La débauche de Tania 6e partie

Informations sur Récit
La rencontre avec Julie.
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Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 6 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 11/04/2015
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(voici le 6e volet des aventures de Tania, j'espère que cela vous plait. N'hésitez pas à m'envoyer vos suggestions et remarques pour la suite.)

*

Quand je me réveille, je ne suis plus dans la chambre, je suis à l'hôtel, Marc et André sont autour de moi.

-(Marc) Ma chérie? tu vas bien?

-(André) On s'est fait du mourrons pour toi, tu avais disparue.

-(Marc) on ta retrouvée nue posée sur le lit de notre chambre.

Je fonds en larme dans les bras de Marc qui me réconforte.

Après quelques instants, le temps pour moi de retrouver mes esprit, j'apprends que Marc et André n'avait plus eu de nouvelles de moi et de Mr Mutumba depuis qu'ils avaient quitté le restaurant pour aller chercher les documents.

Mr Mutumba avait disparu, il s'était évanoui dans la nature. Personne ne savais où il était parti.

Ils n'ont pas cessé de me chercher pendant plusieurs jour.

Et ce matin, alors qu'ils rentraient à l'hôtel, ils m'ont trouvée couchée dans le lit.

Je leur raconte mon calvaire, ce que j'ai endurée et ce que j'ai subie.

Marc me dit alors que plus jamais il ne me mêlera a leurs affaires.

Cela ne devait pas se passer comme cela, je devais tout au plus me montrée gentille et agréable avec leur client, j'étais prête à aller jusqu'à lui laisser me caressée mais pas plus loin.

A notre retour, André me conduit auprès d'un gynécologue afin de me faire faire un examen complet.

Les conclusions arrivent quelques jours plus tard. Mis à part des séquelles vaginales et anales, il n'y a aucune trace de maladies ni de lésions graves.

Me voilà rassurée. Marc et André aussi.

La vie reprenait son chemin mais André était différent, plus distant avec moi.

Il y avait quelque chose de « cassé » entre nous.

John avait quitté la société, je ne l'ai pas revue.

Marc et moi avons toujours des moments calins, coquins et torride.

Parfois je l'aide dans son business...et je ne cache pas que j'y prend du plaisir.

J'ai pris goût au sexe, violent, brutal, mais puissant et intense.

Sur la dernière affaire, leur contact était une femme d'affaire redoutable qui s'appelait Julie.

Je l'ai rencontrée à son bureau, avec Marc. (André nous a laissé tomber par la suite aussi)

Elle était très belle, grande, élégante. Ses long cheveux descendait jusqu'à la lisière de ses fesses.

Au premier contact on pouvait deviner sa détermination. Elle émanait une véritable force de caractère.

La négociation ne fut pas évidente pour Marc, elle négociais chaque point du contrat, chaque détails.

A la fin de la journée, comme de coutume, Marc l'invite au restaurant, mais elle décline sèchement.

- Par contre, j'aimerai invitée votre collaboratrice à partager ma table au restaurant.

Je fis un clin d'œil à Marc pour le rassurer.

- Ce sera avec grand plaisir madame, à quel heure et dans quel restaurant?

- (Julie) maintenant et ici, je me fais livrer par le meilleur traiteur de la ville.

Vous pouvez rentrer chez vous Monsieur, je ferai raccompagner Mademoiselle après le repas.

Marc quitte le bureau et rentre à la maison.

Je reste seule avec Julie qui s'assied sur le bord de son bureau.

Elle porte un tailleur court de couleur noire, des escarpins, je devine qu'elle porte des bas car je distingue le bout de la pince qui dépasse du bord de sa jupe.

Son chemisier blanc laisse apparaître une poitrine opulente.

Elle sait comment se rendre attirante et désirable.

Moi je suis vêtue d'une robe simple, un chemisier et une petite veste. Je ne porte pas de bas ou de collant cette fois, tout comme je n'ai pas de culotte ni de soutif. Et j'ai mis mes bottes haute qui s'arrête juste avant mes genoux.

- Que veux-tu mangée?

- Ce que vous voulez, je ne suis pas difficile.

- Bien, je commande pour dans une heure, cela nous laisse le temps de bavarder et de faire connaissance.

- Parfait pour moi.

Elle s'assied dans un fauteuil et m'invite à la rejoindre.

Nous sommes faces à faces, jambes croisées, entre nous une petite table ronde en verre.

- Pourquoi tu es là?

Je m'étonne de la question.

- Répond moi, pourquoi tu es restée avec moi?

- Vous me l'avez proposée gentiment, je me voyais mal refusée.

- Pourquoi? tu as peur que si tu ne restais pas je ne signe pas le contrat avec Marc?

- Oui, je l'avoue.

- Tu es une salope, tu le sais?

- Quoi?

- Ne fait pas ta mijaurée, tu es une salope et une pute. Mr Mutumba tu connais?

Lorsqu'elle prononça ce nom mon sang se glaça.

- ...oui...je le connais

- Il m'a parlée de toi, tu es une salope et une belle pute.

- Il m'a..

- Tais toi!

Sa voix était dure et le ton tellement sec que je suis restée paralysée dans mon fauteuil.

- Lève-toi, j'aime voir la marchandise de plus près.

Je me lève et marche autour d'elle, en me déhanchant lascivement.

Elle me déshabille du regard.

- Tu es une allumeuse, j'aime ça.

Alors que je passe devant elle, elle glisse une main sur mes fesses.

Mon corps réagit directement au toucher, je sens mes seins se gonfler, ma chatte s'humidifie, ma peau frisonne.

- Stop! Reste immobile et pose tes mains sur ta tête.

Immédiatement j'étais en position. Non pas que je craignais une sanction...mais par pure plaisir.

Dans cette position, mes bras relevés faisaient remonter ma robe déjà fort courte, laissant apparaitre la naissance de mes fesses.

Julie était derrière moi. Elle fait glisser ses doigts le longs de mes bras, descend sur ma poitrine, la palpe.

- On dirait que la petite salope semble déjà toute excitée.

Elle attrape alors mes tétons au travers de ma robe et les pinces durement.

Je pousse alors un cri de douleur et me tortille, mais elle les tiens et continue de les pincer.

La douleur est telle que j'ai le réflexe de retirer les mains de ma tête pour tenter de me libérée.

Elle me pousse alors violemment et je tombe sur le sol.

- Espèce de petite chienne, qui t'a donnée l'autorisation de bougée?

- Vous m'avez fait mal!

Sans même attendre la fin de ma phrase, elle me donne un coup de pied dans le ventre, me coupant la respiration.

Je me tortille de douleur, me tenant le ventre avec mes mains, tentant de retrouver mon souffle.

Elle m'attrape par les cheveux et me traine dans la pièce.

Je me débat et pousse un cri de douleur, la conséquence ne tarde pas à arriver, sous la forme d'une gifle.

- Tu vas te taire maintenant!

Elle m'enfonce alors un morceau de tissus dans la bouche et le maintien avec un foulard qu'elle serre autour de ma tête.

- Lève-toi!

Je me relève péniblement, mon ventre me fait encore mal.

Des larmes coulent de mes yeux, je suffoque et j'ai du mal à respirer avec son bâillon.

- Ne t'avise surtout pas de bouger ou de tenter quoique ce soit...ou il t'en cuira.

Le ton était froid, glacial. Elle me regardait avec un regard perçant, vicieux.

- Retire moi cette robe, une chienne n'a pas le droit de porter des vêtements.

Je m'exécute sans attendre et me retrouve nue face à elle en quelques minutes.

- Jolie, très jolie marchandise. Marc a beaucoup de chance.

Elle tournait autour de moi, glissant ses ongles sur ma peau.

Puis elle se dirige vers son bureau et sort un équipement de son tiroir.

- Laisse tes mains le long de tes jambes et écartes les.

Elle me fixe une sorte de sangle en cuir autour de chaque cuisses et attache mes poignets à ces sangles.

Ensuite une deuxième sangle autour de mes avant-bras qui sont reliés dans mon dos.

- Parfait! parfait!

Elle pose sa main sur mon dos et me force à m'incliner sur son bureau puis elle me donne des petites claques entre mes cuisses.

- Écarte moi ça chienne!

- Tu as un cul de rêve, une salope avec un cul pareil...ça devrait être interdit.

Un éclair de douleur me transperce le corps de part en part, elle vient de m'assener une fessée magistrale. Une deuxième suit rapidement et d'autres.

Elle frappe mes fesses avec forces.

J'hurle dans mon bâillon, je me tortille comme je peux. Ma vue se brouille avec les larmes.

Puis elle arrête, elle me caresse alors les cuisses, ses doigts glissent le long de mes mollets.

Mes fesses sont en feu, la douleur est permanente.

Elle m'attache les mollets et les fixe au sol, maintenant mes jambes écartées.

- Vois-tu l'avantage de ma position est que je peux tout me permettre et personne ne viendra me faire des problèmes.

Marc m'a signé un document me donnant toute latitude quand à ce que je te ferai...ce qui signifie que si tu te plains, c'est Marc qui sera tenu responsable. Moi j'ai assez d'argent pour me payer les meilleurs avocats, je doute fortement qu'il s'en sorte.

Ses paroles me glaçaient le sang, je n'osais pas répondre ou bouger.

Elle se tenait devant moi, je n'ose pas relever ma tête de son bureau, je suis tétanisée.

Elle pose sa main sur mon dos et me maintient fermement.

- Entre, entre donc mon ami.

Quoi? qui est-ce? les questions fusent dans mon esprit.

Alors que je suis incapable de bouger elle s'incline et me murmure à l'oreille :

- Tu vas rester bien sagement comme tu es...mon « ami » a très envie de goûter au charme de ton cul.

J'ouvre grand mes yeux, maudit le bâillon qui m'empêche d'hurler et de protester.

Une main froide se pose sur mes fesses. Ses doigts se baladent, glissent entre ma raie, caresse mon ma rose.

Mes pensées se bousculent dans ma tête, hésitante entre la crainte et le plaisir.

Son autre main se pose aussi sur mes fesses.

Il aventure ses doigts plus en avant, caresse ma chatte qui réagit aussitôt.

Il me glisse un, puis deux et ensuite trois doigts tout au fond.

Je ne peux restreindre un gémissement de plaisir.

Ses doigts glissent sans peine au fond de ma chatte, il me pénètre par grand coup, brutalement.

La table bouge de plus en plus fort. Le plaisir grimpe, ma chatte s'ouvre de plus belle.

Je peux sentir mon jus couler petit à petit.

Les mouvements de vas et viens émettent un bruit de sucions, masqué par mes gémissement.

Quand il s'arrête, mes lèvres sont en feu.

Julie prend ma tête dans ses mains et me retire le bâillon.

Sans que j'ai le temps de réagir, elle se baisse et m'embrasse.

Sa langue se glisse dans ma bouche.

C'est mon premier baiser avec une femme, j'ai toujours voulu essayer, voir comment c'était...je suis gâtée.

Je n'y oppose aucune résistance, au contraire, je ferme les yeux et joue avec sa langue dans ma bouche.

Tout mon corps se détend, profitant de ce moment de sensualité...

Je me raidis soudainement, une énorme douleur émane de ma chatte.

Je tente d'hurler mais Julie continue de m'embrasser et de me maintenir la tête.

La douleur se fait de plus en plus intense, il pousse son poing.

Il me maintient fermement le bassin d'une main et l'autre se presse contre ma vulve.

Je sens mes muscles céder, comme si on me déchirait.

Il fait tourner sa main, elle s'enfonce petit à petit.

Ma respiration s'accélère.

Julie c'est redressée, libérant ma tête et ma bouche.

Je crie, pleure, hurle de douleur, mais la main continue de s'enfoncer.

Puis il pousse un grand coup sec. Son poing entre d'un coup, me remplit complètement.

Il reste dans cette position sans bouger pendant quelques instant.

Ma chatte s'habitue à cette présence « forcée ».

La douleur s'estompe petit à petit pour faire place à une sensation que je ne connaissais pas.

Il recommence à bouger sa main, je sens ses doigts au fond de moi. Il pousse encore un peu.

Mon corps est balancé d'avant en arrière, suivant le mouvement de sa main.

Il accélère le vas et viens, fais sortir son poing et le rentre d'un coup sec sans plus aucune résistance.

Je suis sur le point d'avoir un orgasme, ma vue se trouble, ma respiration se fait irrégulière.

- (Julie) Arrête! cette garce ne doit pas encore jouir.

L'inconnu retire sa main. Le plaisir s'atténue, l'orgasme s'éloigne.

Je maudis Julie en mon fort intérieur.

- (Julie) Détache-la, on va la retournée.

Il me détache les cheville et Julie me retire les sangles qui me liaient les bras à mes cuisses.

Avant que je n'ai le temps de tourner la tête, elle me pose un masque sur les yeux.

- (Julie) Reste bien sage et je serai gentille avec toi!

Ils me retourne, me remonte un peu, mon cou et mes jambes dépassent de chaque côté du bureau.

Les mains de l'inconnu écarte mes cuisses et il fixe à nouveau des sangles sur mes cuisses pour les maintenir ouverte.

Elle prend mes mains et les attaches au-dessus de ma tête.

- (inconnu) Regarde-ça! elle dégouline

- (Julie) Je te l'avais dit...une véritable pute pure jus.

J'entends des bruits, une porte qui s'ouvre et se referme.

Puis des mains qui se pose sur moi. Ils sont plusieurs.

Des doigts qui pincent mes seins, deux autres qui s'attaquent à mon clito gonflé, d'autre qui me caressent les cuisses, on me glisse deux doigts dans la bouche.

- (Julie) Ça suffit à présent messieurs.

Elle murmura à mon oreille : « j'espère que tu t'appliqueras pour ce qui va suivre »

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