La Famille C'est Sacrée..!

BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

-...

- OK je continue et tu écoutes si tu veux... Là les mecs comprennent qu'il y a dans la salle une femme qui prête son mec parce que vous entrez ensembles, vous faites en sorte qu'on vous voit, mais vous laissez un siège de libre entre vous deux... A priori, ils ont l'habitude de ce genre de trucs... Quand un mec vient s'asseoir entre vous, Véro le caresse, lui sort la queue et le branle. Quand il bande bien, elle lui met, elle-même, une capote et du gel et toi tu viens t'asseoir sur sa queue après avoir baissé ton fut... Et tu caresses la chatte de ta femme en te faisant enculer. C'est gonflé dit donc! Moi je n'oserai pas faire cela avec Sam. C'est pas mon genre de me faire mettre. Même pour faire plaisir à Sam.

Je l'écoutais raconter nos expériences. Il savait vraiment tout. Sa queue grossissait lentement. Ça l'existait de raconter. J'étais consterné par le nombre de détails qu'avait raconté Véro à sa sœur.

Brusquement j'avais envie de prendre cette queue pendante dans ma main. De sentir la chaleur et la puissance de ce muscle doué de vie au creux de ma paume moite. J'étais horrifié par cette envie. Mon comportement me semblait incompréhensible.

- En fait, ce qui intéresse Véro, c'est de t'offrir à des mecs. Elle aime te voir te faire mettre par des inconnus. Elle aime que tu lui obéisses sans discuter. Elle en tire une jouissance physique et mentale. Et avec son caractère par rapport au tient, il t'est difficile de refuser. Je suis même sur que tu aimes cela.

Il savait cela aussi. Mais ou cela s'arrêtera? C'est pas possible qu'elle ait tout raconté. Mais pourquoi? Parce qu'elles sont jumelles? Et Sam.? Est-ce qu'elle aussi, lui a raconté sa vie sexuelle avec son routier macho.

La queue grossissait devant mes yeux.

- Ca m'excite de t'imaginer assit sur un mec dans le noir. J'imagine Véro, jambes écartées en train de se faire caresser. Branle-moi... Vas-y, branle-moi... Tu le fais bien à d'autres... Vas-y. Je suis sûr que tu en crèves d'envie.

Ma main a enserré sa bitte. La peau était très douce et très chaude. On aurait dit un animal qui vivait dans ma paume. Il a poussé un soupir de bienêtre.

- Vas-y lentement mec, on a tout le temps...

Sa bitte grossissait rapidement et se redressait au milieu de forêt de poils. Elle était vraiment d'une taille très respectable, courbée vers le nombril. Je me suis à nouveau demandé comment j'avais pu la prendre en totalité dans mon cul. Généralement, je ne voyais pas les bittes car tout ce passe dans la pénombre. Est-ce que celles que j'avais déjà eues étaient aussi grosses?

Ma main allait et venait du gland à la base de la hampe. La chair coulissait parfaitement sur le gland. Il se laissait faire, jambes écartées. Son membre était bien tendu. Il a repris son monologue

- Il parait qu'une fois dans ce ciné, ils sont venus à deux autour de vous. Ils étaient assez vieux. C'est ta femme qui a mené les négociations si j'ose dire... Elle ne t'a même pas demandé ton avis. Les mecs ne se connaissaient même pas. Ils avaient simplement envie ensembles. Ils voulaient profiter de l'aubaine....

Sa queue vibrait, le gland violacé complètement décalotté, les testicules dures chauffaient ma main. J'ai accéléré le mouvement sur sa hampe.

- Pas si vite mec. Ralentis on a le temps et tu ne me feras pas jouir plus vite. C'est moi qui décide du moment... Vous avez été dans un endroit discret sur une aire de repos pas loin. Vous avez fait un soixante-neuf, Véro et toi. Elle en dessous, jupe retroussée. Toi à quatre pattes au-dessus d'elle, sans pantalon. Tu la léchée pendant que les deux vieux se relayaient dans ton fion. Il parait que c'était fantastique pour elle de sentir ta langue dans sa chatte, et de voir en même temps ton cul se dilater pour prendre ces queues inconnues. Elle a jouit à répétition trois fois. Chaque fois qu'un mec se vidait dans la capote, elle gueulait de plaisir. Vous êtes complètement dingues les deux... Accélère, je vais jouir... Vas-y oui

Son sperme a fusé vers le plafond pour retomber en grosses gouttes sur son ventre. J'ai continué jusqu'à ce qu'il crache le dernier jet et qu'il arrête lui-même les mouvements de ma main.

- Super... Même moi, je ne me branle pas aussi bien. Décidément t'es un cas toi...

Il s'est tu, et nous sommes restés sans rien dire, chacun perdu dans ses pensées. C'est vrai que cela avait été une super partie avec ces deux mecs levés au ciné. J'avais aussi beaucoup aimé. Jamais je n'avais vu ma femme prendre son pied avec autant de violence et autant de fois de suite. Ces deux la m'avaient cassé le cul et Véro avait rigolé à gorge déployée quand je lui ai dit que j'avais le fion en compote et les mâchoires ankylosées à force de lui tripatouiller la chatte de ma langue. Son pull était arrosé de mon sperme car moi aussi j'avais pris une sacrée jouissance. Mon visage était couvert de sa mouille. Les deux mecs sont partis sans dire un mot et nous avons pu baiser tranquillement à nouveau et jouir ensemble.

Cela avait été une nuit mémorable.

Comment expliquer à la brute en face de moi, que chaque fois que nous faisions ce genre d'expérience, notre couple en sortait encore plus fort. Que c'était avec joie que je devenais de temps en temps la chose de ma femme et que c'était avec joie et reconnaissance qu'elle acceptait que j'aille au bout de ses fantasmes à elle.

Je le regardais assis à ma droite. Son sperme était en train de sécher et collait ses poils sur son ventre. Il était fascinant. Tant de brutalité latente et endormie, concentrée dans ce corps.

Il me plaisait.

Dommage que Véro n'était pas là.

Dommage que ce soit notre Beauf.

Si nous l'avions rencontré au ciné, on se serait éclaté les trois. Il m'a regardé. Il a des yeux de porc, ronds, noirs, enfoncés dans leurs orbites. Cela lui donnait un regard difficile à soutenir. Il a souri. Rien d'amical dans ce rictus. C'est un sourire plutôt méchant.

- Chez toi, Il parait que tu es toujours à poil, alors fait comme chez toi... Allez grouille toi... Allez tu sais bien que tu le feras, alors ne perdons pas de temps.

Je me suis levé et lentement débarrassé de mes vêtements? J'ai à peine hésité pour baisser mon caleçon. Je me suis assis nu comme lui. Nos deux physiques devaient faire un contraste saisissant. Lui brute poilue avec du muscle partout et moi fin et pratiquement imberbe. Il m'a détaillé de la tête aux pieds.

- C'est vrai que t'es pas mal du tout. Sam dit que t'es beau mec. Je suppose qu'elle dit vrai. Généralement, elle a bon goût. Tu sais que tu lui plais beaucoup. Elle dit que t'es comme un mannequin. Heureusement qu'elle préfère ma virilité bestiale. C'est comme cela qu'elle m'appelle. Elle dit que je suis un mec bestialement viril et protecteur de son foyer. C'est pour cela qu'on s'entend bien. Dans la vie comme au lit. Je suis sur que Véro et toi vous entendaient à merveilles. Vous avez trouvé chaussures à vos pieds comme on dit dans ma région.

Il m'a détaillé lentement du haut en bas, s'attardant sur ma virilité au repos. Rien à voir avec la sienne. Longue, assez fine, peu de poils et des couilles assez basses. Je savais que j'avais une belle queue. Je savais aussi m'en servir. Assez bien même, avec les nanas. A vrai dire, j'avais connu assez peu de nana, puisque nous nous sommes mariés très jeunes Véro et moi.

oooOOooo

Avec Véro, nous avions bien baisé avant de nous marier. Nous allions dans des endroits discrets à la tombée de la nuit. Elle était déjà très délurée. C'est elle qui a pris mon éducation sexuelle en mains. Je savais que je n'étais pas le premier. Elle n'était pas non plus ma première rencontre. Mais entre nous, ça a tout de suite collé. Et ça a démarré très fort.

Tout a commencé avant même notre mariage. Un soir, nous faisions l'amour dans un bois. C'était au tout début de notre rencontre. Elle était debout contre un arbre, jupe retroussée autour de la taille, seins à l'air. Son slip était resté dans la voiture. Il faisait doux. J'étais contre elle, mon pantalon aux chevilles et je la pénétrais lentement en prenant tout mon temps. Sa chatte bien lubrifiée avalait ma pine dressée. Nous prenions notre temps. Brusquement, je l'ai sentie se contracter. Elle m'a parlé à voix basse

- Y a quelqu'un

Je me suis immobilisé au fonds de son ventre

- Ou?

- Derrière toi. Je ne suis pas sure.

Elle chuchotait à mon oreille. Nous ne bougions plus. J'avais beau tendre l'oreille, je n'entendais rien. A part quelques bruissements.

- Je suis sure qu'il y a quelqu'un qui nous regarde...

- Merde. Qui peux venir à cette heure-ci. T'es sure? Tu veux qu'on arrête? Qu'on aille ailleurs

Elle a eu un moment d'hésitation avant de me répondre d'une voix excitée.

- Non. Non continue j'ai trop envie.

- On risque d'avoir des problèmes s'il y a réellement quelqu'un.

- Je pense pas. Ça doit être un voyeur... Continue. Vas-y bourre moi Chéri. Après tout si cela lui plaît à ce mec de nous regarder. Moi ça ne me gêne pas.

J'ai repris le rythme lentement tout en tendant l'oreille. Notre excitation remontait. À un moment, il m'a semblé entendre des craquements. Elle les avait entendu aussi. Il faisait très noir.

- Il s'approche... Continue. Vas-y, enfonce la bien. Tu peux pas savoir ce que cela m'excite que tu me baises devant quelqu'un. Je vois sa silhouette. Bourre-moi bien.

Effectivement, elle mouillait considérablement. Mon sexe coulissait parfaitement le long de ses muqueuses gonflées. Les craquements étaient plus forts. Les bruits se rapprochaient. Je continuais de plus belle mes coups de reins pour enfoncer mon pieux au plus profonds de sa chatte.

Elle devait certainement le voir, mais elle ne disait plus rien. Elle avait les yeux brillant dans le noir. Je devinais qu'elle regardait quelqu'un. Je ne me suis pas retourné. Ma bitte était le centre de mon corps...

Brusquement, j'ai senti une présence dans mon dos. Je ne me suis pourtant pas retourné. J'avais ma tête enfouie dans le creux de l'épaule de ma maîtresse.

Le type s'est collé contre moi. J'ai sursauté, complètement dégrisé. Véro a senti que j'allais arrêter ce jeu. Ses bras m'ont entourés le torse et m'ont plaqué contre elle. Ses seins s'écrasaient contre ma chemise. Ma bitte allait exploser. Je n'allais plus tenir longtemps.

J'ai à peine senti des mains froides sur mes fesses. Ce n'étaient pas celles de mon amie. Puis des doigts dans ma raie. Mon excitation a atteint des sommets. Celle de Véro aussi. Les doigts ont pénétré mon cul. C'était la première fois. J'ai crié. Véro a deviné ce qui se passait et sa bouche s'est plaquée sur la mienne. Les doigts étaient dans mon cul. J'ai explosé dans le ventre de ma future femme. Nous avons jouis ensembles avec une violence jamais atteinte. Je sentais les doigts coulisser dans mon cul. Ma bitte brûlait au fonds de la chatte. Véro gémissait dans ma bouche. Mon sexe coulait en elle. Les doigts me faisaient un peu mal, mais c'était fabuleux. Fabuleux pour nous deux. Véro et moi avons gémis de bonheur.

Nous sommes restés soudé, ma barre toujours dure fichée dans son sexe mouillé. Je n'avais plus rien dans le cul. Le type n'était plus là. Disparu comme par enchantement.

Nous avons lentement repris nos esprits. Nous sommes redescendus de ce septième ciel. Nous étions essoufflés de tant de jouissance. Véro s'est essuyée avec mon mouchoir. J'avais un peu mal à l'anus. Nous avons regagné la voiture.

Avant de démarrer, nous nous somme regardé. Elle était en train de remettre son slip, sans aucune pudeur. Nous avons éclaté de rire. Elle m'a mordu doucement le lobe de l'oreille.

- C'était super

- Géant.

- Quel effet ça t'as fait d'avoir des doigts dans le cul mon chou?

- Et toi quel effet ça t'a fait de voir ton mec se faire doigter par un autre mec?

- C'était vraiment magnifique. Surtout par un inconnu.

- Alors pour moi aussi... Même si j'ai un peu mal au cul quand même. Il était comment?

- J'en sais rien. J'ai pas fait attention.

- T'as pas vu son visage?

- Non je te regardais toi. Ton visage crispé m'a largement suffit. T'étais super en train de souffrir du cul.

- Ah bon? J'ai quand même mal au cul.

- Mon pauvre chéri va!

Nous avons éclaté de rire.

Nous sommes souvent revenus faire l'amour dans ce coin. Peut-être y avait-il d'autres voyeurs? Mais aucun ne s'est jamais plus manifesté. Par contre Véro a pris l'habitude de me doigter quand nous faisions l'amour.

Un jour, je lui ai demandé si je pouvais la prendre par derrière. Elle a dit oui avec un sourire assez ambigu. Le lendemain, nous avons acheté notre premier god et la nuit même, j'ai salement dégusté quand elle l'a inauguré dans le cul. Il y a une sacrée différence entre des doigts et un god. Mais je ne pouvais rien dire puisque, elle, n'avait rien dit quand ma bitte lui avait défloré l'anus.

Le god à définitivement remplacé ses doigts quand nous faisions l'amour. Je n'avais plus mal du tout. Nous étions devenus de gros consommateurs de vaseline et lubrifiants divers.

Un soir pendant que je l'enculais très doucement, elle m'a dit qu'elle aussi, avait envie de me sodomiser. C'est comme cela qu'un nouveau god à lanière celui-ci, a fait son entrée dans notre foyer. J'ai eu un choc quand, elle l'a mis sur sa chatte. Une femme avec un sexe d'homme. Un corps si féminin avec une excroissance tellement masculine. Cela avait quelque chose d'inquiétant. Il était plus gros que le précédent. C'est elle qui l'a enduit de gel lubrifiant devant moi, dans un silence inquiétant et un regard ambiguë vers mon anus.

Elle s'est comporté comme un homme et m'a possédé comme j'aime la prendre. Mais cette fois-ci, c'était moi qui étais à quatre pattes, le cul tendu. Le god était gros et même avec le gel et l'excitation, je l'ai senti m'ouvrir. Elle m'a dit que c'était fabuleux de mettre quelqu'un. Au fil de ses coups de reins, mon trou s'est moulé à la taille bien plus conséquente que notre précédent jouet. Elle est devenu le mâle et moi sa femelle. Je me laissais enculer par ma femme. Je me suis branlé en même temps. Nous avons crié de plaisir ensemble. Elle a jouit uniquement grâce au frottement du god sur son clitoris.

Longtemps, nous n'avons utilisé que les godes. Jusqu'au jours, ou j'ai loué une cassette bisexuelle. Nous l'avons regardé au lit. J'avais le god enfoncé dans mes reins et ma femme me branlait. Sur l'écran un mec était en train de se faire enculer par un autre devant sa femme.

- Véro? A quoi tu penses?

- A ça.

Elle m'indiquait l'écran du menton. J'ai vite compris.

- Non Véro pas ça

- Pourquoi?

- Je ne veux pas. J'ai pas envie d'avoir un mec avec nous.

Elle a poussé le god au fonds de mon cul.

- Marc chéri, j'aimerais voir une bitte à la place du god.

- Mais je ne veux pas qu'un autre mec te touche.

- Ça, il n'en est pas question. Non je veux un mec juste pour toi.

J'ai joui. Elle a pris cela pour un accord et je ne l'ai pas détrompé. Elle a nettoyé mon ventre de sa langue pointue. Nous n'en avons plus parlé, mais l'idée était dans ma tête et comme je n'ai jamais rien pu lui refuser, je savais que j'abdiquerais tôt ou tard.

oooOOooo

- Eh Marc, à quoi tu penses?

Je suis revenu à la réalité du moment. Xavier regardait mon sexe. Je commençais à bander.

- Mais t'as l'air d'aimer çà toi. ... Viens

Je l'ai suivis. Il marchait souplement malgré sa carrure. Il avait même des poils sur les fesses. Nous nous sommes retrouvés dans la chambre d'ami. Il m'a laissé passer devant lui. M'a donné une tape sur une fesse.

- Fous-toi sur le pieu ma poule.

Il bandait. Moi aussi. Je me suis couché à plat ventre sur l'édredon, jambes bien écartées. Il s'est couché sur moi. Le lit à grincé sous notre poids. J'ai deviné qu'il enduisait sa bitte de salive. Il était lourd, très lourd. Sa queue cherchait mon trou. Elle l'a trouvé rapidement.

De la salive sur mon anus. J'ai sentis son gros gland collé contre ma corolle.

- On y va ma poule

Son torse écrasait mon dos, ses grosses paluches agrippaient mes épaules. Je restais inerte sous lui, attendant son bon vouloir. Son gland m'a ouvert lentement le fion. J'ai serré les dents. La bitte entrait en moi. Sa salive ne lubrifiait pas assez mon trou. J'ai poussais de petits gémissements de douleur.

- Fais pas ta mijaurée salope. Ton cul est aussi ouvert qu'une chatte de femme. Je vais te la mettre à fonds mon pote.

Sa bitte occupait mon fondement. Ouvrait mes reins. Trouvait son chemin dans mes intestins humides. Me possédait au plus profonds de mon intimité. Elle me semblait interminable. Mon cul l'avalait avec difficulté. Son gros gland allait de plus en plus loin dans mes reins offerts.

- T'a le trou vachement profond. On sent que tu as l'habitude.

Enfin, son pubis s'est collé contre mes fesses. Il était empalé en moi jusqu'aux couilles. Son corps écrasait le mien. Ses poils grattaient mon dos. Il n'a plus bougé.

oooOOooo

Cela est arrivé dix jours après notre conversation. Au cours d'un week-end à la campagne. Un samedi en début de soirée. Nous étions lovés l'un contre l'autre devant le feu qui brûlait dans la cheminée quand on a frappé à la porte. Notre maison était isolée et personne ne devait venir. J'ai été ouvrir. Un type m'a expliqué qu'il était en panne et demandait l'autorisation de téléphoner. Je l'ai fait entrer. Véro l'a dévisagé.

Pendant qu'il parlait au téléphone, Véro lui a servis un verre. Il s'est assis sur le canapé car un garagiste devait le rappeler. Le destin était l'ami de ma femme.

Je n'ai pas compris tout de suite pourquoi Véro souriait. Et quand je l'ai compris, il était trop tard. Sur le guéridon, devant la cheminée, il y avait un tube de gel et le god. Elle avait oublié de le cacher. Peut-être qu'elle n'avait pas voulu le cacher. Vas savoir. Le type l'a regardé mais n'a rien dit. Il ne semblait même pas gêné.

Le garagiste a rappelé. Je savais déjà que le dépannage serait impossible ce soir. Je l'aurai parié. J'aurais aussi gagné si j'avais parié que ma femme l'inviterait à rester. Et j'aurais encore gagné quand il a accepté avec empressement. Le destin se liguait contre moi. Les dés étaient jetés. Face à tant de signes, je ne pouvais plus rien faire et m'inclinais.

Nous avons été des hôtes parfaits. Douche, repas, chambre d'ami, et beaucoup d'alcool. Mais le god était toujours là. Aucun sous-entendu dans la conversion. Nous avons fait connaissance. C'était un gars bien. Personne ne l'attendait. Il était bien foutu, avait de la conversation et du charme. Il convenait parfaitement à ma femme. Je n'avais vraiment pas de chance.

Nous nous sommes couchés en silence. La chambre de notre invité était en face de la nôtre. Il nous avait demandé l'autorisation de prendre une douche. Nous avons attendu que le silence prenne possession de la maison.

Véro est partie dans le salon chercher le god. Elle était uniquement vêtue d'une de mes vieilles chemises qui lui arrivait au ras de la touffe. Elle est vite revenue. Nous nous sommes regardés en silence. Elle les yeux brillants et moi l'air plutôt abattu.

Je me suis mis à plat ventre sur notre lit conjugal. Elle a enduit l'engin de gel ainsi que ma raie. Elle m'a ouvert les fesses d'une main et m'a planté le god de l'autre. Je pouvais prendre l'engin en moi sans aucune difficulté. Elle l'a mis en marche. La bitte artificielle s'est mise à vibrer en moi dans un doux bourdonnement. Elle l'a fait coulisser entre mes fesses. Mon cul s'est dilaté. Les vibrations gagnaient mon corps. L'intérieur de mon ventre vibrait aussi. Elle a poussé l'engin au maximum. Jusqu'à ce que ma bague anale se referme sur une partie avec une circonférence moins importante. Le god ne pouvait plus sortir tout seul. C'était un nouveau modèle que j''étrennais.

- Reste comme çà Marc. Ne bouges pas je reviens de suite.

- Non chérie, ne fais pas ça.

J'entendais bien que ma voix manquait de conviction.

- Chut laisses moi faire. J'ai tellement envie. C'est le ciel qui nous l'envoi. Je suis sure qu'il sera d'accord.