La Gobeuse 02

Informations sur Récit
"Suzi-chan" subit des bukkakes plus humiliants encore...
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Partie 2 de la série de 3 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 01/17/2018
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Suite de la traduction de "Milky", une histoire écrite par Surtea.

5ème chapitre -- Sur la pente

Le soir suivant me confirma que Monsieur Takashita avait établi une sorte de plan progressif pour m'avilir. Chaque semaine il me faisait glisser un peu plus sur une pente savonneuse, cette semaine il devait avoir senti que je n'étais plus capable d'offrir la moindre résistance : j'étais en pays étranger, sans le moindre secours, et ma seule amie était son assistante personnelle. J'essayais de survivre en obéissant, incapable de simplement chercher une issue pour m'en sortir. En ce sens mon lien avec Reika était fatal, c'était mon amie et je la chérissais, mais cela voulait dire que j'étais toujours surveillée par l'entreprise. Je n'avais jamais le temps de penser par moi-même. Et en me donnant la possibilité de travailler dur à mon poste, ils me donnaient quelque chose sur lequel concentrer mes pensées. Il était trop tard pour s'enfuir, et ce l'avait peut-être toujours été.

Nous sommes allés à un club différent cette semaine, avec une salle plus grande, très éclairée, de beaux meubles mais un peu moins à la mode. Cette fois les onze directeurs chargés des matières premières étaient là. Les six que je connaissais maintenant bien, et cinq autres qui n'avaient pas d'assistante personnelle. Les six secrétaires étaient bien sûr là, avec un certain nombre d'hôtesses du club, une pour chaque directeur mâle sans assistante. Le schéma de la soirée était identique à celui des précédentes, repas et alcool suivi par des divertissements : moi. J'étais entre Monsieur Takashita et Monsieur Minamoro et on s'attendait à ce que je veille sur eux et les complimente.

Je craignais la fin du repas, et quand la serveuse commença à remporter les plats j'étais déjà proche des larmes sachant qu'arrivait ma très prochaine humiliation. J'ignorais encore si j'étais capable de sucer les onze hommes.

« Suzichan, déshabille-toi et montre à tout le monde comme ton corps d'Américaine est différent de celui des Japonaises : de longues jambes, de larges hanches, une toison pubienne bouclée et de gros seins. Marche donc, laisse tes camarades directeurs avoir une bonne vue de toi. » Monsieur Takashita me donnait des instructions comme si nous étions à une réunion d'affaires.

En larmes je me déshabillais et marchais autour des hommes, les laissais m'observer et essayais de garder un minimum de décence en gardant les jambes serrées l'une contre l'autre. Dans toute la salle, les hommes souriaient et me mataient pendant que les femmes pouffaient et faisaient des commentaires sur mes fesses, mes nichons, mes jambes, ma chatte, ma bouche etc... et le tout en utilisant les termes japonais les plus crus. Aussi humiliant et dégradant que ce fût, j'aurais préféré que cela continue ainsi et qu'on ne me donne pas de verre. Mais cela arriva.

« Messieurs, » dit fièrement mon patron, « pour ceux qui n'ont pas vu Suizichan en action auparavant je vous présente : notre Gobeuse! » il y eut une salve d'applaudissements de la part des hommes.

« Suzichan, comme la semaine dernière. » Je me mis à genoux et allais à quatre pattes jusqu'à Monsieur Minamoro avant de lui demander la permission de le sucer. Et je le fis pour chaque homme. Il se révéla que les jeunes directeurs étaient pires que les vieux, peut-être parce qu'ils avaient mon niveau hiérarchique ou peut-être parce qu'ils commentaient la façon dont mes seins se balançaient pendant que je marchais sur les genoux ou comme ils se sentaient bien avec leur queue entièrement enfoncée dans ma gorge. L'un d'eux jouit dans ma bouche et je recrachais sa gelée dans la mélasse grossissante du verre. L'un voulut me baiser la bouche jusqu'à ce que Monsieur Takashita lui dise de se relaxer et de me laisser faire le travail.

Il y eut finalement les onze doses de sperme dans le verre et je me mis à genoux au centre de la pièce. J'avalais tout ce qui avait été déchargé. Je réussissais maintenant à en avaler plus d'un coup, et je réussis même à finir par ingurgiter tout le jus gluant et collant en juste six gorgées.

« Saké pour la gobeuse! » M. Takashita était enchanté par ma démonstration. Même si je dus rester nue jusqu'à ce que la soirée prenne fin.

*****

Le week-end m'apporta un autre choc. Reika et moi passions un adorable samedi : des courses et une promenade au parc. C'était très agréable, et je n'avais rien contre le fait qu'elle prenne toutes les décisions. Dimanche on prévoyait de paresser : grasse matinée, un peu de ménage et l'après-midi on regarderait un DVD. Parfait pour quelqu'un ne voulant pas trop penser à la semaine à venir.

L'après-midi en question, on s'installa donc dans le sofa et Reika mit en route un DVD. Je pensais que ce serait un film pour fille doublé en Japonais. Mais soudainement, je revis à l'écran tous les membres du dîner de jeudi alors que nous mangions et finissions notre dîner. Je regardais avec horreur M. Takashita m'ordonner de me déshabiller.

« Non Reika, éteint ça! » elle ne le fit pas, mais mit sur pause. Ironiquement l'image se fixa sur M. Takashita avec Reika agenouillée à son côté, le regardant admirativement. Je réalisais alors que la soirée avait été filmée. Je me remémorais les deux vitres en verre fumées de chaque côté de la pièce auxquels je n'avais pas prêté attention. Ou, disons que j'avais en tête des soucis plus pressants. Et ça expliquait aussi l'éclairage très vif. Je fus incapable de parler pour une minute. « Pourquoi? » finis-je par articuler, presque en suffocant.

« Comme souvenir. Tous les directeurs présents on reçut un DVD hier, et on m'en a donné un pour le regarder et te le donner.

— C'est du chantage, hein? » je me mis à nouveau à pleurer.

— Non, ne sois pas ridicule. Regarde, on peut voir tous nos visages. C'est juste pour s'amuser. Allez on regarde! » Reika ne semblait pas saisir ce que tout cela avait d'affreux pour moi.

— Reika... je ne veux pas regarder... S'il te plaît? » j'essayais de ne pas m'écrouler complètement.

— Je pense vraiment qu'on devrait le regarder. Monsieur Takashita nous l'a donné. » dit doucement mon amie, en essayant de me réconforter. « Il s'attend à ce que je te le montre. »

On resta donc assises ensemble sur le sofa à regarder la vidéo. Il s'avéra qu'il y avait une troisième caméra au plafond qu'ils utilisaient quand je me déplaçais à quatre pattes d'une queue à l'autre ou pour montrer mon visage enfoncé sur l'entrejambe d'un homme. Je fus agréablement surprise de voir comme mon corps semblait beau quand je me déshabillais et paradais. Par contre mon visage et mon maquillage était effroyable à cause de toutes les larmes. Et puis j'avais l'air d'une vraie salope à aller d'un homme à l'autre à quatre pattes. La caméra me zoomait dessus chaque fois que possible en train de sucer et de faire des gorges profondes. Quiconque regarderait ce DVD penserait que je n'étais rien d'autre qu'une pute.

Pour le dernier plan, la caméra semblait collée sur mon visage pendant que je buvais un verre à moitié plein de foutre amalgamé. C'était affreux. On pouvait voir ma gorge déglutir à chaque gorgée. Mon air anéanti était parfaitement capturé par la caméra, j'avais les yeux fermés et les larmes me coulant toujours sur le visage. L'enregistrement durait 45 minutes. Eh oui, on pouvait reconnaître tous les visages : ce n'était pas fait dans l'intention de me faire chanter, mais s'ils le voulaient, ça pourrait être utilisé en tant que tel : Il était hors de question que quiconque puisse voir cette vidéo de retour chez moi.

Comme je restais sonnée sur le sofa, Reika fit surgir le DVD hors de la machine et le mit dans sa boîte qu'elle plaça sur une étagère près de la télé avec notre petite collection de films plus traditionnels et un coffret collector de "Friends."

« Est-ce que je peux la voir? » murmurais-je à mon amie.

Reika me passa la boîte et j'éclatais en sanglots. Sur le devant il y avait un plan de moi levant le verre à mes lèvres pour la première fois, avec un regard de dégoût à peine contenu sur mon visage clairement reconnaissable. Dessus il y avait le titre "Suzichan : Gobeuse #1" et la date de jeudi. Au dos il y avait quatre d'autres plans : moi paradant nue, moi faisant une gorge-profonde mon visage dans les poils pubiens d'un homme, moi tenant un chibre alors qu'il dégorgeait dans le verre, et finalement, moi prenant la dernière gorgée du verre devenu vide. Je n'arrivais pas à croire qu'ils aient fourni un travail si soigné.

« Qui a fait ça? parvins-je difficilement à dire entre mes sanglots.

— une entreprise spécialisée dans ce genre de film. Ils sont très bons, et ils travaillent pour toutes les grandes entreprises quand elles en ont besoin. »

*****

Cette fois, quand j'arrivais au travail le lundi (en ayant à nouveau pris le métro sans culotte) je remarquais un changement net parmi les traders. Ils étaient au courant. Je pouvais le deviner aux chuchotements et aux regards qu'ils me lançaient. J'essayais de me montrer courageuse et allais directement à mon bureau pour me mettre à travailler. Une heure plus tard, quand je pris une pause-café, trois hommes vinrent me voir pour me demander de sortir avec eux au déjeuner : les trois étaient des traders. J'acceptais tout de suite la proposition de l'un d'eux pour en finir au plus vite avec ça.

Bien sûr, une fois arrivé dans la petite chambre de "L'abricot mûr" et qu'on se soit déshabillé, il voulut que je le suce avec une gorge profonde. Et quand vint le moment pour lui de jouir, il se retira de ma bouche et me juta au visage. Ça ne m'était jamais arrivé de ma vie ; c'était dégoûtant, au-delà des mots. J'en avais sur les paupières, le nez, les joues et même les sourcils.

« Lèche tout ça, gobeuse!

— Quoi?

— Lèche ça! utilise tes doigts pour te nettoyer. »

J'étais agenouillée, en pleurs, utilisant mes doigts pour retirer le sperme de mon visage et les léchant ensuite, pendant que le trader me regardait avec intensité. Si j'en loupais un peu il me l'indiquait. Quand je fus suffisamment propre, il me paya et partit. Cela n'avait duré que dix minutes, un nouveau record, il aurait facilement pu me demander une nouvelle faveur. Enfin, comme ça je pus passer la demi-heure suivante à me frotter le visage au savon et me remettre du maquillage. Je me sentais complètement dégradée.

*****

Ce jeudi fut une simple répétition du précédent avec toute l'équipe dirigeante. Les deux seules différences furent que les deux caméramans ne s'ennuyèrent pas à se cacher derrière les vitres, et qu'ils jouèrent deux tubes de Britney Spears pendant que je me déshabillais. De fait, les fenêtres étaient maintenant couvertes de lithographies japonaises, et les caméramans se déplaçaient librement dans la pièce, cherchant les meilleurs angles et se rapprochant pour les gros plans. C'était atroce pour moi. Chaque fois que je levais les yeux, il y avait une caméra face à moi. Et tout était filmé : mon déshabillage, quand je suçais, quand j'avalais une bite à fond, quand je faisais gicler une bite dans le verre, et finalement quand j'avalais. J'étais même filmée après, quand j'étais assise nue et que tous les autres étaient habillés et discutaient de ma représentation.

Au déjeuner de vendredi, Reika débarqua dans mon bureau juste après que je sois revenu de L'abricot mûr (une autre ejac faciale cette fois suivit d'une sodomie brutale.) Elle plaça une copie d'un nouveau DVD sur le bureau. J'étais sur la couverture, sous le titre "Suzichan : Gobeuse de lait #2" Un gros plan sur moi en train de faire une gorge profonde, mes lèvres autour de la base d'un pénis anonyme ; moi-même je ne savais pas à qui il appartenait. Une larme me coulait le long des joues ; on ne pouvait savoir si elle était due à l'inconfort d'une bite dans le gosier ou si il elle était due à l'humiliation d'avoir à offrir ce service. Comme je m'asseyais en fixant ce DVD je réalisais que mon visage, bien que distordu, était reconnaissable et que la bosse dans ma gorge indiquait où se trouvait le haut du chibre. C'était d'une obscénité à couper le souffle.

Devoir le regarder le dimanche était une autre épreuve rendue encore pire par les commentaires impromptus de Reika. « Ton striptease a besoin de plus de soin! » dit-elle alors qu'elle me regardait essayer de rester sur le rythme du hit de Britney "Baby one more time." « Waouh, c'est si profond, ou est-ce que tout ça peut bien aller? » dit-elle alors que je faisais une gorge profonde sur la bite de Monsieur Takashita. « Je me demande combien de calories ça fait? » se demanda-t-elle alors que j'avalais gorgée sur gorgée de foutre.

Les deux semaines suivantes se répétèrent plus ou moins à l'identique. La seule exception fut que je ne reçus pas de nouveaux DVD, ce dont je fus reconnaissante. Les caméramans étaient toujours là, mais plus dans le fond, et je pouvais facilement prétendre qu'ils étaient absents. Je fis cependant connaissance d'un autre fétiche japonais, le déguisement.

La première semaine, Reika me traîna dans une salle adjacente en entrant dans le club, là elle me dit de me déshabiller pour que je puisse me costumer.

« En tant que quoi? » demandais-je, inquiète de me retrouver en costume de soubrette sexy.

— Comme Britney. De la vidéo. » expliqua Reika en rigolant. Elle était déjà en train de "m'aider" à retirer mon costume de travail. D'un sac, elle sortit mes nouveaux habits : un soutien-gorge de sport noir, une chemisette blanche qu'elle noua sous ma poitrine, un gilet gris, une jupe plissée bleu marine, une culotte blanche d'écolière, de longues socquettes m'arrivant jusqu'aux genoux, et des chaussures bateau très scolaire. Elle coiffa mes cheveux en deux couettes auxquels elle accrocha des nœuds roses. Quand je m'observais dans le miroir, j'avais en face de moi une écolière délurée comme Britney, excepté que j'avais les cheveux brun et non blond.

« Reste la touche finale, » dit Reika, en appliquant un peu de rouge à lèvres rose. Je ne me souvenais pas que Britney en ait eu dans son clip, mais je ne pus pas protester comme elle me tirait tout de suite par la main hors de la pièce. Les hommes firent part de leur appréciation par des sifflements et des compliments. Plus tard, je devais me déshabiller au son de la chanson ce qui était étrange (et un peu excitant.)

La deuxième semaine, ma tenue fut celle de Sailor Mercury du dessin animé Sailor Moon. Je portais une robe serrée qui consistait en un corsage blanc avec une petite jupette bleue et un haut marin. Il y avait une grande fente dans le bas du dos et une autre plutôt large sur mes seins. Pour compléter la tenue j'avais de longs gants arrivant jusqu'au coude, des bottes bleues à talon haut et une bande en forme de V sur le front. Si vous n'avez jamais vu la tenue, elle n'est pas facile à décrire.

Un des avantages de cette tenue est qu'elle était si ajustée qu'il n'était pas possible de l'enlever facilement et je pus garder ce costume sur moi (ce qui était d'autant mieux que c'était la période du mois...) Je dus tout de même faire la gobeuse, mais pour la première fois depuis un mois, je n'avais pas à le faire en étant complètement nue au milieu de tous les autres.

*****

Chapitre 6 - La fête d'anniversaire.

Le mercredi de la semaine suivante, je fêtais mon 26e anniversaire. Reika me dit qu'il n'y aurait pas de session du jeudi et que M. Takashita voulait faire une fête le jour de mon anniversaire. Je n'eus pas non plus besoin d'aller à L'Abricot mûr et je passais le déjeuner avec les filles. Je demandais à Reika quel genre de fête ce serait ; est-ce que ce serait du même genre que les jeudis? Je n'étais pas sûre de pouvoir supporter de me faire humilier le jour de mon anniversaire ; ce serait vraiment trop horrible. Mais Reika m'assura que ce serait "quelque chose de plutôt différent" sans plus informations.

Ils avaient réservé une grande pièce au club local. Tous les courtiers de l'étage étaient invités et les personnes présentes étaient presque tous des hommes. Les seules femmes à être incluse comprenaient : moi, bien sûr, les six assistantes personnelles, et les hôtesses du club : de jeunes filles servant les boissons et des apéritifs. Cela se révéla plutôt sympa. Les caméramans étaient là, mais, passé les premières minutes, je n'y prêtais plus attention. J'aimais surtout le karaoké et me laissais même tenter par les autres à chanter : "Hit me baby one more time." j'essayais d'imiter le style de Britney pour les caméras. Je pensais bizarrement que ç'aurait été mieux si j'avais porté le costume d'il y a deux semaines plutôt que ma tenue de femme d'affaires. Monsieur Minamoro passa après moiet éructa "My Way" comme seul peut le faire un Japonais ivre qui croit pouvoir imiter Sinatra. On adora ça et on l'applaudit. Il y eut un gâteau avec 26 bougies et ils chantèrent tous "Happy Birthday". J'étais heureuse de faire partie de l'équipe. Je me sentais vraiment acceptée malgré le fait que je sois allée à L'Abricot mûr avec une vingtaine d'hommes parmi la soixante présente.

Après un peu près trois heures de festivités, Reika me rejoignit et me prit la main pour m'amener sur une petite estrade au fond du hall où était installée une fine barre métallique allant du sol au plafond. Dans mon état un peu étourdi, je pensais qu'il y aurait une sorte de célébration. Gentiment, elle me poussa le dos contre la barre et elle me retira mon chapeau d'anniversaire ridicule que quelqu'un m'avait mis un peu plus tôt sur la tête.

Puis elle me mit les mains dans le dos et en deux 'clicks' elle me les attacha ensemble derrière la barre en utilisant quelque chose comme des menottes. J'étais soudainement horriblement inquiète.

« À genoux, » me murmura-t-elle à l'oreille. Elle fit pression sur mes épaules, me mettant dans une position pas confortable quand on a les mains inutilisables et que l'on porte un costume. En scrutant la salle de mon point de vue soudainement plus bas, je vis que des douzaines de pantalons se débraguetter. Non, ils ne pouvaient pas penser que j'allais sucer autant de bites, c'était impossible. Des larmes me coulaient des yeux.

Ils ne le firent pas. Le plan était pour eux de se masturber sur moi. Tout ce que j'avais à faire était de rester agenouillé, et avec mes mains bloquées derrière la barre, je n'avais de toute façon pas d'autre choix que de subir. Je baissais les yeux sur mes genoux et restais immobile. En quelques secondes, les premières giclées de sperme atterrirent sur ma joue : c'était chaud, gras et dégradant. Le caméraman était agenouillé pour pouvoir filmer mon visage et enregistrer le sperme me coulant le long des joues se mêlant à mes larmes. Je n'eus pas longtemps à attendre pour que le second trader éjacule sur mon front. Je sentis sa semence me couler le long du nez. Je commençais à sangloter, mais faisait tout de même attention à ne pas ouvrir la bouche. Je ne voulais pas qu'ils visent dedans.

Il y eut bientôt deux ou trois hommes en train de me juter dessus à tout moment. On avait demandé à une des jeunes hôtesses de rester près de moi et d'énumérer le compte total, ce qui rendait le tout encore pire que je ne le pensais possible. Chaque fois qu'un multiple de dix était atteint, il y avait des acclamations. Je pouvais sentir tout le sperme me couler sur le visage jusque sur mon coûteux costume de femme d'affaires. Il allait être foutu, je ne pourrais jamais le faire nettoyer (en fait Reika me le fit porter au pressing dans la semaine, et ce fut atrocement humiliant.) Je pouvais sentir le foutre imprégner mes cheveux... comment est-ce que je pourrais jamais me débarrasser de cette sensation? Les yeux clos j'essayais de penser à autre chose, n'importe quoi d'autre... mais quand l'on sent le sperme de quelqu'un vous frapper les paupières, c'est dur de ne pas penser à quel point on se trouve dégradée.

Au fur et à mesure, tout mon visage, jusqu'à la plus petite parcelle, se retrouva couvert de foutre. C'était comme si je portais un masque. De gros morceaux de sperme coagulés tombaient sur mes vêtements, je pouvais même en sentir dans mon soutien-gorge en dentelle.