La déchéance de la jolie femme du p

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La jeune femme sombre dans la prostitution
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Coulybaca
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La déchéance de la jolie femme du pasteur

Pastor's Prostitute Wife - I

Coulybaca / Black Demon

**********************************

Cette histoire se suffit en elle même,

Cependant c'est aussi la suite de La jolie femme du pasteur

(Pastor's pretty wife) Coulybaca / Black Demon

**************************************

- "Comment la vie pouvait-elle être aussi cruelle? ..." se demandait Mélanie.

Elle se revoyait un mois plus tôt, elle vivait la vie d'une très respectable épouse de pasteur, mère de deux enfants. En outre elle enseignait le ca-téchisme le dimanche matin aux jeunes enfants de la paroisse, et était présidente de la "ligue des femmes de l'ouest".

Le visage entre ses mains, Mélanie ne pouvait s'arrêter de pleurer alors que tout avait pris fin brutalement.

Son mari avait sollicité sa réaffectation pour une église éloignée, emme-nant les enfants avec lui, il lui avait laissé leur vieille conduite intérieure et la moitié de leurs petites économies.

Bien que cela ne lui ait pas été annoncé, elle savait qu'elle n'obtiendrait pas de remplacement pour des postes de maîtresse pour jeunes en-fants avant longtemps.

Sans aucune source de revenu, Mélanie savait qu'elle n'irait pas très loin avec ces économies, celui lui donnait juste le temps de se retourner.

Aussi remisant ses maigres possessions dans un garde meuble, elle avait loué un appartement délabré en attendant que les choses se cal-ment un peu.

Relevant la tête, Mélanie cligna des yeux en regardant posé sur la table basse le torchon à scandales qui avait publié de sordides photos d'elle.

-"Et comme si ça ne suffisait pas .....Mais on les trouvait en page de garde d'un magazine national ....." se désolait-elle éperdue.

Sur la page de garde du magazine national elle se tenait sur le perron de l'église à coté de son mari, mais la photo était surmontée d'une bande titre :

-"La femme du pasteur se prostitue!...."

Elle réalisait maintenant qu'elle devait cela au vendeur de voiture qui avait pris une énorme emprise physique et mentale sur elle.

Mélanie se rappelait comment elle avait rencontré l'ignoble vendeur, lorsque qu'accompagnant son mari et ses enfants elle s'était rendue chez ce vendue de voiture pour acquérir une nouvelle voiture à prix cas-sé.

Dès l'instant où il lui avait serré la main il avait allumé le feu dans son corps la rendant faible et sans défense.

Lorsque s'était assise sur le siège du passager, il s'était approché sous le prétexte d'ajuster sa ceinture, la faisant frissonner alors que son vi-sage était si proche du sien qu'elle sentait sa respiration sur ses joues.

Mais ça ne s'était pas arrêté là. Alors que son mari et ses enfants étaient tout proches, l'audacieux vendeur s'était permis des gestes inqualifiables, alors que Mélanie était dans l'incapacité de le rabrouer ou de repousser sa main, il l'avait glissée sous sa jupe lui caressant lubriquement les cuisses atteignant même le fond de sa culotte lui parcourant la fente d'un index tendu au travers de sa fine petite culotte.

La semaine suivante, cet homme démoniaque s'était pointé à l'église, en disant à son mari que sa compagnie lui avait demandé de visiter la congrégation afin de lui faire une donation.

Totalement prise par surprise Mélanie l'avait vu arriver dans sa classe accompagné de son mari alors que l'office et les cours de catéchisme étaient terminés. Son mari l'avait laissée seule avec ce noir lubrique au-quel Mélanie était incapable de résister.

-"Mon Dieu ... Je ne comprends pas encore comment c'est arrivé!.... Là dans ma classe, avec les membres de la congrégation et mon mari dans l'arrière cours." Elle frissonnait-elle à ce souvenir.

-"Pourquoi ... Pourquoi ai-je été si faible, n'ai-je opposé aucune résistance à ses entreprises lubriques? ...." se demandait-elle en-core.

Mais son esprit se rappelait chaque instant de sa soumission, il avait po-sé ses mains sur la bosse de son pantalon, elle avait caressé sa bite et ses couilles au travers de la mince étoffe.

Lorsqu'elle avait rencontré cet homme en compagnie de son mari, elle ne se serait jamais imaginée, que le dimanche suivant elle fourrerait sa main dans son caleçon, lui sortirait la bite ... une grosse bite noire de surcroît.

Elle avait alors commencé à le branler, regardant la grosse bite s'allon-ger et grossir dans sa main, quelques instants plus tôt elle donnait son cours de catéchisme à cet endroit précis.

Et maintenant elle le branlait d'une main alors qu'elle lui caressait ses grosses couilles velues de l'autre.

-Mélanie n'avait jamais touché intimement un autre homme que son époux, mais la virilité de son mari lui paraissait bien pâle en com-paraison de celle de cet homme démoniaque.

-

Voyant la bite de son agresseur prendre de plus en plus d'amplitude alors qu'elle lui manipulait les couilles, elle se rendit compte qu'il n'allait pas tarder à gicler.

Et sa bite était dirigée sur elle. Sans perde une seconde, Mélanie la re-poussa sur le coté, et il éjacula sur le dessus de son bureau.

Les mains couvertes du sperme de cet homme, Mélanie reprit pied dans la réalité alors que sa petite fille l'interpellait.

Par chance, sa fille ne vit pas la mare de foutre souillant le dessus du bureau, elle parvenait à mettre son corps en écran, tandis qu'Al Grover remontait sa fermeture éclair.

La semaine suivante, en rentrant d'une réunion de la "ligue féminine" Mélanie trouva le vendeur noir dans sa chambre.

A son insu il avait fait faire un double de leur clé lorsque son mari lui avait imprudemment donné son trousseau de clé pour essayer leur voiture afin de l'estimer. Figée, elle l'avait laissée la déshabiller sans piper mot.

Mélanie avait tendu la main et manipulait les organes génitaux de l'im-portun, puis elle s'était agenouillée pour se livrer à l'impensable. Pour la première fois elle se retrouvait avec une bite en bouche, instinctivement elle se mit à lécher et à sucer sa colonne noire. Elle apprit rapidement à plaire à un homme en se servant de sa bouche et de sa langue. Bientôt il se vida dans sa bouche, elle se débrouilla pour avaler la totalité de la chaude semence qu'elle sentait couler lentement dans son oesophage pour garnir son estomac.

Puis il lui bouffa le chaton alors qu'elle était allongée sur le dos dans son lit conjugal.

-"Mon Dieu c'était si bon ..... Si incroyable!..." frémit Mélanie serrant les cuisses l"une contre au rappel de cet instant enivrant.

Elle se rappelait encore comment elle l'avait supplié continuer à lui bouffer le minou, folle de plaisir sous les caresses de cette langue habile qui parcourait ses replis intimes et affolait son clito dardé, un orgasme intense l'avait bientôt terrassée alors qu'elle coulait comme une fontaine.

C'est alors qu'Al Glover s'allongea entre ses cuisses grandes ouvertes tentant d'insérer son épais gland en elle.

-"Oh mon Dieu .... C'est si grooooooooosssssss! ..." avait frissonné Mélanie se rappelant la peur et la douleur que créait l'énergique poussée de son amant sur sa fente éperdue.

Elle se revoyait lui criant d'arrêter, qu'il était trop gros pour elle, qu'elle se sentait déchirée par sa brutale intrusion dans sa foufoune......

Mais le plaisir avait lentement remplacé la douleur initiale, elle avait joui comme jamais elle n'avait joui auparavant ......

Et ce à plusieurs reprises!.....

Il lui semblait qu'Al Grover exerçait une emprise quasi mystique sur elle, emprise à laquelle elle était bien incapable de résister. Depuis que cet homme s'était introduit à son insu dans sa maison, Mélanie se deman-dait :

-"Comment ai-je pu rester sans réaction devant lui?..... Sans lui opposer aucune résistance .... Je l'ai laissé me déshabiller ..... Me dénuder .... Et je l'ai laissé faire ce qu'il voulait de mon corps ...... Je l'ai même sucé!..... et toutes ces horribles choses ......"

Après ce jour inoubliable, Mélanie s'était retrouvé totalement inféodée à Al Grover, elle s'avérait incapable de refuser ses demandes les plus crues, les plus osées ... Se souciant peu de sa dépravation!...."

Elle dut mentir une première fois, puis mentir constamment le conjurant même de lui accorder quelques heures de liberté chez elle, abandonnant son mari totalement inconscient qu'elle sortait pour se faire baiser!

A chaque fois, elle avait honte lui mentir, mais elle ne pouvait s'empê-cher d'obéir à Al Grover le rencontrant dans les hôtels les plus miteux de la ville.

Puis vint le moment où Mélanie chercha à lui résister, refusant ses rendez-vous, en prétextant que le concierge était malade et qu'elle était la seule à pouvoir laver l'église l'après-midi même.

Et avant qu'il puisse répondre, elle avait raccroché de peur que de voir sa volonté s'effriter.

Cependant s'il était vrai que le concierge était malade ce jour là, l'église ne nécessitait qu'un léger nettoyage, un nettoyage qui pouvait attendre les jours prochains.

Mélanie se sentait assez fière, c'était la première fois qu'elle s'était débrouillée pour se refuser à celui qui s'était emparé de son corps et de son esprit.

Toutefois cette confiance en elle ne durait que depuis une heure.

Elle épousseta les bancs de l'église, puis se dirigeant vers l'autel, Méla-nie était si fère de sin refus de se soumettre à Al Glover qu'elle en ou-bliait tout autre chose.

Aussi n'entendit-elle pas la porte se refermer à clé derrière l'homme qu'elle venait de défier en dédaignant sa volonté.

Soudain, surprise par une ombre se mouvant sur le mur, Mélanie comprit qu'elle n'était plus seule dans l'église.

Se retournant pour voir qui était entré, elle haleta en se retrouvant face à Al Glover qui la toisait du regard.

Secouant le plumeau qu'elle avait en main, Mélanie broncha se cognant sur l'arête de l'autel. Figée sur place, elle voulut protester, mais ne par-vint à émettre aucun son.

Quelques instants plus tard, tête basse Mélanie le laissait déboutonner le devant de la blouse blanche sans manche qu'elle avait enfilé pour net-toyer l'église.

Sa blouse déboutonnée elle se retrouva en soutien-gorge de dentelle, il repoussa les bonnets vers le bas dégageant ses succulents nichons.

Fermant les yeux de honte, Mélanie frissonna lorsqu'Al Grover serra et pinça ses tétons sensibles entre pouce et majeur.

Mélanie eu le souffle coupé par la douleur, alors qu'il étirait maintenant ses tétons endoloris. Alors que la douleur se transformait en plaisir, elle sursauta en le sentant aspirer un téton dans sa bouche et se mettre à le sucer lascivement.

-"Oh mon Dieu ....." grommela-t-elle alors qu'il lui mordillait un téton, puis l'autre.

La blouse repoussée sur ses épaules, il déchira les bretelles du soutien-gorge qui chut au sol, elle retombait sous sa totale emprise.

Bientôt sa petite culotte rejoignit son soutien-gorge au sol, Mélanie fris-sonna en sentant le marbre froid de l'autel sous ses fesses.

Alors qu'il lui enlevait ses tennis, elle se retrouvait assise entièrement nue sur l'autel où son mari prêchait la messe chaque dimanche.

Jambes levées dans les airs et écartées il la repoussa dos contre le ta-bernacle, elle dut poser ses coudes sur l'autel pour éviter de tomber et en agrippa le rebord comme support.

-"Ahhhhhhhhhhhhhhh ..... Ohhhhhhhhhhh ....... Mon Dieuuuuuuu ...... Mon Dieu ................"

-"Oh, mon Dieu ......Oh, mon Dieu .......Mon Dieuuuuuuuuuuuu ...... Ahhhhh ....... Ahhhhhhhhhhhh!....." frissonna-t-elle alors qu'Al parcourait d'une langue habile sa foufoune juteuse avant de rechercher son clito dardé.

-"Ohhhhhhhhh ...... oh .... Oh mon Dieu ..... Je jouiiiiiiiiiiiisssssss .... Je jouiiiiiiiiiiissssssss ..... " son cri se répercuta dans toute l'église résonnant de mur en mur.

Quelques instants plus tard, elle rouvrit les yeux et vit qu'il s'était désha-billé avant de lui poser ses chevilles sur le s épaules, elle comprit qu'il entendait copuler là sur l'autel.

Dans la lueur diffuse des bas vitraux dans son dos, il apparaissait comme le démon prêt à consommer un sacrifice sur l'autel.

-"Oh non .... Pas comme ça ..... Pas ici ..... S'il vous plait .... Je vous en prie ..... Allons ailleurs ..... N'importe où ailleurs ..... Mais pas ici!..." le suppliait-elle misérablement.

-"Uhhhhhhhhhhhh!...." haleta-t-elle sentant son gland familier presser sa fente trempée.

-"Ohhhhhhhhhhhhhh ..... Mon Dieu ...... Ouiiiiiiiii .... Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ....... " défaillit-elle alors que sa bite noire s'en-castrait profondément en elle.

Elle avait pris la mesure de son épais gourdin, cette bite dont elle rêvait chaque nuit.

C'était la plus excitante séance de baise qu'ait vécu Al Grover, rien ne pouvait se comparer à la possession de la blanche femme du pasteur sur l'autel de son église.

Lui agrippant fermement les hanches, il la maintenait sur le rebord de l'autel tout en la baisant, il trouva rapidement l'entrée de son fourreau et s'y logea entièrement d'une poussée continue

Il la baisait avec d'autant plus de plaisir qu'il savait qu'il avait de réelles chances de l'engrosser, là sur l'autel.

- "Ah chérie ......... Que dirait ton prédicateur de mari s'il savait comment on fait reluire l'autel ..... En y déposant un peu de jus ... Histoire de bien le faire briller pour la prochaine messe!..... Aide moi chérie ...... Aide moi .... Enduis le d'un peu de cyprine ..... et frotte toi dessus pour le faire briller!...." se marrait Al tout en la bai-sant furieusement.

Cessant quelques instants, il baissa les yeux sur la beauté pantelante, et l'invita :

-"Allez vas y ma chérie ...... Comme ça ma chérie .... Sers toi de ta petite culotte pour le faire luire ...... Fais le briller pour ton pasteur de petit mari!..."

-"Oh mon Dieu ..... Oui .... Mon Dieu ouiiiiiiii ..... Baise moi ..... Baise mooooooooooiiiiiiii!...." haletait Mélanie alors qu'il la secouait de brutaux coups de boutoirs.

Soudain elle le sentit se figer et glousser :

-"N'est-ce pas le moment où tu es fin prête? .....Le moment du mois où tu es la plus fertile?...."

-"Oui .... Tu veux me remplir de ton sperme .... Maintenant ..... Alors que!....Mon Dieu ... S'il te plait .... Je t'en prie .... N'arrête pas .... N'arrête pas .... Je suis si prête de jouir ....." le supplia-t-elle ar-demment.

-"Oui ... OUI .... Oh ouiiiiiii .... Baisez moi ..... Encore ......Encoooooooore ....." gémissait Mélanie tandis qu'Al Grover re-prenait sa chevauchée selon ses suppliques.

-"Oh mon Dieu ..... Oh mon Dieuuuuuuuuu ..... Je jouiiiiiiiiiiiiiiiis .... " défaillit-elle brusquement.

Et la bite dans sa foufoune grossit encore, il s'enfouit à fon dans sa ma-trice et se prépara à gicler.

-"Vas y ... Gicle .... Gicle dans mon ventre!...... Engrosse moi ..... Maintenant ... ici!....." pantelait-elle misérablement.

Elle le sentit alors jaillir dans ses flancs et hurla :

-"Ohhhhhh .... Que c'est chaud ..... Si chaud ....... Ton foutre est si chaud ..... Emplis moi .... Emplis moi de sperme ..... Colle moi un petit bâtard dans le ventre!...."

Vingt minutes plus tard, Mélanie clignait des yeux en sortant de cet état d'hébétude où l'avait plongé sa sauvage jouissance, elle jeta un oeil sur les vitraux irisés, puis la froideur du marbre de l'autel sous ses fesses la fit frémir lorsqu'elle se redressa. Se tournant de coté Mélanie s'assit alors pour descendre de l'autel.

Elle frémit à la vue de la mare de foutre blanchâtre souillant la surface de l'autel.

Se répétant que ce n'était pas possible, Mélanie avala sa salive alors qu'elle tendait la main pour récupérer sa petite culotte.

Au moment de la remettre Elle jeta un oeil sur la mare de foutre s'étalant sur l'autel, elle roula alors le sous-vêtement en boule et s'en servit pour essuyer le bureau. Sur le point de terminer elle manqua de "cire", elle savait l'endroit où s'en procurer pour finir son travail.

Finalement, Mélanie prit un certain recul pour admirer la brillance de l'au-tel, cependant la façon dont elle avait obtenu ce résultat l'horrifiait.

De ce jour, Mélanie perdit tout contrôle sur les événements, il lui était maintenant impossible de repousser les exigences d'Al Grover, leurs rendez-vous se firent de plus en plus fréquents.

Si fréquent qu'elle prit un certain retard dans ses tâches ménagères. Des choses qu'elle devait faire, comme faire des courses alors que les en-fants s'entraînaient sur le terrain de football, se trouvaient différées.

Au lieu de cela, elle retrouvait Al Grover dans un hôtel minable où pen-dant une heure elle mettait sa gorge et sa chatte à son 'entière disposi-tion.

Comme Al Grover connaissait son emploi du temps journalier elle ne pouvait trouver de prétextes pour lui refuser quoi que ce soit, ils se livraient donc à de sauvages et vicieuses séances de baise.

Comme ce jour où, alors qu'elle se rendait au terrain de football pour assister à la dernière demi-heure d'entraînement, le téléphone sonna.

Al Grover était garé prêt du terrain d'entraînement et l'observait appro-cher la guidant pour la rencontrer dans une clairière bordée de grands arbres.

Suivant ses instructions, Mélanie dépassa le terrain où jouaient ses en-fants, contourna le champ et prit l'allée qu'il lui ordonna.

Elle arriva dans une petite clairière qui ne permettait qu'à deux voitures de se garer, Mélanie jeta un coup d'oeil circulaire et ne vit personne.

Une seconde plus tard, Al Grover, s'assit à coté d'elle sur le siège pas-sager et lui dit d'ouvrir la portière arrière.

Quelques instants plus tard, les sièges repliés en couchette, Mélanie nue, à quatre pattes lui tendait son cul. Elle frémit alors qu'il empaumait ses seins de sa large main, lui triturant les tétons alors que son épais bulbe s'engouffrait dans sa foufoune juteuse.

Sachant qu'elle devait arriver à l'heure pour reprendre ses enfants à la fin de l'entraînement, afin que personne ne puisse constater un quel-conque retard, elle le supplia :

-"S'il vous plait ... S'il vous plait ... Faite vite!.....Monsieur Grover .. .. Je vous en prie ..... Baisez moi vite ..... Vitttttttttteee .... Viiiiitttte ..... ".

Elle arriva à temps à l'aire d'entraînement au moment même où il se terminait. Mélanie descendit de voiture et salua les autres parents en ouvrant la porte arrière à ses enfants. Voyant qu'ils avaient tous deux sanglés leurs ceintures, Mélanie prit le chemin du retour.

Comme il faisait frais, les vitres étaient restées fermées, sa jeune fille demanda soudain :

-"Maman ... Qu'est ce que cette drôle d'odeur?..... Ca ne sentait pas comme ça quand tu nous a amené!....."

-"Je vais descendre les vitres un petit moment le temps de vous oxygéner!... les prévint Mélanie.

Dans sa précipitation de se rhabiller, pour éviter de prendre froid, et ac-coutumée à l'odeur d'amour flottant dans la voiture, elle avait oublié de l'aérer avant de venir prendre les enfants.

-"Dieu soit loué ils sont trop jeunes pour reconnaître cette odeur ca-ractéristique!..." soupira-t-elle soulagée.

Tout en conduisant, elle se voyait susurrer doucement à ses enfants :

-" C'est l'odeur de votre maman qui vient de faire l'amour avec un noir qui a jouit dans son ventre!... Votre gentille maman a permis à un autre homme de lui faire la chose que seul son mari est suppo-sé lui faire!..."

Al Grover rencontrait un tas de gens dans l'exercice de son boulot. Il connaissait quelques bons coups, des stars du porno, et même un jour-naleux qui écrivait dans un torchon à scandales.

Il venait de vendre une voiture neuve à ce journaleux, et en discutant de son travail, Al avait appris que son magazine payait très bien les histoires qui faisaient scandales lorsqu'elles faisaient la page de cou-verture.

Assis à son bureau, toujours à l'affût des bonnes aubaines, il sourit à l'idée qui venait de fleurir dans son esprit perverti.

Empoignant son téléphone, il appela son ex client :

-"Hey Ritchie, c'et Al Grover ...... Le gars qui vient de vous vendre une voiture neuve .... Oui c'est ça .... Vous m'avez dit que votre journal payait cher les scandales majeurs .... Que pensez vous de cette chaude histoire?..... Celle d'une très jolie jeune femme, mère de deux enfants, mariée à un prédicateur et vivant en banlieue ... Seulement personne ne sait qu'elle se prostitue parfois ..... Qu'en dites- vous?...."

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