La fumée

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Comment séduire une voisine plus âgée.
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L'après-midi avait bien commencé ce jour là. Après une visite éclair d'une cousine, des amis étaient arrivés avec un nouveau jeu de stratégie qu'ils avaient acheté à bas prix et dont ils vantaient les mérites. Nous disputèrent plusieurs parties acharnées avant qu'un bruit en provenance de la rue n'attire notre attention. Un homme visiblement saoul poussait des jurons et jouait du tournevis et des clés dans le capot d'une vieille Ford blanche. Un autre homme assis à la place du conducteur appuyait sur les gaz bruyamment. La scène dura de nombreuses minutes. L'homme toujours occupé à bricoler sa voiture s'énervait de plus en plus, et la pauvre mécanique en subissait les frais. Je ne suis pas un spécialiste en mécanique et je serais bien incapable de remettre la moindre bougie mais s'il y a une chose dont je suis certain c'est qu'un moteur qui fume ce n'est pas normal. Et quand je dis fumer c'est peu de chose!

Un petit nuage parti d'abord, puis un second, puis un troisième, puis d'autres se suivirent à rythmes effrénés, le tout accompagné par les terribles rugissements du moteur à l'agonie. Tout le monde était le nez collé à la vitre et regardait le spectacle.

Un ami me suggéra alors d'immortaliser cet événement. Je pris l'appareil numérique et commençais à prendre une série de clichés. Le mécanicien s'acharnait de plus en plus… et les nuages de fumées se densifiaient.

Ma vue fut soudain attirée vers la fenêtre d'en face. La voisine d'en face observait aussi et riait de bon cœur. Son hilarité fut encore amplifiée constatant que je photographiais. En la regardant je tentais de l'imaginer nue et dans diverses poses, moi à quelques mètre prenant des photos. Elle était d'origine maghrébine et devait avoir une quarantaine d'année. Je la connaissais bien, elle et son mari étaient des amis de la famille depuis de nombreuses années.

Un ami se pencha alors vers moi et me dit "c'est dommage qu'elle ne soit pas terrible, car vu comme tu l'as fais rire tu peux considérer que c'est dans la poche". Cette phrase se fixa alors dans mon esprit, et je me mis à réfléchir.

La journée finit de passer et mes amis repartirent. Je restais ensuite seul, me répétant sans cesse cette phrase entendue quelques heures plus tôt.

"Je pourrais toujours essayer" me dis-je…

Poussé par une force inconnue j'attrapais alors l'appareil et la disquette contenant les photos. J'attendis quelques minutes avant de me rendre compte que je n'avais pas de plan. Je sais très bien que les plans (et en particulier les miens) se montrent en général douteux mais je n'aimais pas l'idée de partir sans au moins en avoir une once. De longues minutes se passèrent ensuite… sans une petite étincelle d'idée. J'eus soudain de l'inspiration, du moins c'est ce dont je tentais de me convaincre. Son mari n'allait pas tarder à rentrer et je devais faire vite. J'ouvris alors le répertoire de mon ordinateur ou se trouvait mes photos, pour la plupart ou j'étais nu, et en sélectionna quelques-unes unes. Je descendis quatre à quatre les marches, enfilait mon blouson sans trop savoir pourquoi, pris l'appareil et les disquettes et sorti dans la rue. La chance me sourit alors car elle était devant sa porte. Je me dirigea vers elle et lui fit la bise. Après quelques banalités échangées, je décidai de me lancer.

"Tiens, ça te dirait de voir les photos de la fumée? C'est amusant à voir avec le contraste de la rue vide".

"Oui, je veux bien. Tu les as déjà fait développer?".

Je me mis alors à lui expliquer à la hâte qu'il s'agissait d'un appareil numérique et qu'il était possible de regarder les photos sur une télévision, via un simple câble.

Elle m'invita alors à entrer. Je connaissais bien la maison. Le salon se trouvait dans la première pièce à droite. Elle me suivait et s'assit dans le divan pendait que je connectais les câbles. Je mis l'appareil sur ON et lança le slide-show. Je ne pouvais m'empêcher de regarder dans sa direction et de fantasmer sur son corps. Mon sexe commençait déjà à durcir. Je m'assit à coté d'elle.

"C'est incroyable" me dit-elle pendait qu'elle visionnait la fameuse fumée. Nous rîmes ensemble quelques secondes. Je décidais alors de me jeter à l'eau.

"Tiens, tu veux voir quelques photos de moi?".

"Oui".

Je pressais sur un bouton et des photos de moi passèrent sur l'écran. Certaines dans la rue, d'autres à des soirées entre mais, etc.

Elle regardait toujours l'écran, moi je la regardais elle. Surtout sa poitrine qui était de taille plus que respectable. Je regardais aussi ses jambes et son bassin, tentant de deviner ses formes sous son jogging gris. Mon sexe en érection était comprimé dans mon jeans et commençait à devenir douloureux.

"J'ai d'autres photos mais plus personnelles, je les ai prise sous la douche. Veux-tu aussi les voir?".

"Elle sourit et ne dit rien".

Je pressais une autre touche et la dernière série de photos défila, cette dernière était en effet bien plus personnelle. Elle me montrait sous la douche, d'abord de dos et avec une vitre en verre dépoli cachant mes fesses..

"J'en ai d'autres… sans le verre" lui dis-je.

Elle fit un petit signe de la tête pour acquiescer et se pencha vers l'écran. Elle était assise au bord du divan, manquant presque de tomber. Je m'approchais un peu plus d'elle, effleurant ses jambes des miennes.

"Tu… tu as osé les prendre?" dit-elle à mi-voix.

"Elles sont très belles tu sais". Elle souriait et son attention était tournée vers l'écran.

La photo suivante me montrait de dos mais sans le verre. Les fesses légèrement rougies par l'eau chaude.

La série de photos continua de passer, me montrant cette fois de face et toujours sans le verre. Mon sexe était gonflé à l'extrême. Je l'effleurais d'une main tremblante par l'excitation à travers le jeans. Ma jambe gauche toucha sa cuisse et je la sentit frissonner en voyant la photo suivante ou mon sexe était en érection.

"Elles sont vraiment très réussies" fut tout ce qu'elle dit.

Ses yeux étaient fixés sur l'écran et ne bougeaient pas. Je m'approchais plus et elle du sentir mon souffle contre son coup car elle se retourna. Je sentis sa main toucher la mienne et l'écarter pour arriver à la bosse qui se dressait à mon entrejambes. Elle la palpa doucement et je sus que je pouvais me lancer.

Mon visage s'approcha du sien et ma langue parti à la découverte de sa bouche pendant que mes mains passèrent sous sa blouse. Sa langue heurta la mienne. Sa saveur m'excita encore plus. Mes mains se ruèrent sur sa poitrine. Je constatais avec étonnement (et émerveillement) qu'elle ne portait pas de soutien. Je pris ses seins à pleine main et les caressais vivement, m'occupant par moment de ses tétons dressé et par d'autres touchant ses flancs.

Pendant ce temps, elle n'était pas restée inactive. Sa main avait ouvert les boutons de mon jeans et elle me caressait le sexe avec entrain. Elle tira sur le jeans pour le faire descendre, puis ce fut au tour de mon caleçon. Nous nous caressions rapidement, essayant de toucher toutes les parties e nos corps respectifs. Notre position était des plus inconfortables mais m'excitait au plus au point. Moi penché sur elle et elle en équilibre précaire sur le bord du divan. Nos bouches étaient soudées et sa caresse était rapide. Je la sentais haleter contre moi. Je fit alors un mouvement pour enlever complètement sa blouse, elle m'aida en levant ses bras.

Sa poitrine se dressait fièrement devant moi. Elle me semblait encore plus imposante maintenant. Toujours assis, ma bouche descendit vers ses seins magnifiques ; gros et fermes. Arrivés à quelques millimètres se son corps, son odeur m'enivra. Ma bouche s'empara d'un sein et je me mis à le lécher goulûment, pendant que mon autre main caressait son corps. Elle se laissa aller et s'allongea à moitié. Ses tétons étaient durs, elle frissonna lorsque j'en mordillais un. Ses bras me saisirent et elle me redressa alors et me poussa au fond du divan, se mettant à croupis devant moi. Elle baissa mon pantalon, et mon sexe se dressa vers le ciel. Je respirais à peine tant mes sens avaient du mal à croire ce qu'ils voyaient. Elle, accroupi devant moi et le torse nu. Elle reprit alors sa caresse, caressant les bourses d'une main, elle caressait mon sexe de l'autre dans un mouvement rapide et sauvage. J'étais scotché au divan, les bras pendant et ne pouvant que caresser les bras et regarder cette masturbation que m'offrait ma voisine. Mon excitation était au comble et je savais que je ne pourrais pas me retenir encore longtemps. Elle du percevoir cet état car elle accéléra encore son torride mouvement.

Sa main arriva encore une fois au milieu de mon sexe puis j'éjaculais avec force et un râle intense de satisfaction sortit de mes lèvres. C'est tout ce que je fus capable de prononcer sur le moment. Elle me caressa encore un peu puis essuya sa main sur sa poitrine. Elle me sourit et dit : "Tu ferrais mieux d'y aller maintenant et n'oublie pas de me montrer tes nouvelles photos"…

Lucozade

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