dans la journée. Ma mère travaillait comme représentante dans certain casino la nuit, et dormait le jour alors que je me rendais à l’école. Je l’avais déjà vu utiliser ce masque.

On passa nos masques et après les avoir contrôlés, la voiture reprit la route.

- Cet endroit est très spécial, mais je ne vous veux pas que vous sachiez où il se trouve, du moins pas tout de suite. » dit-elle. « Autrement, je ne pourrais jamais plus vous contrôler toutes les deux. »

Je commençais à me demander si il y avait un bordel tout proche ou quelque chose dans le même style. Ou peut-être il avait un camp de nudistes. Toutes sortes de choses traversaient mon esprit.

Elle conduisit plus d’une vingtaine de minute avant que la voiture s’arrête à nouveau. On nous avait dit de garder les masques et nous nous sommes approché d’un bâtiment juste à trois pas de la voiture.

La voix d'une femme salua ma mère comme une vieille amie, et on nous dirigea vers une autre pièce. Ma mère retira nos masques. Nous étions dans un vestiaire. Je me demandais dans quelle sorte de station thermale ma mère nous avait conduit, pensant que c’était sa salle de gym. Ma mère nous ouvrit un placard, nous demandant de ne retirer que nos robes et nos chaussures et de remettre les masque une fois cela fait. Elle tourna au coin de la rangé de placard, et on l’entendis ouvrit un autre placard et se déshabiller elle aussi. Anne et moi, on haussa les épaule d’interrogation et on se déshabilla, déposant nos robes et nos chaussures dans le placard.

Anne ne portait pas de porte-jarretelles, mais des collants à la découpe suédoise, c’est à dire avec de fausse jarretelle mais ouvert devant et derrière. Cela ressemblait à un collant, mais çà se rapprochait un peu du porte-jarretelles.

Elle regarda mon porte-jarretelles, faisant courir un doigt le long d'une jarretelle, frottant légèrement sa main contre mon pubis. Je repoussais doucement sa main et on attendit le retour de ma mère en remettant nos masques.

Ma mère nous dit que nous étions très sexy, et nous pris nos mains afin de nous conduire en-dehors du vestiaire.

On pénétra dans une autre pièce, avec un tapis doux qui fit du bien à nos orteils. Il y avait d’autres gens dans la pièce, et je me senti embarrassée, et excitée à la fois. Les voix se turent.

Une femme salua ma mère et lui demanda si nous étions prêtes. Elle dit que oui, et que nous avions été très coopérative. Je senti une présence devant moi, chaude, radieuse, et sensuelle. La voix de la femme était douce, un peu rauque.

- Bienvenu! » dit-elle. « Nous allons vous faire découvrir des plaisirs comme vous n'avez jamais imaginé. A tout moment vous pouvez choisir de partir, et personne ne vous retiendra. Il vous suffira de dire le mot « choriste », et vous pourrez partir. Nous ne vous forcerons pas à faire des choses que vous ne voulez pas et pour cela vous direz la mot « orchidée ». Est-ce que vous me comprenez? »

La voix sexy, douce, semblait me caresser l'oreille. Je secouais la tête bien que je trouvais cela stupide de dire ces mots. Anne et moi répétions les deux mots et leur signification. Après cela, elle nous posa une autre question.

- Vous avez déjà fait l’amour ensemble toutes les deux, n’est ce pas? »

On lui répondit que oui.

- Alors embrassez-vous? » nous dit elle.

Anne et moi, toujours masqué, on se rapprocha et on s’embrassa. C’était terriblement érotique, debout presque nu devant des gens que nous ne pouvions voir, nos poitrines se touchant, et nous embrassant tendrement. Quelque part dans la pièce, je savais que ma mère nous regardait.

- Bien » dit la femme.

Une autre femme vint près de nous et demanda à Anne de la suivre.

- Par ici Anne! »dit l’autre femme.

Sa voix était haute, et très joli. Je demandais si elle était aussi joli que sa voix. Je m’imaginais la femme à la voix rauque près de moi : ma taille, de belle forme, une chevelure sombre et longue et une bouche sensuelle, grande.

Elle me conduisit à travers la pièce, et maintenant je me sentis nerveuse, sans Anne à mes côtés. J'étais seule dans une pièce bondée de monde. Elle me montra de la main où se trouvait la table, une chaise, et un sofa. Alors, on se baissa un peu et elle me demanda d’écarter les jambes. Nerveusement je le fis, m’arrêtant quand elle fut satisfaite.

- Garde maintenant tes mains contre tes jambes. » me conseilla t’elle.

Je sentis une main qui caressa tendrement mes seins, soulignant leurs contours, et glissant dessus là où ils sont le plus sensibles. Des mains glissaient en bas de mes hanches, et je sentis des lèvres se refermer tendrement autour mon mamelon droit. J'étais certaine que c’était une femme par la douceur, probablement (Mlle la voix sexy). J’avais tort. Elle me dit que je devais recevoir le plaisir, et que je ne pouvais pas donner du plaisir à moins que je ne le veuille. Les lèvres autour de mon mamelon changèrent de seins, et reprirent leur travail. Bien sûr que je voulais DONNER ainsi que recevoir!

J’avais envie de l’embrasser avant d’aller lui brouter le minou. Les lèvres quittèrent ma poitrine, et on me dit de m’agenouiller sur le sol, comme si il y avait quelqu'un qui attendait pour me lécher la chaton en dessous de moi. Je m'agenouillais, sentant des mains guider mes hanches vers le bas, et alors un visage entre mes jambes, me lécha lentement, même amoureusement. Il me senti bien, et je savourais les sensations. Les choses commencèrent à aller plus vite, et quelqu'un se trouvant à ma gauche commença à pétrir ma poitrine.

Je touchais le bras, sentant le bras d'un homme, fort, un peu velu. Je l’explorais de ma main , et je trouvais son phallus gonflé. Il n'était pas énorme, mais il était beau. Il se caressait lui-même tandis qu'il jouait avec ma poitrine. Une autre main vint à sur mon sein droit, et ma main trouva un autre phallus rapidement. J'aimais cette idée de deux types me donnant du plaisir lentement, calmement. Je pouvais entendre d’autres voix, gémissantes d’une façon sexuel tout autour de la pièce. L'homme sur ma droite pressa son pénis sur ma bouche, et je le laissais entrer, dégustant son phallus caoutchouteux et reniflant son parfum musqué.

Il bougeait dedans et dehors de ma bouche, lentement, me permettant ainsi de lécher le bulbe et la tige. Mon sexe dégoulinait de liqueurs, et la personne qui me broutait, aimait cela et m'échauffa réellement.

Les hommes qui étaient près de moi, se passèrent le relais et j’eus un autre phallus à sucer. C’était un phallus agréable, ni trop grand, ni trop petit. Il me remplissait la bouche juste ce qu’il fallait, sans avoir l’impression d’avoir les lèvres grandes ouvertes. Ils prirent chacun à leur tour possession de ma bouche, et je devins excitée en pensant qu’ils pouvait jouir tous les deux.

La fille qui me broutait (Je suis sûr que c’était une fille), remonta ses mains et pinça mes tétons, et ses mains que caressèrent si sensuellement que je gémissais bruyamment. Je pouvais entendre Anne qui gémissait, sa voix sucrée disant qu'elle ne voulait pas qu’ils arrêtent quoique qu’ils étaient prêt à lui faire subir.

J'entendis la voix d'un homme, près de moi, disant « prêt les gars? » et je me demandais ce que cela voulait bien dire.

Juste après avoir dit cela, la fille commença à sucer mon clitoris, dure, glissant ses doigts dans mon sexe dégoulinant. Je senti que j’allais venir, et elle m’abandonna, sa langue sortant juste au moment où j ‘allais jouir. Je basculais mes hanches, essayant de lui faire comprendre que je voulais jouir, mais elle savait comment me tenir sur le bord du plaisir sans m’y faire plonger. Les phallus étaient sortis de ma bouche, ce qui était bien, me permettant de respirer profondément et me concentrant sur mon propre orgasme.

Je m’apprêtais à m’emparer de mon clitoris, mais des mains féminines m’attrapèrent et tirèrent mes bras derrière moi. « Laissez moi jouir! » gémissais je, et j’entendis seulement (Mlle la voix sexy) me répondre que je pourrais le faire mais plus tard.

Je tentait de me faire sucer le clitoris par la fille, en jouant de mes hanches autour de son visage, mais je n’atteint pas le contact je désirais réellement. J'entendis un gémissement profond d'un des hommes, et alors son sperme jaillit éclaboussant ma poitrine. Il senti sa tiédeur qui coulait le long de mes seins en partant de mon mamelon. Je gémissais, désirant jouir moi aussi, quand un autre jet, celui de droite, tomba sur ma joue. Je senti son sperme descendre jusqu'à mon cou alors qu’il s’approchait m’éclaboussant de sa crème, le visage et les lèvres. Je le dégustais avidement, et je rappelais que j'étais surveillé, non seulement par des étrangers, mais par ma propre mère!

L'homme devant moi vint alors, son sperme frappant comme un arrosoir. J'ouvrais la bouche et le sentis jaillir sur ma langue, mon cou et mon menton. C’était délicieux, brûlant, mouillé, salé, et brillant. J'avalais ce qui était sur ma langue, dégustant son goût légèrement musqué. Soudain, mon clitoris fut à nouveau sucé. Quel mauvais chronométrage! Je me refermais sur ce visage, et le sperme qui coulait en dessous de ma poitrine me rendis très chaude. Je gémissais bruyamment, remuant mon bassin en sentant arriver les premiers élans, et alors, alors, ALORS ELLE S’ARRETA!

- Faites moi jouir, non de dieu! » dis je dans une plainte et c’est alors que des mains me remirent debout sur mes pieds.

(Mlle la voix sexy) me parla dans des tons sexy, doux.

- Votre tour viendra, mais vous aurez toute la nuit pour vous en souvenir. »

Et merde, elle me l’avait déjà faites celle là.

Elle me prit par la main et on traversa la pièce alors que le résultat du plaisir des hommes me coulait de la poitrine, sur le ventre et même sur les cuisses.

On s’arrêta et (Mlle la voix sexy) me dit de m’agenouiller et de garder les mains sur le sol. C’est alors que je sentis un pénis glisser dans ma vulve. Ho Dieu qu’il était grand! Un autre sexe se pressa contre mes lèvre et je le suçais avec gourmandise. Les deux hommes travaillaient en cœur, l’un retirant son sexe de ma bouche, alors que l’autre s’enfonçait en moi. Celui qui se trouvait dans ma chatte était gros, ce qui tirait un peu sur mes chairs, mais me faisait également frémir, proche de la jouissance. Je sentis une bouche avide sur mon sein droit, léchant le sperme sur mon mamelon. Cela se déroulait bien jusqu'à ce que, sans crier gare , l’homme éjacula dans mon minou, m’inondant de son sperme tiède. Je voulais m’étendre sur le dos et en recueillir le plus possible de moi-même. Je gémissais, et essayais de conserver son sexe juteux dans ma chatte, espérant qu’il le laisserait suffisamment jusqu'à ce que je jouisse, mais il le retira. Alors que je sentais son sperme crémeux sortir hors de moi, ma bouche fut envahie brutalement par le sperme de l’autre type. Je l'avalais rapidement, essayant de conserver son pénis le plus longtemps possible. Il le retira et la bouche d'une femme se colla sur la mienne, m'embrassant et léchant ma langue, mes lèvres, et mêmes mon visage. Je sortis ma langue et dégustais du sperme sur son visage à elle aussi, et cela m’excita encore plus.

J’entendis Anne, plus proche de moi maintenant, gémissant comme si elle était en train de jouir et cela me fit gémir moi aussi.

(Mlle la voix sexy) revint et me fit asseoir sur quelque chose ressemblant à un banc très lourd. Il était étroit et rembourré. Elle me dit de m’allonger sur la dos, et de mettre mes jambes de part et d’autre du banc.

Je senti des lèvres contre mon cou, et une langue qui me léchait, et alors une autre sur mon mamelon gauche. Je senti des mains qui errait partout sur mon estomac et mes seins, étalant le sperme sur ma peau. Il y avait deux, peut-être trois filles, qui me touchaient. Alors, des mains féminines glissèrent entre mes cuisses, et des doigts écartèrent mes lèvres, frottant ma motte humide, propageant mes liqueurs et le sperme sur mes cuisses. Je ne pouvais pas contenter de cela, gémissant et essayant d’obtenir des caresses là où je voulais. Je flottais sur un nuage, et elles me rendirent si brûlante que je cru devenir folle. J'étendis mes mains et chacune d’elle trouva une poitrine, tiède, pleine, et douce. Je commençais à jouer avec eux , aimant leur peau douce. Je sentis un phallus contre ma chatte, et je réalisais alors qu’il y avait une troisième fille qui glissait un godemiché en moi. Je soulevais mes hanches le plus haut possible, lui permettant de me pénétrer avec son énorme godemiché alors que ses cheveux me caressaient les cuisses. Je me senti si bien, si sensuel, si BRULANTE! Je ne me souciais de personne. Je flottais, aimant cette sensation. Le godemiché était long et épais, et elle le travaillait lentement au début, allant plus vite et plus vite à chacune de ses attaques, allant à la vitesses d’un piston de train. J’appréciais réellement, quand je senti un godemiché se coller à mon anus, et là je devins nerveuse.

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