La Femme de Mon Proprio

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Je m'appelle Guillaume.
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Je m'appelle Guillaume. Etudiant à la Fac. 21 ans . Plutôt beau gosse, grand, plus d'1m85, blond, les yeux bleus. J'arrivais de ma province sur Paris et le plus dur dans ce cas la c'est toujours de trouver un logement. J'en avais visiter plusieurs et la plupart étaient soient hors de pris soit carrément insalubre. J'avais rendez-vous ce samedi après-midi pour en visiter un autre. J'avais eu le propriétaire au téléphone la veille, un type pas vraiment aimable, et il m'avait simplement préciser qu'il serait absent et que ce serait sa femme qui ferait la visite.

J'arrivais un peu en retard à l'endroit prévu. Je sonnais et ,surprise, une magnifique blonde aux yeux bleus m'ouvrit la porte. Elle devait avoir une soixantaine d'années mais elle était encore bien conservée pour son âge. Je m'excusais pour mon retard et elle me fit entrer. Nous commençons à visiter l'appartement. Enfin l'appartement...Le petit studio...Elle porte une jupe noire sur des bas noirs. Ses talons aiguilles noirs vernis la grandissent et elle presque de ma taille. Mais c'est surtout ses seins qui m'impressionnent. Elle porte un haut moulant sous sa veste de tailleur avec un décolleté qui ne cache pas grand chose. Plusieurs fois au cours de la visite, je ne peux m'empêcher de mater ses jambes et ses seins. Je crois bien qu'elle s'en rend compte et je la vois rougir.

Elle se tourna vers moi et m'annonça le prix du loyer. Enorme! Je lui dit que je ne peux pas payer une telle somme. L'épouse du propriétaire parut ennuyée.

- C'est que je crains que mon époux refuse de baisser le loyer...

Elle rougit encore quand je la regarde droit dans les yeux. J'ai du succès avec les femmes en général. Mais d'habitude elles sont de mon âge, bien qu'il me soit déjà arriver de me taper des cougars en boite de nuit. J'ai souvent constaté qu'elles étaient beaucoup plus salopes et surtout plus soumises que les filles de mon âge. Je m'approche d'elle et elle recule, effrayé par mon regard. Elle se retrouve coincée contre le mur. Je suis contre elle maintenant.

- Qu'est ce que vous faites? Balbutie t'elle.

- On pourrait peut être s'arranger sur le prix?

- Quoi!!! Mais vous êtes fous!

Je lui prends les seins à pleine mains, les malaxant sans douceur. Elle pousse un petit cri et se débat mollement. Je continue et elle ferme les yeux.

- Arrêtez, arrêtez! Bafouille t'elle, rouge comme une pivoine.

J'arrive à baisser le haut, découvrant un soutient-gorges en dentelle rouge dont les énormes seins débordent littéralement. Je baisse les balconnets et me penche suçant la pointe de ses tétons. La femme du proprio se débat, les cheveux en bataille, le souffle court. Elle me supplie de la laisser. Je n'en ai cure, je suis trop excité, je veux baiser cette belle salope .

Je relève sa jupe et découvre qu'elle ne porte pas de collant mais des bas accrochés à un porte-jarretelles rouge également comme le string. Je ricane.

- Mais dis donc, ça joue les bourgeoises mais ça portes des dessous de putes...

Elle rougit violemment.

J'écarte le string et lui titille le clitoris, enfonçant mes doigts dans sa chatte. Et la surprise! Elle coule comme une fontaine! J'agite mes doigts de plus en plus vite et Madame pousse un long gémissement. J'éclate de rire.

- J'en étais sur que t'étais une grosse salope, je pense que je vais l'avoir ma baisse de loyer...

Je l'oblige à s'accroupir devant moi et je sors mon membre. Je bande comme un fou et je force le barrage de ses lèvres rouges enfonçant mon gland dans sa bouche. Je lui agrippe les cheveux et fait coulisser ma queue entre ses lèvres. L'étouffant à moitié. Elle proteste mais j'appuie sur sa nuque enfonçant ma bite au fond de sa gorge lui provoquant un haut le cœur. Sa tête monte et descend sur mon membre, je sens sa langue qui titille mon gland. Quelle suceuse!!

Je la relève. Elle est toute rouge, haletante. Le soutient-gorges baissée, les seins à l'air, la jupe tirebouchonnée autour de la taille.

- Comment tu t'appelles?

- Claudine, bafouille t'elle.

- A quatre pattes, Claudine, Allez!!! Obéie!!

Claudine secoue la tête et proteste. Je lui donne quelques claques sur les fesses et elle se précipite sur le sol, son cul tourné vers moi. Je lui enfonce de nouveau mes doigts dans la chatte la branlant sans ménagement. J'entends ma bourgeoise qui gémit et secoue la tête. Mes doigts sont couvert de mouille et je lui ordonne de me les nettoyer. Elle s'exécute, léchant mes doigts. Non seulement la femme de mon propriétaire est une salope mais c'est aussi une soumise. Je vais m'éclater avec elle . Je la pénètre, mes mains agrippées à ses hanches grasses et je la pilonne brutalement lui donnant de violents coups de reins. Mon ventre vient claquer contre ses fesses. Ses gros seins ballottent dans tous les sens sous mes coups de boutoirs. Claudine balbutie des mots sans suite...

- Oui,oui, non, Oh mon Dieu, je vais jouir...Je vais....

Elle poussa un cri strident et s'effondra sur le sol.

N'en pouvant plus, je me positionne devant son visage ravagé et éjacule sur elle en de longs jets saccadés, l'aspergeant de mon foutre. Elle en a sur le front, le nez, dans les cheveux...Des filaments coulent de son menton pour tomber sur ses seins. Comble de l'humiliation, je la contraint à nettoyer le sol en léchant le sperme tombé à terre.

Claudine est rhabillée, honteuse, elle n'ose pas me regarder.

Elle a baissée le loyer de moitié.

- T'es vraiment une chienne Claudine, à partir de maintenant t'es ma pute personnelle.Tu viendras me voir régulièrement prendre ton coup de queue. Et habiller sexy. J'ai des potes à te présenter!

Claudine sort de l'appartement précipitamment.

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Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 2 ans

Excitant !

WanBangkokWanBangkokil y a plus de 2 ans

superbe et pourquoi il a pas eu de suite à votre histoire

AnonymousAnonymeil y a plus de 8 ans
une suite s'impose

une chienne en puissance, la traiter conne telle

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