La déchéance de Juliette Ch. 04

BÊTA PUBLIQUE

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Ilius ne fut pas en mesure de gérer sa vie en prison et se suicida durant sa première année d'incarcération.

Cela détruisit Costa et sa femme. Il avait juré que la femme responsable de la mort de son fils allait payer. Donc il avait financé une grande partie de l'opération de chantage. Il n'était pas le principal protagoniste mais juste un bailleur de fonds.

Elle ne reconnaissait pas l'homme. Mais pourquoi l'aurait-elle reconnu ? L'histoire était arrivée il y a quatre ans et Juliette oubliait facilement ce qui faisait grimper sa carrière.

L'homme était sophistiqué et bien soigné. Il regarda Juliette avec ses yeux froids et noirs. Il commença immédiatement à la traiter comme quelque chose qui ne méritait que son mépris.

- Je vous remercie.... Dit-elle.

- Tais toi putain et sors ma bite !

Il avança son entrejambe vers la femme. Obéissante, Juliette défit les boutons de la braguette. Une bite alimentée au viagra, surgit et pointa vers les cheveux roux. L'homme sortit un petit paquet en plastique et saupoudra une ligne de poudre blanche le long de son membre.

- Coke....

Il tendit à la commissaire un billet roulé de vingt euros et lui ordonna de renifler le tout.

Elle hésita. Elle ne devait pas faire cela bon sang ! Elle utilisa les paumes de ses mains pour s'éloigner de l'entrejambe de l'homme et elle rassembla ses dernières forces de volonté pour secouer la tête.

- Qu'est-ce qui ne va pas putain ? Allez, je te donne 500 euros pour que tu le fasses avec une fellation ensuite.

A la mention de la somme exorbitante que le gars était prêt à payer, Juliette cessa de se débattre, son cerveau faisant des heures supplémentaires pour décider quoi faire. C'était la moitié de ce qu'elle devait gagner ce soir dans ce quartier glauque et ce serait vite fait. Si elle acceptait elle pourrait quitter cette rue beaucoup plus rapidement qu'elle ne l'avait pensé.

- Je le fais pour 700 euros.

- 600 euros putain, ou je te laisse retourner avec tes amies là-bas.

Juliette acquiesça et déglutit en pensant à ce qu'elle allait faire : 600 euros pour un seul gars l'aiderait à sortir d'ici. L'homme ouvrit son portefeuille en cuir et mit l'argent dans ses mains.

Juliette plongea la tête vers l'aine du vieil homme, ramassa le billet roulé et renifla rapidement la drogue en un seul coup rapide.

Avant qu'elle ne puisse envisager autre chose, l'homme éperonna sa queue droite dans son gosier. Il avait une grosse bite et il était aussi dur que tous ceux qu'elle avait rencontré au cours de ces dernières vingt-quatre heures cauchemardesques.

Il baisa son visage pendant environ vingt minutes , la laissant faire tout le travail, jouissant de voir cette chienne qui avait détruit sa famille le sucer pour de l'argent. Son sourire augmenta quand il pensa aux nouvelles humiliations auxquelles elle devrait faire face.

La drogue commença à faire de l'effet à Juliette et elle mit de plus en plus d'enthousiasme dans sa fellation. Costa tenait sa tête dans ses mains et l'encourageait à le sucer plus profondément. Quand il fut prêt à jouir, il,donna deux ou trois coups vraiment profondément dans la bouche avant de se vider au fond de la gorge et sur le visage et ses cheveux.

Enfin, il força Juliette à sortir de la voiture, déchirant son soutien-gorge au passage. Elle ne savait pas que le chauffeur avait fait un tout complet et était revenu au bord du trottoir où elle avait commencé sa nuit.

Si elle avait regardé vers la camionnette blanche, elle aurait vu l'homme qui organisait cette machination. Mais elle était sous l'emprise de la drogue de première qualité qu'elle avait sniffé.

Juliette descendit au bas de la rue vers la voiture la plus proche. Du sperme généreusement éclaboussé sur son visage, l'un de ses seins bien visible, habillée comme une pute pas chère, elle était comme son maître chanteur l'avait prévu.

La voiture qu'elle allait accoster était une voiture de police banalisée. Les policiers étaient sur le point d'arrêter l'un des officiers supérieurs de la ville, sous l'emprise de la drogue, habillée comme une pute pas chère et couverte de sperme . Tout le monde en ville se souviendrait de la première fois où ils entendraient parler de la femme rousse dans la voiture, le sein à l'air, rire et offrir de sucer la bite des policiers pour cinquante euros.

Ce serait mauvais pour elle mais le pire, ce serait lorsqu'au commissariat ils fouilleraient son sac et découvriraient assez de drogue pour alimenter tous les dealers de la ville ainsi qu'un pistolet sans licence. Mais cela viendrait plus tard.

Les deux policiers sortirent de la voitures, l'humilièrent en la fouillant et la menottant les bras dans le dos. Puis ils la poussèrent sur la banquette arrière sans prendre la peine de couvrir son sein exposé ou de nettoyer le sperme qui jonchait son visage et ses cheveux

Dans la camionnette blanche, l'homme composa un numéro sur son portable et parla avec enthousiasme :

- Ils l'ont eu. Ils rentrent au commissariat. Assurez-vous que tout le monde est prêt.

La voiture banalisée se dirigeait vers le quartier général de la police où les choses allaient être encore pire pour Juliette.

A suivre...

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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

Magnifique vivement la suite avec les collègues

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