La déchéance de Sophie Ch. 06

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-"Non non non" m'interrompis le petit gros "tu montes sur la table et tu danses comme une pro!"

J'ouvrais la bouche, les mains à mi-hauteur, le regard de mon maître-chanteur ne laissait pas planer le doute quant aux conséquences si je rechignais. Sur ses genoux, ma fille se trémoussait ravie de la tournure des évènements.

J'escaladais donc la table et malgré ma gêne, j'ondulais les hanches le plus sensuellement possible. Pendant que j'accomplissais le souhait du vainqueur, le jeu reprit. En tremblant je m'effeuillais lentement et en rythme devant une bande d'ados boutonneux.

Ma tenue de soubrette s'envola et je détachais les agrafes de mon soutien-gorge, ne le retenant plus que d'une main plaquée sur mon opulente poitrine. Malgré moi je me prenais au jeu, et tâchais d'effectuer ma mission le mieux possible.

Comme un peu plus tôt dans la salle de bain, j'éprouvais une certaine fierté (et excitation) à attiser le désir de mâles. J'offris enfin à leur regard une nouvelle fois mes seins dont les mamelons étaient déjà durcis. Je déglutis, et passais les doigts dans mon string, commençant à le faire descendre lentement...

-"brelan les mecs!" hurla Fred en empoignant à son tour la télécommande.

Je me figeais au grand dam de mes supporters et redescendis sur terre. Je croyais avoir gagné quelques minutes de répit mais je me trompais.

Avec un sourire pervers, il m'ordonna de lui remettre mon string. Je m'exécutais leur dévoilant ainsi pour la première fois mon intimité toute épilée. Serrant le plus possible les jambes, je lui tendis et il le porta instantanément à son nez pour humer mon parfum. Je rougis d'un coup.

La partie allait reprendre une fois de plus mais il avait encore un peu de temps alors il poussa son avantage.

-"Viens t'assoir à califourchon sur ma jambe. Tu vas me porter chance bébé".

Comme une automate, je m'installais sur lui et trouvais étrange que ce que je trouvais choquant était de me faire appeler bébé par un gamin de près de 20 ans de moins que moi.

Totalement nue je me positionnais à califourchon sur sa jambe droite en croisant les jambes pour éviter le contact au maximum. Les cartes furent redistribuées et la partie repris.

Alors qu'il jouait mon "propriétaire" d'un tour, s'amusait à monter et descendre sa jambe tant et si bien qu'à un moment je n'eus plus le choix pour garder mon équilibre. J'ouvrais grand les jambes et frottais mon sexe sur sa cuisse.

Evidemment c'est ce qu'l attendait depuis le début et ses mouvements se firent plus intense, favorisant d'autant plus les frictions. Par la force des choses je devais donner l'image d'une chienne en chaleur qui se soulage elle- même sur la jambe de son Maître.

Cette pensée ainsi que les stimuli commençaient à m'échauffer et me respiration se fit plus courte. Cette fois c'est Eric qui gagna. Je quittais donc le petit gros et me dirigeais vers mon propriétaire.

-"Hé mais, elle m'a trempé mon fute cette pute!"

Je me retournais mortifiée. Effectivement une tâche sombre était bien visible sur sa cuisse, preuve que ses attouchements ne m'avaient pas laissé insensible.

Eric ricana. Il ne me demanda rien et se contenta de doigter mon antre humide pendant le tour de jeu, augmentant ainsi mon malaise et, à ma grande honte, mon désir. Au moment du verdict, je commençais à ne plus pouvoir retenir mes gémissements.

Sans un mot, Mike s'empara du gain. Il se leva et d'un seul geste fit descendre son pantalon et son caleçon sur ses chevilles libérant un sexe monstrueux et déjà en érection.

Il se rassit et comme s'il avait commandé une pizza :

-"Ben puisqu'elle est si chaude que ça, elle va nous montrer qu'elle en veut." Puis en pointant la télécommande vers moi "Ouvre grand les jambes et branle toi devant nous madame"

Je laissais échapper un hoquet en même temps que la chaleur explosait dans mon ventre. C'était si avilissant... En tremblant je portais la main à mon entrejambe et ne pus que vérifier que j'étais trempée. Je fermais les yeux et commençais à passer les doigts sur mes grandes lèvres ce qui me procura instantanément des frissons.

Faisant abstraction de l'environnement (ou peut-être justement à cause de cela), je fouillais mon intimité en me donna un plaisir malsain, ponctué par des halètements. Aussi incroyable que ça puisse paraître, j'étais à deux doigts de la jouissance.

De plus en plus vite j'astiquais ma chatte et mon clito en bougeant le bassin de manière obscène. J'allais avoir un immense orgasme quand j'entendis.

-"STOP. A mon tour maintenant".

J'ouvrais les yeux désespérée. C'était Kevin qui venait de conclure le tour.

-"T'aimerais jouir, pas vrai salope? T'aimerais que je te demande de sortir ma queue et que je baise ta chatte hein?"

J'étais proche, si proche. Je murmurais "...oui...."

- "Oui quoi? Plus fort!"

J'en pleurais presque de frustration et criais presque.

"Oui MR Kevin, baisez moi ma chatte s'il vous plait!"

Qu'une mère de famille nue au beau milieu de son salon demande de manière si vulgaire à des ados de la prendre provoqua l'hilarité générale. A cet instant tout m'était égal.

En réponse il sortit sa verge quasiment déjà en érection.

-"Viens me sucer sous la table et si tu me fais gicler avant la fin de la partie, je te laisserai finir...allez, donnez le cartes les mecs".

J'écarquillais les yeux devant cette humiliation mais mon état était tel que j'envisageais la chose sérieusement.

Les cartes données, il me jeta un seul coup d'oeil.

"Le temps passe"

Je craquais et me jetais à genoux, je rampais littéralement sous la table et entrepris de prendre son membre dans ma bouche. Sans plus d'hésitation ni de préliminaires, je lui taillais la pipe la plus violente de sa vie.

Je la léchais, lui suçais les couilles, m'empalais jusqu'à la gorge pour le faire jouir le plus vite possible.

Ma tête bougeait de manière frénétique sur sa hampe que je sentais durcir de seconde en seconde. Enfin je ressentis dans mon palais les pulsations annonciatrices de son plaisir...

-"A moi la partie, file moi la télécommande!"

A peine avais-je entendu Ahmed prononcer cette phrase que ma bouche s'emplit de foutre épais. Une main se plaqua sur l'arrière de mon crâne m'obligeant à finir mon gage et à tout avaler.

-" AH ah, désolé...juste un peu tard".

J'en aurais crier de frustration. Loin de m'avoir apaisé, cet acte dégradant m'avait maintenu dans un état d'excitation insoutenable.

En tout cas, cette demande donna des idées au nouveau vainqueur qui exigea la même chose. Au final je dû tous les sucer les uns après les autres. Quand je ressorti de sous la table, j'avais mal à la gorge et mon visage était recouvert de foutre.

Mon calvaire toutefois ne s'arrêta pas là. Avant la fin de l'après-midi, ils m'avaient tous pris par chacun de mes trous, parfois à 2 ou 3 pendant que ma fille s'occupait d'Eric qui filmait tout. Et à ma grande honte, je rebondissais d'orgasme en orgasme. Quand finalement ils se lassèrent de moi, je restais étendue à même le sol, les orifices béants, dégoulinants de leur semence.

Je n'étais plus vraiment là, mon esprit battait la campagne et c'est à peine si je me rendis compte qu'ils étaient partis. Comme une bonne chienne dressée j'obéissais maintenant automatiquement à tous les ordres de mon Maître. J'étais devenue sa chose au sens littéral mais il exigea encore plus de moi. Ce qu'il me fit faire ce soir là, me changea à jamais et je m'évanouis avant la fin.

--------------------

Le lendemain c'est le bruit du réveil qui me fit ouvrir les yeux. J'étais nue, propre, allongée dans mon lit. Je mis un certain temps à me rendre compte que j'étais seule à la maison. Les évènements de la veille me revenaient par bribes mais de manière détachée. Comme s'ils étaient arrivés à quelqu'un d'autre.

Quoiqu'il en soit je devais me préparer pour aller au travail et une fois de plus je me transformais en salope de service qui ne demande qu'à se faire baiser. Je n'avais même plus le réflexe de porter des sous-vêtements arrivée chez moi. J'avalais juste un café avant de partir.

Une fois dans ma voiture j'hésitais sur le trajet. Je n'avais certes pas les enfants à déposer à l'école mais je ne pouvais prendre le risque de manquer à mon Maître.

Ma décision prise je me dirigeais donc vers l'école. De là où je me garais je pouvais habituellement voir le repère d'Eric et à ma grande surprise je constatais qu'il était désert. Encore une fois je tergiversais sur l'attitude à adopter. Devais-je sortir et faire le pied de grue sur le trottoir pour me "montrer" ou rester dans la voiture et attendre...

J'optais pour la deuxième solution. J'observais avec appréhension les minutes passer, me demandant si j'allais pouvoir être à l'heure à mon travail. Finalement, une fois que tous les élèves furent rentrés je pris le parti de reprendre la route, soucieuse de ce que cette absence pouvait signifier.

J'étais encore dans mes pensées en arrivant dans l'open space ce qui fait que je ne réalisais pas tout de suite la situation. Toute l'équipe était déjà là, un des bureaux avait disparu et Jessica était confortablement installée derrière le mien. Je clignais des yeux pour être bien certaine de se que je voyais et m'avançais rouge de colère. Avant que j'ai pu ouvrir la bouche pour demander des explications, elle agita dédaigneusement la main vers moi.

-"Dépêche toi de monter, le Boss t'attend. Il veut te parler".

Illico, sans répliquer, je fis demi-tour et me dirigeais vers les escaliers. Cette fois-ci il allait trop loin et je me voyais déjà prendre un avocat pour lui faire payer cette mise à l'écart. Je frappais à sa porte et sans attendre de réponse, entrais dans son bureau.

-"Richard, qu'avez-vous fait? Je ne...."

Le téléphone à la main il interrompit ma tirade d'un geste.

-"Permettez, j'envoie juste un sms et je suis à vous...vous allez tout comprendre...voilà, c'est fait"

Il appuya sur une touche et quelques secondes plus tard mon portable se mit à sonner. Je restais figée pendant qu'il m'observait.

-"Vous ne regardez pas? C'est peut-être important"

Je ne réagis toujours pas.

-"Lis ton sms maintenant!" Sa voix claqua comme un fouet.

En tremblant je sortis mon téléphone et regardais le numéro trop bien connu de moi maintenant. Le message était bref mais ce qu'il impliquait était terrible.

*Bonjour salope. Heureux que tu respectes mes consignes. Maintenant que tu es là tu peux t'agenouiller devant ton vrai Maître*

Je blêmis et tout mon corps se mit à trembler.

-"Désolé mais j'en ai vraiment assez de faire des fautes d'orthographe. Tu ne sais pas à quel point j'ai détesté ça".

Il porta le regard au-dessus de mon épaule et je me retournais en sentant une présence dans mon dos. IL était là, Eric, le visage extatique, dissimulé depuis le début dans un coin.

Richard reprit :

-" Inutile de faire les présentations, je crois que tu connais mon fils".

Mon coeur manqua s'arrêter. Je comprenais tout maintenant en effet et ma situation personnelle était encore pire que ce que j'avais pu croire.

Je ne pus que balbutier quelques mots. J'avais le tournis et tenais à peine sur mes jambes.

-"Mais comment..pourquoi...?"

Il se leva lentement et s'approcha de moi. Il me répondit comme si ma question était stupide tout en commençant à déboutonner mon chemisier. J'étais comme paralysée, incapable de la moindre réaction.

-"Pourquoi?....mais parce que je le peux déjà. Tu vois j'ai eu envie de te baiser à la première seconde où je t'ai vu. Non plus que ça, en fait, je voulais te soumettre et t'humilier..effacer cet air supérieur de ton visage"

Les seins totalement à l'air, il m'appuya sur les épaules tout en poursuivant. Mes jambes fléchirent et je me laissais tomber à genoux, impuissante.

-"Tu étais une menace pour moi. Brillante, ambitieuse. Les patrons d'en haut t'avaient à la bonne et il me fallait faire quelque chose"

Sa queue déjà raide jaillit de son pantalon et s'engouffra entre mes deux mamelles offertes qu'il entreprit de baiser violemment.

-"J'ai joint l'utile à l'agréable. Maintenant tu n'es plus rien à part mon jouet et nous le savons tous les deux n'est-ce pas?"

Il avait raison. Ma vie personnelle et professionnelle avait été réduite à néant. Sa semence se répandit sur ma poitrine, me souillant et scellant mon destin.

-"A partir d'aujourd'hui tu n'as plus besoin de bureau. Tu iras où on te dira et fera tout ce que je veux. Tu es placée sous la responsabilité de Jessica"

Il reboutonna mon chemisier comme si de rien était, le collant à mon torse barbouillé de son sperme.

-"Je suis sûr que tu seras une bonne pute pour moi, pas vrai?"

Je rougis en me relevant. Devant son regard intense je ne pu que m'incliner.

-"Oui...Maître".

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Dès le lendemain je prenais la mesure de mes nouvelles occupations. A la fin de semaine, tout sentiment de gêne semblait avoir disparu et le week-end me fit sombrer un peu plus dans la débauche.

Le lundi matin suivant me trouva à 4 pattes sous le bureau de Richard. J'étais en train de le sucer vigoureusement pendant qu'il branlait ma chatte trempée avec son pied.

-"Aujourd'hui salope, nous allons faire un petit jeu. J'ai demandé à quelqu'un de venir pour me donner son avis sur un projet. Selon l'option qu'il choisira tu me feras jouir dans le trou adéquat"

Je ne protestais même pas. Il me tendit un papier où je lus :

1 - bouche

2 - chatte

3 - anus

Je reprenais son sexe en bouche quand j'entendis frapper.

-"Ah, entrez! ....Vous devez vous demander pourquoi je vous ai fait venir, nos départements travaillant rarement ensemble"

-"Effectivement ce n'est pas souvent que je viens ici"

Je tressaillis en reconnaissant la voix de mon mari. En réaction, le pied de Richard se fit plus pressant sur ma vulve et je retins un gémissement.

-"Bien, c'est une histoire de marketing, cela vous concerne donc. Voici les options que nous avons retenu mais nous avons un doute pour le choix final. J'ai besoin de votre avis"

Le silence se fit pendant que j'imaginais mon époux lire un papier qui n'avait aucune importance aux yeux de mon patron. Finalement la sentence tomba.

-"Je pense que le deuxième est meilleur..."

-"Intéressant. Je pense aussi que c'est un très bon choix. Et puisque c'est vous qui le dites en plus...expliquez-moi ça en détail"

Sa main glissa sous la table pour me donner une petite gifle. Je savais ce qu'il attendait de moi. Sans faire de bruit, le plus silencieusement possible je me retournais et cambrais mon cul. Il s'avança pendant que mon mari parlait et pénétra ma chatte d'un coup.

J'étais à 4 pattes sous le bureau de mon patron en train de me faire baiser avec mon époux à moins d'un mètre. je devenais folle, c'était trop humiliant. Excitée par les préliminaires je m'empalais sur son manche, je le sentais lui aussi prêt à jouir et au moment où il se déversa en moi, je ne pus plus me retenir et poussais un cri de jouissance.

C'était plus fort que moi, le plaisir était trop intense.

Un silence pesant suivi, puis j'entendis mon mari haleter.

-"...SOPHIE?????....."

Fin (?)

L'histoire principale de Sophie s'arrête ici mais bien des questions restent en suspend.

Que lui a fait faire Eric ce mercredi soir? Ou était réellement David pendant ce temps-là? Comment Jessica profite-t-elle de sa nouvelle situation? Quels actes odieux a-t-elle était forcée d'accomplir pendant le week-end?

La suite sera écrite ...un jour.

En attendant vous pouvez me laisser vos commentaires. Et si vous avez vraiment apprécié cette histoire et que vous êtes une femme (ou un couple) d'IDF vous pouvez me contacter à cette adresse : pour discuter ou autre...

A bientôt.

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14 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a 1 jour

Excellent et très original !

AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Une histoire incroyable et superbement construite. Elle me fait toujours autant jouir ...... Merci à vous !

AnonymousAnonymeil y a plus de 4 ans
renarquable

Merci beaucoup pour ce texte très agréable à lire;

En espérant une suite un jour ;-)

M*C

AnonymousAnonymeil y a environ 6 ans
Sa nouvelle vie

Elle devient la pute de l'entreprise et aide Jessica a gagner des marchés et sert de vide couilles à son patron.

Le soir, pas de répis, elle se transforme en soubrette docile pour son nouveau couple de maître : Jessica et son ex mari Richard, même ça elle lui a prise et...la pauvre, on imagine bien la perversité d'une femme, sa Maitresse lui en fait baver.

De sa fille elle ne reçoit que mépris et humiliation, celle-ci s'étant installé avec Eric dans le plaisir de la soumission, un vrai petit couple bien choyé par une soubrette docile et soumise...le petit frére David, enfin maintenant nommé Laika, petite lopette féminisée et au zizi encagé.

Le chien n'est pas en reste, il partage son panier avec la chienne Sophie celle-ci ne pouvant lui refuser ses 3 trous....bien saillie, elle est a trouver sa place : chienne en chaleur.

AnonymousAnonymeil y a plus de 6 ans
Annelée

Oui Sophie et annelée et ne vivant qu'avec des mini/micro vêtements !

A satisfaire toutes les personnes de l'entreprise.

Ces gros seins encore plus gonflés, son crâne tondu.

Sa fille et son fils qui abusent d'elle, son mari réduit à la chasteté par une cage ....

RUDY

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