La déchéance de Sophie Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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C'est donc en position de suppliante que je parvenais dans le salon. Eric était assis sur le canapé et achevait de se confectionner un sandwich. Il était nu et son sexe pendait entre ses jambes écartées. Devant lui, la table basse était encombrée de victuailles et au mur la télé jouait un air déjà vu ou très ressemblant à ce que j'avais aperçu la dernière fois.

Tout en terminant de préparer son repas il m'indiqua du doigt le sol à ses pieds. Je me positionnais à genoux là où il le voulait et attendit son bon vouloir. Je ne disais rien et le simple fait de réfléchir m'était d'une difficulté extrême.

-"Enlève ton haut et ta jupe, garde le reste!"

Alors que je faisais mine de me relever pour me déshabiller, il m'appuya sur l'épaule et me rabaissa au sol.

-"Je ne t'ai pas dit de te lever je crois" dit-il

-"Pardon Monsieur" Répondis-je instantanément.

J'ôtais tant bien que mal mon chemisier trempé et me déhanchais de manière impudique pour me libérer de ma jupe. Je me réinstallais dorénavant plus vêtue que de mes bas, porte-jarretelles et du chiffon qui était autrefois un string. Incapable de décrocher les yeux de son sexe, je constatais que ma soumission commençait à l'exciter. Et d'une manière inexplicable, moi également.

Il se leva alors et se saisit de son téléphone. A nouveau l'électricité parcourut mon corps à la limite de la rupture et je gémis sans retenu. Mes cuisses s'ouvrirent un peu plus et sa verge aussi raide que dans mes souvenirs, m'hypnotisait à seulement quelques centimètres de mon visage.

Satisfait il déclara :

-" On dirait que la journée t'a bien profité, elle n'est plus aussi fière la bourge modèle. Tu as pigé où se trouvait ta place cette fois?"

Il avançait et reculait. Instinctivement j'entrouvais la bouche, je ne pensais plus qu'à sa longue tige et à jouir, jouir, jouir! par tous les moyens.

-"REPONDS!! ELLE EST OU TA PLACE SALOPE?"

Je balbutiais " oui...oui.. ma place est à vos pieds Monsieur...je l'ai enfin compris Monsieur..."

-"T'en as envie de ma queue pas vrai?"

-"oui..oui ...oh oui"

J'essayais de la saisir mais il repoussa mes mains, je m'humiliais même à essayer de la prendre dans ma bouche mais n'y parvins pas. C'était son jeu, ses règles. Ma frustration n'avait d'égal que mon excitation.

Il défit mon chignon, me saisit les cheveux et de son autre main promena sa verge sur mon visage. La forte odeur de sexe mâle qui émanait de lui me rendait folle.

-"Tu serais prête à faire quoi pour l'avoir?"

Je n'hésitais pas une seconde.

-"Tout...tout ce que vous voudrez, je ferais tout...je vous sucerais, j'avalerais votre semence...tout ce que vous désirez".

Et à cet instant je pensais mes paroles, je n'avais plus de conscience, je n'étais qu'un objet pétrit de plaisirs douloureux.

Il eut un rire gras et vulgaire.

-"Regardez moi la maman à ses chéris. Quelle salope tu es en réalité, tu ne peux plus nier maintenant". De son ton sadique il ajouta :" Très bien, puisque tu veux tout faire tu vas la mériter cette queue".

Il se renfonça dans le canapé, écarta les jambes et les remonta le long de son torse. Ses fesses écartées me faisaient maintenant face.

-"Amène toi et lèche bien ou repars comme tu es venue.."

Mon esprit en miette mit du temps à m'exposer l'horreur de la situation. Je restais interdite. Au fond de mon ventre les saccades de plus en plus violentes finirent de détruire mes dernières réticences. Je m'avançais et timidement poussait ma langue à l'entrée de sa raie.

A genoux, quasi nue, je léchais le fessier d'un ado qui m'avait soumise. Poussée par l'urgence je me rapprochais de son petit trou jusqu'à ce que d'une poussée sur le crâne il ne me fasse y planter ma langue. Le goût était acre mais pas aussi terrible que je le craignais. Pendant de longues minutes je restais ainsi: ses testicules sur mon nez, le visage enfoncé entre ses globes et lui grognant de plaisir.

C'était fini, je n'avais plus aucune fierté et quand il me tendit son pieu comme on récompense un chien d'une sucrerie, je me jetais dessus et le dévorais en geignant de bonheur. J'étais folle, perdue, mais c'était comme si je n'avais jamais rien goûté d'aussi bon. Cet acte que je pratiquais rarement et sans entrain avec mon époux je le réalisais avec mon tortionnaire en y mettant toute mon âme.

Ma tête montait et descendait le long de son sexe et ma langue jouait avec son gland violacé. Parfois j'avais des hauts le coeur quand je le sentais buter à l'entrée de ma gorge alors même qu'à peine la moitié de sa hampe se trouvait dans ma bouche.

Soudain, il me tira en arrière et me jeta littéralement à quatre pattes. J'étais l'image même de la chienne en chaleur. Ma mouille coulait le long de mes cuisses, ma poitrine était douloureuse tellement elle était gorgée, mon bassin ondulait follement de manière impudique. De la salive s'échappait de ma bouche jusqu'au carrelage.

Lui pendant ce temps s'était emparé du pot de mayonnaise et d'un coup enfonça son sexe dedans. il vint ensuite se positionner derrière moi et d'une manière autoritaire m'écrasa le visage au sol, m'obligeant par la même occasion à me cambrer au maximum.

-"Espèce de petite pute! Ne crois pas t'en tirer avec une pipe de débutante. Il y a du travail mais quand j'en aurais fini avec toi tu pourras avaler la queue d'un cheval!"

Je ne réagissais même plus, j'attendais la délivrance que je savais se rapprocher. D'une main ferme il écarta la ficelle de mon string, offrant à sa vue mon oeillet vierge. Seul un fin triangle de tissu protégeait mon antre et quand je sentis son gland se promener le long de ma fente, je crus défaillir.

Il me frappa la croupe et m'intima.

-"Dis moi ce que tu es! Dis moi ce que tu as envie! Avoue!"

Je poussais mon cul vers lui pour mieux le sentir, le string s'enfonçait même entre mes grandes lèvres. Je lui donnais tout ce qu'il voulait.

-"Je vous en prie..baisez moi...baisez moi..je veux votre queue en moi...je suis une salope je l'avoue, une chienne qui veut votre bite...s'il vous plait..."

Je sanglotais, quémandais comme je savais qu'il voulait que je le fasse. Je faisais tout pour le faire fléchir.

-"Tu te rappelles ce que je t'avais dit? Que si tu venais tu serais punie?....Tu sais comment je punis les petites allumeuses telle que toi?"

Son sexe remonta de quelques centimètres et je sentis son gland enduit de mayonnaise presser contre mon anneau affolé.

-"Noooon je...AaaaAaaaHHHH!"

Je criais quand il me pénétra.

-"Pitiéééé...s'il vous plaaaait.."

Il marqua une pause.

-"Oui ça me plait...pétasse".

-" AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAARRRRGGGGGGGGHHHHHHHHH" cette fois je hurlais si fort que tout le quartier devait l'entendre.

D'un coup il s'était enfoncé de toute sa longueur. Sans plus m'accorder de répit il se mit à me pilonner de plus en plus vite, de plus en plus fort, je sentais son membre fouiller mes entrailles. Il m'insultait, me crachait dessus et peu à peu la douleur s'atténua.Stimulée par l'oeuf dont les vibrations étaient poussées au maximum, j'allais bientôt au devant de ses coups de boutoirs, m'empalant entièrement,

ses couilles, frappant contre mon vagin que le string ne défendait plus du tout. Je sentais monter en moi une vague phénoménale, je compris que j'allais avoir un orgasme d'une pratique que je n'avais jamais expérimenté et je me mis à lui répondre en hoquetant. Incapable de m'en empêcher je scellais mon destin.

-"Oui Monsieur...baisez moi, sodomisez moi...je suis une trainée, une chienne....VOTRE chienne. Je suis à vous, je vous appartiens, je ferais tout pour vousssss!!!!"

Plus de rédemption possible pour moi, j'acceptais mon destin. Alors que je prononçais ces mots, la déferlante m'emporta toute entière. Mon corps tressauta, je criais, pleurais, toutes les frustrations accumulées avaient leur exutoire.

-"OOOOHHH JE JOUIIIIIIISSSSSS!!!!!"

Par la puissance de mon plaisir, l'oeuf fut éjecté de mon antre et involontairement je resserrais mon anneau sur sa verge. Eric cria à son tour et un flot tiède envahit mon fondement décuplant encore mes sensations. Je ne sais combien de temps nous restâmes ainsi et quand il se retira, il inséra vivement le jouet dans mon petit trou béant.

-"Tu le garderas en toi toute la nuit comme ça tu dormiras à côté de ton mari avec mon sperme en toi".

-"Oui Monsieur"

-"Plus maintenant"

-"???"

-"Tu t'es donnée à moi. C'est oui Maître".

J'acquiesçais. Il était trop tard pour les faux semblants.

-"Bien Maître".

Je sentais pourtant qu'il doutait de ma soumission alors sans réfléchir, je m'approchais de lui toujours à quatre pattes, ouvrais ma bouche et sans qu'il me le demande, je lui suçotais le gland.

Sa réaction me surpris. Il éclata de rire. M'indiquant l'écran du doigt il annonça :

-"Telle mère, telle fille"

Je levais les yeux et les écarquillais. Le visage de la jeune fille qui se faisait baiser avec tant de violence était maintenant visible. un visage que je connaissais depuis sa plus tendre enfance. Ma fille.

J'essayais de me dégager mais il maintint ma tête contre son pénis. Excité par cette révélation, il avait repris de la vigueur et m'obligeait à lui faire une fellation express. Il donnait le rythme, j'avais du mal à suivre, il me violait littéralement la bouche et je manquais m'étouffer.

Ce fût très vite terminé. Il éjacula à l'entrée de ma gorge et docilement j'avalais jusqu'à la dernière goutte.

Il me relâcha et je restais inerte.

-"J'ai un cadeau pour toi" me dit-il "puisque tu es ma chienne il est normal que tu portes ceci".

Il se pencha et m'accrocha un fin collier de chien en cuir autour du cou.

-"Tu le porteras dès que tu quitteras ta maison. Bien sûr, je garde la laisse..."

Beaucoup plus tard, quand je commençais à rassembler mes esprits et me rhabillais il mit les choses au point une bonne fois pour toute.

-"Maintenant tu m'appelleras Maître en privé comme en public et tu obéiras sans discuter peu importe ce que je te demande de faire et où. C'est clair?"

Servilement je répondais.

-"Oui Maître"

-"Et ne parle pas de tout ça à ta fille compris?" il ajouta avec un sourire malsain "elle a été beaucoup moins difficile à convaincre que sa mère".

A suivre...

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Anonymous
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5 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Tres bon

Bonjour,

A quand une suite, la fille, le fils soumis ?

Merci par avance

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Bravo

Bravo pour cette histoire qui je l'espère ira très loin.

Merci

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
Miam miam

Texte intéressant

La soeur entre en scène bientôt

Le frère suivra ?

A découvrir dans une prochaine suite miam miam

AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans
continuité

longue descente avilissante

bravo continuez

elkoelkoil y a plus de 7 ans

toujours aussi bon bravo !!

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