La débauche de Tania 2e partie

2e partie de l'histoire « La débauche de Tania »

On sort alors du cinéma et on monte dans sa voiture.

-Tu garderas les cuisses ouvertes pendant que je roule.

Aussitôt dit, aussitôt fait.

Et presque immédiatement sa main glissait à nouveau entre mes cuisses.

Mais là, je pouvais pousser un gémissement de plaisir.

-J'ai pu remarquer que mes caresses ne te laissait pas indifférente.

Je rougie à nouveau en lui répondant

-Donc je peux en déduire que tu apprécies ce rendez-vous?

-Oui, beaucoup.

-Jusqu'où es-tu prête à aller avec moi?

..... (la question m'intriguait)

-Jusqu'où souhaites-tu explorer le plaisir avec moi?

(il pressa alors ses doigts sur mon clitoris au travers de mon leggings trempé)

-Mmmmm! jusqu'où tu veux.

-J'habite à 1h de chez toi, je peux donc t'inviter et te ramener. Ça nous laisse 7 heures pour s'apprécier l'un l'autre. Tu es d'accord?

(ses doigts frottaient de plus en plus fort)

- Ouiiiiiiiii (en gémissant)

Arrivé à son domicile, il me propose alors de prendre un petit en-cas dans son salon.

J'étais confortablement assise dans un fauteuil et il m'apporte alors une assiette avec des petit toast au jambon. La séance m'a ouvert l'appétit.

Il s'installa à côté de moi pour manger aussi.

-Si je te demande de m'obéir est-ce que cela te dérange?

-Qu'est-ce que tu veux dire par là?

-Si je te donne des ordres, serais-tu prête à les suivre sans discutée?

-Heuu...oui pourquoi pas.

-Bien, alors voici mes premiers ordres:

Tu m'appelleras «monsieur ou dada » et tu garderas tes jambes ouvertes en permanence quand tu es avec moi.

Si tu oublies un de ces deux petits points, je te punirai. Tu m'as bien comprise?

(je pris un temps pour répondre)

-Oui, c'est compris

Directement il monta d'un ton

-OUI QUI?

-Heuu pardon, oui monsieur.

-Bien, fini de mangée et retire moi ce leggings, il est temps de faire prendre l'air à cette petite chatte.

Je me suis levée et j'ai retiré mes bottes puis je le retire.

- Tu peux remettre tes bottes, elle te vont à merveille.

Viens t'asseoir sur mes genoux ma petite.

Il tapait ses jambes avec ses mains.

La jupe courte n'était pas faite pour être portée sans leggings, elle faisait plus office de cache qu'autre chose. Je sentais l'air glisser entre mes cuisses, ce n'était pas pour me déplaire car c'était effectivement très humide à cet endroit.

J'étais assise sur ses jambes, il passe alors une main sur ma taille et pose l'autre sur mes cuisses nue.

-Alors, as-tu été gentille ma petite?

-Heu! oui je pense...

-Oui je pense qui!!

-Oui je pense monsieur.

-Tu aimes les doigts de dada Marc?

-Hô! oui beaucoup.

-Oui beaucoup MONSIEUR!

Lève-toi et met toi en travers de mes jambes, tu mérites une punition!

Je ne réagis pas immédiatement, il me pousse alors et m'attrape pour me mettre en position.

J'avais mes fesses sur ses genoux, les mains dans mon dos qu'il tenait fermement.

Sa main redressa le pli de la jupe, dénudant mes fesses.

-C'est un joli petit cul que tu as la ma petite.

Il me caresse les fesses, puis il me donne une fessée, suivie d'une autre et d'une troisième.

Chaque fois sa main claque plus fortement.

Je crie de douleur, je tente de me débattre mais il pousse son autre main plus fort sur mon bassin.

-La prochaine erreur, ce sera 10, tu m'as bien comprise?

(sanglotant)

-Oui monsieur, j'ai bien compris.

-Bien, tu vois que tu peux être une gentille petite fille.

Il glisse un doigt dans la raie de mes fesses.

Passe sur mon petit trou, glisse et atteint ma fente.

-Hô! mais tu es encore plus trempée qu'au cinéma...

Il glisse alors un doigt dans ma fente, le pousse tout au fond.

Je me cambre et gémit de plus belle.

Un deuxième doigt me pénètre aussi, son pouce tourne autour de mon petit trou.

Je sens le plaisir monter par vague, au rythme des vas et viens qu'il fait avec ses doigts.

Ses doigts glissent de plus en plus vite, il en ajoute un 3e, je pousse alors des miaulements de plaisir.

Soudain, il arrête, retire ses doigts et les glisses dans ma bouche.

-Nettoie mes doigts petite fille, nettoie les bien!

Je m'applique, je goûte mon propre jus, subtil mélange de saveur.

Il me menotte les mains dans le dos et me redresse.

-Tu vas maintenant être une gentille petite fille à son dada et tu vas lui faire une grosse gâterie.

Il baisse son pantalon, écarte les jambes et montre sa bite avec ses doigts.

-Avec les mains dans le dos ce ne sera pas facile monsieur.

-Met toi à genoux, c'est comme pour le vélo, ça s'apprend.

J'avance à genoux vers lui, il glisse ses mains sur ma tête et la dirige immédiatement vers sa verge tendue.

J'ouvre ma bouche, il pousse sur ma tête et la force à se glisser au fond de ma gorge.

Je dégluti, je tente de me redresser mais ses mains me plaque, je me débat, il me maintien.

Puis il relâche la pression, je me redresse et aspire un grand coup, de la bave coule de ma bouche.

Il reprend ma tête et me plonge à nouveau sa bite dans la gorge.

J'étouffe, je sens sa verge qui glisse sur ma glotte, ça me donne envie de vomir, j'émets des grognements, mes yeux pleurent, ma vue se brouille.

Il relâche à nouveau la pression, je respire à nouveau.

Il me plonge la tête une fois de plus, mais cette fois il ne pousse pas sa bite tout au fond.

Au lieu de cela, il me fait faire des mouvements de hauts en bas avec ma tête.

Sa bite se faufile entre mes lèvres, glisse sur ma langue.

Je l'entend pousser des petits cris rauque.

Il ne doit plus m'aider de ses mains, je fais le mouvement toute seule.

Je m'aventure même a la faire glisser d'un côté et puis de l'autre de ma bouche, à la léchée comme si c'était une crème glacée.

Il gémit encore plus fort.

-Tu as un cul d'enfer et une bouche à pipe ma petite, j'adore

Il remue son bassin pour amplifier le mouvement de sa bite dans ma bouche, le mouvement s'accélère.

Il attrape à nouveau mes cheveux et pousse sa bite à nouveau tout au fond de ma gorge.

Il éjacule tout en maintenant fermement ma tête. Le liquide chaud et gluant gicle dans ma gorge.

Il se retire, la bite gluante. Un filet, mélange de bave et de sperme, me relie à lui.

Des larmes coulent de mes yeux, conséquence de ses «forçages» au fond de ma gorge.

Sans qu'il me le demande je lèche et nettoie sa bite de tout son jus.

Il me regarde faire, glisse un main sur ma joue et me redresse le visage.

-Tu es une bonne petite fille. Merci.

Je lui gratifie son compliment d'un grand sourire.

Il retire les menottes et m'invite à le suivre.

On monte dans sa chambre, il me déshabille complètement.

Ses mains explorent alors chaque recoins de mon corps.

Il glisse subtilement les doigts dans les moindres recoins, passe autour de mes seins, frôle mon ventre, se faufile entre mes fesses,...

Je ne le vois pas, il est derrière moi, je l'entend prendre quelque chose dans un tiroir.

-Ouvre ta bouche ma petite.

La bouche ouverte, il y place alors une boule et relie les sangles derrière ma tête.

-Dada va bien s'occuper de toi ma petite, tu ne vas pas regrettée ta venue.

Il me demande de m'allonger en travers de son lit, sur le ventre et de redresser mon bassin.

Dès que je suis en position, il glisse un coussin sous bassin.

Je me retrouve cul en l'air.

-Tends les bras et écarte les jambes ma petite.

Il attrape mes mains et les attaches au lit.

Il fait de mêmes avec mes chevilles.

Mes jambes dépassait du bord de son lit, quand il les attaches, ça me redresse encore plus mon cul.

Il se déshabille aussi.

Glisse un main le long de ma colonne, remonte sur mes fesses et y glisse un doigt.

-Est-ce que ma petite fille est vierge du cul?

Je réponds oui en faisant bougée ma tête.

-Bien alors dada va te prendre ta petite cerise alors.

A la fin de sa phrase je tentais d'émettre une protestation, je ne voulais pas.

Mais le bâillon m'empêche de parler.

-Tu es très propre, c'est une qualité que dada apprécie.

Ses deux mains écarte mes fesses, je peux le sentir approcher son visage de mon cul.

Il glisse alors sa langue et commence à me lécher.

Ma position lui donnait accès à ma chatte et mon cul, il pouvait me faire ce qu'il voulait, j'étais incapable de m'y opposée.

Il glisse sa langue dans ma chatte, remonte sur mon petit trou.

Je pousse des gémissement de plaisir...car sa langue me donnait énormément de plaisir, plus qu'avec ses doigts.

Il glisse un pouce entre mes lèvres et vient taquiner mon clitoris, je me tortille de plaisir.

Je sens ma vulve s'humidifier encore plus, elle coule toute seule.

Avec sa langue il fait remonter mon jus sur mon œillet, le lèche de plus en plus fort

Il glisse alors deux doigts dans ma chatte trempée, il les pousse au plus profond.

Je ne peux retenir de gémir à nouveau.

Il retire ses doigts et en présente un à l'entrée de mon œillet.

A ma grande surprise, celui-ci glisse sans peine.

Il joue avec, le fait tourner, glisse le second qui me fait un peu mal en entrant.

Je ne manque pas de protester mais il ne m'écoute pas et continue.

Ses deux doigts glissent au fond de mon cul.

Il continue de jouer, je les sens tourner en moi, m'écarter mon œillet progressivement.

Le plaisir remplace la douleur, je me détend progressivement.

Il le remarque et glisse alors son pouce dans ma chatte trempée alors que deux de ses doigts sont au fond de mon cul.

Il s'amuse alors a frotter son pouce contre ses doigts.

Je ne peux retenir des miaulements profond.

La jouissance se fait de plus en plus intense.

-Ma petite fille apprécie ce que dada lui fait. Ça c'est la petite salope à dada.

Il retire ses doigts. Une étrange sensation m'envahit alors.

Je le sens se positionner derrière moi, il s'approche et me murmure:

-Dada va maintenant prendre ton cul ma petite salope.

Il finit sa phrase et commence à pousser son gland sur mon œillet.

Je me débat, je proteste, mais en vain...je suis fermement attachée.

Son gland force l'entrée, ça me fait mal, je hurle dans mon bâillon, il continue de le pousser.

Il fait un mouvement sec, sa verge entre complètement dans mon anus, je peux sentir ses couilles frapper ma chatte.

J'ai mal, je souffre, je pleure, je m'étouffe dans mon bâillon mais il reste tout au fond.

Je sens son souffle dans mon cou, il me tient fermement les bras, il est allongé sur moi.

-Chhhh...laisse toi faire ma petite.

Tu ne voudrais pas que dada se fâche.

Il reste planté en moi pendant un petit moment, je ne sens presque plus la douleur.

Mon anus se dilate, accepte cette pénétration sauvage.

Il commence à bouger, il remue son bassin, initie un mouvement de vas et viens.

Sa queue glisse, mais il ne la sort pas. Il accélère petit à petit.

Il alterne les vas et viens avec des coups sec et profond, me coupant le souffle à chaque fois.

Je perds la notion du temps, les sensations affluent, me submergent. Oscillant entre la douleur et le plaisir, je pleure et je gémit en même temps.

Ses mouvements sont de plus en plus rapide, de plus en plus profond. Le lit est secoué, il émet des bruits rauques de plaisir.

Ses mains sont sur mes hanches, il me tire vers lui et me pénètre de plus en plus violemment.

Mon corps s'écrase sur le matelas au rythme de ses vas et viens.

Sa bite s'enfonce dans mes entrailles et je sens le plaisir monter en moi.

Il jouis et pousse un râle profond, je sens sa semence chaude se répandre.

Sa queue se ramollit et fini par sortir toute seule, laissant mon anus ouvert, dégoulinant de son jus.

-Ton cul est très étroit ma petite salope, dada aime beaucoup.

Il glisse sa main sur mes fesses encore endolorie et me détache ensuite.

Il retire mon bâillon, sèche mes larmes et me prend dans ses bras.

-On va prendre une douche ma chérie?

-Oui dada

Il me prend dans ses bras et me porte jusqu'à la salle de bain.

J'entre alors dans la cabine de douche et il se joint à moi.

L'eau tiède coule alors, un frisson me parcours le corps. Il me masse le dos.

Je me retourne et l'embrasse, nos lèvres se rejoignent, nos langues se mélangent.

Nos mains se caressent mutuellement.

L'eau perle sur nos corps enlacés.

Le moment est magique, j'en oublie la douleur au niveau de mon cul. Il me serre contre lui, je me blottis dans ses bras.

-Il faut que je te ramène ma petite, tes vrais parents vont s'inquiéter.

-Mmm non dada..s'il te plaît, j'aime trop être avec toi.

-Oui mais tu vas avoir des ennuis si tu ne rentres pas chez toi.

-Je vais leur téléphoner et dire que je dors chez une copine, comme ça on aura toute la nuit.

-Tu es sur? j'ai des invités ce soir tu sais.

-Je suis certaine dada, je veux rester avec toi. Si cela ne te dérange pas bien sûr.

-Non au contraire, je suis certains que mes invités vont appréciés ta présence.

(à suivre)