La future mariée participe à un con

Elle resta muette de peur lorsque Joléne annonça à la cantonade :

- - "Pouvez-vous m'accorder un moment d'attention s'il vous plait? ....."

A cet instant, Tiffany crut que sa vie était foutue, cette salope allait révé-ler à tous qu'elle avait eu des rapports sexuels avec un noir, qu'elle n'était plus la vierge qu'elle avait juré être à son futur mari.

C'est alors que Joléne sortit de son sac un magazine, qu'elle fit circuler pour qu'on puisse en lire rapidement le contenu, on la félicita alors de toutes parts.

Jetant un oeil sur le magazine, un mensuel national spécialisé dans le domaine du mariage elle vit qu'elle se trouvait en page de couverture.

Interdite, Tiffany resta muette, le magazine à la main alors que Joléne poursuivait :

- "Nous venons de recevoir ce magazine ce matin, et nous avons voulu partager la grande nouvelle avec tout le monde .....Nous sommes si fiers de notre future jeune mariée... Tiffany ....... J'ai là un chèque de 3.000 $ à votre nom ......

- "Le magazine est si content de la série de photos que nous leurs avons envoyés qu'il nous a missionné pour couvrir la répétition du mariage, le mariage, la réception et la croisière de lune de miel ....... Autre chose, en échange de quelques photos publicitaires, le magazine vous offre cette croisière en guise de voyage de noce....." ajouta Joléne arborant un large sourire.

La répétition terminée, le futur demanda à Joléne s'ils voulaient partager leur voiture pour se rendre au restaurant où ils allaient répéter le repas de noce ...

Joléne qui n'en espérait pas tant répondit que c'était d'accord, ils pour-raient, pendant le trajet, envisager comment coordonner les desiderata du magazine et la croisière qui leur était offerte..

Kevin était si excité de voir la somme d'argent gagnée par Tiffany, si ex-cité de la voir en couverture d'un magazine de mode pour futurs mariés, qu'il accepta vivement disant à Tiffany de prévenir leurs parents de les rejoindre au restaurant.

Lorsque les voitures sortirent du parking, Tiffany affolée vit Joléne pren-dre la place du passager elle se retrouva donc à l'arrière de la camion-nette avec le photographe noir.

Menacée de le voir distribuer des photos de son viol au restaurant, elle dut le se laisser caresser l'intérieur des cuisses alors que des larmes perlaient à ses paupières.

Puis il empoigna sa main droite et il l'attira à lui. Elle entendit le bruit d'une fermeture éclair qu'on descendait, Tiffany tremblait de peur, à l'idée de ce qui allait suivre, elle détourna la tête.

Elle frissonna de peur et de dégoût alors qu'il la forçait à empoigner sa bite lui indiquant les gestes à faire pour le branler.

- "Dépêche toi chérie .....Le restaurant n'est pas très éloigné! .....Je ne te lâcherai pas tant que tu ne m'auras pas fait gicler! ....."

Ce jour qui devait être un jour de bonheur et de réjouissance réunissant les deux familles se transformait en cauchemar, pensait Tiffany, se tré-moussant sur son siège.

Elle était très mal assise, mais elle n'y pouvait rien, Joléne occupant le siége avant.

Elle dut branler le bâtard noir jusqu'à éjaculation, c'était là une des pires choses qu'elle ait du accomplir jusqu'ici.

Déterminée à se débarrasser de la poisseuse substance qui engluait ses mains, elle chercha un chiffon.

Puis les choses empirèrent .....Elle dut enlever sa petite culotte, puis elle dut s'en servir pour le nettoyer, elle était obligée d'obéir. Elle dut ensuite le branler dans sa culotte enveloppant la hampe. A deux kilomètres du but elle parvint à le faire gicler à nouveau, saturant le fond de sa petite culotte de sperme.

C'était horrible, elle dut à nouveau lui nettoyer la queue avec la partie sèche de son cache sexe, elle dut réenfiler sa culotte, assise sur le siège arrière, foufoune baignant dans le foutre du photographe noir, Tiffany au-rait voulu mourir de honte.

Plus tard, Joléne dit à Kevin qu'ils avaient encore pas de détails à régler avec Tiffany, le futur conseilla alors à sa future :

- "Pars avec eux Tiffany ...Je te téléphonerai demain matin! ...."

De retour dans la voiture bras entourant le dosseret du siège avant, as-sise sur les genoux du photographe, Tiffany sentit ses grosses mains se glisse sous son corsage, empaumant ses nibards alors que, des pouces glissés dans le soutien-gorge il manipulait ses tétons.

Puis ce sont ses mains qu'il glissa sous les bonnets, robe dégrafée dans le dos, soutien-gorge déclipsé, elle devait accorder au photographe noir des faveurs qu'elle n'avait jamais accordées à son fiancé.

Guidée par Joléne, le future mariée ouvrit sa porte, Abe la tenait par la taille, dès qu'ils furent dans la chambre, il lui bouffa à nouveau le gazon, c'était bien meilleur que la fois précédente, il se réjouissait d'entendre l'infortunée pleurnicher, plus elle sanglotait, plus il savourait la situation.

Et lorsque qu'elle se tétanisa, le corps frémissant de spasmes convulsifs, terrassée par un orgasme, il atteignit le sommet de sa satisfaction.

Au tout début, elle était restée inerte sous ses caresses, montrant que si elle se laissait faire, c'était sous la contrainte du chantage, mais bientôt, elle verrouilla ses jambes et ses bras dans son dos, il la prenait d'une façon inoubliable.

- "Ce sera bient^to une sacré affaire " enregistra Abe comme elle sombrait dans l'orgasme alors qu'il giclait en elle.

Une demi heure plus tard, il la baisait en levrette, à quatre pattes sur son lit, comme une chatte en chaleur.

- - "Oh , oui .... Ouiiiii ....... Ouiiiiiii...... plus vite ........ Encore ....... Baisez moi plus vite ......... Oh oui...... " criait la nouvelle chienne.

Deux jours plus tard, Joléne prévenait les filles d'honneur, que le maga-zine avait demandé quelques clichés de la future seule, plongée dans ses pensées, ce qui allait demander un petit quart d'heure, elles compri-rent le message et désertèrent la pièce où se préparait la future.

Joléne prit quelques clichés de la jeune femme, portant sa splendide robe blanche, s'agenouillant entre les cuisses d'Abe pour emboucher sa grosse queue avalant toute la purée pour ne pas souiller son corsage immaculé.

Il semblait que la croisière allait les marquer de façon déterminante, la jeune mariée étant beaucoup plus au service du photographe que de son mari.

La croisière achevée, Joléne se rendit compte que le contrat qu'elle avait signé, stipulait que 10 % de son salaire revenait au studio.

Lorsqu'elle n'exerçait pas son mannequinât, elle était aux ordres de Jo-léne et "Hank" ......Elle devait rencontrer de riches notables des cham-bres d'hôtel ......Des hommes qui croyaient s'envoyer en l'air avec une call-girl .... En fait son premier client avait été un juge de 75 ans qui exerçait encore à la cour suprême.

FIN

FIN DE L'HISTOIRE.

Traduit de l'anglais par Coulybaca

Avec l'aimable autorisation de Black Demon